11 Mai

L’affaire des « gifles » de Montauban classée sans suite

Souvenez-vous, c’était le 7 avril dernier, jour d’élection universitaire. Le vote des étudiants avait pris une tournure particulière à Montauban où deux personnes en étaient venues aux mains.

Une bousculade et une gifle, rien de bien important. Si ce n’est que les deux belligérants n’étaient pas de simples étudiants mais des proches des deux « ennemies intimes » de la politique montalbanaise, Brigitte Barèges, maire Les Républicains, et Valérie Rabault, députée socialiste.

En l’occurence, à ma droite Pascal Ellul, chef de cabinet de Brigitte Barèges et ancien président du syndicat étudiant UNI et à ma gauche Paul Murat-Craïs, secrétaire général du Mouvement des jeunes socialistes du Tarn-et-Garonne.

Que s’est-il vraiment passé ce jour-là ? Les versions des deux camps divergent. Bousculade, gifle… Des plaintes avaient étaient déposées par les deux hommes, accusant l’autre de l’avoir agressé.

Après convocation au commissariat de Montauban et rappel à la loi, les deux bagarreurs ont été renvoyés à leurs chères études. Les deux plaintes ont été classées sans suite. La justice montalbanaise a sans doute autre chose à faire que de juger ce type de chamailleries, même si les mis en cause/plaignants sont des proches de deux (fortes) personnalités politiques.

Fabrice Valéry (@fabvalery)