La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.
#Agriculture
► A Belle-Île-en-Mer, un projet viticole à l’étude depuis 2017, envisage de s’installer sur 7 hectares de la commune de Locmaria dans l’est de l’île. Mais certaines parcelles visées sont classées Natura 2000, d’autres sont en zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). Toutes ou presque devraient être déclassées par l’Etat pour permettre l’installation des vignes.Sur l’île l’opposition s’organise, l’association « La Bruyère Vagabonde » a été créée. Elle interpelle directement le porteur du projet dans une lettre ouverte : « Le maintien de votre projet sur des sites de la côte sauvage (…) serait source de divisions et de tensions. C’est pourquoi, par mesure d’apaisement, nous vous demandons de renoncer à ces projets avant que l’Etat n’ait à se prononcer. » @franceinfo. (Photo : Marcel Mochet / AFP).
#Internet
► Dans son livre « Et si… on libérait notre imagination pour créer le futur que nous voulons ? » (Actes Sud, 2020), l’Anglais Rob Hopkins, professeur de permaculture et initiateur du mouvement des villes en transition, livre un vibrant plaidoyer pour l’imagination au pouvoir, en donnant à voir plus qu’à penser à travers la présentation d’une multitude d’initiatives concrètes. L’échelle territoriale est cruciale pour Hopkins, qui ne croit pas au Grand Soir : « Si nous attendons le bon vouloir des gouvernements, il sera trop tard. Si nous agissons en qualité d’individu, ça sera trop peu. Mais si nous agissons en tant que communautés, il se pourrait que ce soit juste assez, juste à temps. » Il cite à ce propos Rutger Bregman, auteur du livre Utopies réalistes (Seuil, 2017) : « L’incapacité d’imaginer un monde où les choses seraient différentes n’indique qu’un défaut d’imagination, pas l’impossibilité du changement. » Hopkins donne matière à y croire avec force exemples, plus que force théories. @villeintelmag.
#Média_Social
► Challenge de youtubeurs à Firfol : des cavaliers branchés ! Victor de caval’blog, Corentin de cococampjump, Julie de carnetdunecavaliere et Montaine de unponeyjaune sont réunis à Firfol (14). Leurs trois points communs : tous cavaliers, ils sont très présents sur les réseaux sociaux et possèdent une chaîne youtube dédiée au cheval. En immersion au domaine de Firfol, les cavaliers ont été invités pour un challenge. Ils vont se mesurer au cours d’épreuves de travail à pied, parcours en terrain varié, arçon et même voltige, l’une des activités phares du centre équestre. Un challenge qui a débuté dès ce matin avec des exercices d’arçon et de voltige, immédiatement relayés sur Instagram par Leïla Mehnane, fondatrice de l’application Nowkey d’analyse vidéo et des formations pour l’équitation, à l’origine de ce challenge : « Les quatre youtubeurs vont ainsi partager leurs nouvelles expériences à Firfol avec leurs 180 000 abonnés. » @franceinfo
#Travail
► Après l’essor du coworking, voici venu le bureau en plein air. L’entreprise est l’un des lieux avec le plus grand risque de contamination au Covid-19. En France, un cluster sur cinq se forme sur des lieux de travail. Rien d’étonnant à cela : les open-spaces brassent chaque jour plusieurs personnes dans des espaces clos, souvent mal ventilés, où le virus circule donc très facilement. Comment réduire ce risque ? Certaines sociétés envisagent d’imposer le port obligatoire du masque à tous leurs salariés, tandis que d’autres encouragent le télétravail généralisé jusqu’à la rentrée, voire la fin de l’année. Une troisième voie, jusque-là peu explorée, permettrait de concilier l’activité professionnelle avec la perspective d’une menace épidémique durable : celle du travail en extérieur. Le travail en plein air a un effet bénéfique sur la concentration et l’état de santé général, pointait en 2010 une étude du Harvard Health Publishing. Une autre étude menée en 2011 par l’université de l’Oregon révélait même que les salariés bénéficiant d’un environnement de travail en lumière naturelle et connecté à la nature prenaient moins de congés maladie. Lire la suite de l’article sur le site @WeDemain.
#Réseau
► Digital India : le plan de l’Inde pour connecter chaque village en fibre optique en 1 000 jours. C’est à l’occasion de la fête de l’indépendance que le Premier ministre Narendra Modi a fait une déclaration officielle à propos d’un projet qui fait beaucoup parler à travers le monde : Digital India. C’est le nom de cet ambitieux programme qui vise à connecter tous les villages du pays à la fibre optique dans un délai maximum de 1 000 jours. Si l’Inde possède déjà un immense territoire terrestre, le pays a également quelques îles à couvrir. Cela ne sera pas un problème selon Narendra Modi qui annonce également qu’une connexion sera également possible grâce à un câble sous-marin. Un peu comme le projet 2Africa de Facebook ou celui de Google, Grace Hooper, qui doit relier les États-Unis à l’Espagne et au Royaume-Uni. Lire la suite de l’article sur le site @siecledigital.