#LiensVagabonds
L’essentiel de l’actu sur la mutation des médias. A retenir cette semaine : Netflix et Amazon devront financer la création et Bruxelles veut aussi encadrer davantage les plateformes ; Intelligence artificielle, interfaces conversationnelles, réalité virtuelle : Google rattrape son retard. Il crée aussi des propres puces pour le machine learning et Spaces méta-plateforme de messagerie qui combine Chrome, YouTube, search ; Obama donne une interview à BuzzFeed avec qqs pbs techniques. (@MetaMedia).
#PressOnLine
L’irrésistible ascension de BuzzFeed. Les 15-30 ans en raffolent et c’est l’une des plus belles réussites web en termes de pure player. Le site de divertissement conçu comme un laboratoire viral s’attaque désormais à l’info. Sans états d’âme. (@LObs).
#Pollution
L’impact sur l’environnement n’est pas virtuel. Le développement du numérique portait la promesse de dématérialiser nos activités. Et donc de réduire notre impact sur la planète. Mais c’était sans prendre en compte le bilan carbone du secteur et de l’informatique, loin d’être virtuel. Il représente d’ores et déjà 2% des émissions de gaz à effet de serre. Autant que l’aviation civile ! Et ce taux devrait doubler d’ici 2019, avec la montée en puissance des objets connectés et les internautes toujours plus nombreux. Quelques entreprises commencent à se mobiliser pour réduire leur pollution numérique. Pollution numérique : l’impact sur l’environnement n’est pas virtuel. (@novethic).
#Entreprise
Joël de Rosnay : « L’entreprise de demain est une plateforme d’intelligence collective ». Quels sont les modèles des entreprises du futur ? Joël de Rosnay revient sur l’art de la disruption (ou rupture) pratiqué par certaines entreprises du numérique, qualifiées de « disrupteurs », qui révolutionne le monde de l’entreprise et bouscule les modèles économiques traditionnels. (@EDFutur).
#EconomieCollaborative
Cinq chiffres qui montrent que l’économie collaborative est d’abord utilisée par des « early adopters ». 72% des Américains déclarent avoir déjà utilisé au moins un service de l’économie à la demande ou de l’économie collaborative, depuis qu’ils existent, selon une étude publiée en mai 2016 par le Pew Research Center (un institut de recherche qui se présente comme un «fact tank non partisan»). Cette étude se focalise sur les utilisateurs, et ne tient donc pas compte des « pratiquants » de l’économie collaborative; comme ceux qui louent leur appartement, ou ceux qui trouvent un travail d’indépendant en devenant chauffeur. (@FrenchWeb).
#FrenchTech
Réseaux thématiques : la Vendée se branche sur les réseaux intelligents. Si la Vendée reste un territoire économique attractif porté notamment par de belles entreprises familiales et une solidarité entrepreneuriale, le département n’est pas le premier exemple que l’on cite en matière d’économie numérique. Afin de tirer son épingle du jeu, la Vendée capitalise sur une thématique pour laquelle elle dispose d’une vraie spécificité: les réseaux électriques intelligents. Et capitalise sur les actions déjà engagées pour faire valoir sa candidature. « Avec Smart Grid Vendée, nous avons, en termes géographique, le plus grand démonstrateur de réseau électrique connecté d’Europe puisqu’il s’étend sur l’ensemble du département », explique Alain Le Bœuf, président du Gip Vendée numérique. (@LUsineDigitale).
#RevolutionNumerique
L’emploi ne se perd pas, il se transforme. Certes, la révolution numérique risque de signer la mort du salariat et d’accélérer le remplacement de l’Homme par la machine. Plutôt que de craindre des suppressions massives d’emplois, employons-nous à anticiper ce phénomène. (@LesEchos).
#Fintech
San Francisco, capitale mondiale de la fintech ? Beaucoup de villes, comme Londres, essaient de se décréter “capitale” mondiale de la fintech. Il est vrai que de nombreux accélérateurs ont vu le jour dernièrement et que cette ville est souvent le port d’attache des start-up en fintech voulant attaquer l’Europe. San Francisco et plus globalement la Silicon Valley, elle, n’essaie pas de se décréter capitale de la fintech. Et pourtant les faits montrent que c’est un lieu incontournable. (@LAtelier).
#ForumQuiGouverneInternet
Une souveraineté numérique au service de l’intérêt général. Chronique de Philippe Wahl, Président du Groupe La Poste, prône une reconquête des données personnelles sur le numérique. « Le numérique a cette force incroyable de bousculer certains des principes les mieux établis de nos sociétés, parfois même jusqu’à ceux qui les fondent. C’est le cas par exemple de la souveraineté, concept qui prend aujourd’hui un tout autre sens, quand on sait à quel point notre capacité à maîtriser notre destin collectif est altérée par l’émergence d’acteurs disruptifs ou par la multiplication de nouveaux usages. Un glissement s’opère, des structures privées d’envergure mondiale succèdent peu à peu aux modèles institutionnels classiques. Dès lors, l’enjeu auquel nous devons tous répondre est d’accompagner cette mutation, afin qu’elle soit au service du plus grand nombre. » (@Libe).
« Ne soyons pas les Oui-Oui du numérique ». Comment les Etats, entreprises et citoyens peuvent protéger leur intégrité sur les réseaux et reprendre la main sur leurs données, aujourd’hui trustées par Gafa (Google, Apple, Facebook et Amazon) ? Telles sont les questions abordées lors de ce premier débat, qui s’est tenu samedi matin à la Cité des objets connectés d’Angers, face à une salle de trois cent personnes. (@Libe).
L’agriculture en plein dans le numérique. Par Patrick Vincent, directeur Général ESA – Ecole Supérieure d’Agricultures : « L’agriculture revient sur le devant de la scène : le défi (relevable) d’une alimentation en quantité et en qualité pour nourrir 10 milliards de personnes en 2050, les énergies et la biomasse, l’agriculture urbaine etc. sont autant de thèmes qui contribuent à cette nouvelle visibilité. A cela s’ajoute la nécessaire coexistence sur le long terme de plusieurs formes d’agricultures, viables financièrement pour les exploitants et durables d’un point de vue environemental. » (@Libe).
#Internet
Les pieds nickelés du djihad trahissent leur géolocalisation sur le Web. Des sympathisants de Daesh ont publié des photos sur Telegram, sans penser à dissimuler l’endroit où ils se trouvaient… Les djihadistes du film Four Lions, « incapables de remuer leur thé sans casser une vitre », ont de la concurrence. Samedi, plusieurs sympathisants de Daesh qui voulaient manifester leur soutien à l’organisation terroriste sur Telegram ont en effet réussi l’exploit de… trahir leur géolocalisation. (@20minutes).