Légende Image. Le pont piéton en verre le plus long et haut du monde a ouvert au public, samedi 21 août, dans le centre de la Chine. L’édifice est installé dans les spectaculaires montagnes de Zhangjiajie, dont l’un des sommets alentour est réputé pour avoir inspiré le film américain Avatar (@FrancetvInfo). Photo Fred Dufour / Afp
#Agriculture
Ces start-up qui vont révolutionner l’agriculture mondiale. Des aliments qui remplacent les protéines animales, , l’utilisation massive du Big Data : En Californie, de nombreuses start-up travaillent aujourd’hui à proposer des solutions de remplacement aux protéines animales, de chasse au gaspi comme l’utilisation de capteurs pour réduire la consommation d’eau, de l’exploitation de la donnée pour permettre de passer d’une production de masse à une production sur mesure et optimisée. En comprenant mieux la plante et l’animal et en les « écoutant » grâce à des capteurs, c’est toute la chaîne de production agricole qui se modifie. (@LesEchos).
#SiliconValley
La tech américaine, un monde encore très majoritairement masculin. Qu’il s’agisse de Microsoft, Google ou Apple, c’est la même scène à chaque conférence de développeurs : à la fin de la « keynote », une gigantesque file d’attente se forme devant les toilettes des hommes, tandis que les femmes se réjouissent de pouvoir pour une fois accéder rapidement aux leurs. L’anecdote reflète la rareté des femmes dans les entreprises high-tech: elles représentent 36 % des salariés, une proportion plus faible que dans la totalité du secteur privé (48 %), selon un récent rapport de la commission gouvernementale sur l’égalité des chances. Ce chiffre intègre tous les métiers, de la vente au marketing, en passant par les ressources humaines, mais si l’on regarde en détail la proportion d’informaticiennes, elle est encore plus faible… et en recul. Selon l’American Association of University Women, 26 % des postes dans l’informatique étaient occupés par des femmes en 2013, contre 35 % en 1990. (@LesEchos).
Confort, salaires mirobolants… comment les géants de la Silicon Valley attirent les talents. De la nourriture à volonté, des cocktails en début d’après-midi le vendredi, un teinturier, un coiffeur et une navette avec wi-fi pour rentrer chez soi. Il ne s’agit pas de la promotion d’un séjour dans un hôtel 5 étoiles mais du quotidien des salariés travaillant au siège social de Facebook à Menlo Park. Ces avantages font partie de la guerre que se livrent les entreprises de la Silicon Valley pour attirer et garder les meilleurs salariés. Si chaque société dispose de son petit à-côté séduisant, des cours de yoga gratuits chez Twitter à la possibilité d’amener son chien au bureau chez Eventbrite, le nerf de la guerre reste avant tout la rémunération. Les sociétés high-tech représentent 20 des 25 entreprises où les salaires sont les plus élevés aux Etats-Unis, selon une étude publiée en avril dernier par Glassdoor, une sorte de Yelp de l’emploi. (@LesEchos).
#EconomieDuPartageEnChine (2/4)
Pourquoi Tujia n’arrive pas à copier Airbnb. En Chine, l’économie du partage est d’abord motivée par l’intérêt financier. Trente ans de communisme n’y ont rien changé. Pourtant, la nouvelle génération d’entrepreneurs de l’économie du partage, elle, s’attèle à rendre cette pratique plus spontanée et, surtout, plus créatrice de lien social. Tujia est souvent considéré comme l’équivalent d’Airbnb en Chine. Mais il existe une différence de taille entre les deux plateformes : le tête-à-tête entre propriétaires et locataires, qui est à la base du modèle d’Airbnb, n’était pas prévu à la création de Tujia, en 2011. Cela ne fait que quelques mois que la plateforme chinoise de location de résidences de luxe permet une rencontre directe entre ses membres. Pour une entreprise se revendiquant de l’économie du partage, c’est un comble : ce nouveau mode de consommation a beau être fondé sur un principe économique (la rentabilisation de biens ou de services sous-utilisés), il est censé favoriser la rencontre et l’échange social entre particuliers. Mais cette conception n’est peut-être valide qu’en Europe et en Amérique du Nord. En effet, qu’entend-on par « partage » dans cette nouvelle économie chinoise ? (@LaTribune).
#PokemonGo
Comment un jeu vidéo supplante les politiques de santé publique. Les utilisateurs de Pokémon Go sont amenés à marcher plusieurs kilomètres pour traquer les petites créatures virtuelles. Contributeur pour @LObs, Francois Krabansky, spécialisé en santé publique, le jeu pourrait bien satisfaire le bien-être et la forme physique des joueurs… Et devrait servir de modèle aux politiques de santé publique en France. (@LePlus)
#Sante
La robotique toujours plus présente en chirurgie. Le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Toulouse a réalisé deux greffes rénales par robot-assisté chez des patients souffrant d’une importante obésité. Il s’agit d’une grande première en Europe, qui montre une fois de plus que la robotique a toute sa place dans le domaine de la médecine et de la chirurgie. (@PresseCitron).
Une start-up conçoit une carte Vitale 2.0. Le projet, qui s’apprête à être testé en France, facilitera l’accès à un dossier médical numérique. Avec ce nouveau dispositif, le personnel médical peut accéder à distance, depuis son ordinateur, au dossier médical d’un patient, au moyen d’un QR Code, sorte de code-barres personnalisé figurant sur la carte Vitale de celui-ci. (@LeFigaro_Sante).
#Surveillance
Des outils d’espionnage de l’unité d’élite de la NSA publiés par des pirates. L’affaire, au parfum de guerre froide, intrigue les spécialistes des services de renseignement et de sécurité informatique depuis trois jours. Le 13 août, The Shadow Brokers, un groupe de pirates inconnu jusqu’alors, a publié sur Internet une série d’outils et de programmes d’espionnage informatique qu’il prétend avoir dérobé au groupe Equation, une référence transparente à la National Security Agency (NSA), responsable aux Etats-Unis de l’espionnage numérique. (@Pixelsfr).
#Robot
Marty, le petit robot à programmer, est beaucoup trop mignon pic.twitter.com/ca6NjBcEAO
— Mashable FR (@MashableFR) 21 août 2016