07 Fév

Samedi 9 février à 11h30, émission spéciale « Election Chambres d’Agriculture »

MaxPPP

Au lendemain des résultats des élections aux chambres d’agriculture, c’est une émission spéciale que vous propose « La Voix est Libre ».

Autour de la table, représentants de la FNSEA, de la Coordination Rurales et de la Confédération paysanne, les trois forces syndicales arrivées en tête du scrutin.
Avec ces militants agricoles nous parlerons de l’avenir des paysans en Midi-Pyrénées, de la future Politique Agricole Commune mais aussi de ce qui fait qu’aujourd’hui on veut s’engager dans cette profession si dure mais si noble.

Invités :

05 Fév

Municipales à Toulouse : ça bouge au centre !

« Il faut savoir ce que l’on veut. Quand on le sait, il faut avoir le courage de le dire. Quand on le dit il faut avoir le courage de le faire ». Elle avait laissé entendre qu’elle pourrait être candidate, c’est désormais officiel. Ce lundi matin, dans un bistrot de la place Saint-Etienne, Christine De Veyrac a annoncé qu’elle se présenterait sous l’étendard UDI et Modem aux prochaines Municipales à Toulouse.

La députée européenne a dit « vouloir sonner le réveil » de Toulouse. Les électeurs seront-ils sensibles à cet appel ? En tout cas, la riposte à l‘UMP31, elle, ne s’est pas faite attendre. Dans un communiqué, son porte-parole et sa secrétaire départementale ne lui demandent rien de moins que « de se démettre de son mandat de députée européenne que lui ont confié les électeurs ayant voté pour une liste UMP ».

Il faut dire qu’en se présentant sous l’étiquette UDI-Modem, Christine De Veyrac désorganise pour le moins les plans de Jean-Luc Moudenc. L’ancien maire de Toulouse battu par Pierre Cohen en 2008, tout en étant président de l’UMP31, ne cesse d’afficher son âme centriste. « Soit sa candidature vise à renforcer l’UDI et ses idées pour notre ville, et ce sera un atout supplémentaire pour l’opposition municipale en vue de l’échéance de 2014, soit il s’agit d’une entreprise de division, qui deviendrait l’auxiliaire de la municipalité Cohen » analyse le seul député UMP de Haute-Garonne. En résumé soit elle est avec lui mais pas tête de liste, soit elle est contre lui.

« Nous avons eu des divergences de vue, mais je n’ai jamais eu un mot plus haut que l’autre à son encontre » rappelle Christine De Veyrac qui avait du laisser la présidence de l’UMP31 à Jean-Luc Moudenc. « Une mairie ne se gère pas à droite ou à gauche (…) Je souhaite être la candidate du rassemblement de tous ceux dont les convictions vont de la droite républicaine à la gauche réaliste » a déclaré Christine de Veyrac. Pas de quoi éclairer plus que ça les citoyens quant à l’échiquier politique local.

Et Jean-Luc Moudenc de ramener cette candidature à une volonté plus terre à terre : « qu’on ne compte pas sur moi pour participer à une bataille d’égos dont Toulouse serait l’enjeu, et à la fin, la victime ». Reste maintenant à Christine de Veyrac à avoir le feu vert parisien, en l’occurrence celui de Borloo, autrement dit à ce que ce dernier ne lance pas un appel à une union nationale avec l’UMP en vue des Municipales.

Une prise de position dont dépends sa candidature définitive. D’ailleurs, dernière attaque à son encontre de la part l’UMP31 qui redoute qu’elle exploite une fausse campagne pour en lancer une autre : « Il serait en effet trop commode que Christine de Veyrac se serve des élections municipales à Toulouse pour obtenir une quatrième investiture sur une liste aux élections européennes ». Décidément il semble difficile de voir ceux-là retravailler ensemble un jour. Mais en politique, tout est possible…

04 Fév

Guillaume Cros, la Gauche albigeoise, les municipales et les « Cordeliers » : « Stop à l’hypocrisie »

Guillaume Cros, président du goupe EELV au Conseil Régional

Le théâtre des municipales ouvre ses portes. Le rideau va se lever dans quatorze mois. Mais les acteurs sont déjà en scène. Plus d’un an avant la « représentation » on devine les grandes lignes du scénario. A Albi, un équipement culturel est en haut de l’affiche. La majorité sortante sort les grues et les bétonnières. Une salle de spectacle de 900 places, plusieurs cinémas, des restaurants et un parking doivent émerger du sol. Ce chantier « encombre » le terrain politique. Le PS n’a pas encore son candidat. « Europe Ecologie » n’est pas entré officiellement en course. Le PRG cultive le suspens et n’exclue pas un rapprochement avec le Centre. Néanmoins, l’opposition a au moins un dénominateur commun. Elle pense que le chemin de la mairie passe par le site des Cordeliers. Guillaume Cros juge cette vision artificielle. Et même irresponsable. Le conseiller régional « Europe Ecologie » est « très dubitatif » s’agissant du projet. « Ce n’est pas le bon endroit et ce n’est pas la bonne dimension ». Mais, il se veut réaliste. « Maintenant, ce truc existe. On peut ne pas être d’accord avec mais il y est ». Pour le probable candidat à la mairie, une seule question est pertinente : « que faire de cet outil ? ». Ce faisant, il égratigne le PS et dénonce son double jeu. « Maintenant il faut assumer. Stop à l’hypocrisie. Les élus socialistes et communistes ont fait pression sur Thierry Carcenac (président du Conseil Général du Tarn) pour qu’il ne verse pas des subventions ». Pourtant, en cas de victoire de la gauche, ces mêmes élus solliciteront des deniers départementaux. Dans les prochains mois, le nouveau « Grand Théâtre » va être terminé. Il finira par être inauguré. Aussi l’élu « Europe Écologie » est pragmatique. Guillaume Cros souhaite trouver un « axe culturel » aux Cordeliers. « Aujourd’hui la gauche albigeoise est vent debout au prétexte que le projet vient de Bonnecarrère (le maire d’Albi) et elle fait pression pour que le département ne mette pas un sou dans le projet ou du moins  que Carcenac ne le fasse pas de manière visible ». Mais, pour les albigeois, une seule chose compte : « l’avenir, le devenir d’un équipement qui va peser sur les finances locales pendant des années ».Guillaume Cros estime que l’essentiel est « de construire un projet culturel ». Ce projet sera « un axe important des futures municipales ». D’ailleurs, il n’attend pas la compétition pour lancer ses propositions. Le futur théâtre devra « être un lieu ouvert à la création et surtout pas devenir un « Odyssud bis » (nom d’un centre culturel de la région toulousaine, à Blagnac) et être digne d’une scène nationale ». A cette condition, Guillaume Cros « ne désespère pas de faire revenir du monde au théâtre et d’augmenter le nombre d’abonnements ». Le développement des Cordeliers passe également, pour l’élu régional, « par une synergie avec la maison de la musique de Cap Découverte ».

LD

28 Jan

Mariage en ligne par Patrick Noviello

Assemblée Nationale

Quinze jours de débats sont d’ores et déjà annoncés. L’assemblée nationale entame demain l’examen de la loi sur le mariage pour tous. Les échanges seront virulents dans l’hémicycle mais ce sont aussi les souris et les claviers qui vont chauffer du côté des Socialistes.
En effet, pour la première fois, quatre parlementaires de ce groupe vont se relayer sur la toile pour livrer leurs impressions tout au long de l’examen de loi. Parmi eux, Christophe Borgel et Carole Delga députés de Haute-Garonne. L’initiative de ce projet revient à Xavier Julien, directeur de la communication du groupe Socialiste à l’assemblée nationale. C’est d’ailleurs sur le site du groupe que seront relayés les billets des députés (socialistes-deputes.fr).
« Il s’agira de billets subjectifs sur nos impressions » explique Christophe Borgel. « Je suis plutôt un homme de la parole et je parle beaucoup avec les mains, mais j’ai l’habitude d’écrire sur mon blog et de faire vivre mon site où je fais des billets régulièrement » poursuit-il. « Mon blog est en pleine refondation, je suis donc plutôt mauvaise élève en ce moment, mais je crois vraiment à cette belle technologie pour relayer des infos aux citoyens » avoue de son côté Carole Delga.

Le choix des députés s’est fait de manière informelle : « On en a parlé avec Xavier pour la première fois à la rentrée, à la buvette de l’assemblée » confie le député de Haute-Garonne. « Je pense que nous avons aussi été choisis pour nos différences de sensibilité sur ce dossier. Moi-même par exemple, j’étais contre l’amendement Procréation Médicalement Assistée (NDR finalement retiré) » estime Carole Delga.
Seule obligation : les parlementaires choisis pour écrire sur la toile ne devaient pas faire partie de ceux ayant des responsabilités politiques sur ce dossier, ces derniers étant mobilisés de façon permanente sur les séances. « Je pense vraiment que cette expérience peut aussi permettre de familiariser les citoyens avec le travail parlementaire » espère Carole Delga.

Les parlementaires socialistes blogueurs devraient faire une dernière mise au point demain matin avant de commencer leur rédaction au long cours. Et ils ne seront pas trop de quatre pour se relayer sur le web, tant les débats risquent de durer. Les discussions pourraient s’étaler jusqu’à 10 ou 15 heures par jour pronostiquent certains députés.

La Voix est Libre Spéciale Emploi en Midi-Pyrénées, samedi 2 février à 11h30

MaxPPP

MaxPPP

Samedi, « La Voix est Libre » se penche sur la question de l’emploi dans notre région. Quels sont les secteurs porteurs et ceux qui ne le sont plus ? Comment pérenniser l’emploi ou le redynamiser quand c’est possible ? Nous reviendrons aussi sur l’accord sur le marché du travail signé entre le patronat et certains syndicats.
Nous irons aussi en reportage dans des entreprises pour voir comment concilier sécurisation et flexibilité de l’emploi.

Avec nous pour débattre :

  • Catherine D’Hervé, directrice régionale des entreprises de la concurrence de la consommation du travail et de l’emploi.
  • Gisèle Vidalet, secrétaire départementale de la CGT 31.
  • Jean Luminet, président régional de l’Union des  Industries et des Métiers de la Métallurgie et vice-président du Medef 31.

23 Jan

EXCLUSIF: Gérard Onesta, « la commission sur l’avenir de la télévision régionale peut faire pschitt »

Gérard Onesta. Vice président EELV du Conseil Régional et vice président de la commission régionale sur l'avenir de la télévision en région

Jour J. Première série d’auditions. Aujourd’hui, la commission sur l’avenir de la télévision régionale commence ses travaux. Quelques heures avant la levée de rideau, Gérard Onesta revient sur le scenario. Dans son bureau, au cinquième  étage du Conseil Régional, il rappelle l’ancienneté du premier acte. « La commission a un an ». Gérard Onesta « a lancé l’idée en janvier 2012 au moment des vœux à la presse ». Ce vœu –  à l’occasion des vœux – reposait sur un constat : « le PAF régional est malade. Le pouvoir politique doit s’en préoccuper ». Douze mois après, c’est  chose faite. Martin Malvy s’est laissé convaincre. Dix élus régionaux dont une présidente – Dominique Salamon – vont se réunir, toutes les semaines, pendant quatre mois. Gérard Onesta le reconnaît sans problème. « La commission n’a aucun pouvoir. Ou plutôt elle en a un seul : mettre des gens autour d’une table ». Lieu de rencontre et de débats, la commission doit cependant aller au-delà d’un simple forum. Elle doit aussi servir de « boite à outils ». « La première phase est la plus longue : des auditions à marche forcée. Avec un calendrier très serré : une fois par semaine ». Mais, après la salive, la commission doit faire couler de l’encre. Elle va prendre sa plume. « Après la phase des auditions, la phase la plus difficile et intense est celle des préconisations ». Gérard Onesta espère « arriver à une convergence vers trois ou quatre points ». Ce n’est pas gagner. « Cela peut faire pschitt. Le rapport final,  présenté normalement en plénière en juin, peut être de l’eau tiède et finir enterrer ». Gérard Onesta salue la mobilisation de Martin Malvy. Le président du Conseil Régional « a vraiment mis les moyens ». Néanmoins, en vieux routier des cénacles politiques, le vice-président Europe Ecologie connait le risque des mises dans le fossé. Gérard Onesta aborde le challenge « l’esprit ouvert, sans tabou ». Il a une seule obsession. Il aura « en permanence une calculatrice à la main ». Gérard Onesta chiffrera et évaluera le coût, pour le contribuable, de la moindre piste Il a vissé sur la tête « une casquette de gestionnaire des deniers publics ». En plus de cette rigueur budgétaire, Gérard Onesta entame le marathon avec « un produit dopant » : une concordance des temps. En octobre prochain, le Parlement va ouvrir le dossier de la réforme territoriale. Cet enchainement entre la remise du rapport et l’ouverture des travaux législatifs est, potentiellement, porteur. Gérard Onesta aimerait que ce troisième chapitre de la Décentralisation intègre un volet audiovisuel. Un volet influencé par les lignes écrites en bord de Garonne.

LD

21 Jan

La réforme de l’école, samedi 26 janvier à 11h30 dans la Voix est libre

Bibliothèque universitaire d'Angers

Deux jours après la présentation en conseil des ministres du projet de loi de refondation de l’école par Vincent Peillon et première loi de programmation du gouvernement actuel, la Voix est libre ouvre le débat en Midi-Pyrénées.

L’école a-t-elle besoin d’une énième réforme ? Y-a-t-il une école de droite et une école de gauche ?

Laurent Dubois, notre politologue et Laurent Mazurier lancent le débat et reviendront principalement sur la réforme de l’école primaire, la refonte de la carte scolaire, la question des rythmes scolaires et l’accueil des enfants de moins de 3 ans à l’école maternelle.

Pour en parler sur le plateau de la Voix est libre :

  • Alain Marc, ancien instituteur, député UMP de l’Aveyron et

Quelle école pour demain ? dans la Voix est libre, samedi 26 janvier à 11h30 dans la Voix est libre

17 Jan

Jean-Louis Idiart : « on déshabille le rural »

Jean-Louis Idiart, conseiller général de la Haute-Garonne. Photo : P.Pallas/La Voix du Midi

Pluie ou neige. Des Pyrénées dégagées ou une plaine embrumée. Régulièrement, sur Facebook, Jean-Louis Idiart livre la météo du Comminges. En ce début 2013, il quitte un peu le ciel et les nuages pour l’horizon politique. L’ancien député est « aux champs, dans une ville ouvrière ». Après avoir quitté son mandat législatif, Jean-Louis Idiart demeure à Mazères-sur-Salat. Il « regarde (l’année qui débute) avec plus de distance ». L’élu socialiste conserve un siège de conseiller général. Mais il « n’a pas le nez dans le pare-brise ». Il a  le temps d’éplucher, tous les jours, cinq à six journaux et de se plonger dans une biographie d’Aragon. Ce retrait actif lui donne du recul. Il relativise les épines des « alliés » du PS. Pour Jean-Louis Idiart, l’attitude de Jean-Luc Mélenchon est classique. « A partir du moment où le PC et le Front de Gauche ne sont pas entrés au gouvernement, les critiques étaient prévisibles. C’était valable aussi en 1936, lors du Front Populaire ». L’élu haut-garonnais explique les critiques de la gauche de la gauche. « Le PC doit sauver les meubles municipaux. Il fait bouillir la marmite ». Jean-Louis Idiart connait bien la cuisine locale. Maire de Mazères-sur-Salat pendant 23 ans, conseiller général depuis octobre 1988, une recette concoctée par le gouvernement Ayrault l’inquiète. Elle n’est pas à son gout. La carte électorale pour les prochaines cantonales va être retaillée. Le gouvernement utilise un ciseau à deux lames : un critère démographique et un principe de parité « homme-femme ». Jean-Louis Idiart conteste l’utilisation – trop brutale à ses yeux – du critère démographique. Il appelle de ses vœux « un correctif ». « Le nombre de cantons va être divisé par deux. Les parties urbaines vont être surreprésentées.». Jean-Louis Idiart prend l’exemple de son ancienne circonscription : la 8eme de Haute-Garonne. « Il ne va rester que 3 cantons. C’est trop peu et les cantons vont être énormes. Chaque canton va rassembler près d’une centaine de communes. Cela n’a aucun sens par rapport à la représentation du territoire ». Le conseiller général exprime une demande : la prise en compte de la spécificité haut-garonnaise. Le poids écrasant de l’agglomération toulousaine doit être mis dans la balance. «  A Toulouse, un canton plus ou moins grand, cinq rues de plus ou de moins, cela ne change rien ». En revanche, dans le sud du département, « on déshabille le rural ».

LD

16 Jan

Ces pilules qui passent mal par Patrick Noviello

France 3 Midi-Pyrénées

Intervention remarquée de Catherine Lemorton cette semaine sur les ondes d’Europe 1. La présidente de la commission des affaires sociales de l’assemblée nationale s’exprime sur la pilule troisième génération. Une de ses victimes présumée vient d’intervenir par téléphone en direct. Dans la foulée, la députée de Haute-Garonne appelle toutes les femmes qui utilisent cette méthode contraceptive à ne pas paniquer comme l’a fait avant elle Marisol Touraine la ministre de la Santé. « Le service médical est rendu par ce type de moyens contraceptifs » rappelle Catherine Lemorton.

La pharmacienne de profession rappelle toutefois que les effets indésirables de ce type de contraceptifs sont connus depuis longtemps. Concernant les pilules « troisième génération », Catherine Lemorton remet en cause l’évaluation qui en a été faite en 2009 alors que Roselyne Bachelot était ministre de la santé. « C’est la confiance des femmes dans la contraception qui est en jeu mais aussi une fois de plus, la confiance dans les médicaments mis sur le marché » affirme la députée toulousaine sur son site.
« Les notifications (d’effets indésirables graves) sont très insuffisantes » a indiqué pour sa part à l’AFP Gérard Bapt, député PS de Haute-Garonne et membre du conseil d’administration de l’ANSM qui se base sur une étude en cours dans un Centre hospitalier universitaire.

Selon les premiers résultats de cette étude, sur 47 cas de femmes de moins de 25 ans hospitalisées pour une pathologie thromboembolique (phlébite, embolie pulmonaire) et qui prenaient la pilule, seulement 3 cas auraient été « notifiés » à l’agence du médicament ANSM, soit un peu plus de 5%, précise M. Bapt.
Depuis mercredi matin, une ligne d’appel est ouverte pour le grand public qui se pose des questions sur ce médicament (0810 57 54 00).

Les collectivités locales face à la crise, samedi 19 janvier à 11h30

Archives MaxPPP

Mairies, intercommunalités, départements, région…
Aucune collectivité territoriale n’est épargnée par la crise.
Selon une étude, une institution locale sur quatre a dû reporter ses investissements en raison de difficultés de financement.

L’accès au crédit bancaire est devenu difficile également pour ces administrations qui ont désormais recours à de nouvelles sources de financement comme le marché obligataires.

La plupart des collectivités demandent également à l’Etat des moyens supplémentaires.
Alors comment les villes et les communautés de communes font face à ces temps de crise ?

Avec nous pour en débattre notamment Joël Carreiras, élu socialiste, en charge des finances à la mairie de Toulouse et à la communauté urbaine, ainsi que le maire communiste de Saint-Orens Christian Sempé.