Il est sorti ! Enfin presque. Si nous, chroniqueurs, avons eu l’honneur et l’avantage de le recevoir sous pochette scellée, version collector, vous, lecteurs, devraient patienter jusqu’au 13 mars. Je sais, c’est profondément cruel ! Mais en attendant, haut les coeurs, vous pouvez toujours découvrir les cinq premiers épisodes de cette histoire cosignée par Balak, Michaël Sanlaville et Bastien Vivès sur le portail européen de BD digitale Delitoon. C’est mieux que rien et vous pourrez même vous inscrire pour être prévenus par mail de la mise en ligne des prochains épisodes. Mais que raconte Lastman ? Oui c’est vrai tiens, que raconte cet album inspiré, précise l’éditeur, par le manga, le dessin animé et le jeu vidéo ? Un tournoi. Le tournoi annuel d’une ville inconnue dans un monde inconnu. Une ville plutôt sympa accrochée à une montagne. Et dans cette ville, le Jeune Adrian Velba, 12 ans, qui rêve justement de remporter ce tournoi. Mais la défection de son partenaire ruine tous ses espoirs. Jusqu’au moment où Richard Aldana, un jeune-homme venu d’ailleurs, débarque avec ses méthodes plus… comment dire… radicales et le choisit comme partenaire.
Résultat des courses, 200 pages dont une petite partie en couleurs et un récit qui se lit d’une traite. C’est frais, c’est léger, c’est vif, c’est drôle, les personnages sont attachants, le dessin, très agréable… Que demandez de plus ? Des stickers peut-être ? C’est prévu ! Et quoi encore ? Un making of ? Le voilà… EGuillaud
Lastman, de Balak, Michaël Sanlaville et Bastien Vivès. Editions KSTR. 12,50 euros ou 18,50 euros pour la version collector sous pochette scellée.
15 Fév