27 Août

ReVue d’actu de 11h11 – samedi 27 août 2016

#Transhumanisme

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DuoSkin, un pas vers le transhumanisme pour tous ?  Les chercheurs du MIT et de Microsoft Research l’ont baptisé DuoSkin. Découpé dans une feuille d’or, il ne s’agit pas d’un bijou mais bien d’une interface homme/machine d’un nouveau type. Il suffit de coller ce tatouage éphémère sur l’avant bras pour transformer celui-ci en surface tactile. Dès lors, il devient possible de contrôler depuis ce tatouage une application sur smartphone ou tout autre device connecté. Pour Marc Roux, président de l’Association Française Transhumaniste : « Le principe du tatouage électronique n’est pas totalement nouveau, il existe dans les laboratoires depuis quelques années. Par contre, il semble qu’il y ait ici une volonté de rendre ces tatouages commercialisables. Ils ont non seulement amélioré les capacités d’interface, mais ils ont travaillé sur l’esthétique et le côté marketing. Il y a bien évidement un petit côté gadget car toutes les fonctions présentées existent déjà via d’autres outils mais ce qui distingue le Duoskin du simple gadget, c’est qu’on peut imaginer une suite à cela. Ils vont travailler sur la finesse, la résolution et sans doute d’autres fonctions à l’avenir. »  (@latelier).

#Uberisation

Les applis veulent imposer « l’état de fait comme état de droit »L’Assemblée nationale a adopté fin juillet, en première lecture, une proposition de loi socialiste qui vise à « pacifier » la situation conflictuelle dans le transport public de personnes. Notamment entre les taxis et les VTC. Porté par le député Laurent Grandguillaume, le texte entend lutter contre l’emprise des plateformes comme Uber sur les chauffeurs VTC. Que va vraiment changer sa loi? Quels problèmes restent en suspens? Que pense le député du sort des victimes de l’uberisation? (@Lexpansion).

#Transport

Uber a perdu plus d’un milliard de dollars en six mois. Uber poursuit son développement à grande vitesse sans se soucier de sa rentabilité. Conséquence: ses pertes continuent de se creuser. Sur les six premiers mois de l’année,  la société américaine de voitures avec chauffeur (VTC) a perdu au moins 1,27 milliard de dollars (1,12 milliard d’euros), d’après l’agence Bloomberg et le New York Times. C’est davantage que le déficit de 987 millions enregistré au premier semestre 2015. Depuis son lancement en 2011, Uber a déjà perdu plus de 4 milliards de dollars. (@JeromeMarinSF).

#Messagerie

WhatsApp veut partager votre numéro avec Facebook et des entreprises. L’application chiffrée WhatsApp, utilisée par plus d’un milliard de personnes à travers le monde, a mis à jour ses conditions d’utilisation. Sur son blog (en anglais), la messagerie instantanée indique qu’elle va effectuer deux changements majeurs, rapporte Le Monde. D’abord, les utilisateurs vont désormais recevoir des messages envoyés directement par des entreprises. Ensuite, l’application partagera -sauf si les utilisateurs s’y opposent- les numéros de téléphone à Facebook, qui a racheté WhatsApp en 2014 pour 19 milliards de dollars. (@Lexpansion).

#MediaSocial

Le Parlement britannique accuse les réseaux sociaux d’être la « sève de Daech ». Google, Facebook et Twitter ferment-ils volontairement les yeux sur les réseaux jihadistes qui prolifèrent sur la toile ? Dans un rapport de la commission des Affaires intérieures du Parlement britannique, le député Keith Vaz estime que les géants du web n’ont pas déployé suffisamment de ressources pour lutter contre le cyber-jihadisme. « Ses forums de discussion et réseaux sociaux sont la sève de Daech et des autres groupes terroristes en matière de recrutement, de financement et de diffusion de leur idéologie », poursuit le président de cette commission. (@LaTribune).

Lifestage, la réponse anti-Snapchat de Facebook. Prêt à tout pour séduire des Millennials qui lui préfèrent Snapchat, Facebook a décidé de leur consacrer une nouvelle application. Disponible pour l’heure uniquement sur iOS, Lifestage, de son nom, accorde une place de premier choix au partage de vidéos et se destine principalement aux collégiens et aux lycéens. Téléchargeable par tous, l’application n’est utilisable que par des personnes âgées de 21 ans ou moins. Passé cet âge, il n’est possible que de visionner son propre profil, explique le site spécialisé TechCrunch. Cette mesure hautement restrictive sur l’âge s’explique notamment par l’absence totale de limitations dans le partage des vidéos : ici, tout est public et peut ainsi être visionné par n’importe qui, rappelle la présentation de l’application sur iTunes. Une fois connecté, la nouvelle application de Facebook demande d’enregistrer une série de courtes vidéos en montrant différentes expressions, voire même de danser, afin de les compiler dans une forme plus longue et d’en faire une vidéo de profil. (@LaTribune).

#Drone

Domino’s Pizza lance un service de livraison par drone. Bientôt vous pourrez recevoir votre pizza quatre fromages, votre Pepperoni ou votre Napolitaine chez vous, non plus par le biais d’un livreur en mobylette, mais par le biais d’un drone ! (@pressecitron).

#Media

La Russie derrière le piratage de médias américains ? La police fédérale (FBI) et d’autres agences américaines enquêtent sur ces intrusions, ont indiqué des responsables américains non identifiés à la chaîne d’informations en continu, précisant que les services de renseignements russes sont très probablement derrière ces cyber-attaques. D’après CNN, les enquêteurs pensent que ces récentes attaques s’inscrivent dans une campagne plus large qui a également visé des instances du parti démocrate. (@LaTribune).

#Algorithmes

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Chatbots : 6 défis pour une véritable democratization. Compréhension du langage courant, machine learning, intelligence humaine : comment améliorer les chatbots ? Les chatbots, malgré leur présence de plus en plus marquée, ne sont pas toujours suffisamment développés pour être ni réellement efficaces, ni très convaincants. Venture Beat propose six défis pour les futurs chatbots. (@RSLNmag). Légende image:  Pixabay CC0 Public Domain.

Les mérites de « l’anarchie » contre ceux des algorithmes. Dans la théorie des jeux, on nomme « prix de l’anarchie » la perte d’efficacité que représentent les actions d’individus mus par leur propre intérêt pour le système plus vaste au sein duquel elles s’inscrivent. C’est un phénomène récurrent, auquel nous sommes presque tous régulièrement confrontés. Imaginons que vous ayez en charge la gestion du trafic urbain. Vous avez deux façons de maîtriser le problème de la circulation en ville. En règle générale, c’est l’approche centralisée et hiérarchisée qui est privilégiée – une conception globale du système, identifiant les points de friction ou de congestion, au nom de laquelle sont apportées les modifications nécessaires. On considère qu’il est plus efficace d’agir ainsi que de laisser chaque conducteur faire ses propres choix en espérant que de l’ensemble de ces choix individuels naîtra un arrangement acceptable. On admet que la première solution réduit le coût de l’anarchie et permet une meilleure allocation de l’information disponible. (@latribune).

#LesChampionsDeDemain (5/5)

Garena : la pépite sud-asiatique du jeu vidéo. L’entreprise fondée à Singapour doit son succès à un réseau social pour «gamers», mais cherche désormais à s’imposer dans l’e-commerce et la fintech.  (@FigaroTech).

26 Août

ReVue d’actu de 11h11 – vendredi 26 août 2016

#Legislation

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La technologie, meilleure alliée de la modernisation du permis de conduire ? Depuis le 2 mai dernier, l’épreuve théorique du permis s’est modernisée. Progressivement, l’épreuve collective que l’on connait aujourd’hui va être remplacée par un format individuel, pour lequel le candidat se retrouvera face à un ordinateur. Ce tournant technologique est-il de bonne augure pour les startups du secteur comme auto-école.net ou The Good Drive ? (@bymaddyness). Crédit : iStock/Getty Image.

#Media

Le patron de Vice aux vieux médias : donnez vite les clés aux jeunes ! Shane Smith ne donne jamais de conférences. Le patron de Vice déteste ça. Au pire, il dit préparer parfois “cinq bullet points, toujours arrosés de whiskey”. Alors quand il cache jeudi soir ses tatouages sous un costume pour parler au gratin de la télé britannique, réuni comme chaque fin d’été à Edimbourg, il parle cru, même avec télé-prompteurs. Car l’enjeu est crucial selon ce pionnier numérique qui prédit pour les prochains mois « un bain de sang » dans les médias et une vive consolidation des géants américains, voire « l’extinction » de certains d’entre eux. (@metamedia).

#Energie

La France, en adaptant sa réglementation, prend la tête du peloton mondial pour les usages énergétiques des Blockchains. Aujourd’hui, les réseaux d’électricité ont pour objet de produire des quantités importantes d’énergie qui sera acheminée à un très grand nombre de consommateurs répartis sur un territoire relativement vaste (région, pays, continent). Ils reposent de ce fait sur des infrastructures massives. Tant pour la production que pour la distribution. Ainsi, en France, la longueur cumulée des réseaux dits « de grand transport et d’interconnexion » et « de répartition » représente environ 100.000 kilomètres. Quant aux « réseaux publics de distribution de l’électricité », qui acheminent l’énergie électrique jusque chez le consommateur final (particuliers, artisans, PME,  petites industries) et collectent, également, l’énergie produite par la plupart des fermes éoliennes, les installations de production photovoltaïque et la majorité des installations de cogénération, leur longueur cumulée représente plus de 1,3 millions de kilomètres. L’interface entre le réseau public de transport et les réseaux publics de distribution est constituée par environ 2.200 postes de transformation HTB/HTA dits « postes sources ». L’interface entre les réseaux HTA et les réseaux BT est constituée par plus de 700 000 postes de transformation dits « postes de distribution ». (@LinkedIn).

#TransformationNumerique

Entreprise : « La main change l’outil et l’outil change l’humain »Expert de la transformation digitale auprès de dirigeants de PME, d’ETI et d’entrepreneurs, Serge Soudoplatoff prône l’avènement d’une entreprise libérée du carcan hiérarchique, où la connaissance et l’information circuleraient librement grâce aux nouvelles technologies. Plus qu’une révolution numérique, une révolution culturelle ! Serge Soudoplatoff explique : « Nous vivons aujourd’hui une « Renaissance numérique ». Un nouveau monde est en train de se construire grâce à des technologies qui répondent à des besoins et des désirs de travailler différemment. L’une des grandes bases de cette nouvelle société, c’est la libre circulation de l’information et de la connaissance. Nous sommes en train de créer la « noosphère » de Pierre Teilhard de Chardin, c’est-à-dire la sphère des idées interconnectées ». (@lLesClesDeDemain).

#Drone

Sur le marché des drones civils, le Français Redbird a trouvé sa niche. Le marché des drones civiles à usages commerciaux entre dans une nouvelle phase. Inspiré du modèle militaire, le drone civil, dont le marché est estimé à 127 milliards de dollars d’ici 2020 d’après PwC, trouve aujourd’hui de nouveaux débouchés commerciaux pour les professionnels. Agriculture, surveillance, santé, et même transport, le marché s’organise en niches sur lequel les nouveaux acteurs cherchent à devenir leader. Redbird, start-up qui recueille les données des drones pour les analyser, a ainsi dû faire un choix pour assurer sa croissance. (@frenchweb).

#InsurTech

L’assurance va-t-elle devenir un service à la demande comme les autres ? Les acteurs historiques de l’assurance, y compris en France, s’adaptent aux nouveaux usages. BlaBlaCar, Drivy ou Deways ont tous pu créer des partenariats avec des assureurs pour offrir une assurance spécifiques au covoiturage ou à la location de voitures à des particuliers. Les assureurs savent donc s’adapter, et cela ne devrait pas s’arrêter puisque les innovations des startups de l’InsurTech sont là pour les pousser à aller encore plus loin, encore plus vite. Et pour aller dans ce sens, personnalisation, instantanéité et simplicité sont les maîtres-mots de la transformation. (@latelier).

#FinTech

L’avenir des fintech en quatre questions (2/4) : quelle réglementation pour ces startups ? Aussi jeune soit-il, le phénomène des fintech a pris suffisamment d’ampleur pour que les régulateurs commencent à se pencher sur le cas de ces startups spécialisées dans les technologies financières. En effet, les investissements dans ces jeunes pousses, qui ambitionnent de révolutionner l’industrie financière avec des offres plus simples, plus transparentes et meilleur marché, ont été multipliés par plus de 10 en l’espace de cinq ans, dans le monde, selon Citigroup. Un carburant qui pourrait permettre aux fintech de ravir près du quart (23%, exactement) de leur activité aux acteurs traditionnels de la finance, d’ici à 2020, d’après un sondage réalisé auprès de ces derniers par le cabinet d’audit PwC, et publié au mois de mars. Cette proportion s’élève même à 28% dans le seul secteur des moyens de paiement et des transferts d’argent. (@LaTribune).

#FrenchTech

Comment la French Tech s’exporte (2/3) : l’Etat à la manœuvre.  Programmes de financement, accompagnement sur de nouveaux marchés, construction de réseaux internationaux d’entrepreneurs, l’écosystème entrepreneurial des startups françaises s’étend peu à peu au monde entier. Deuxième épisode: l’internationalisation des startups françaises passe aussi maintenant par les services publics. Depuis quelques années, les initiatives gouvernementales visant à ouvrir les marchés internationaux aux pépites françaises se sont démultipliées.(@LaTribune).

#LesChampionsDeDemain (4/5)

Sifca : l’ex-roi du cacao fait la révolution dans l’huile de palme Ce groupe ivoirien devenu leader du continent africain a su opérer une mutation. Il adapte production et marketing à l’essor des classes moyennes. (@FigaroTech).

#Environnement

San Francisco transforme tous ses déchets en montagne d’argent et d’emploi. On l’imite quand ?  Pour être si performante, San Francisco a mis au point le Pier 86 : un gigantesque hangar de 20 000 m2 entièrement consacré au recyclage. Grâce à une mécanisation optimale et à une organisation bien rodée, ce mastodonte parvient  à trier les 1 000 tonnes de déchets qui lui sont apportés quotidiennement. (@ThePositivr).

#Robots

L’avenir passe par les bots ! Par Thomas Sabatier, CEO de The Chatbot Factory. Alors que l’utilisation des applications de messagerie a largement dépassé celle des réseaux sociaux, la course vers les chatbots (ou bot de messageries instantanées) a déjà démarré.  Préparez-vous, cela va changer radicalement la façon dont vous utilisez Internet et votre smartphone. (@frenchweb).

#FabLab

Un Fablab met en valeur le potentiel des réfugiés. La start-up Habibi.works développe un Fablab en Grèce pour permettre aux réfugiés de mettre en oeuvre leurs idées et partager leurs compétences. (@LAtelier).

25 Août

ReVue d’actu de 11h11 – jeudi 25 août 2016

#Chiffrement

Encadrer le chiffrement : « C’est comme vouloir vider l’océan avec une cuillère ». Alors que l’Europe et plus particulièrement la France sont victimes d’une vague d’attentats, enquêteurs et journalistes ont récemment révélés l’utilisation croissante d’outils de communications chiffrées par les cyberdjihadistes, comme Telegram ou Whats App. Le but: protéger et masquer leurs échanges. Certains politiques ont donc décidé de s’en prendre au chiffrement et à ses outils. C’est le cas de Bernard Cazeneuve, qui rencontrait ce mardi son homologue allemand Thomas de Maizière. Ensemble, ils ont soutenu la mise en place d’un acte législatif européen permettant de pouvoir « écouter » les messageries chiffrées, comme il est déjà possible de le faire avec les services téléphoniques. Interrogé par L’Express, Tristan Nitot, fondateur et ex-président de Mozilla Europe, ancien membre du Conseil National du Numérique, estime que « mettre un couteau sous la gorge de certains grands opérateurs » ne réglera pas le problème et « n’empêchera pas les personnes déterminées d’utiliser le chiffrement ». (@LExpansion). A lire aussi : Les autorités peuvent-elles faire sauter le verrou du chiffrement ? (@LesEchos).

#TransformationNumerique

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Les entreprises françaises dans le piège du solutionnisme digital. Par Bertrand Duperrin, expert FrenchWeb. Pour ceux qui en doutaient encore, ce n’est pas parce qu’on fait «du digital» qu’on en retire un bénéfice économique pour autant. En matière de transformation, il y a le trompe-l’œil et le travail en profondeur, et c’est visiblement la première solution qu’ont choisi les entreprises françaises qui se complaisent dans le solutionnisme digital sans comprendre qu’il n’amènera pas grand chose. (@frenchweb). Crédit photo: Fotolia, banque d’images, vecteurs et videos libres de droits.

#FrenchTech

Comment la French Tech s’exporte (1/3) : la stratégie des accélérateurs. Programmes de financement, accompagnement sur de nouveaux marchés, construction de réseaux internationaux d’entrepreneurs, l’écosystème entrepreneurial des startups françaises s’étend peu à peu au monde entier. Pour ce premier épisode : comment les accélérateurs français s’attaquent aux marchés mondiaux. (@latribune).

#Fintech

L’avenir des fintech (1/4) : jusqu’à quel point menacent-elles les banques ? Les investissements dans les fintech ont été multipliés par 10 en cinq ans, à 19 milliards de dollars l’an dernier, à l’échelle mondiale, selon Citigroup. Une somme en réalité à peine supérieure au bénéfice net dégagé en 2015 par la seule Bank of America. Les banques ont investi 5 milliards de dollars dans des fintech en 2015, selon Accenture. Un montant encore faible, comparé aux 50 milliards à 70 milliards de dollars qu’elles dépensent en moyenne chaque année dans leurs infrastructures technologiques. (@LaTribune).

Les Fintech, laboratoires externalisés des banques ? La rencontre entre Fintech et banques se joue avant tout sur le terrain de l’innovation. En pleine transformation digitale mais pénalisées par le poids et la rigidité de leur structure, les banques peinent à se renouveler en interne. Les rapprochements avec les startups Fintech changent la donne.Par Cédric Teissier et Arthur de Catheu, dirigeants fondateurs de Finexkap. « La créativité humaine et l’innovation représentent désormais la véritable richesse des nations », affirmait déjà l’Unesco en 2013 dans son rapport sur l’économie créative. Et les banques l’ont désormais bien compris, faisant de la R&D et de l’innovation leurs maîtres-mots en matière de communication. La réalité se révèle pourtant parfois différente des discours avant-gardistes. Certes, certains acteurs historiques ont su développer avec le temps une vraie capacité de veille concurrentielle voire d’incubation. Mais la majorité des groupes bancaires ne peuvent se défaire de leurs handicaps tant réglementaires que structurels et culturels. Saisir l’opportunité de la déferlante Fintech, avec son lot de startups innovantes et agiles, est devenu un des enjeux majeurs du secteur bancaire. (@LaTribune).

#PokemonGo

Quand la Première ministre norvégienne chasse le Pokémon à Bratislava. Toutes les occasions sont bonnes. La Première ministre norvégienne, Erna Solberg, a d’ailleurs profité d’une visite officielle à Bratislava pour aller traquer les Pokémon. Une activité qui s’est glissée entre deux réunions de travail et pour laquelle elle a été accompagnée par ses gardes du corps et des hauts fonctionnaires. A 55 ans, celle qui est déjà connue pour sa passion pour Candy Crush s’est convertie la semaine dernière à Pokémon Go. « J’ai été mise au défi par ma sœur cadette qui a trouvé un Pokémon sur ma véranda », avait-elle confié au journal Aftenposten. (@Challenges).

Pokémon Go aurait déjà perdu 15 millions d’utilisateurs actifs. Le soufflé Pokémon Go est-il déjà en train de retomber ? Selon des données compilées par Axio Capital Management pour Bloomberg, l’application a atteint un pic de 45 millions d’utilisateurs actifs dans le monde mi-juillet, mais depuis l’engagement des joueurs diminue. Il aurait perdu 15 millions d’utilisateurs actifs en un mois, un recul spectaculaire après le fort effet de curiosité généré par le jeu en réalité augmentée. (@LUsineDigitale).

#Transport

John Zimmer dément vouloir céder Lyft. « Lyft ne cherche pas un acheteur », la phrase est signée John Zimmer, président de la plateforme de VTC. Irrité par les spéculations selon lesquelles la start-up tenterait de s’adosser à un groupe industriel américain, le co-fondateur de Lyft a tenu à démentir catégoriquement les rumeurs de rachat de l’entreprise dans les colonnes de Business Insider. Cependant, John Zimmer n’a pas exclu l’existence de discussions avec d’autres entreprises en vue d’une acquisition. «Si la société est approchée, cela ne signifie pas que la société est en recherche», a-t-il précisé au site américain. (@Frenchweb).

#Piratage

Enquête française sur une fuite massive de données de la DCNS sur le sous-marin Scorpène. Le constructeur naval français, DCNS, a été victime d’une fuite massive d’informations techniques confidentielles concernant les sous-marins Scorpène, des bâtiments destinés à l’Inde, à la Malaisie, au Brésil et au Chili. L’affaire a été révélée mercredi 24 août par The Australian, qui a publié sur son site Internet des extraits des 22 400 pages des différents documents collectés. Les trois documents en ligne seraient sensibles mais non classifiés et porteraient sur la période 2010-2011. Les textes comportent des informations stratégiques comme les manuels techniques ou les modèles des antennes du sous-marin. Ils décrivent les sondes des vaisseaux, leurs systèmes de communication, de navigation. De plus, 500 pages sont consacrées exclusivement au système de lance-torpilles, a précisé le journal. (@LeMondefr).

#LesChampionsDeDemain (3/5)

Micromax : le smartphone à la portée des masses indiennes. Parmi les champions des pays émergents, le fabricant indien de téléphone s’est imposé face à Samsung ou Apple en s’adaptant aux besoins du marché national, le plus dynamique du monde. (@FigaroTech).

#Media

Brice Couturier : le Parti des médias et l’intelligentsia méprisent la réalité. Dans un entretien fleuve, Brice Couturier, qui a été le chroniqueur matinal de France Culture pendant cinq ans, décrypte les contours d’une vie médiatico-intellectuelle où le pluralisme et le vrai débat sont en voie de disparition. Aujourd’hui, l’histoire est à nouveau en phase d’accélération brutale et le défi qui nous est lancé par l’islamisme politique, entré en phase de conquête du monde, est redoutable. Mais le Parti des médias, aveuglé par ses bons sentiments, préfère nous abreuver de petites nouvelles insignifiantes, d’une part, de ses grandes indignations, de l’autre. (@FigaroVox).

Les réseaux sociaux vampirisent la presse britannique. A report by strategy consultants OC&C predicts that news producers, especially newspapers, are still to feel the full impact of the shift by younger generations to using social media to find their news. OC&C says that, based on the impact of platforms on other mature media markets such as music, about 30% of annual digital revenue could go to platforms. That would mean the likes of Facebook and Apple taking between £200m and £250m a year this year, rising to between £400m and £450m from 2026. (@Guardian).

#Cosmos

Quatre questions autour de la découverte de Proxima b, l’exoplanète la plus proche de la Terre jamais découverteUn rêve accessible. Des scientifiques ont publié, mercredi 24 août dans la revue scientifique Nature, leurs travaux sur la découverte de Proxima b. Cette exoplanète, qui tourne en orbite autour de l’étoile la plus proche du système solaire, Proxima du Centaure, serait potentiellement habitable et ne se trouve qu’à 4,2 années-lumière de la Terre. De quoi en faire une « voisine » à l’échelle de l’espace. Franceinfo fait le tour de cette découverte en quatre questions. (@FrancetvInfo). A lire aussi : Découverte de la plus grande exoplanète en dehors du système solaire et potentiellement habitable.

24 Août

ReVue d’actu de 11h11 – mercredi 24 août 2016

#Technologie

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Le « cycle du hype » ou la vie cahotique des innovations. De la création d’une technologie à son adoption par le grand public, chaque innovation de rupture passe par une série d’étapes que l’institut Gartner appelle le « cycle du hype » ou courbe d’adoption. Où en sont aujourd’hui les technologies les plus prometteuses comme la réalité virtuelle et augmentée, l’impression 3D, l’informatique quantique, les robots intelligents, la blockchain ou encore les véhicules autonomes ? (@LaTribune). Légende image. De la découverte enthousiaste d’une nouvelle technologie à son adoption par le grand public, chaque innovation passe par une série d’étapes appelées « le cycle du hype ». (Crédits : © Benoit Tessier / Reuters).

#PressOnLine

La Presse Libre mutualise les abonnements en ligne. Ce mardi23 aout, les internautes auront une nouvelle solution pour s’abonner facilement à la presse en ligne. La plateforme La Presse Libre, fondée par les sites NextInpact et Arrêt sur Images, permet de souscrire à plusieurs sites indépendants et de gérer ses abonnements au même endroit. Des réductions s’appliquent sur le tarif final au-delà de deux abonnements. De quoi les inciter à souscrire à de nouveaux médias et, pour ceux-ci, de bénéficier d’une plus grande visibilité. «Des lecteurs nous disent vouloir soutenir la presse Web de qualité. Mais ils ne peuvent financièrement pas multiplier les abonnements à 5 ou 10 euros par mois», explique David Legrand, directeur de la rédaction de NextInpact. Les éditeurs membres de La Presse Libre peuvent appliquer la réduction qu’ils souhaitent. Cette dernière sera en moyenne de 20 % pour trois abonnements. Le couplage NextInpact, Arrêt sur Images et Hors-Série revient à 8 euros par mois au lieu de 11 euros, soit une économie de 36 euros par an. (@Figaro_Economie).

Aux États-Unis, valse des patrons dans les médias en ligne. 2016 marque un tournant dans l’histoire des médias en ligne américains. Après parfois plus d’une décennie aux manettes de leurs sites, les fondateurs de plusieurs grands pure players font  leurs valises. Ces départs peuvent avoir été anticipés ou se produire dans la douleur. Certains partent avec un joli pactole, quand d’autres y perdent beaucoup. Tous annoncent pour ces sites « historiques », souvent en attente d’un nouveau patron, l’entrée dans une période d’incertitude. (@Figaro_Economie).

#InternautDay

Internet a envie de fêter Internet. Le 23 août 1991, les utilisateurs ont pu commencer à se connecter sur la première page web, mise en ligne par Tim Berners-Lee, qui a développé le World Wide Web à la fin des années 80. C’est un hashtag dans le top 10 des « Tendances » le mardi 23 août. #InternautDay, comme « le jour de l’internaute ». Il s’agit de célébrer l’anniversaire de l’arrivée du grand public sur le web, un 23 août 1991. Ce qui fait donc 25 ans. Tim Berners-Lee, inventeur de l’Internet. C’est en 1991 que Tim Berners-Lee, qui a développé l’idée dès 1989, a mis en ligne le premier site web après avoir entre autres développé les protocoles HTTP et FTP, et le langage HTML. La première page Internet, postée sur un newsgroup le 6 août, était d’ailleurs une explication du projet de world wide web de Berners Lee, les 3 « W » que tout le monde connaît. Elle était hébergée sur l’ordinateur NeXT du chercheur, et il y invitait ses collaborateurs du laboratoire du CERN, en Suisse. (@Lexpansion).

#LesChampionsDeDemain (2/5)

Globant : les mousquetaires argentins à l’assaut du monde. Ces quatre copains ont rebondi sur la crise argentine de 2001 pour fonder un géant latino de l’informatique qui a gardé l’esprit start-up et compte Google parmi ses clients. (@FigaroTech).

#Image

Confusion autour de la photo d’Omran. une semaine après la publication de la photo d’Omran, l’émotion cède sa place à la guerre de l’information et sème la confusion. cette image illustre une fois de plus la propension des médias à la simplification, constate le journal italien AVVENIRE. En faisant délibérément passer certains évènements au premier plan, les médias s’autorisent ainsi à transformer, dit-il, de larges pans de l’opinion publique en véhicules d’une vérité unique. (@franceculture).

#CivicTech

Stig, l’appli qui veut faire la loi. Avec Stig, le rapport de force est inversé : les citoyens proposent les idées, soumettent des amendements, votent en faveur ou contre les propositions. Chaque idée obtient une sorte de note, le Stigscore, qui prend en compte le nombre de votes et d’amendements. Ainsi les propositions à succès remontent dans le classement. Sur l’application participative, les idées peuvent aussi être triées selon les catégories : agriculture, culture, emploi, justice… etc. Deux échelles sont aussi prévues : une nationale et une locale. Stig se revendique du mouvement des «civic-techs», ces technologies adaptées à la citoyenneté. L’application tire son nom du mot «stigmergie» qui signifie pour les start-uppers «trouver une forme d’intelligence collective où les projets sont conduits par les idées plutôt que par les personnes». Mais il ne faut pas oublier qu’à l’origine du projet, il y a deux start-uppers, et pas une ONG. Pour que la petite entreprise ne connaisse pas la crise, il lui faut un modèle économique. A priori, l’application ne tombe pas dans les travers de Change.org, une «plateforme mondiale pour le changement» financée grâce à la vente des données de ses signataires. Stig assure que les données personnelles de ses utilisateurs ne sont pas exploitées à des fins commerciales, mais proposera bientôt des comptes premium aux élus à moins de cent euros par mois. (@Libe).

#Piratage

Etats-Unis : des médias piratés par des hackers potentiellement liés à la RussieDes pirates informatiques ont mené une série d’attaques contre des médias américains, dont le célèbre quotidien New York Times, a rapporté la chaîne CNN (en anglais), mardi 23 août. Selon une source au sein de la police fédérale, citée par la télévision, les services de renseignements russes sont très probablement derrière ces cyber-attaques. D’après CNN, les enquêteurs pensent que ces récentes attaques s’inscrivent dans une campagne plus large qui a également visé des instances du parti démocrate. L’équipe de campagne de la candidate démocrate à la Maison Blanche, Hillary Clinton, a accusé Moscou d’avoir piraté les messageries du comité démocrate national (DNC). (@FrancetvInfo).

#PokemonGo

En Suisse, des jeunes lancent Pokédéchets Go proposant à tout le monde de partir à la chasse aux ordures plutôt que de jouer à Pokémon Go. Un groupe de jeunes Suisses a eu la brillante idée de détourner le concept du jeu Pokémon Go pour nettoyer les villes et la nature des ordures qui traînent. Voici Pokédéchets Go ! La semaine dernière, on vous parlait de ce maire picard qui a adopté le principe du retour à l’envoyeur pour nettoyer sa ville des ordures qui traînent. Décidément, la chasse aux ordures semble revenir à la mode, à l’heure où beaucoup de jeunes se sont lancés à la recherche de Pokémons ! (@Demotivateur).

#VOSD

Netflix ferme son bureau en France. Installé depuis deux ans en France, le géant de la vidéo à la demande (VOD) va transférer son siège au Pays-Bas, un pays à la fiscalité avantageuse. L’entité hexagonale de Netflix a payé 600 000 euros d’impôts en France. Un petit tour et puis s’en va. Deux ans après son ouverture, Netflix va fermer son bureau en France, situé rue de l’Université, dans le VIIe arrondissement de Paris. La décision a été prise cet été, confirme le groupe à L’Express. L’ancienne ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, avait pourtant insisté pour que la société américaine s’installe dans l’Hexagone, y paie ses impôts et participe au financement de la création culturelle lors de son arrivée, à la fin de 2014. En 2016, peu après le lancement de la série politique produite par Netflix avec Gérard Depardieu, Marseille, les choses ont changé. Cette décision devrait fortement irriter l’actuelle ministre de la Culture, Audrey Azoulay. Car le spécialiste de la vidéo à la demande par abonnement (SVOD) va transférer son siège chez Netflix International aux Pays-Bas, une contrée à la fiscalité plus douce. La plupart des salariés français travaillent déjà à Amsterdam, l’une des sept filiales de l’entreprise – avec Paris – dont le service de diffusion de séries télévisées et de films est accessible dans plus de 190 pays. (@Lexpansion).

#VoyageDansLesInternets [Emissions de @franceculture]

– 60/70’s : l’écho psychédélique du bout des tuyaux. Dans quel contexte est né ce fameux Internet ? Quelles mélodies ont bercé son enfance ? Il y avait bien un fond de clairons militaires mais ce sont surtout les envolées psychédéliques de la contre-culture américaine qui ont accompagné l’émergence de ce réseau dès le milieu des années 60.

– 70/80’s : cowboys nomades, astragale et feux de camps électriques. Dès son origine, Internet est un réseau décentralisé. Certains l’expliqueront par une volonté militaire stratégique. La réalité est plus complexe. Celles et ceux qui ont façonné Internet, et notamment les machines permettant de s’y connecter, sont avant tout des « hackers », au sens premier du terme.

– Les années 1990 : Un Web et des bulles. À l’aube des années 1990, Internet s’apprête à conquérir le monde. Une application développée en Suisse fera la différence : le « WorldWideWeb ». Car le web n’est pas Internet. Le premier ne fait qu’utiliser les tuyaux et protocoles du second pour faire circuler tout ce que l’on veut bien y mettre.

– Les années 2000 : sous les pop-up, l’indépendance. Nous sommes à la fin des années 90. Alors que la peur du grand bug de l’an 2000 monte dans les esprits, la bulle des .com n’en fini plus de gonfler. Le web, né au début des années 90, se transforme en une immense place de marché.

– Un Internet à la dérive. Des internets en résistance. Il y a eu les rêves cybernétiques d’un monde informationnel, les bricolages dans les garages et les détournements d’étudiants, le grand marché libéré et les bulles éclatées, les paroles libres et l’indépendance d’un web revendiquée, et nous voici rendus à la fin des années 2000.

#Youtubeurs (2/2)

« Partenariats » ou pratiques commerciales trompeuses ? Avec la croissance des partenariats noués entre youtubeurs et annonceurs, la répression des fraudes (DGCCRF) se retrouve confrontée à une problématique : certaines de ces pratiques sont-elles de la publicité déguisée ? L’histoire avait à l’époque affolé la Toile et les réseaux sociaux. En mai 2015, Enjoyphoenix, « youtubeuse beauté », aujourd’hui plus de 2 millions d’abonnés au compteur, dénonçait dans une vidéo les pratiques de certaines de ses concurrents telles que la dissimulation de partenariats contre de grosses sommes d’argent.  « Je veux vous mettre en garde […] Certaines ne font que des partenariats cachés. C’est n’importe quoi. C’est dingue que certaines filles se font de l’argent sur le dos des abonnés ». Quelques mois plus tôt, dans une vidéo postée sur sa chaîne gaming, le youtubeur Cyprien avait rendu « un hommage pas vraiment déguisé », comme le note L’Expansion, à la Playstation Plus, une console de jeu vidéo fabriquée par Sony. « Aucune mention, pourtant, d’un quelconque partenariat avec le fabricant », ajoute le magazine. Depuis, la vidéo n’est plus répertoriée, bien que Cyprien ait spécifié dans la barre d’informations « avec la participation de Playstation ». (@LaTribune).

23 Août

ReVue d’actu de 11h11 – mardi 23 août 2016

#Appli

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Un algorithme détecte les dépressifs à partir de leurs photos InstagramLa dépression, ça se voit aussi dans vos photos. Un algorithme mis au point par deux chercheurs américains début août est capable d’analyser un flux d’images publiées sur un réseau social, en l’occurrence Instagram, et de diagnostiquer une dépression à 70% de fiabilité avant sa survenue. Un taux supérieur à celui des médecins généralistes, selon leur étude. Andrew Reece de l’université d’Harvard et Chris Danforth de celle de Vermont ont étudié 166 cas. Tous sont travailleurs du service Mechanical Turk d’Amazon, une plateforme de partage des tâches rémunérées, et tous possèdent un compte Instagram pour diffuser leurs photos personnelles. L’algorithme des chercheurs a ainsi analysé 43 960 images, antérieures à toute dépression. (@LExpress). Photo Mario Anzuoni / Reuters. Légende image : Près d’une personne sur cinq « a souffert ou souffrira d’une dépression au cours de sa vie », estime l’Inserm. Photo Mario Anzuoni /Reuters.

#LesChampionsDeDemain (1/5)

DJI : l’empereur chinois du drone vole en tête. Le champion de Shenzhen n’a pas fondé son essor sur la copie de technologies mais est un exemple rare d’entreprise innovante en Chine. (@FigaroTech).

#EconomieDuPartageEnChine (4/4)

Taxi-VTC : Didi évince Uber et accélère l’ubérisation. Branle-bas de combat dans le secteur du VTC en Chine. Alors que les services de véhicule de transport avec chauffeur viennent d’être légalisés et que le numéro un du secteur, Didi Chuxing, a fusionné avec son rival Uber China, « l’ubérisation » des taxis chinois avance à vitesse grand V. Les services de VTC en Chine ne seront pas restés illégaux très longtemps. Cela fait tout juste deux ans qu’Uber y est disponible et déjà, le gouvernement a pris la décision de légaliser son activité au niveau national, alors que les décisions d’autorisation se font encore à l’échelon municipal partout ailleurs. Malgré certaines résistances de la part des chauffeurs de taxis et des interrogations sur le futur de cette profession, une grande partie des Chinois sont persuadés que le modèle du taxi est à repenser fondamentalement. Avec l’adoption des VTC, la Chine se montre radicalement en faveur de l’innovation technologique. Décryptage. (@LaTribune).

#eSport

Le gouvernement remet l’esport sur le devant de la scène. Il s’agit simplement d’un portrait d’une jeune Française qui parle de sa passion, dans le cadre d’une série consacrée à des « histoires de France ». Pourtant, en publiant ce long papier élogieux sur Marie-Laure Norindr, plus connue des joueurs sous le pseudonyme de Kayane, le gouvernement français manifeste à nouveau sa volonté de faire reconnaître le sport électronique (ou esport) comme une discipline à part entière. Rédigé par Émilie Louis, la responsable du pôle contenus du service d’information du gouvernement, le portrait de Kayane a pour titre une de ses citations : « les gamers sont des passionnés qui souhaitent que leur passion soit reconnue par le plus grand nombre  ». La jeune femme de 25 ans, habituée des tournois professionnels de jeux vidéo (elle a notamment 42 podiums à son actif) et chroniqueuse sur la chaîne de télévision Game One, se confie et raconte comment s’est développée sa passion. (@Numerama).

#Youtubeurs (1/2)

Internet, le vivier où les marques puisent leurs nouvelles égéries. Parce que le public jeune accorde moins de crédit aux publicités diffusées par les canaux classiques (presse écrite, radio, télévision), les annonceurs, pour faire vivre leurs marques, investissent les nouveaux territoires médiatiques en commençant par y recruter les influenceurs les plus adaptés à leurs cibles et produits. Il fut un temps – un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître – où les marques s’arrachaient les célébrités pour les faire tourner dans de courts spots, qu’elles payaient à prix d’or pour qu’ils soient diffusés avant le film du soir. Ce temps n’est évidemment pas révolu, mais des petits nouveaux ont tracé leur sillon dans la constellation des personnalités capables d’aimanter le public. Avec leurs milliers de vues, et leur popularité auprès du jeune public, les « youtubeurs » (ces jeunes gens qui animent une « chaîne » sur Youtube en y publiant des vidéos originales où ils se mettent en scène) sont devenus des égéries intéressantes pour les annonceurs, qui désormais intègrent ces nouveaux acteurs à leurs stratégies marketing. (@LesEchos).

#RealiteAugmentee

Quand la réalité augmentée redéfinit la notion de propriété. À l’ère de « Pokémon Go », le virtuel supplante bien souvent le réel, au point de brouiller les lignes qui encadrent la notion de propriété. Dans le monde réel augmenté, à qui appartiennent les jardins, les tasses, les tableaux ? Flânant dans les rues à la recherche des Pokémons qui obnubilent vos journées depuis plusieurs semaines, vous vous arrêtez net. Un Salamèche vient d’apparaître. Il est là, mignon et rare, en train de se la couler douce derrière le portail d’une maison. Évidemment, la tentation est grande. Il suffirait d’enjamber la barrière, rien qu’une petite fois, il est là, juste derrière le grillage. Oui, sauf que le portail que vous vous apprêtez à franchir dans le monde virtuel des Pokémons est, dans le monde réel – vous savez celui dans lequel vous marchez depuis tout à l’heure –, ni plus ni moins qu’une propriété privée, légalement infranchissable sans accord du propriétaire des lieux. (@MashableFR).

#RealiteVirtuelle

Les vertus de la réalité virtuelle. Grâce aux casques de réalité virtuelle, les médecins peuvent maintenant soigner des phobies en quelques heures ou rendre moins douloureuses les sessions de soins des grands brûlés. Mais l’influence de ces visiocasques sur le long terme et leurs effets sur la santé posent question. (@FranceCulture).

#Transport

A vendre : Lyft, service de VTC outsider d’Uber, prix à débattreLe numéro 2 du marché américain des VTC est officieusement à vendre. Selon le New York Times, en juin dernier, la licorne a mandaté une banque d’investissement pour ferrer un gros poisson. Apple, Google, Amazon, Uber, General Motors et le chinois Didi Chuxing ont été approchés. Sans succès pour l’instant. Il faut dire que Lyft est gourmand : selon ReCode, il souhaite se vendre pour 9 milliards de dollars minimum, presque le double de sa dernière valorisation (5,5 milliards de dollars). Les discussions ont été les plus intenses avec GM, qui est déjà l’un des plus gros investisseurs de Lyft, indique le quotidien. Mais le constructeur automobile se dit qu’il peut encore opérer en solo, avec sa propre marque dédiée à la mobilité partagée, Maven. (@LUsineDigitale).

La Finlande va « lâcher » des bus sans chauffeur dans la circulation. Et si tous les matins, au lieu de lancer un « bonjour » tonitruant au chauffeur de bus qui nous emmène à notre lieu de travail, on se retrouvait à saluer un volant vide ? Les Finlandais vont devoir s’habituer à ce scénario un peu dérangeant puisque le pays veut équiper son réseau de transports publics de bus autonomes. L’été 2016 est le début d’une nouvelle étape dans la marche vers les transports publics autonomes. Trois bus électriques sans chauffeurs, capables de transporter neuf personnes, ont été déployés dans les trois plus grandes villes finlandaises : Helsinki, la capitale, Espoo et Tampere. Et c’est la société française EasyMile, basée à Toulouse, qui produit ces petites navettes. (@MashableFR).

#CivicTech

La crise politique au Brésil est-elle une opportunité pour la « civic tech » ? À l’occasion des Jeux Olympiques, Juliette Hirtz, Tristan Lebleu et Roman Navalpotro, salariés de NUMA, un incubateur de start-up, vous font découvrir le paysage entrepreneurial de Rio de Janeiro. NUMA soutient les entrepreneurs à travers des programmes d’accélération, des projets d’open innovation pour grands groupes, des événements et espaces de coworking gratuits, à Paris et à travers le monde. Choisi comme pays hôte pour les Jeux olympiques il y a sept ans, le Brésil était alors un pouvoir émergent à l’économie dynamique, avec une classe moyenne solide. Depuis le pays est entré en crise et les Jeux sont devenus le terrain d’une manifestation politique. Tour d’horizon d’initiatives – mouvements politiques, médias et start-up – brésiliennes qui tentent de faire regagner confiance dans la classe politique. (@Figaro_Economie).

#Politique

Arnaud Montebourg, après l’annonce de sa candidature à la présidentielle de 2017 dimanche 21 août, a lancé le site internet arnaudmontebourg-2017.fr. Problème pour le fervent défenseur du « Made in France », son site est hébergé sur des serveurs néerlandais du cloud Azure de Microsoft ! (@Zdnet).

22 Août

ReVue d’actu de 11h11 – lundi 22 août 2016

#LiensVagabonds

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Le site Méta-Media, édite chaque semaine « Liens vagabonds old et new media ». Consulter ceux du 19 août 2016. A retenir cette semaine : Nous sommes accros aux médias digitaux et c’est un problème et J.O. : chute des audiences de NBC, vrai nouveau signal pour la TV ; bizarre quand même pour du direct; mais comme prévu le streaming progresse, la faute aux jeunes (-30% par rapport à Londres pour la TV). Retrouvez la sélection des outils Méta-Media sur jTools. (@MetaMedia).

#Livraison

La grande bataille de la livraison à domicile. C’est l’effet Amazon. Avec sa puissance de frappe et ses millions de clients pour la plupart satisfaits, le géant américain de l’e-commerce entraîne tous les acteurs dans une course effrénée. Le consommateur attend désormais d’être servi à domicile, qu’il s’agisse de sushis, de fleurs, de chaussures, de vêtements… Avec un chiffre d’affaires multiplié par presque 7 en dix ans et plus de 35 millions de cyberacheteurs, la livraison à domicile devient un réflexe, donc un service que tout commerçant doit proposer. (@Figaro_Economie).

#Media

Fin de Gawker, le site qui a bousculé le paysage de l’info aux USA. Fin de course pour Gawker. Le site d’information américain créé en 2002 par Nick Denton et Elizabeth Spiers va bientôt fermer ses portes à cause d’un vieux scandale. Retour en octobre 2012, le rédacteur en chef AJ Daulerio fait publier une sex-tape avec Hulk Hogan, star du catch des années 80. L’article s’intitule “Même si c’est juste pendant une minute, il n’est pas approprié de regarder Hulk Hogan avoir une relation sexuelle dans un lit à baldaquin au travail, mais faites le quand même”. Et on y voit effectivement la personnalité en compagnie de l’ex-femme d’une personnalité de la radio américaine. (@lesinrocks).

#LanceurDAlerte

Deutsche Bank : le lanceur d’alerte refuse sa prime de 8 millions de dollars. Eric Ben-Artzi pourrait décrocher la médaille d’or de l’honnêteté. L’ancien analyste de risque quantitatif de la Deutsche Bank a refusé près de 8 millions de dollars, soit la prime offerte par la Securities and Exchange Commission (SEC) – le gendarme boursier américain – à tout informateur. (@Figaro_Economie).

#JO2016

Le mobile et les réseaux sociaux, grands gagnants des Jeux Olympiques. Longtemps annoncé, l’avènement du smartphone dans la diffusion des grands événements sportifs semble enfin se concrétiser avec les Jeux olympiques de Rio. « Les JO vont être réellement mobiles », prédisait avant le début de la compétition Christophe Marée, responsable marketing digital chez Adobe Europe de l’ouest et du sud. Les faits lui ont en partie donné raison. Aux Etats-Unis, 49 millions de visiteurs uniques ont regardé ces Jeux 2016 sur l’application Snapchat durant les six premiers jours de compétition. L’entreprise au petit fantôme propose de vivre les temps forts et des événements en coulisses de quelques minutes grâce à un accord conclu avec NBC, le diffuseur exclusif des JO aux Etats-Unis. Et, selon un sondage commandé à GfK par Facebook avant les Jeux, 41 % des Français utilisent leur mobile pour suivre le sport. (@LesEchos).

#Web

Plongée dans la petite et grande histoire du web. Connaissez-vous l’histoire du premier site web ? Comment (et pourquoi) les pop-up sont-ils apparus ? Quelle est la toute première publicité a avoir été mise en ligne ? Ou encore d’où vient l’expression « Hello, World ! », si prisée des apprentis-développeurs ? Plongée dans la petite et grande histoire du web. (@RSLNmag).

#MediaSocial

Quand Snapchat sert à Ariana Grande pour présenter son travail en studioLes longues séances de travail en studio ne semblent pas effrayer la jeune Ariana Grande. L’interprète pop la plus connectée de sa génération a révélé de nouveaux extraits de titres à venir sur son compte Snapchat, comme un pied de nez aux leakers, ces fans professionnels du piratage de chansons qui ne sont pas encore sorties.(@Numerama)

#IntelligenceArtificielle

Les fraudeurs du web pourraient utiliser l’IA pour cibler leurs attaques mieux que jamais. Dans le monde du tout connecté qui voit le jour, les technologies de sécurité informatique sont primordiales pour assurer la pérennité de l’édifice numérique. Mais elles peuvent aussi être utilisées de façon criminelle. La preuve avec la société ZeroFOX. Les escrocs du web sont de plus inventifs, et à l’image des hackers, ils conservent souvent une longueur d’avance grâce à leur positionnement offensif. C’est à eux que revient la mission d’innover et de trouver de nouveaux moyens d’exploiter les failles de sécurité, tandis qu’il revient aux entreprises de sécurité de trouver des parades, parfois en amont, mais bien souvent en aval d’une attaque.(@Humanoides_FR)

#Ville

La Mairie de Paris demande au public de créer son prochain grand parc en mode « Sim City ». Avis aux apprentis urbanistes adaptes de la série vidéoludique Sim City ! La Mairie de Paris vient d’ouvrir un concours sous forme de jeu vidéo qui invite les internautes à imaginer le futur grand parc du 18è arrondissement. Baptisé « Chapelle Charbon », cet espace vert de 6,5 hectares doit devenir l’un des « poumons » de la ville. Son ouverture se fera en deux phases, la première fin 2019 – début 2020, la seconde en 2023. (@LUsineDigitale).

#Transport

Lyft, rival d’Uber, ne trouve pas d’acheteurs. Le service de réservation de voiture avec chauffeur Lyft, principal rival américain d’Uber, a tenté ces derniers mois de trouver un acheteur, mais les nombreux groupes démarchés ont tous refusé, affirme vendredi le New York Times. (@LaTribune).

#Youtube

Devenir youtubeur sans YouTube : le système D made in Cuba. À Cuba, le salut des jeunes qui veulent se faire un nom comme vidéastes dépend du marché noir des clés USB. C’est « l’Internet sans Internet ». le paquete semanal, une sélection de contenus multimédias transférée sur CD, ou sur clé USB, et vendue par un réseau parallèle, officiellement illégal, toléré dans les faits par le gouvernement. Alba, jeune artiste de La Havane, explique : « Toutes les chaînes télévisées cubaines sont contrôlées par l’État : les contenus sont limités et souvent ennuyeux. Pour les Cubains, le paquete est un moyen alternatif pour s’informer et se distraire. » (@Rue89).

Louis Cole, Youtubeur enthousiaste et très naïf en Corée du Nord. Il voulait montrer « les bons côtés » de la Corée du Nord. Et de fait, a fait la promotion de ce régime totalitaire. (@LExpress).

#EconomieDuPartageEnChine (3/4)

Pourquoi ce n’est pas (encore) une menace pour le salariat. Alors que les pratiques de partage explosent en Chine, peu de voix se sont élevées pour dénoncer, comme en France, une menace pour le modèle salarié. Dans un pays où une bonne partie de la population vit encore dans des conditions précaires, l’économie du partage a surtout des avantages. En France, l’économie du partage s’est rapidement fait des ennemis parmi les défenseurs des droits du travail : certes, les particuliers qui mettent leur temps, leurs talents ou leurs biens à disposition via des plateformes de partage sont libres de travailler quand et autant qu’ils le souhaitent. Mais ils le font en tant qu’indépendant. Autrement dit, si cela devient leur activité principale, ils n’ont ni sécurité de l’emploi ni salaire minimum, et ne parlons pas des cotisations retraite. L’entreprise qui leur donne du travail via la plateforme de partage refuse de les considérer comme salariés. C’est précisément ce qui dérange les défenseurs des droits du travail. Mais en Chine, où les pratiques de partage ont généré environ… 275 milliards d’euros en 2015, le problème ne se pose pas. (@LaTribune).

21 Août

ReVue d’actu de 11h11 – dimanche 21 août 2016

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Légende Image. Le pont piéton en verre le plus long et haut du monde a ouvert au public, samedi 21 août, dans le centre de la Chine. L’édifice est installé dans les spectaculaires montagnes de Zhangjiajie, dont l’un des sommets alentour est réputé pour avoir inspiré le film américain Avatar (@FrancetvInfo). Photo Fred Dufour / Afp

#Agriculture

Ces start-up qui vont révolutionner l’agriculture mondiale. Des aliments qui remplacent les protéines animales, , l’utilisation massive du Big Data : En Californie, de nombreuses start-up travaillent aujourd’hui à proposer des solutions de remplacement aux protéines animales, de chasse au gaspi comme l’utilisation de capteurs pour réduire la consommation d’eau, de l’exploitation de la donnée pour permettre de passer d’une production de masse à une production sur mesure et optimisée. En comprenant mieux la plante et l’animal et en les « écoutant » grâce à des capteurs, c’est toute la chaîne de production agricole qui se modifie. (@LesEchos).

#SiliconValley

La tech américaine, un monde encore très majoritairement masculin. Qu’il s’agisse de Microsoft, Google ou Apple, c’est la même scène à chaque conférence de développeurs : à la fin de la « keynote », une gigantesque file d’attente se forme devant les toilettes des hommes, tandis que les femmes se réjouissent de pouvoir pour une fois accéder rapidement aux leurs. L’anecdote reflète la rareté des femmes dans les entreprises high-tech: elles représentent 36 % des salariés, une proportion plus faible que dans la totalité du secteur privé (48 %), selon un récent rapport de la commission gouvernementale sur l’égalité des chances. Ce chiffre intègre tous les métiers, de la vente au marketing, en passant par les ressources humaines, mais si l’on regarde en détail la proportion d’informaticiennes, elle est encore plus faible… et en recul. Selon l’American Association of University Women, 26 % des postes dans l’informatique étaient occupés par des femmes en 2013, contre 35 % en 1990. (@LesEchos).

Confort, salaires mirobolants… comment les géants de la Silicon Valley attirent les talents. De la nourriture à volonté, des cocktails en début d’après-midi le vendredi, un teinturier, un coiffeur et une navette avec wi-fi pour rentrer chez soi. Il ne s’agit pas de la promotion d’un séjour dans un hôtel 5 étoiles mais du quotidien des salariés travaillant au siège social de Facebook à Menlo Park. Ces avantages font partie de la guerre que se livrent les entreprises de la Silicon Valley pour attirer et garder les meilleurs salariés. Si chaque société dispose de son petit à-côté séduisant, des cours de yoga gratuits chez Twitter à la possibilité d’amener son chien au bureau chez Eventbrite, le nerf de la guerre reste avant tout la rémunération. Les sociétés high-tech représentent 20 des 25 entreprises où les salaires sont les plus élevés aux Etats-Unis, selon une étude publiée en avril dernier par Glassdoor, une sorte de Yelp de l’emploi. (@LesEchos).

#EconomieDuPartageEnChine (2/4)

Pourquoi Tujia n’arrive pas à copier AirbnbEn Chine, l’économie du partage est d’abord motivée par l’intérêt financier. Trente ans de communisme n’y ont rien changé. Pourtant, la nouvelle génération d’entrepreneurs de l’économie du partage, elle, s’attèle à rendre cette pratique plus spontanée et, surtout, plus créatrice de lien social. Tujia est souvent considéré comme l’équivalent d’Airbnb en Chine. Mais il existe une différence de taille entre les deux plateformes : le tête-à-tête entre propriétaires et locataires, qui est à la base du modèle d’Airbnb, n’était pas prévu à la création de Tujia, en 2011. Cela ne fait que quelques mois que la plateforme chinoise de location de résidences de luxe permet une rencontre directe entre ses membres. Pour une entreprise se revendiquant de l’économie du partage, c’est un comble : ce nouveau mode de consommation a beau être fondé sur un principe économique (la rentabilisation de biens ou de services sous-utilisés), il est censé favoriser la rencontre et l’échange social entre particuliers. Mais cette conception n’est peut-être valide qu’en Europe et en Amérique du Nord. En effet, qu’entend-on par « partage » dans cette nouvelle économie chinoise ? (@LaTribune).

#PokemonGo

Comment un jeu vidéo supplante les politiques de santé publique. Les utilisateurs de Pokémon Go sont amenés à marcher plusieurs kilomètres pour traquer les petites créatures virtuelles. Contributeur pour @LObs, Francois Krabansky, spécialisé en santé publique, le jeu pourrait bien satisfaire le bien-être et la forme physique des joueurs… Et devrait servir de modèle aux politiques de santé publique en France. (@LePlus)

#Sante

La robotique toujours plus présente en chirurgie. Le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Toulouse a réalisé deux greffes rénales par robot-assisté chez des patients souffrant d’une importante obésité. Il s’agit d’une grande première en Europe, qui montre une fois de plus que la robotique a toute sa place dans le domaine de la médecine et de la chirurgie. (@PresseCitron).

Une start-up conçoit une carte Vitale 2.0. Le projet, qui s’apprête à être testé en France, facilitera l’accès à un dossier médical numérique. Avec ce nouveau dispositif, le personnel médical peut accéder à distance, depuis son ordinateur, au dossier médical d’un patient, au moyen d’un QR Code, sorte de code-barres personnalisé figurant sur la carte Vitale de celui-ci. (@LeFigaro_Sante).

#Surveillance

Des outils d’espionnage de l’unité d’élite de la NSA publiés par des pirates. L’affaire, au parfum de guerre froide, intrigue les spécialistes des services de renseignement et de sécurité informatique depuis trois jours. Le 13 août, The Shadow Brokers, un groupe de pirates inconnu jusqu’alors, a publié sur Internet une série d’outils et de programmes d’espionnage informatique qu’il prétend avoir dérobé au groupe Equation, une référence transparente à la National Security Agency (NSA), responsable aux Etats-Unis de l’espionnage numérique. (@Pixelsfr).

#Robot

20 Août

ReVue d’actu de 11h11 – samedi 20 août 2016

#SmartCity

Singapour, une ville(-état) intelligente et surtout durable. Singapour serait la ville la plus intelligente du monde, d’après le classement smart city Juniper Research 2016. Plus de 40 critères ont été pris en compte pour arriver à cette conclusion. La technologie, le transport, l’énergie, ou encore l’économie font partie des secteurs étudiés pour l’occasion. Comment cette cité-état de 719 km2 et 5 millions et demi d’habitants s’est-elle hissée en haut du podium, devançant Barcelone? Comme pour Copenhague, cette réussite découle notamment d’une volonté politique forte. Le premier ministre Lee Hsien Loong a notamment lancé le programme Smart Nation fin 2014 et équipé l’archipel de plusieurs capteurs et caméras dans cette optique.La ville avait déjà un train d’avance en 2014 : 9 foyers singapouriens sur 10 avaient déjà accès à internet en haut débit et 85% de la population détenait déjà un smartphone contre 80% en Corée du Sud. Singapour a également su capitaliser sur la technologie déjà en place pour améliorer la digitalisation des services administratifs. Avec de la psychologie et des données, la “Suisse d’Asie” s’est également perfectionnée en terme de mobilité et d’énergie. “On a essayé de combiner plusieurs choses et de voir les choses sous différents angles parce qu’une ville durable n’est pas seulement une ville qui se soucie de la réduction des émissions de CO2 mais surtout une ville où il fait bon vivre”. Anil Das, directeur innovation de l’agence gouvernementale singapourienne JTC, rencontré lors des Greater Copenhagen Smart Solutions, décrit l’évolution de son pays ces dernières années. (@latelier).

#IndustrieAlimentaire

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Le Big Data et l’Internet des Objets à la rescousse. Dans le secteur alimentaire, les marges sont très fines. Les épiceries, au même titre que les enseignes de grande distribution, ne peuvent se permettre de dépasser la demande en termes de stocks, au risque que les aliments ne périment. De même, il est important d’éviter les contaminations, qui risquent d’impacter directement la réputation d’une enseigne et de dissuader les consommateurs. Aujourd’hui, le Big Data permet d’aider à relever ces défis en aidant à gérer la chaîne logistique plus efficacement. (@iot_business).

#Media

L’hystérisation infernale des faits divers. Chauffer à blanc ce qu’il est convenu d’appeler « l’opinion publique », lorsque survient un « fait divers », est un art dans lequel certains excellent. La violente rixe survenue samedi 13 août sur la plage de Sisco (Haute-Corse) permet ainsi à l’extrême droite de dénoncer avec jubilation une prétendue « racaille islamiste » (concept fumeux et ramasse-tout), tandis que des élus nationalistes corses légitiment les rassemblements identitaires aux cris de « On est chez nous », et que le maire (PS) de la commune croit utile de prendre, après d’autres élus, un arrêté anti-burkini. Toute séance tenante, le premier ministre Manuel Valls déclare qu’il approuve ces arrêtés de la plus haute importance… (@Mediapart).

#MediaSocial

Insultes, menaces, racisme : quand les « trolls » font la loi sur les réseaux sociauxL’injure, la diffamation ou les menaces sont des délits condamnés par la justice. Pourtant, cachés derrière leurs écrans, de plus en plus de personnes déversent leur haine sur les réseaux sociaux. A lire aussi : Un code de bonne conduite contre les « discours de haine » pour Facebook, Twitter et YouTube (@SudOuest).

‏#Transport

Uber accélère dans la course à la voiture autonome. Le système de notes des chauffeurs Uber bientôt obsolète? La firme a fait plusieurs annonces démontrant son ambition sur le marché des véhicules sans chauffeur. Dans un premier temps, il a passé un accord avec le constructeur automobile suédois Volvo, contrôlé par le groupe chinois Geely, prévoyant un investissement commun de 300 millions de dollars et l’utilisation d’un même véhicule pour leurs tests. Uber et Volvo se connaissent déjà bien pour faire partie d’un même lobby aux Etats-Unis dont le but est d’accélérer le développement des véhicules autonomes, qui pose des problèmes non seulement techniques mais aussi juridiques et légaux. Volvo avait commencé en 2014 à tester un véhicule autonome dans les rues de la ville suédoise de Göteborg, et Uber fait de même aux Etats-Unis à Pittsburgh (Pennsylvanie, est), même s’il s’agit en l’occurrence d’un modèle de la marque Ford. C’est dans cette ville qu’Uber a installé son centre de recherche sur les véhicules autonomes en 2015. (@Lexpansion).

Ford promet des voitures 100 % autonomes en 2021« Ford produira en série des véhicules capables de circuler de manière totalement autonome d’ici cinq ans. Pas de volant. Pas de pédale d’accélération. Pas de pédale de frein. Un conducteur ne sera pas requis. » La promesse émane de Mark Fields, le PDG du constructeur américain, dans un message posté mardi sur le site Medium. Ce n’est pas la première fois qu’il affiche clairement ses ambitions. Optimiste, il estimait même en janvier dernier dans « Les Echos » que les premières voitures « fonctionnant sans aucune intervention humaine seront commercialisées dans les quatre ans qui viennent ». Mardi, Ford vient de rendre un peu plus concrètes ses objectifs en annonçant qu’il comptait proposer en 2021 un véhicule entièrement autonome à des flottes de transport à la demande telles que celle de Lyft ou d’Uber – ces deux derniers travaillent d’ailleurs chacun de son côté sur leurs propres projets dans ce domaine. Le grand public, lui, devra attendre 2025 voire au-delà pour pouvoir monter dans un véhicule autonome dépourvu de volant et de pédalier, selon Raj Nair, directeur technique de Ford.
A lire aussi : – Qui sont les acteurs de la course à la voiture autonome ?
La course à la voiture autonome s’accélère entre les constructeurs ;
Tesla, les promesses non tenues d’Elon Musk.  (@LesEchos).

#EconomieDuPartageEnChine (1/4)

Vivre sans voiture, mais rouler en Ferrari ? « Vivre frugalement, mais avoir l’air riche », c’est ainsi que Weiwei Zhang, chercheuse en sociologie, décrit les jeunes Chinois. Ils ont intégré les habitudes de consommation de leurs parents ayant vécu la Révolution culturelle, attentifs au moindre centime. Ils sont aussi largement influencés par le mode de vie occidental et s’offriraient bien une paire de Nike ou de lunettes Gucci de temps à autre. Mais, pas question de laisser ces derniers au placard comme pourraient le faire leurs aînés mal à l’aise avec les signes extérieurs d’opulence: eux, ils veulent que leur richesse soit bien visible. A choisir entre un iPhone dernier cri et la paire de lunettes, ils choisiront l’iPhone, qu’ils auront ostensiblement toujours à la main. Cependant, pour les plus riches des Chinois, l’arrivée au pouvoir de Xi Jinping en 2012 a marqué un tournant. Le chef de l’Etat a lancé une vaste campagne anti-corruption, qui a fait plonger la consommation de biens de luxe. Si les ventes ont repris depuis, il reste mal vu de dépenser trop. (@LaTribune).

#Culture

Face à Amazon, les libraires contre-attaquentOn dit souvent que l’amour est à réinventer: il en va de même pour la librairie, en particulier depuis les défis posés par la force de frappe d’Amazon. Dans un esprit de mutualisation en guise de riposte, des centaines de librairies indépendantes se sont ainsi engagées à leur tour dans l’e-commerce, via des portails collectifs mis en place aux niveaux national (citons placedeslibraires.fr et leslibraires.fr) et régional (avec parislibrairies.fr et librairesrhonealpes.fr). (@Lexpress_Cult).

#Drone

Helper, le drone qui vole au secours des sauveteurs en mer. Après les livraisons, la réalisation d’images aériennes, voici le sauvetage en mer par drone avec Helper. L’idée est née sur la côte landaise. Un ingénieur, Gérald Dumartin, et un médecin urgentiste, Fabien Farge, ont mis au point un drone spécialisé dans les interventions en mer. La première mission du drone landais, en test à Biscarrosse, est de localiser les personnes en difficulté, qu’il s’agisse d’un marin passé par-dessus bord ou d’un baigneur imprudent. À défaut de pouvoir plonger, Helper embarque une bouée autogonflante et communicante qu’il peut larguer à proximité de la personne en difficulté. Si cela ne suffit pas, Helper fait du surplace, en attendant que les secours humains arrivent. (@FigaroTech).

#Robot

Pourquoi nous ne pardonnons pas aux robots ce que nous pardonnons aux humains. Des chercheurs de l’Université du Wisconsin ont cherché à tester la façon dont nous nous comportons avec nos futurs collègues dotés d’intelligence artificielle – les robots – : pour ce faire, ils ont demandé à 160 étudiants de préparer le planning des chambres dans un hôpital, tâche inhabituelle pour eux et pour laquelle ils ont reçu, au choix, l’aide d’une intelligence artificielle ou d’un humain spécialisé dans le management d’espaces. Au milieu de l’exercice, les participants se sont vus recevoir de faux conseils de la part de leurs soutiens respectifs. Un élément déterminant : si avant cela, les deux groupes témoignaient d’une égale confiance dans leurs conseillers respectifs, leur discours a rapidement changé après avoir été induits en erreur. A lire : Humaniser les robots, une fausse bonne idée ? (@RSLNmag).

#RealiteAugmentee

Quel est le point commun entre Pokémon Go et le burkini ? Le principe de non-nuisance Ou plus exactement de la définition de la privacy telle qu’énoncée à la fin du XIXe siècle, c’est à dire à la fois un « principe de non-nuisance » et un « droit d’être laissé tranquille ». Ce que les polémiques autour de « Pokémon Go » et la polémique autour du burkini ont en commun c’est qu’elles ouvrent un nouvel horizon autour de notre droit à être laissés tranquilles : – Je ne veux pas de chasseurs de Pokémon autour de chez moi parce que, du coup, je ne suis plus « tranquille ».
– Je ne veux pas de burkinis sur la plage où je me rends, non pas parce que j’ai un avis sur le sujet, mais précisément parce que je n’ai pas envie d’être contraint d’en avoir un à ce moment-là, dans ce contexte-là. (@Rue89).

19 Août

ReVue d’actu de 11h11 – vendredi 19 août 2016

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Légende image. J’ai essayé d’interviewer quelqu’un qui croit que la Terre est plate. Les « plateux », très actifs sur Internet, sont-ils des trolls de génie ou des conspirationnistes de l’extrême ? Enquête de Alice Maruani pour @Rue89. Photo de padam92 Envol d’été.

#Espace

Robot humanoïde de la Nasa cherche programmeur pour l’envoyer sur MarsLa Nasa a lancé un concours de programmation pour préparer son robot, Robonaut 5, à la gestion de crise dans l’espace. La récompense est à la hauteur du challenge : le gagnant du concours recevra un million de dollars. (@MashableFR).

Pourquoi le satellite de communication quantique que la Chine s’apprête à tester est si stratégiqueLa Chine ne ménage pas ses efforts dans la recherche technologique. Elle vient de lancer un satellite de communication qui va tenter de transmettre des clés de chiffrement quantiques – et donc inviolables – de Beijing jusqu’à Vienne. (@LUsineDigitale).

#MediaSocial

Snapchat, l’insolent réseau social qui défie Facebook. Même si Facebook (avec Instagram et Messenger) tente de lui mettre des bâtons dans les roues, Snapchat reste le réseau social le plus populaire chez les jeunes et entend profiter de cet avantage pour devenir lui aussi un géant. Depuis quelques mois, la plateforme d’Evan Spiegel multiplie les initiatives pour changer de dimension. Explications. (@LaTribune).

#Bots

Phil Libin (General Catalyst) : « Les bots auront remplacé 80% des applications d’ici 5 ans »Jusqu’ici assez décevants, les bots commencent à démontrer leur utilité et ne tarderont plus à devenir mainstream, affirme l’investisseur, rencontré le 13 mai à la conférence Leade.rs.  (@journaldunet).

Uncharted Atlas, le bot Twitter qui génère des cartes de contrées imaginairesQuelle belle invention que celle relayée ce mardi par le site du magazine Wired. Uncharted Atlas est un bot Twitter – soit un robot qui s’illustre directement sur le réseau social – programmé pour générer des cartographies imaginaires, où les noms des villes, des reliefs et des cours d’eau se lisent dans des langages aussi poétiques qu’irréels. Un peu comme celles que l’on trouve en prélude des plus grands classiques de la fantasy. (@MashableFR).

#FabLab

Les Fablabs en quête d’un Business Model pérenneFablabs, makerspace, tiers lieux : les laboratoires de fabrication ouverts se sont multipliés en France ces dernières années. Pratiquement chaque métropole et chaque ville moyenne a vu naitre ce type d’initiatives. Bien souvent créés par quelques passionnés regroupés en association, parfois adossés à une université à un conseil régional ou une mairie, la survie financière d’un fablab n’a rien de simple et faire vivre dans la durée un tel lieu fait parfois figure de parcours du combattant. Face au coût d’achat élevé des machines, le montant des adhésions, parfois dérisoire, et celui demandé à l’utilisation des machines ne permettent pas aux fablabs d’équilibrer leurs comptes. Les bénévoles doivent partir à la chasse aux subventions et multiplier les initiatives afin de développer leur parc machine ou tout simplement continuer d’exister.(@latelier).

#Ville

L’ogre Google va dévorer la smart city, et il vaut mieux s’y préparerPour ceux qui auraient jusqu’alors réussi l’exploit de l’éviter, il faudra peut-être penser à abandonner le combat. Car après les navigateurs Internet, les boîtes mail et les smartphones, Google investit les villes. Et Sidewalk Labs, la filiale de la maison mère du géant Alphabet, vient à peine de commencer à équiper le centre de New York de bornes Wifi intelligentes qu’elle développe déjà une nouvelle plateforme big data dédiée aux transports, Flow, dans les 7 communes finalistes (dont San Francisco et Austin) du challenge smart city américain, lancé en partenariat avec les autorités du pays. (@journaldunet)

#Inde

Des femmes de l’Uttar Pradesh se lancent dans le journalisme vidéoEn Inde, le premier journal entièrement féminin du pays a lancé son édition multimédia la semaine dernière. Cet hebdomadaire fondé en 2002 par des femmes de milieu rural pauvre dans le nord de l’Inde mise maintenant sur les smartphones, afin de développer la vidéo. Une réponse logique à la demande de son audience dans la région, où les téléphones portables sont désormais monnaie courante, même dans les foyers le plus modestes. (@RFI).

#Cosplay

Démocratisation du Cosplay : quand les geeks sortent de l’ombre et prennent leur revanche sur les sociétés qui les méprisent. Des pages Facebook aux centaines de milliers d’abonnés aux Cosplayers/euses présents dans des conventions ayant pour thèmes l’univers Geek, le succès du Cosplay démontre bien l’influence de cet univers sur la culture et la société en général. (@atlantico_fr).

#LesMaitresDuMondeDesTelecoms (4/5)  

Patrick Drahi, le discret mécène. Le principal actionnaire de SFR, Libération, L’Express et BFMTV s’est imposé, en multipliant les opérations de rachat, comme un tycoon des médias et des télécoms en France. (@FigaroTech).

#LesPionniersDuGreen (7/8)

Glowee : quand la mer inspire l’éclairage urbain. Une startup parisienne reproduit en laboratoire la lumière dégagée par certains organismes marins. Pour sa fondatrice, Sandra Rey, l’invention pourrait changer radicalement l’aspect des villes. (@LaTribune).

18 Août

ReVue d’actu de 11h11 – jeudi 18 août 2016

#JeuxVideo

De Pokémon Go à la salle de classe, sept manières d’utiliser le jeu pour enseigner. La rentrée risque d’être difficile pour les chasseurs de Pokémons de l’été. L’amphi ou la salle de cours pourraient paraître bien ternes après un été ludique. Néanmoins, l’idée d’introduire un peu de jeu dans les enseignements pourrait faire son chemin auprès de certains enseignants. Mais comment s’y prendre, dès lors qu’on n’a pas une formation de game-designer ? (@MediapartLeClub).

#Innovation

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Le Do It Yourself est-il le prochain vecteur d’innovation ? Naissent aujourd’hui des kits de développement qui mettent à disposition des petites puces électroniques facilement programmables. Celles-ci, connectées à l’ordinateur ou à internet par bluetooth ont l’avantage d’être très bon marché. Depuis les mini-ordinateurs Arduino jusqu’au langage de programmation simplifiée Scratch sorti du MIT Media Lab, les cibles principales semblent les enfants et les novices. Mais cet esprit Do It Yourself (DIY) a un impact concret sur l’innovation des industries traditionnelles : c’est l’esprit « makers » tel qu’il a été théorisé par le rédacteur en chef de Wired, Chris Anderson. Le DIY incarne en effet un mouvement de « hackers » qui entrent compétition avec le processus de recherche et développement historique. Le postulat théorique est que certaines des grandes inventions furent le fait d’inventeurs indépendants à des époques où les prix d’outils performants étaient suffisamment bas pour être accessibles par tous. Arduino, Scratch et les imprimantes 3D sont donc des outils accessibles qui feront peut-être naître une nouvelle grappe d’innovation non plus issue des laboratoires mais des « hackers » eux-mêmes. (@LAtelier).

 

#Blockchain

La « Blockchain », « nouvelle star » des médias« En 2017, nous allons investir dans l’intelligence artificielle et la « Blockchain » », assurait Jacques Richier dans les colonnes des Echos le 8 août dernier. Des propos engageants que le PDG d’Allianz France n’est pas le seul à tenir. Ce discours se retrouve en effet sur les lèvres de la plupart des patrons aux élans disruptifs mais pas uniquement : avocats, gestionnaires d’actifs, promoteurs immobiliers, notaires, etc. se sont également emparé du sujet y voyant systématiquement une opportunité à la fois de modernisation mais aussi de sécurisation des transactions. Qu’il s’agisse d’argent ou tout simplement d’informations. « 2016 sera l’année de la Blockchain », confirme Richard Caetano, fondateur de la startup Stratumn, spécialisée dans l’intégration de la technologie. Et, avec une levée de fonds de 600.000 euros on a tendance à croire que l’entrepreneur n’est pas le seul à le penser ! Véritable marotte des entrepreneurs et choux gras des médias, le phénomène n’est pourtant pas apparu du jour au lendemain. (@LaTribune).

#SmartCity

Un jeu en ligne invite les utilisateurs à redessiner les lignes du métro de NYCSelon une étude menée par Pew, 35 % des adultes américains auraient récemment oeuvré au sein d’une communauté de citoyens pour résoudre un problème civique. Si ce chiffre est en croissance, la question de l’engagement citoyen demeure aujourd’hui un sujet épineux pour les villes. Et si un jeu vidéo laissait entrevoir une ébauche de solution ? Un des participants au concours de design « The Power Broker » a ainsi développé un jeu en ligne « Brand New Subway » qui permet à tout utilisateur de remodeler à sa guise les lignes de métro de New York. À l’instar du célèbre Sim City, les utilisateurs sont invités sur une carte interactive à déplacer, ajouter et supprimer des arrêts de métro ou encore à redessiner entièrement le système de transport. Le tout en observant l’impact financier et humain des changements en temps réel. Le jeu attribue d’ailleurs une note à chaque modèle créé par l’utilisateur en fonction de ces facteurs. (@latelier).

#Entrepreneuriat

Zoom sur 20 femmes qui font l’écosystème entrepreneurial françaisA l’occasion de la journée de la femme le 8 mars et la journée de la femme digitale le 13 mars prochain, la rédaction de Maddyness en profite pour vous présenter 20 jeunes femmes ancrées dans l’écosystème entrepreneurial français. (@bymaddyness).

#Education 

Les technologies présentes en classe sont-elles pleinement utilisées ? AdvancEd est une organisation non partisane et à but non lucratif qui se donne pour mission d’aider les établissements préscolaires, primaires et secondaires à améliorer la qualité de la formation qu’ils dispensent. Elle a récemment procédé à une vaste étude réalisée dans les écoles de 12 pays. S’étant échelonnée sur une période de trois ans, l’étude avait pour objectif de mesurer à quel point les technologies éducatives étaient utilisées lorsque venait le temps d’effectuer certaines tâches d’apprentissage précises : rechercher et compiler des informations, résoudre des problèmes et créer du contenu et communiquer et collaborer. (@EcoleBranchee).

#Economie

« Si vous êtes le produit, ce n’est pas gratuit ». Une tribune de Laurent Chemla, sur le site de La Quadrature du Net. Le sempiternel « si c’est gratuit vous êtes le produit » est devenu si commun désormais que c’en est devenu un mantra. Une idée toute faite. Ce qui devrait toujours inciter à la méfiance. À raison dans ce cas, parce que c’est tout simplement faux. Même si la phrase est jolie et pratique pour convaincre sans débattre, comme tout slogan sorti de l’esprit d’un bon communicant, elle est fausse. Si c’est gratuit, c’est sans contrepartie. C’est la définition de la gratuité. Vous n’êtes pas le « produit » de l’amour de vos proches, de la gentillesse d’un inconnu ou, pour rester sur le terrain du numérique, vous n’êtes le « produit » ni de Wikipédia, ni du logiciel libre, ni des (à la louche) centaines de milliers de blogs publiés sur des sites sans publicité. Si vous êtes le produit, alors ce n’est pas gratuit. (@LaQuadrature).

#Internet

Yahoo! : l’entreprise qui valait 125 milliards de dollars en 2000Le 25 juillet 2016, la direction de Yahoo! annonçait être parvenue à un accord avec l’opérateur américain des télécommunications Verizon pour lui vendre ses activités de cœur de métier pour 4,8 milliards de dollars (4,4 milliards d’euros). Le PDG de Verizon indiquait, dans un communiqué, que les activités de Yahoo! seraient intégrées dans la même division que celles d’AOL, racheté en 2015, afin « d’aider à accélérer nos revenus dans la publicité en ligne ». Avec cette acquisition, Verizon met la main sur le moteur de recherche de Yahoo! et ses nombreux services : mail, actualités, finance, etc. Mais cette vente concrétise – comme l’ont souligné de nombreux observateurs – aussi l’échec de la stratégie de Marissa Meyer, une étoile montante de Google recrutée en juillet 2012 à prix d’or pour relancer un des pionniers de l’Internet commercial. À la suite de la vente de ses actifs commerciaux, Yahoo! ne sera plus qu’un holding financier gérant ses participations dans Alibaba (15 %), le géant chinois du commerce en ligne, et dans Yahoo! Japan (35,5 %). (@FR_Conversation).

Défendre la neutralité du net : déclaration de l’IFLA pour préserver les bibliothèquesLors du 82e Congrès de l’IFLA, une déclaration commune sur la nécessité d’un internet neutre a été communiquée. « L’Internet est construit pour être égalitaire, permettant à tout un chacun d’accéder à l’information à n’importe quel endroit de la Toile et sans interférence inique », assurent les signataires. (@actualitte).

#LesMaitresDuMondeDesTelecoms (4/5)  

Carlos Slim, le self-made-man mexicain. En concurrence avec Bill Gates à la première place des plus grandes fortunes du monde, Carlos Slim est aujourd’hui leader sur le marché de la téléphonie mobile dans toute l’Amérique latine. (@FigaroTech).

#LesPionniersDuGreen (6/8)

Sorek, là où la mer est à boireEn Israël, la plus grande usine du monde de dessalement d’eau de mer permet de donner à boire à 1,5 million de personnes. Un projet stratégique face à l’accroissement de la population. (@LaTribune).