L’unité nationale, notre objectif commun
Quelques heures après les attentats qui ont frappé la capitale, les réactions des élus de toute la région se multiplient. Martin Malvy affirme que « dans une telle épreuve, au-delà de l’unanime compassion, c’est l’unité nationale qui doit être notre objectif commun. Tout ceux qui y dérogeraient affaiblirait la France au moment où elle est attaquée et avec elle les valeurs qui constituent le fondement de notre société ».
La République restera debout
Le Président de Région socialiste est suivi sur cette volonté par le président PS du département de la Haute-Garonne : « cette nuit, comme il y a 10 mois à peine, ce sont nos valeurs de liberté et d’humanisme qui ont été violemment attaquées. » Pour Georges Méric, « nous ne céderons pas, la République restera debout ».
Nous, nous sommes des hommes libres
Colère et indignation prennent aussi le dessus dans d’autres communiqués officiels. « Nous, Hommes libres, traquerons ces sauvages où qu’ils soient, sans relâche, parce qu’ils veulent nous imposer la peur et contrainte. Et nous, nous sommes des Hommes libres » déclare Jean-Luc Moudenc, le maire L.R de Toulouse.
Forts du sang versé, résistons dans l’unité
D’autres comme Jean Iglésis et Laurence Massat, responsables de l’UDI 31 appellent à résister : « Français de toutes origines et de toutes confessions, héritiers de vingt siècles d’histoire, fiers de ce que nous sommes, forts du sang versé, résistons dans l’unité ».
Pas de liberté pour les ennemis de la liberté
Pour le PRG « la République est attaquée et doit se défendre ». « Toutes les lois en vigueur permettant de faire taire et punir les ennemis de la liberté doivent être appliquées avec sévérité. Il n’y a pas de liberté pour les ennemis de la libertés » poursuivent les Radicaux de Gauche.
En janvier j’étais Charlie, aujourd’hui je suis Paris
Enfin Christophe Borgel, député PS de Haute-Garonne s’adresse aux terroristes : « Ils doivent savoir que l’effroi de ce drame ne conduira notre pays ni dans la peur, ni dans le repli. Fort de ces valeurs, la France fera face. En, janvier, j’étais Charlie, aujourd’hui je suis Paris. »
Patrick Noviello