La ville dans la révolution digitale. « Le XIXe siècle était un siècle d’Empires ; le XXe siècle, celui des États-Nations. Le XXIe siècle sera un siècle de villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers, en 2009.
#Travail
► À quoi ressemblera le travail en 2030 ? Par François-Xavier de Vaujany, Université Paris Dauphine – PSL; Amélie Bohas, Aix-Marseille Université ; Aurélie Leclercq-Vandelannoitte, IESEG School of Management; Julie Fabbri, EM Lyon et Sabine Carton, Université Grenoble Alpes. Billet originellement publié sur The Conversation. Le travail se transforme et avec lui toute la société. Les débats sur son futur ont été particulièrement vifs ces trois dernières années, (re)lancés par les discussions autour du digital, du travail indépendant, des pluri-actifs (slashers), du revenu universel, ou encore de questions sur les nouvelles formes de management, de solidarité et de gouvernance. Centrés tantôt sur l’emploi, le travail ou encore les pratiques de management, ces débats ont eu un mérite : rendre visible la multiplicité des avenirs possibles du travail. Lire la suite sur le suite de @metamedia. Cette contribution est tirée de l’étude intitulée « Le futur du travail en 2030 : quatre atmosphères ? »,
#Ville
► « Vivre à Angers », une application qui renforce l’intelligence du territoire. Regrouper toutes les applications digitales d’une ville, en une seule, l’idée n’est pas nouvelle. Mais faire en sorte qu’elle corresponde aux besoins des usagers, c’est une démarche plutôt novatrice. Angers qui ambitionne d’être un vrai territoire intelligent, vient de faire un grand pas avec son application mobile « Vivre à Angers », laquelle devrait permettre aux citoyens d’accéder aux services publics territoriaux et de s’informer de la vie de la cité en quelques clics. (@villeintelmag). A lire aussi : Christophe Béchu, maire d’Angers : « Nous sommes lancés dans une démarche de ‘smart city’, pour rendre intelligent notre territoire » (@europe1).
#Lifi
► Dans l’ombre de la 5G, le LiFi tente de percer en s’appuyant sur la lumière. Au CES de Las Vegas, la grand-messe annuelle de l’électronique grand public, difficile cette année de passer à côté de la 5G, cette nouvelle norme de télécommunication qui doit, à courte échéance supplanter la 4G, et permettre des débits de communications beaucoup plus élevés. Mais une autre révolution s’esquisse également, plus discrète mais tout aussi prometteuse : le LiFi pour Light Fidelity. Cette technologie pourrait dans les prochaines années rivaliser avec le réseau WiFi, ou au moins le compléter utilement. Concrètement, le LiFi s’appuie sur la lumière – plus précisément sur la modulation du clignotement d’ampoules LED – pour encoder des messages (mail, vidéo, etc.), puis les restituer à l’aide d’un récepteur. Le procédé n’est pas vraiment nouveau, puisqu’il a été développé dès 1881, par Alexander Graham Bell, l’inventeur du téléphone. Mais l’arrivée sur le marché des ampoules LED au début des années 2000 a permis de l’améliorer significativement et les premières solutions grand public commencent désormais à voir le jour. (@lemondefr).
#Application
► Comment les applications sociales impactent nos émotions. Par Barbara Chazelle, France Télévisions, Prospective et MediaLab. Pourquoi utilise-t-on un réseau social plutôt qu’un autre ? Selon l’étude Apposphere* menée par Murphy Research pour Snapchat, il y a trois éléments de réponse à cette question : les applications impactent l’humeur de leurs utilisateurs ; ces derniers attendent quelque chose de spécifique pour chacune d’elles ; il y a de la place pour toutes ces apps dans leur quotidien. Lire la suite sur le site de @metamedia.
#CES2019
► La tech au service de la résilience pour affronter un monde interconnecté. « Aujourd’hui, toutes les entreprises deviennent des firmes technologiques », a bien résumé cette semaine Gary Shapiro, le patron du CES en ouvrant la plus grande foire mondiale de la tech. Résumé des épisodes précédents au CES : – 2015 : les objets commençaient à se réveiller à Las Vegas pour façonner l’Internet de tout ; – 2016 : la vraie nouveauté n’était pas exposée, mais en toile de fond invisible, l’intelligence artificielle, à la demande, partagée en temps réel, commençait à tout changer. – 2017 : la voix, nouvel OS de nos vies connectées, s’annonçait comme la nouvelle grande plateforme technologique. – 2018 : la voiture, bientôt autonome, entendait remplacer le smart phone, comme le prochain grand canal de distribution de contenus ; – 2019 : un cocktail de 5G, d’IA, d’AR, d’IoT (dire désormais Intelligence des Objets), mâtiné de blockchain et de robotique, est en train de conduire assez naturellement à un nouveau monde interconnecté, très horizontal, où fusionnent informatique et électronique, monde physique et numérique, dans la plupart des secteurs économiques (santé, sport, finance, agriculture, divertissement, mode, transports, infrastructures,…). Lire la suite sur le site de @metamedia.
#Agriculture
► Pesticides : la graine de l’espoir du Bénin. C’est un arbre que l’on retrouve dans bien des villages en Afrique, qui pousse aussi en Amérique du Sud ou en Inde. En France, on l’appelle le margousier. Un arbre qui va peut-être changer la vie de nombreux agriculteurs. Depuis quelques années, des groupes de femmes à travers tout le Bénin ont commencé à ramasser ces graines issues du fruit tombé de l’arbre. Elles ont depuis peu la possibilité de les vendre, pour 0,2 € le kilo. Aujourd’hui, un homme leur achète ces graines. « Les parents ont dit qu’ils les utilisaient pour chasser les moustiques et autres. Je me suis dit, dans ce cas, il y a un principe actif qui est dedans, et qui est répulsif », explique Gildas Zodomé, fondateur de l’entreprise Biophyto. En réalité; l’huile de la graine contient un puissant répulsif contre les moustiques. D’où l’idée de Gildas Zodomé de trouver une alternative aux pesticides chimiques, qui est en plus la moins chère du marché. Ces pesticides biologiques ont tout pour séduire de plus en plus d’agriculteurs, au Bénin d’abord, en Afrique ensuite, et pourquoi pas au-delà. (@franceinfo).
#Commerce
► Grandes surfaces, e-commerce: pourquoi de nombreux magasins sont condamnés à disparaître. Les chiffres sont spectaculaires et contre-intuitifs. Ces dernières années, les surfaces commerciales continuent régulièrement d’augmenter. La France est même le pays le plus dynamique en Europe de l’Ouest depuis trois ans, avec 326 000 mètres carrés de centres commerciaux supplémentaires en 2017, selon le cabinet Cushman & Wakefield, auxquels il faut ajouter 459 000 mètres carrés de parcs de magasins à ciel ouvert. C’est trois fois plus qu’au Royaume-Uni, alors qu’en Allemagne une nouvelle législation freine considérablement le développement des centres périurbains. Pourtant, pas un mois ne se passe, ici, sans l’annonce de fermetures de magasins, comme chez Brice, Pimkie, Chaussexpo ou New Look, voire la disparition pure et simple de chaînes, telles que Mim, Toys R Us ou Scottage, rachetée en 2005 par le groupe Beaumanoir. Ses 100 boutiques tireront définitivement le rideau en août. (@Challenges).
#LiensSauvages
► – L’armée américaine développe une IA pour « prédire les évènements mondiaux » (@usbeketrica) ; – CES 2019: le match des titans entre Alexa d’Amazon et Google Assistant (@Challenges) ; – Les États-Unis freinent sur la voiture électrique (@Figaro_Economie) ; – CES 2019: Le logement de demain, intelligent et frugal (@LesEchos) ; – Les deux principes à appliquer pour créer de l’intelligence collective (@Ageficom) ; – AI4EU : face à la Chine et aux USA, l’Europe dévoile une plateforme pour la recherche en IA (@Numerama).