07 Août

ReVue d’actu de 11h11 – dimanche 7 août 2016

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Légende Image. Soleil, bronzette et bon temps sur la plage de Deauville au début du XXe siècle (@MashableFR). Photo : Des nageurs posent pour une photo avec le photographe officiel de la plage. (Imagno / Getty Images).

#Rio2016

Les journalistes interdits de faire des GIF sur les JO 2016. Les médias devront se passer des images animées pour illustrer des sujets concernant les Jeux olympiques. En effet, le Comité international olympique (CIO) interdit les journalistes de créer des GIF pendant la durée de la compétition qui débute ce vendredi à Rio de Janeiro. C’est en tout cas ce qui est très clairement marqué dans l’article 2 du chapitre IV du règlement intérieur encadrant la couverture médiatique de l’événement. « L’utilisation d’images des Jeux Olympiques transformées en GIF animés, GFY, WebM ou en des formats vidéo courts tels que des Vines ou autres est expressément prohibée », peut-on lire dans le document officiel. (@Numerama).

#PokemonGo

Réenchantement du réel ? Le jeu « Pokemon Go » est arrivé en France le 24 juillet dernier déclenchant immédiatement l’engouement de nombreux jeunes et moins jeunes. Comment comprendre et analyser cette arrivée fracassante de la réalité virtuelle dans le monde réel ? (@FranceCulture).

Withings déclare Marisol Touraine gagnante. C’est la question que se posent maints parents et DRH : Mais qu’est ce qui fait courir la génération Y ? L’équipementier Witings fournit un début de réponse : le jeu Pokémon Go fait marcher le 15 – 24 ans et pas qu’un peu. Souvenez-vous, c’était la semaine dernière. Autant dire un siècle en temps Pokémon Go. Deux ministres du gouvernement Valls s’opposait au sujet du jeu de réalité augmentée. Marisol Touraine contre Laurence Rossignol. Qui des deux allait emporter le match ? La minsitre de la Santé qui voyait dans cette vague l’occasion de pratiquer une activité sportive, réputée bonne pour la santé ? Ou la ministre des Familles qui raillait ces ados accros scotchés devant leur écran de portable ? (@LUsineDigitale).

#StartUp

Wibbitz, la start-up qui transforme des mots en vidéos. Ce n’est certes pas du plomb qui se change en or, mais il y a un petit côté magique dans Wibbitz. En quelques secondes, cette start-up d’origine israélienne transforme du texte en vidéo. Plus précisément, elle reprend des images des médias partenaires, ou va aussi piocher dans des bases de données ou des agences, comme Getty Images, pour résumer en vidéo des articles en trente secondes-une minute, avec une voix off. (@LesEchos).

#ObjetsConnectes

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Pourquoi la révolution IoT passera par le blockchainPar Xavier Dalloz, président de Xavier Dalloz Consulting. Depuis 1944, tous les 10 ans, une innovation majeure change tout. Il y a eu le premier ordinateur en 1944, le premier mainframe en 1954, le premier mini ordinateur en 1964, le premier micro ordinateur en 1974, le McIntosh en 1984, le Web avec Netscape en 1994, les réseaux sociaux en 2004. Voici l’Internet of ME avec le Blockchain of Things – BoT. Le blockchain peut être défini comme l’historique décentralisé et exhaustif de toutes les transactions effectuées depuis sa création et qui y sont consignés par blocs consécutifs dans un grand livre de compte. La sécurité de la transaction est assurée par un réseau d’ordinateurs qui valident et certifient la transaction avant de l’inscrire de manière définitive dans un bloc. Une fois enregistrée, cette dernière devient infalsifiable et facilement vérifiable. Il s’agit donc d’un réseau distribué au sein duquel les transactions s’effectuent en pair à pair (P2P). Lire la suite sur le site @Frenchweb.

#Europe

Un eurodéputé veut que Bruxelles enquête sur Tinder, Happn et Runkeeper. Membre de la commission « Marché intérieur et protection des consommateurs », l’eurodéputé belge Marc Tarabella veut que la Commission européenne parte en guerre contre plusieurs applications pour smartphones, dont deux de rencontres en ligne (Tinder et Happn) et une de suivi sportif (Runkeeper). Dans un communiqué, le député européen PS estime en effet qu’elles imposent des conditions d’utilisation qui s’avèrent en violation du droit européen. « La réutilisation des données des consommateurs et des photos, même après la désactivation d’un compte, pose problème », souligne notamment le parlementaire , en évoquant le cas de Tinder. (@LesEchos).

#FoodTech

La chute de Take Eat Easy, une mauvaise nouvelle pour la bulle Internet ? Take Eat Easy, une start-up fondée à Bruxelles à l’été 2013, qui a lancé un service de livraison à vélo de plats de restaurateurs à domicile, faisait partie des fleurons de la « foodtech ». Le secteur est à la croisée des progrès des technologies d’optimisation de la chaîne logistique (l’internet mobile, la géolocalisation, les algorithmes de dispatching), de la restauration classique et de l’art de vivre branché. La semaine dernière, la start-up a annoncé à la surprise générale suspendre son activité et être en redressement judiciaire. L’arrivée de la «foodtech» dans les rues en France n’est pas passée inaperçue l’année dernière. Cette vague s’est matérialisée par l’irruption massive de livreurs à vélo reconnaissables à leur tenue et à leur sac à dos floqués du pavillon d’une des trois start-up qui se livrent une guerre de territoire, l’allemand Foodora, l’anglais Deliveroo et, donc, le belge Take Eat Easy. Le modèle fonctionne sur une double commission, perçue côté restaurateur (autour de 25-30%) et côté client final (commission fixe ou fonction de la commande). Une appli ergonomique et une fine organisation de la logistique ont permis au secteur déjà ancien de la livraison de plats de réduire le temps d’attente en-deçà de la barre symbolique des quarante-cinq minutes. (@slatefr).

#Numerique

Internet m’a tué ! Comment le cinéma et la musique jouent à se faire peurLa révolution numérique oblige les industries culturelles à sortir des schémas traditionnels. Dans une posture d’assiégés, elles ont pour réflexe d’interdire et verrouiller. Un essai éclairant, « La menace fantôme », décrypte pourquoi ces craintes sont infondées.  (@Rue89).

#MediaSocial

Le réseau social Strava veut rentabiliser les données fournies par les cyclistesLancée en 2011, la plate-forme Strava, peu connue hors des milieux sportifs, est devenue en cinq ans le réseau social des cyclistes amateurs et des coureurs : le Facebook des bikers, quoique son PDG, Mark Gainey, n’aime guère la comparaison. « Dans Facebook, il est question d’amitié. Strava, c’est pour les athlètes, note-t-il. Pour leur permettre de comparer leur activité sportive avec celle des autres. » Strava, autrement dit, est un lieu de compétition. Chacun y affiche ses exploits. Le champion est sacré « King of the mountain » (KOM), ou roi de la montagne, un titre qui n’a rien à envier à celui de maillot à pois du meilleur grimpeur. Strava est installée à San Francisco (Californie), dans le Soma (« South of Market »), le quartier des start-up des années 2010. Un plateau ouvert, de 2 000 mètres carrés, surplombé par une mezzanine. Quelques graphiques design, un logo orange. Rien que de très banal sinon l’entrée, qui a l’allure d’un magasin de cycles doublé d’un vestiaire. Les salariés (une centaine au siège) viennent au bureau à vélo, accrochent leur bike aux anneaux suspendus au plafond et laissent leurs tennis en désordre devant les casiers. (@LeMondefr).

#Television

Séries TV, culture et modes de consommationSpectateurs exigeants, culture voire addiction : les séries TV ont, au fil des années, pris de plus en plus de place dans la culture populaire et su imposer de nouveaux modes de consommation. Nouvel épisode de [détox] et nous allons parler de télévision et plus particulièrement de séries. Nous sommes nombreux aujourd’hui à consacrer plusieurs heures par semaine ou par jour à la visualisation de séries, ce qui a donné naissance à des pratiques et des comportements nouveaux souvent liés à Internet. (@pressecitron).