La ville dans la révolution digitale. « Le XIXe siècle était un siècle d’Empires ; le XXe siècle, celui des États-Nations. Le XXIe siècle sera un siècle de villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers, en 2009.
#StreetArt
Légende image. Street Art @GoogleStreetArt, publié sur Twitter le 26 juin. New Street Art by Manomatic found in Bogota Columbia #art #arte #streetart
#MediaSocial
Facebook veut lancer des programmes télé exclusifs. Après les programmes estampillés Amazon, Netflix et Hulu, les internautes pourront bientôt découvrir les séries de Facebook. Selon le « Wall Street Journal », le réseau social discuterait avec des studios et agences artistiques de Hollywood afin de proposer à ses utilisateurs un ou plusieurs programmes de télévision à la fin de l’été. Facebook ne compte pas lésiner sur les moyens, puisqu’il serait prêt à financer jusqu’à 3 millions de dollars par épisode pour ses contenus exclusifs, soit le haut de la fourchette pour les émissions et séries diffusées sur le câble aux Etats-Unis. Selon le quotidien américain, l’entreprise envisage de proposer deux types de format, l’un d’environ 10 minutes, et l’autre de 30 minutes au plus, tous deux comportant de la publicité. La cible serait principalement la population des Millennials (nés entre 1980 et 2000), en particulier la tranche 17-30 ans, avec des programmes dans l’esprit de la série « Pretty Little Liars », qui raconte l’histoire de cinq jeunes femmes. Les programmes pour enfants et jeunes adolescents, ainsi que les émissions politiques, les contenus jugés grossiers ou comportant trop de scènes de nu seraient proscrits. Facebook pourrait en revanche reprendre des séries tombées en disgrâce, comme « Loosely Exactly Nicole », un feuilleton sur Hollywood diffusé sur MTV et annulé après une saison faute de succès. « Nous travaillons avec un petit groupe de partenaires et de créateurs qui conçoivent des programmes autour desquels il est possible de bâtir une communauté, qu’il s’agisse de sport, de comédie, de télé-réalité ou de jeux », a confirmé Nick Grudin, responsable des partenariats média pour Facebook. (@LesEchos).
#Entreprise
Social : À Jaux (Oise), Delbard expérimente le magasin sans directeur. La jardinerie a été prise en main, depuis un an, par les dix-huit salariés. Un magasin qui se réinvente au travers de leurs décisions collégiales. Le dernier directeur de la Jardinerie Delbard a quitté l’enseigne, en juin 2016. Plutôt que de recruter son remplacement, les nouveaux acquéreurs mettent au défi les dix-huit collaborateurs du magasin de se lancer dans une aventure : l’entreprise libérée. L’emballement n’est pas immédiat pour une majorité des salariés. « C’était comme ouvrir la cage d’un oiseau qui n’a jamais connu la liberté et qui préfère rester sur son perchoir, là où il a à boire et à manger, philosophe-t-il. Avant, on pouvait se cacher derrière notre petit doigt. Le directeur, c’était le paratonnerre. En cas d’erreur, ça tombait sur lui. » (@courrierpicard).
Google, Facebook, Apple : quand l’entreprise devient une véritable « ville dans la ville ». Les géants de la tech rivalisent d’inventivité pour transformer leurs sièges sociaux en « villes dans la ville », ultramodernes et dotées de toutes les infrastructures d’une cité. L’objectif : stimuler l’innovation en créant les meilleures conditions de travail pour les employés, quitte à totalement casser les frontières entre vie professionnelle et vie privée. Zoom sur les « campus » de Facebook, Apple et Google, qui vient d’obtenir l’autorisation de remodeler totalement le centre-ville de San Jose. Une première. (@latribune).
#Incubateur
Dix chiffres à connaître sur Station F, le plus gros campus de start-up au monde. L’inauguration de Station F, le plus gros campus de start-up au monde, aura lieu jeudi 29 juin à partir de 19h30 en présence du Présidant Emmanuel Macron. Les premières start-up s’installeront dans les locaux réhabilités de la halle Freyssinet à partir du 1er juillet. Focus sur 10 chiffres à connaître sur ce projet d’envergure pour l’écosystème start-up français comme : 21 programmes d’accélération s’y côtoieront, dont 10 programmes internationaux ; 250 millions d’euros est le montant investi par Xavier Niel dans ce projet ; Au total, 1 000 start-up devraient être accueillies sur place ; 28 ans : c’est l’âge moyen de l’équipe qui anime le lieu. A lire aussi : Quatre start-up incubées à Station F. (@frenchweb).
#Ville
Le prochain CES de Las Vegas mettra le focus sur la Smart City. Salon consacré à l’innovation technologique en électronique grand public, le Consumer Electronics Show (CES), qui se déroule chaque année à Las Vegas a pour habitude de se focaliser sur les ordinateurs, smartphones, réalité virtuelle et équipements connectés. Pour l’édition 2018 qui aura lieu du 9 au 12 janvier, l’incontournable salon souhaite attirer l’attention sur la façon dont l’Internet des objets (IoT) façonnera les villes dans lesquelles nous vivons. (@villeintelmag).
Et si l’avenir des villes moyennes était collaboratif ? Les villes moyennes sont revenues dans le débat public pendant la campagne présidentielle, avec l’alerte de collectivités, experts et citoyens sur l’urgence de lutter contre la dévitalisation de leurs centres. En parallèle, la question de la fracture territoriale ne cesse d’être mise en avant par des parutions chocs de géographes et de journalistes. D’où l’intérêt de se demander quel nouveau modèle de développement peut émerger pour ces territoires, en lien avec la transformation des usages par l’économie numérique et collaborative. Face à une crise de l’attractivité, les villes moyennes se tournent de plus en plus vers leurs richesses intérieures en privilégiant l’entrepreneuriat et la formation – c’est le cas, par exemple, des fabriques Simplon – pour accélérer la transition numérique des entreprises et créer de l’emploi. Pourtant, la concurrence accrue par la métropolisation freine la rétention des talents et des activités au sein des villes moyennes. (@ClubTechniCites).
#Politique
Facebook va aider les Français à s’informer sur leurs élus. Facebook lance mardi 27 juin un dispositif pour aider ses utilisateurs en France à s’informer sur leurs élus, en association avec un organisme de «civic tech», a annoncé le réseau social. Les utilisateurs du réseau en France recevront une notification, qui leur proposera d’accéder à une page pour identifier leurs élus au niveau local, régional, national et européen, précise Facebook dans un communiqué. Les utilisateurs devront indiquer leur adresse (qu’ils pourront modifier ou supprimer par la suite), et verront alors s’afficher une liste incluant leurs élus (maire, député, sénateur, président de région, président de la République, députés européens) ainsi que le Premier ministre, avec pour chacun le nom, le parti et la page Facebook si elle existe. Ils pourront alors, s’ils le désirent, suivre l’activité de leurs élus actifs sur le réseau social, ou un thème politique en particulier. (@libe).
#Europe
Bruxelles inflige une amende record de 2,42 milliards d’euros à Google. Google a beau aimer occuper les sommets, c’est un record dont il se serait bien passé. Mardi, la Commission européenne a infligé au mastodonte américain une amende de 2,42 milliards d’euros pour abus de position dominante dans l’affaire de son comparateur de prix, « Google Shopping », qui l’oppose à Bruxelles depuis plus de sept ans. Un record : jusqu’ici, l’amende la plus lourde infligée par le gendarme européen de la concurrence, à Intel en 2009, était de 1,06 milliard. Ce montant se justifie par « l’ampleur et la durée » de l’abus, en cours depuis 2008, a indiqué la Commissaire à la Concurrence,Margreth Vestager, alors que Google Shopping est présent dans 13 pays de l’UE regroupant plus de 400 millions de citoyens. L’exécutif européen donne 90 jours à Google pour corriger le tir. A défaut, le groupe s’exposerait à une astreinte quotidienne pouvant atteindre 5% du chiffre d’affaires quotidien moyen d’Alphabet (246 millions de dollars), sa maison mère. Google dit « étudier un futur appel », très probable, de la décision. (@LesEchos).
#Futur
En 2050, la France sera très différente. Beaucoup plus de monde, une population vieillissante, des températures plus chaudes : Brut s’est amusé à compiler quelques faits sur la situation du monde de demain. (@franceinfo).
#Librairie
Le Syndicat de la Librairie française (SLF) a lancé dimanche 25 juin lors des quatrièmes rencontres nationales de la librairie à La Rochelle une plateforme de recherche de livres sur Internet, librairiesindependantes.com. La France compte 3.200 librairies indépendantes et ce site fédère les fonds de 700 libraires indépendants et doit permettre de renforcer leur présence sur le Web. C’est un site ombrelle. Il ne vend rien. « C’est comme pour les billets d’avion. Il existe des sites internet qui regroupent toutes les offres du marché et qui redirigent ensuite vers les sites marchands. Librairiesindependantes.com fonctionne de la même manière », a précisé le Délégué général du syndicat. Les lecteurs pourront ainsi, en quelques clics, savoir où trouver le livre, le commander, le retirer près de chez eux ou se le faire livrer à domicile. Les libraires non affiliés sont invités à les rejoindre. (@Challenges).
#Connaissance
Organiser des ateliers de transmission de connaissances sous forme de troc. C’est le créneau de Trade School. Né à New-York, le concept débarque à Toulouse. « Il n’y a pas d’échange monétaire ! Pas de hiérarchie de savoirs ! Tout le monde peut être un jour animateur et un autre jour participant ». explique Mundhi-Ling Gunawan, co-fondatrice de Trade School Toulouse. A lire le blog Tout ce qui buzz sur @France3MidiPy.
#SerieTV
Facebook serait en discussion avec Hollywood pour produire des séries. Regarder des séries sur Facebook ? Cela devrait bientôt être possible. Le réseau social souhaiterait lancer des programmes originaux d’ici cet été, selon le Wall Street Journal. Des rumeurs circulaient depuis mi-décembre. Le géant américain serait actuellement en discussion avec des studios de production hollywoodiens afin de réaliser des séries et des émissions. Deux formats seraient étudiés : des épisodes courts de 10 minutes – rapides à regarder et donc, adaptés au web et au mobile – et des épisodes de 30 minutes. Avec ce nouveau projet, Facebook cible les 13-34 ans – et plus particulièrement les 17-30 ans. Conséquence : l’entreprise de Mark Zuckerberg devrait se concentrer sur des programmes accessibles à tous. Elle dit vouloir éviter les émissions politiques et les scènes de nus, selon le Wall Street Journal. Facebook s’intéresserait à des programmes dans la lignée de « Pretty Little Liars », qui racontent la traque de cinq jeunes femmes, ou encore l’émission de télé-réalité Bachelor. (@latribune).
Les séries TV, le nouveau chantier des géants du Net. Le grand big bang des séries télévisées continue. Depuis que Netflix, grâce à des paris créatifs osés comme Orange Is the New Black ou House of Cards, a changé les règles du jeu en popularisant une nouvelle manière de produire et de consommer les séries télévisées -à la demande, sur internet et via un abonnement-, les géants du Net veulent aussi leur part du gâteau. Logique : les produits et services de Google, Apple, Facebook et Amazon ont déjà changé les usages de milliards d’utilisateurs. Ces quatre géants, tous dans le top 10 des plus grandes valorisations boursières mondiales, ont su créer autour d’eux un véritable écosystème. Ils peuvent donc utiliser leur capacité exceptionnelle à mobiliser une large audience pour dominer de plus en plus de secteurs et engranger toujours plus de revenus et de données. D’où leur offensive, depuis deux ans, dans les contenus. (@latribune).