16 Sep

ReVue d’actu de 11h11 – dimanche 16 septembre 2018

La ville dans la révolution digitale. « Le XIXe siècle était un siècle d’Empires ; le XXe siècle, celui des États-Nations. Le XXIe siècle sera un siècle de villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers, en 2009.

#Entreprise

► Bienvenue au pays des jeunes pousses bordelaises. Hé, hé ! Sortez vos chaussures de running, le marathon de la rentrée a démarré. Pour débuter ce mois de septembre sur les chapeaux de roue, nous vous proposons une immersion au pays des jeunes pousses bordelaises. Un environnement qui va vite, très vite même ! Depuis quelques années, Bordeaux multiplie les structures d’accompagnement pour aider les start-up à émerger et à accélérer. Incubateurs, pépinières, accélérateurs. Depuis les bancs de l’école, en passant par des lieux hybrides et inspirants, voici notre Top 10 de ces structures qui aident, encouragent, soutiennent et propulsent leurs pépites. (@frenchweb). Crédit photo : shutterstock.

#Agriculture

► Romainville : le chantier de la première « tour maraîchère » de France est lancé. la première pierre de la « Cité maraîchère » a été posée vendredi à Romainville (Seine-Saint-Denis), un projet d’agriculture urbaine qui devrait voir le jour en 2019. Une tour de 24 mètres de hauteur où seront produites chaque année douze tonnes de fruits et légumes. « « En réintroduisant de l’activité maraîchère à Romainville, nous avons souhaité tout d’abord redonner à la ville, longtemps lieu de cultures maraîchères, une vocation de ville nourricière. Mais nous allons également générer une nouvelle activité économique créant de l’emploi et notamment de l’emploi en insertion », a expliqué la maire Corinne Valls  (@Le_Parisien). A lire aussi : Après New York et Singapour, Romainville veut voir pousser sa tour maraîchère (@Lobs).

► Faire pousser des légumes sur le toit d’un immeuble, dans un tunnel ou un parking, ça s’appelle l’agriculture urbaine. Et ça pourrait être l’avenir. Le boom de l’agriculture urbaine via Brut @YouTube

#Santé

► Le nouvel eldorado de la télémédecine. Quand on pénètre dans le cabinet parisien du docteur Georges Horyn, difficile à première vue d’imaginer que l’on est chez un précurseur. Pas d’instruments médicaux ultramodernes, de vieux rideaux mauves occultent la lumière du jour et, sur le bureau, tout juste l’ordinateur portable du gynécologue. A 62 ans, le docteur Horyn n’a plus franchement le temps – ni l’envie ! – de développer davantage sa patientèle. Mais il y a quelques mois, il a découvert la télémédecine. Le principe : un médecin réalise un diagnostic à distance à l’aide d’une visioconférence. Il peut à la fois interpréter des résultats et rédiger une ordonnance. Cette pratique était jusqu’à présent à la charge du patient.  Mais, depuis le 15 septembre, elle est désormais remboursée comme une consultation classique par l’assurance-maladie si elle s’inscrit dans le parcours de soins encadré par le médecin traitant. « Les tarifs et les modalités de prise en charge de ces consultations sont les mêmes que pour les consultations en présentiel, de 25 euros chez un généraliste à 30 euros chez un spécialiste », rappelle à L’Express l’assurance-maladie. (@LExpress).

#MediaSocial

► Fin du compte Twitter de la Suède, « le plus démocratique du monde » C’est une expérience sociale à l’échelle d’un pays qui s’achèvera à la fin de septembre : celle du compte Twitter@sweden, ouvert en 2011 par l’Institut suédois, organisme gouvernemental chargé de la promotion de l’image de la Suède. A partir du 30 septembre, le compte, qui restera accessible, ne sera plus actif. Depuis le 10 décembre 2011, la gestion de ce compte Twitter était confiée, chaque semaine, à un Suédois (ou à un étranger résident en Suède) différent.Chacun est libre de s’en servir comme il l’entend, pour dire ce qu’il veut, à qui il veut. Sans censure, ni contrôle — tant que les propos tenus ne tombent pas sous le coup de la loi, ne font pas de publicité pour une marque ou ne représentent pas une menace pour la sécurité. (@Pixelsfr).

► En finir avec l’anonymat sur Twitter, la fausse bonne idée. La grande force des réseaux sociaux est de pouvoir transformer une remarque anodine en une passionnante discussion, de faire d’un simple tweet les prémisses d’une réflexion collective. C’est ce commentaire banal lancé sur Twitter par la journaliste Aude Lorriaux, pas plus pertinent, pas plus insensé qu’un autre, qui a lancé un débat fécond : «J’aimerais tellement que Twitter oblige ses membres à afficher leur identité réelle. On est moins méchant quand on ne se cache pas», soupire le journaliste. Et de renvoyer ses lecteurs vers un article du Monde, évoquant la lassitude de journalistes américains face à l’outil Twitter. Comme cette reporter du New York Times qui déplore que le réseau soit devenu un « jeu vidéo de la colère pour de nombreux usagers », « un énorme et inutile gaspillage de temps et d’énergie mentale ». (@libe).

#IntelligenceArtificielle

► Rand Hindi, crack de l’intelligence artificielle. Lorsqu’il s’agit de livrer la preuve des bienfaits de l’intelligence artificielle, il est capable de donner de sa personne. En 2011, il est ainsi devenu son propre cobaye en prenant 35 kg qu’il a ensuite réussi à perdre, histoire de prouver la pertinence de son algorithme. Rand Hindi planchait alors sur la nutrition personnalisée grâce à l’intelligence artificielle. Depuis ses 18 ans, l’IA est en effet son « dada ». Il a très tôt pressenti qu’elle allait s’immiscer dans notre quotidien et se retrouver au coeur des prochains bouleversements technologiques et a suivi, à Londres, un master spécialisé en la matière. Lire la suite sur le site de (@_tendances.