#Productivite
Le mariage Microsoft-LinkedIn : un séisme dans le monde du travail ? Le 13 juin dernier, Microsoft annonçait le rachat de LinkedIn pour 26,2 milliards de dollar. Outre son intérêt purement business, cette acquisition va avoir un impact sans précédent sur l’évolution des lieux de travail et sur l’autonomisation de la productivité. Selon Microsoft et LinkedIn, cette acquisition est la combinaison parfaite de deux entreprises ayant le même objectif : améliorer la productivité au sein des sociétés. Cette combinaison porte sur les tendances qui affectent la façon dont nous organisons le travail pour maximiser la productivité, surmonter les obstacles et accueillir de nouveaux collègues. (@journaldunet).
#Livraison
Deleasy est une plateforme permettant de se faire livrer, dans l’heure, des courses locales, faites aussi bien chez les petits commerçants de quartiers que dans un supermarché. Erwann Le Page, CEO de la startup, a répondu aux questions de la rédaction de @bymaddyness.
#Festival
Il y a 25 ans, une quinzaine de copains organisaient dans la petite commune de Landeleau (Finistère) une soirée-concerts, qui avait rassemblé 500 personnes. Un quart de siècle plus tard, l’événement a déménagé dans la ville voisine de Carhaix et est devenu le plus gros festival de France. Le festival s’apprête à accueillir 270 000 personnes en quatre jours. Suivre le festival des Vieilles Charrues sur @France3Bretagne.
#Sante
Un an après son lancement en juillet 2015, « Hospitalidée » considéré comme le Tripadvisor des hôpitaux, des cliniques et des médecins. Il s’est imposé comme le premier site d’avis santé en France. La plateforme web créée par un Toulousain s’apprête à lever 3 millions d’euros. (Tout ce qui buzz – @France3MidiPy).
#LacheTonSmartphone
Est-il possible de se défaire de son smartphone en vacances et d’oublier la frénésie de l’hyperconnecté(e) ? La réponse est non et les opérateurs y sont pour quelque chose. (@INfluencialemag).
#Blockchain
La blockchain va impacter l’éducation. Un nouvelle étude de KnowledgeWorks explore le potentiel de la technologie blockchain au niveau des écoles, des enseignants, des parents et des élèves en ce qui concerne l’avenir de l’apprentissage. L’étude envisage les impacts possibles que la blockchain et les contrats intelligents pourraient avoir sur l’avenir de l’apprentissage. Le document examine les tendances culturelles et la technologie et explore quatre scénarios possibles qui reflètent la façon dont la blockchain pourrait ou ne pourrait pas permettre de nouvelles voies pour l’apprentissage personnalisé. (@FinYear).
Les institutions financières tentent de s’approprier la technologie « blockchain ». Inconnue de la majorité des équipes de direction des groupes financiers il y a un peu plus d’un an, la « blockchain » est désormais présente dans tous les esprits. Et pour cause : outre le « buzz » que suscite cette technologie de registre distribué, initialement utilisée pour échanger de la monnaie cryptée comme le bitcoin, les directions des grands groupes financiers y décèlent un potentiel pour faire émerger de nouveaux modèles économiques et gagner en efficacité. C’est ce que révèle un sondage réalisé en mai dernier par Deloitte et l’Efma auprès de 3.000 dirigeants de banque et de compagnie d’assurances dans le monde. « 92 % des dirigeants interrogés estiment que la blockchain aura un impact sur leur industrie ou leur métier. Pour 15 % d’entre eux, elle sera aussi à l’origine d’un fort bouleversement », détaille Julien Maldonato, directeur chez Deloitte. Pour ces dirigeants, la révolution est quasi imminente : 85 % estiment que l’utilisation de la « blockchain » devrait être généralisée d’ici à cinq ans. Le transfert d’argent à l’international pourrait être le premier métier à devoir s’adapter : 60 % des dirigeants interrogés estiment qu’il constitue la première application de la « blockchain », devant les systèmes de compensation et de règlement et les systèmes d’identification des clients et de lutte antiblanchiment. (@LesEchos).
#Biotechnologie
Recoder toutes les cellules qui nous entourent n’est plus de la science-fiction. Bienvenue dans le monde de Juan Enriquez. Cet investisseur basé à Boston, non loin du MIT, mise sur les start-up capables de recoder tout code génétique, ou matière qu’un ingénieur ou qu’un biologiste pourraient se réapproprier. «Nous allons changer la nourriture, la santé, l’énergie, les produits chimiques…», prévient-il. Lorsqu’il évoque les maladies graves, comme le cancer ou le SIDA, il s’agit tout simplement pour ce spécialiste de l’e-volution de les éradiquer et de « pirater le virus de la maladie pour apporter la guérison dans le code ». Au-delà des nouvelles solutions dans le domaine de la biotechnologie, c’est aussi par exemple ajouter un code pour devenir un individu plus beau, plus grand. Juan Enriquez, explique, sobrement, que l’ère décrite dans le film de science-fiction «Bienvenue à Gattaca», est arrivée; les dérives génétiques en moins. (@Frenchweb).
#NeutraliteDuNet
Les opérateurs européens font du chantage à la 5G. « L’industrie des télécommunications prévient que les lignes directrices actuelles concernant la neutralité du Net créent des incertitudes importantes concernant les retours sur investissements de la 5G », lit-on dans le manifeste des poids lourds des télécoms européens (BT, Deutsche Telekom, Telecom Italia ou encore Vodafone) plaident pour un assouplissement des règles de la neutralité du Net. Si celles-ci restent inchangées, ils menacent, carrément, de retarder leurs projets d’investissements. (@LaTribune).
#OpenSource
Farmbot : une révolution open source pour cultiver bio sans effort. Farmbot est un robot ouvrier agricole qui s’occupera de votre potager de A à Z, en étant tous les jours aux petits soins pour vos salades et vos radis. Cerise sur le gâteau, il est entièrement basé sur des technologies open source. Mais seuls les plus fortunés pourront s’offrir le luxe du bio automatisé. (@Numerama).