Il se veut le plus grand festival de BD d’Île de France. Pour le vérifier, le plus simple c’est de prendre la direction de Puteaux ce week-end pour sa 11e édition sur 3 jours, les 23, 24 et 25 mai 2014.
Vous aimez l’Histoire et la bande dessinée historique ? Des compagnies seront là pour essayer de vous faire voyager dans le temps ! Celtes, Romains, Vikings, Chevaliers, Médiévistes, Sans-culottes, Poilus. Toutes les époques et tous les styles déambuleront durant tout le 11e Festival BD de Puteaux.
Dans le Palais de la médiathèque, un mur de la BD est prévu pour laisser courir vos feutres et votre imagination. Un atelier graphique sur tablette numérique accueillera vos enfants de 7 à 14 ans. Vous pourrez également assister à des performances en direct par des auteurs du festival.
Bon à savoir : À l’occasion du 11e Festival BD de Puteaux, la Ville organise un concours destiné aux nouveaux talents pour valoriser leur travail et leur permettre de rencontrer des professionnels de la bande dessinée. Vous avez plus de 14 ans et vous n’avez jamais été publié. Les participants doivent réaliser une planche de format A3 (29 cm x 42 cm) sur le thème : « L’HISTOIRE DANS LA BD » Le règlement et des planches vierges sont à leur disposition dans les Médiathèques de Puteaux et sur www.mediatheques.puteaux.fr Les travaux doivent être déposés au plus tard le 30 avril à 18 heures, dans une des trois Médiathèques de la Ville, ou par mail à festivalbd@mairie-puteaux.fr Les meilleures planches seront exposées durant le Festival. Les lauréats seront sélectionnés par un jury composé de professionnels de la BD présents au Festival, et la remise des prix aura lieu le samedi 24 mai 2014. 1er prix : 1 planche originale et 1 publication 2e prix : 1 dessin original 3e prix : 1 dessin original
Un festival hybride, c’est ce que propose la Ferme du Buisson, la scène nationale de Marne-la-Vallée (Noisiel 77) avec Arte. Ce week-end du 14 au 16 mars, Pulp entend sortir de la case pour croiser les genres en associant la bande dessinée avec la musique, la danse et le théâtre, mais aussi le cinéma et la peinture. Plus que jamais la BD est un art vivant et cette 1ère édition le réaffirme.
Auteurs de BD et artistes venus de tous horizons, duels de dessinateurs, installations, spectacles, expositions, librairie, rencontres et débats animeront ce week-end au rythme des bulles.
« L’explosion du 9e art, dans ses formes les plus populaires comme les plus pointues, nourrit aujourd’hui de façon profonde les imaginaires collectifs. Du livre au live, du papier glacé à l’image animée, des cases à l’installation, de la 2D à la 3D, PULP FESTIVAL déplace les frontières pour inventer un art toujours plus vivant »
Ainsi, « Dans l’oeil du cyclope », installation conçue avec la revue Professeur Cyclope, créée en 2013, côtoiera, plongée dans l’univers de six auteurs et de leurs multiples sources d’inspiration. Dans La Ferme des animaux, Blexbolex, sur un scénario de Loo Hui Phang inspiré de George Orwell, colonisera de ses dessins une maison, du sol au plafond.
Ceci n’est pas une bande dessinée par Philippe Dupuy
Parmi les nombreux spectacles, les visiteurs découvriront La Fille, road-movie rock et sexy de la chanteuse pop Barbara Carlotti et Christophe Blain, l’auteur de la BD best-seller Quai d’Orsay. Mais aussiLe moral des ménages, pièce de Stéphanie Cléau avec Mathieu Amalric, illustrée par Blutch, d’après le roman d’Eric Reinhardt. Les Chiliens de Teatrocinema raconteront à leur façon une Histoire d’amour de Régis Jauffret, tandis que l’Odyssée d’Homère sera revue et dessinée par la compagnie britannique « The Paper Cinema » et Nicholas Rawling.
Enfin connaissez vous l’émission Tac au Tac diffusée par l’ORTF ? Sur le principe de ces séances de cadavres exquis, une dizaine de dessinateurs se donne rendez-vous pour des matchs d’improvisation totale de dessin, commentés en direct par des comédiens et retransmis sur grand écran. Au menu : Jul, Catherine Meurisse, Marion Montaigne, Cyril Pedrosa, Mathieu Sapin, Mana Neyestani,François Olislaeger, Dash Shaw, Hervé Tanquerelle, Nicolas Wild…
Didier Morel
Pour découvrir ce festival, rendez-vous donc les 14, 15 et 16 mars prochains à la Ferme du Buisson à Marne-la-Vallée (77000). Inscription : 01 64 62 77 00 et le programme Tarif : 29 euros pour le pass festival tarif plein.
La 17ème édition pour le Paris Manga & Sci-Fi Show s’achève. Réunissant deux fois 70 000 amateurs lors de ses deux sessions annuels, ce salon de la Porte de Versailles est le petit frère de la Japan Expo, le blockbuster européen des fans de manga, de comics et de jeux vidéo. Entre fourre–tout et programmation pointue, les organisateurs préfèrent parler de festival ouvert à tous, aux familles comme aux férus de cases et de bulles. Voici notre choix de trois albums à découvrir : un manga historique : Eurêka ! par Hitoshi Iwaaki, une uchronie française : Métropolis par Serge Lehman et Stéphane de Caneva et une BD jeunesse : Kräkaendraggon par Lewis Trondheim et Mathieu Sapin.
Le grand Hannibal, le carthaginois qui réussit l’exploit de traverser les alpes avec ses éléphants pour tenter de conquérir Rome, était il atteint de strabisme ? C’est une des surprises que réserve la lecture d’Eurêka !, une trouvaille parue au japon en 2002 et qui vient d’être traduite en français par la petite maison d’éditions Komikku. L’histoire reprend le mythique siège de Syracuse défendue par les inventions d’Archimède. Elle se déroule pendant la 3ème guerre punique entre Rome et Carthage. La cité sicilienne tente de profiter de la situation pour recouvrir son indépendance face à la tutelle romaine. C’est l’occasion pour le lecteur de mettre un visage sur l’auteur d’un théorème bien connu des collégiens : Archimède, l’auteur d’Eurêka (« j’ai trouvé ! » en grec). Le savant est aussi célèbre pour avoir aider à la sécurisation de sa ville. C’est là où le mangaka Hitoshi Iwaaki prend des libertés avec la réalité historique. Pour notre plus grand plaisir défilent alors toute sorte de machines, plus redoutables les unes que les autres, pour défaire la flotte et les armées romaines. Mêlant minutie dans la reconstitution des soldats, delà topographie des batailles et un récit amoureux, l’auteur nous séduit jusqu’au final, la mise en image de la légende de l’embrasement à distance de voiles des bateaux du Général Marcellus grâce au soleil et des miroirs.
Ne vous arrêtez pas à la couverture incompréhensible pour ma part : un œil, une oreille, un détail agrandi dans une loupe ??? Par contre, n’hésitez pas à découvrir les aventures en One-shot de Damippos, un spartiate devenu disciple d’Archimède, dans ce récit historique bien documenté.
13 mai 1935 – des événements étranges se déroulent dans Métropolis, la capitale de l’Interland : un livre sur les Croix de Bois de Roland Dorgelès apparaît en vitrine d’une librairie, une statue d’un soldat inconnu remplace du jour au lendemain celle d’un phycien et philosophe autrichien Ernst Mach. Cela ne vous paraît pas étrange ? Cela l’est pour l’inspecteur Gabriel Faune. Depuis plus de 60 ans, le pays est en paix, la 1ère guerre mondiale n’a pas eu lieu et donc personne ne sait ce qu’est un poilu et Dorgelès n’a pu faire le récit de ses combats dans les tranchés. Un an plus tôt, un terrible attentat meurtrier a été perpétué. C’est le point de départ de cette thriller uchronique raconté avec brio par Serge Lehman, l’auteur remarqué de Masqué. Au fil de l’enquête sur de « vielles choses mortes », le lecteur croisera le docteur Freud et son Traumdeutung, Winston Churchill dans son club de fumeurs de cigares de la rue K, Peter Lore ans M le maudit ? autant de personnage réels dans une fiction qui créent de riches entrechocs de sens.
Les plus étonnants ce sont Aristide Briand et Gustav Streseman, artisan de la paix et nouveau dirigeant de cet Interland, un espace neutre entre la France et l’Allemagne, dont le héros est devenu à sa naissance le citoyen numéro 1. C’est le premier tome de 4 volumes, dans lesquels nous devrions voir apparaître la figure du mal absolu, Adolf Hitler. Souhaitons que le prochain à venir à la rentrée sera aussi haletant et graphiquement mené de main de maitre par Stéphane De Caneva (Sept Clones) Je vous recommande ses grandes cases muettes pleine page d’une grande virtuosité.
Imaginez un nouveau programme scolaire où toutes les matières seraient basées à partir de jeux vidéo. Les sciences naturelles se consacrent à l’étude de monstres, le français au scénario de jeux de rôle, l’anglais devient un cours de langue elfique et l’histoire sert de contexte pour l’heroic fantasy ! Telles sont les nouvelles directives de l’Education Nationale. Après tout, c’est la crise et le jeu vidéo est devenu la première industrie du loisir, la seule réellement florissante. Renversant pour le premier de la classe qui n’a jamais touché une console et doit recommencer avec des jeux d e base comme Pong. Une aubaine pour les geeks et autre cancres qui affichent des heures de combats sur WOW (comprenez World of Warcraft). Le proviseur est rapidement dépassé et un grand frère spécialiste des jeux en réseau prend le relais pour le plus grand bonheur des élèves. Kräkaendraggon, une utopie ? Pas si sûre car les malicieux auteurs Lewis Trondheim (Lapinot, Donjon) et Mathieu Sapin (Sardine de l’Espace, Akissi) déroulent la logique de leur postulat de départ avec humour et maintiennent le récit jusqu’au bout. Ensemble, ils réussissent à se moquer subtilement de l’ancien monde comme du nouveau. Le tour de force est de raconter l’histoire tout en consacrant à chaque planche un gag sur une planche. Nous en redemandons.
L’Américain Bill Watterson, l’Anglais Alan Moore et le Japonais Katsuhiro Otomo étaient les trois derniers en lice pour le Grand prix de la ville d’Angoulême. C’est finalement Bill Watterson qui a été à l’instant couronné lors de la cérémonie de clôture du 41e Festival International de la Bande Dessinée.
Créée en 1985 et animée par Bill Watterson jusqu’en 1995, les aventures de Calvin et Hobbes ont été diffusées dans près de 2400 journaux, traduites dans 40 langues différentes et vendues à près de 30 millions d’exemplaires dans le monde…
Les 24 heures de la Bande Dessinée à Angoulême en est a 8ème édition. Inspiré d’un défi qui existe aux États-Unis (The 24 Hour Comics Day, lancé par Nat Gertler d’après une idée initiée par Scott McCloud), cette épreuve a été créée par Lewis Trondheim. A la veille de l’ouverture du festival, les 24 h s’achèvent. Ils étaient plus de 600 sur leur table à dessin au départ. Le plus connu de ses forçats, c’est Boulet. Il a publié, il y a peu, le 8e tomes de ses Notes avec les 7 histoires produites dans les précédentes éditions.
C’est le dessinateur Lewis Trondheim (Lapinot, Ralph Azham) qui donne une fois de plus la contrainte pour ce défi. Cette année, Boulet (l’auteur de La Page Blanche) a été très surpris par le choix de son ami, car il s’agit d’utiliser ses 90 dernières photos postées sur compte Instagram. Le principe est pourtant on ne peut plus simple : 24 planches (dont la couverture et la 4ème de couverture) dessinée en 24 heures non-stop.Ce marathon graphique est ouvert à tous : auteurs, amateurs et élèves d’école d’art.
Les images à la disposition des auteurs – Boulet
« Je ‘n’étais pas au courant. Cette consigne est un cauchemar », a précisé l’intéressé au journal Sud-Ouest. Ce cauchemar, il le revit en fait chaque année dans la Maison des Auteurs à Angoulême et il le raconte dans son dernier album de la série Notes. C’est drôle et c’est un régal pour nous lecteur de suivre les pérégrinations du forçat du dessin Boulet pendant 1 440 minutes et ce sur 7 années. Comme quoi la contrainte est créative, car il sait avec humour jouer avec des consignes toujours plus loufoques au fil des éditions (une boule de neige, des pirates, Popeye …)
C’est entrée libre pour les enfants et les moins de 18 ans
Mine de rien, c’est la plus grande librairie Jeunesse de l’hexagone. De quoi occuper pendant toute une journée vos bambins et vos aînés dans un lieux, au chaud et sans bourse déliée … ou presque. C’est possible que vous repartiez avec quelques albums sous le bras et vous aurez à payer une entrée adulte sauf vendredi soir. Les tarifs
C’est donner envie de toucher, feuilleter et s’évader dans des milliers de livres
Casse tête de beaucoup de parents : comment faire lire mon enfant ? Le mettre en contact le plus souvent possible avec des livres, répondait Daniel Pennac, l’auteur de Comme un Roman. « On ne force pas une curiosité, on l’éveille. » Et avec des livres aussi variés que possible : romans, BD, documentaires… Tous les styles, tous les auteurs sont représentés à Montreuil.
C’est rencontrer des auteurs pour de vrai
En 2013 le salon accueille 2 000 auteurs. Oui ce sont vraiment 2 000 rencontres possibles. Ils sont là pour répondre aux questions de vos enfants, réaliser un dessin, une dédicace. Vous pouvez demander pour vous aussi, si vous êtes un parent patient pour les auteurs stars (la japonaise Konami Kanata pour CHI dont Eric Guillaud vous parle ici, Marjane Satrapi pour Persepolis) ou malin pour les auteurs à découvrir (Fabien Vehlmann, Yoann, Clément Oubrerie et tant d’autres à découvrir ici …).
Salon du Livre Jeunesse de Montreuil 2013
C’est participer à des ateliers et découvrir des expositions
La Boîte à Héros : relevez le défi, grâce à cette boîte, à vous de parler de, et surtout à son héros ou héroïne préféré(e) !Une belle plongée dans ses souvenirs d’enfance héroïque …
8 pôles artistiques de la Petite Enfance au Numérique en passant par la BD : 700 rencontres, ateliers, master-classes avec 200 auteurs de tous genres (livres papier, créations numériques, œuvres plastiques et transmédias)
C’est un palmarès qui, à l’inverse de la plupart des festivals, est dévoilé à l’avance
Pas de souci pour le dernier Astérix ouLe Petit Prince, vous connaissez déjà et vos enfants aussi. Mais comment sortir des sentiers battus des livres Jeunesse, mettre en avant de nouveaux auteurs ? C’est l’objectif affiché des Pépites de Montreuil. Une aide précieuse au choix d’un album à offrir pour Noël. Des livres qu’il est possible de lire sur place. Nous vous parlions du palmarès 2013 ici.
Le Grand Boum 2013 a été décerné hier à Etienne Davodeau, auteur de quelques pièces maîtresses de la bande dessinée francophone telles que Les Ignorants, Rural, Lulu femme nue ou encore Le Chien qui louche. Il sera donc aux commandes de la prochaine édition du festival. Il réalisera l’affiche et une exposition lui sera consacrée.
Les autres prix décernés :
Prix région centre à Clichés de Bosnie, d’Aurélien Ducoudray et de François Ravard, chez Futuropolis, Prix Conseil général 2013 à Louca , de Bruno Dequier chez Dupuis, Prix ligue de l’enseignement pour le jeune public 2013 à Kalimbo, de Crisse et Fred Besson chez Soleil, Prix Nouvelle république à Clichés de Bosnie, d’Aurélien Ducoudray, chez Futuropolis, Prix Jacques Lob 2013 à Michel Pirus.
D’autre part, les traditionnelles médailles en chocolat ont été attribuées à Daniel Fuchs, Christophe Bichop Léchopier, Fred Dehouck et MaryseBourgeois, ALEP (Association de Loisirs et d’Education Populaire), Bédélire – Tours, La Boite à Bulles, Diane Rayer des Editions Le Lombard.
Enfin, l’ACBD, Association des Critiques et Journalistes de Bande Dessinée, a profité du festival pour sélectionner les 5 titres qui vont concourir au Grand Prix de la Critique ACBD 2014 : Annie Sullivan & Helen Keller de Joseph Lambert chez Çà et là, Kililana Song tome 2, de Benjamin Flao chez Futuropolis, Mauvais Genre, de Chloé Cruchaudet chez Delcourt, Melvile, l’histoire de Samuel Beauclair, de Romain Renard au Lombard, La Propriété, de Rutu Modan chez Actes sud.
Bernard Cosadai, alias Cosey, Grand Boum-ville de Blois 2012, est l’invité d’honneur de la 30e édition du festival bd Boum qui se tient à Blois du 22 au 24 novembre. Autant dire que le week-end s’annonce sous les meilleurs auspices pour tous les amoureux du Neuvième art et particulièrement de ce merveilleux auteur suisse, responsable de quelques pièces majeures de la bande dessinée francophone comme Jonathan, A la recherche de Peter Pan, Le Voyage en Italie, Zélie Nord – Sud, Le Bouddha d’Azur..
L’oeuvre de Cosey fait l’objet d’une exposition intitulée « Voyage(s) ». Les autres expositions de cette édition portent sur Boule et Bill, les auteurs Dany et Joe G. Pinelli, les albums Clara et Hurlements, les 30 ans du festival…
Rencontres d’auteurs, concerts, séances de dédicaces, stages d’initiation au scénario, ateliers de pratique artistique pour les scolaires, conférences, débats vont rythmer ce festival qui avec ses 100 auteurs invités, ses 60 exposants et ses 20000 visiteurs attendus, fait partie des grands rendez-vous du Neuvième art en France.
Lastman de Balak, Michaël Sanlaville & Bastien Vivès – KSTR
Une semaine avant son ouverture, le Salon du Livre Jeunesse révèlent ses pépites 2013 : huit albums récompensés parmi plus 6 000 nouveautés.
Parmi les lauréats, Lastman par Balak, Michaël Sanlaville et Bastien Vivès (KSTR) décroche la Pépite de la meilleure Bande Dessinée/Manga. Nous vous racontions l’histoire de ce trio d’auteurs hors du commun ici et là dans leur atelier parisien. Le 3ème tome de ce manfra (un manga à la française) vient de sortir et la qualité est toujours là.
Anne Franck au pays du manga, d’Alain Lewkowicz, Vincent Bourgeau, Samuel Pott et Marc Sainsauve (Arte)
Les albums lauréats sont à découvrir du 27 novembre au 2 décembre dans la librairie du Salon. Des rendez-vous avec les artistes pour des rencontres et des séances de dédicaces y sont également programmés.
Le pari du Comics Expo dans la capitale, des super-héros à découvrir à l’espace Champerret ce week-end
Vous le savez déjà si vous êtes un lecteur assidu de ce blog, nous vous parlons rarement de comics. Sur les quelques 5 000 – et plus ! – BD parues chaque année, nous faisons des choix. Le Comics a pourtant ses lettres de noblesse et ses références comme les Watchmen, pour ne citer qu’un des plus beaux exemples récents. Peut-être est ce dû à la faible, voire de sa quasi inexistence dans l’hexagone, mis à part Masqué, dont nous vous parlions ici quelques mois plus tôt. Toujours est-il que les 23 et 24 novembre prochain seront peut-être l’occasion de se rattraper en rencontrant des auteurs d’outre-Atlantique et leurs héros estampillés made in USA lors du Paris Comics Expo.
La première édition était une session de rodage à taille humaine. Au dire des fans c’était l’idéal pour rencontrer des auteurs loin de la gigantesque Japan Expo. Cette année les organisateurs ont vu plus grand et plus loin, affirment-ils.
Et ne manquez pas les conférences Comic Box (le premier magazine professionnel français consacré aux Comics), ils proposent de visiter un Paris bien spécial… Celui des comics ! Pendant une heure ils feront revivre les lieux qui ont un rapport avec la BD américaine dans la capitale. Bureaux d’éditeurs, antres d’auteurs, anecdotes et petits secrets qui se cachent au coin de la rue… les « bonnes adresses » où a été écrite l’histoire de la VF…conférence menée par Xavier Fournier et Jean-Michel Ferragatti le dimanche 24 novembre, 12H00-13H00