07 Août

ReVue d’actu de 11h11 – vendredi 7 août 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Estival

► Le samedi 1er août, Andrea et Max, deux alpinistes italiens amputés ont gravi le mont Blanc par l’une des voies les plus difficiles. Leur rêve estival :est de monter sur cinq des plus hauts sommets d’Italie. « Je crois que notre cordée, en son genre, est vraiment unique au monde, raconte Andrea. Avoir réussi à arriver jusque sur le toit de l’Europe a une saveur particulière pour nous. J’espère que le symbole qu’il représente contribuera à faire disparaître un certain nombre d’idées toutes faites sur le handicap »« Pendant cette ascension, il y a eu des moments où l’on a cru que l’on était arrivé au bout de nos forces, que l’on ne pourrait pas même faire un pas de plus… Et puis, d’un seul coup, on sentait l’énergie qui revenait, et on continuait », rajoute Massimo. (Photo :DR).

#Climat

► Sécheresse : les conséquences des fortes chaleurs sur la biodiversité en cinq questions. Réchauffement climatique oblige, les températures sont de plus en plus élevées en été. Ce qui n’est pas sans conséquence sur la biodiversité, comme l’explique Carole Begeot, Maître de Conférences à l’Université de Franche-Comté. D’après elle, les espèces dans les rivières comme dans les forêts sont menacées par les fortes chaleurs. Elle explique dans l’entretien sur le site : « La sécheresse fragmente les cours d’eau, alors qu’il faudrait conserver des « corridors écologiques » (ce sont des milieux reliant différents habitats vitaux pour une espèce ou une population). Il faut assurer une continuité dans l’écosystème, sinon on peut observer des phénomènes de consanguinité, ce qui est le cas des amphibiens en Franche-Comté. (…) Certes, les écosystèmes sont résilients et il existe des transformations naturelles. Par exemple, dans les forêts, les arbres agrandissent leurs systèmes racinaires. Ce qui leur permet de puiser l’eau de manière plus profonde. »

► Sécheresse : le travail de la police de l’environnement. La fonction de la police de l’environnement consiste à faire appliquer la réglementation environnementale mais également à informer et sensibiliser le public sur les arrêtés secheresse. En ce qui concerne ces arrêtés, le rôle de ces patrouilles est de s’assurer que les mesures de restrictions sont correctement appliquées. Ces 1 800 agents au service de l’Office français de la biodiversité (OFB) vérifient, lors de leurs tournées, que les mesures mises en place soient appliquées au niveau des particuliers, des agriculteurs, des collectivités ou des industries. En cas de non-respect de ces mesures, une contravention de 5e classe peut être appliquée. @franceinfo.

#Industrie

► Nord : des mines de charbon oubliées près de Valenciennes, quels sont les risques sur la commune d’Hasnon ? A Hasnon, près de Valenciennes, un nouveau puits de mine du 19e siècle a été découvert à quelques mètres d’un autre accès aux sous-sols, le 22 juillet 2020. Certains habitants se demandent quelle est l’ampleur réelle de ces anciennes exploitations du charbon sous leur maison. « En réalité, l’hypothèse la plus probable, précise Virginie Malolepszy Directrice des archives du Centre Historique Minier de Lewarde (dans le Nord, près de Douai), c’est qu’à cette époque il était déjà courant, avant que cela ne devienne obligatoire au début du 20e siècle, qu’un second percement soit réalisé en parallèle d’un puits. ». @franceinfo.

#Information

► Digital News Report 2020 : quel impact du coronavirus sur l’information en ligne ? Par Diana Liu, MediaLab de France Télévisions. Selon le Digital News Report 2020, le rapport annuel du Reuters Institute qui met en exergue des données récentes sur la transformation numérique des médias d’information, la pandémie a été en quelque sorte une arme à double tranchant. La digitalisation s’accélère, tandis que la crise économique se creuse, exigeant de nouveaux modèles économiques. La pandémie a influencé de manière positive la confiance et la valeur accordée aux médias d’informations, même si cette tendance n’est probablement que temporaire. Mais d’autres changements nous dirigent vers un paysage médiatique plus digitalisé, plus multicanal et plus dominé par les plateformes. L’enquête principale a été menée dans 40 pays en Europe, Amérique du Nord et Amérique latine, Asie et Afrique au début de l’année 2020, donc avant que la crise n’éclate. Des enquêtes supplémentaires ont été ajoutées en avril pour comprendre l’impact du coronavirus sur la consommation des médias dans 6 pays — le Royaume-Uni, les États-Unis, l’Allemagne, l’Espagne, l’Argentine et la Corée du Sud. Il faut donc comprendre l’étude comme un mélange entre tendances historiques et tendances suscitées / accélérées par la pandémie. Lire la suite de l’article sur le site @metamedia.

06 Août

ReVue d’actu de 11h11 – jeudi 6 août 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Transport

► Conçus sur les rives du lac d’Annecy, des taxis volants sur l’eau pourraient décoller dès 2021. L’aventure pourrait commencer dès janvier 2021 pour Alain Thébault. Le fondateur de la start-up SeaBubbles annonce le lancement de la production en série de ses taxis volants sur l’eau pour le début de l’année prochaine. « On finalise la version définitive du SeaBubble jusqu’en décembre, puis elle rentre en production début 2021 pour des livraisons six mois plus tard », a-t-il déclaré. Créée en 2016, l’entreprise veut décongestionner les villes en développant le transport aquatique, avec une promesse : « Une absence de bruit, de vagues, de pollution et un véhicule qui recrache juste de la vapeur d’eau grâce à (sa propulsion à) l’hydrogène », s’enthousiasme l’architecte naval qui a installé son bureau d’études et sa ligne d’assemblage à Saint-Jorioz, sur les rives du lac d’Annecy. Pour réaliser cette prouesse, les SeaBubbles reprennent le principe de l’hydroptère développé par Alain Thébault, avec lequel il a battu un record de vitesse à la voile en 2009. Légende image : Une SeaBubbles, sorte de taxi volant, sur la Seine pour un essai à Paris le 16 septembre 2019. (Photo : Martin BUREAU / AFP).

#Cinéma

► Sortie de films directement en streaming : la Fédération des cinémas proteste. Un mois après leur réouverture dans le cadre du déconfinement progressif, les cinémas sont confrontés à une baisse générale de fréquentation avec parfois des salles aux deux tiers vides. « Mulan », dernière déconvenue pour les cinémas. « Les chiffres de fréquentation quotidiens montrent que les films, même s’ils ne sont pas assez nombreux, trouvent individuellement leur public en salle », souligne toutefois la Fédération nationale des cinémas français (FNCF). Mais depuis quelques semaines, plusieurs oeuvres ont été vendues directement à des plate-formes de streaming comme Netflix ou Amazon, sans sortir en salles. Dernière déconvenue en date pour les cinémas : Disney a annoncé que Mulan, son blockbuster très attendu (il s’agit de l’adaptation en prise de vue réelle du célèbre dessin animé), sera proposé d’office sur sa plateforme Disney+ en location payante. Lire la suite de l’article sur le site @franceinfo.

#Réseau_5G

► Le coût écologique de la 5G en 4 questions. Mercredi 24 juin, le Sénat a rendu 25 propositions pour réduire l’impact environnemental du numérique. Parmi les mesures phares, l’interdiction des forfaits mobiles illimités pour rappeler que « les données sont une ressource précieuse ». « L’interdiction fonctionne rarement. Il faudrait au contraire sensibiliser les consommateurs sur leurs usages. Par exemple, les inciter à utiliser un réseau fixe dès qu’ils rentrent chez eux. Ces bons usages du numérique peuvent être portés par le Gouvernement », commente Nicolas Guérin, président de la Fédération Française des Télécoms. Des propositions nécessaires mais insuffisantes selon Stephen Kerckhove, Délégué Général d’Agir pour l’environnement. « L’urgence est d’organiser un débat public et de faire une étude d’impact pour objectiver les risques ». « Il faut définir nos objectifs et choisir le scénario qui sera le moins coûteux environnementalement », poursuit Hugues Ferreboeuf. Cédric O a promis d’organiser un débat public à la rentrée avec les opérateurs, les associations et les collectivités territoriales. @lesEchos.

#Territoire

► « C’est des morceaux de France qui se perdent ! » : L’urbex, ou l’art de donner vie aux ruines. Depuis quelques années, l’Urbex gagne de plus en plus de passionnés dans la région Centre-Val de Loire. Ces derniers explorent et capturent en image des lieux isolés ou abandonnés sous un angle insolite. Dans l’Indre, le youtubeur Fear en profite même pour réaliser des court-métrages horrifiques. « Je peux pas parler très fort, parce que nous sommes en centre-ville. » A l’écran, un trentenaire pixellisé s’adresse en chuchotant à une caméra qui tremblote. Derrière lui, on devine plusieurs autres personnes occupées à explorer une large salle. « Je filme avec mon téléphone. La qualité elle est pourrie, on m’entend mal, j’ai oublié la caméra dans la voiture« , poursuit-il, avant que l’un de ses compère ne fasse tomber un objet qui s’écrase avec fracas dans la pénombre. Ils chuchotent car leur loisir, même inoffensif, n’est pas tout à fait légal. Sans l’accord du propriétaire des lieux, il est même franchement interdit et peut constituer une violation de propriété privée. Depuis quelques années, l’urbex continue pourtant de faire des adeptes à travers la France, comme le Lorrain Mamytwink dont la carrière avait culminé avec un la réalisation en 2019 d’un documentaire sur la ville fantôme de Pripyat et la centrale voisine de Tchernobyl. Lire la suite de l’article sur le site @franceinfo.

#Espace

► Conçu à Grenoble, le nanosatellite AMICal Sat a décollé à bord de la fusée Vega depuis la base spatiale de Kourou dans la nuit du 2 au 3 septembre. Ce sont 53 satellites appartenant à 21 clients issus de 13 pays qui ont été envoyés dans l’espace. Ce satellite, pesant 10 kilos et de la taille d’une brique de lait, a été construit par une cinquantaine d’étudiants du CSUG (Centre spatial universitaire de Grenoble). La mission d’AMICal Sat est de photographier les aurores boréales, un phénomène qui provient de la collision entre l’atmosphère et des particules du Soleil. « On se sert des aurores boréales comme thermomètre du vent solaire », explique le directeur du CSUG. Toutes les images capturées par AMICal Sat seront accessibles au grand public sur le site du CSUG pour admirer une aurore boréale depuis l’espace. @franceinfo.

05 Août

ReVue d’actu de 11h11 – mercredi 5 août 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Patrimoine

x► Après l’incendie qui a ravagé une partie de la cathédrale Notre-Dame de Paris le 15 avril 2019, deux étudiants parisiens ont lancé Arcade, une association de restauration du patrimoine. L’association vient en aide à des particuliers qui n’ont pas les moyens de rénover leur patrimoine comme le propriétaire du Fort de la pointe de Diamant à Langres, en Haute-Marne. « Ça fait 10 ans que je suis là-haut et je n’ai pas eu un denier des pouvoirs publics. Je suis obligé de travailler à côté pour vivre, mais je ne veux pas abandonner », raconte-t-il. Chaque chantier dure une semaine. L’objectif d’Arcade est de développer les relations entre ruraux et urbains, dans l’espoir de donner envie à ces derniers de s’implanter dans ces territoires. @WeDemain. Légende image : Le chantier-test de l’abbaye Notre-Dame de Bonnecombe a réuni une trentaine de volontaires. (Crédit : Aziliz Le Corre).

#Réseau_5G

► Claire Gerardin, consultante en communication et spécialiste des nouvelles technologies, revient dans cette tribune sur l’histoire culturelle du soft power chinois. On y apprend comment les techniques de guerre commerciale de la Chine émanent d’un jeu millénaire : le jeu de go, et comment la 5G pourrait mettre à mal la tactique jusque-là fructueuse du pays. Lire l’article « 5G : un pion occidental dans le jeu chinois ? » sur le site @ usbeketrica.

04 Août

ReVue d’actu de 11h11 – mardi 4 août 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Territoire

► C’est une maison laissé à l’abandon dans le centre-ville d’Angers. Des graffeurs et des artistes plasticiens de s’emparer du lieu. C’est le concept original de l’Urbexpo, qui mélange art et urbex. L’exploration de lieux abandonnés ou en friche ou urbex (Urban Exploration), est une pratique en vogue en France, avec de nombreux sites Web d’amateurs, exposant leur production photo et vidéo. « Je voulais vraiment laisser l’ambiance du lieu. Donc ils n’avaient pas le droit de reboucher les trous, d’enlever la tapisserie qui traine un peu partout, raconte Doris Koffi, agent artistique de l’association « Art Project Partner« , c’était vraiment le côté urbex, je voulais que le public découvre le lieu comme je l’ai découvert moi, sans les pigeons ». @franceinfo. Légende image : Graf de Saïr à l’Urbexpo d’Angers. (Photo de France 3 Pays de la Loire).

► Usines désaffectées, châteaux à l’abandon, vieilles fermes sont les terrains de jeu des amateurs d’urbex. Le concept est né dans les années 90. Il compte de plus en plus d’adeptes. Leur objectif : faire les plus belles photos. « Depuis que l’urbex s’est démocratisé, les lieux tournent beaucoup plus facilement et se dégradent plus vite » constate Axel, un urbexeur lorrain qui tient un compte instagram comme beaucoup de ses congénères. Ce passionné des lieux en friche rappelle que « la pratique demande un savoir-faire, une certaine prudence, et de s’équiper en conséquence ». La recherche de lieu est complexe, « en recroisant des lieux sur Google earth, en étudiant les photos sur les forums ou tout simplement en explorant en voiture », mais c’est peut-être aussi le mérite et la juste récompense du véritable explorateur. @franceinfo.

#Consommation

► De Metz à Belfort en passant par Dambach-la-Ville, les projets d’entrepôts géants se multiplient dans le nord-est de la France, et en particulier dans le Grand Est. Leurs opposants brandissent le nom d’Amazon, société américaine de commerce en ligne, comme unique acteur de ces projets de plates-formes logistiques. « Amazon ne communique pas tant que les projets ne sont pas aboutis et purgés de tout recours », comme c’est le cas pour le centre qui sort de terre près de Metz, explique Pour Alma Dufour, association « aux « Amis de la Terre ». « L’Alsace est en train de devenir un couloir à camions du fait du GCO (Grand Contournement Ouest de Strasbourg). Amazon est intéressé par les autoroutes et la présence de deux aéroports, Bâle-Mulhouse et Strasbourg », s’inquiète Pascal Lacombe, du collectif le Chaudron des alternatives. Amazon, qui, avec une vingtaine de sites, se dit à l’origine de 30.000 emplois directs et indirects dans l’Hexagone, reconnaît s’y être développée « sur une épine dorsale qui va du Nord au Sud » et laisse des vides à l’Est et à l’Ouest. @franceinfo.

#Robotique

► Le robot humanoïde Pepper veille au port du masque. Depuis la fin du confinement lié à la pandémie de Covid-19, de nouveaux foyers de contamination voient le jour, obligeant les autorités à prendre des mesures drastiques, dont le port du masque dans les lieux très fréquentés et clos. Mais comment faire appliquer cette mesure ? Pepper, le sympathique robot humanoïde de SoftBank Robotics, peut désormais monter la garde dans les lieux publics et prévenir en cas d’oubli. Grâce à des caméras, Pepper scanne les visages au sein d’un groupe de personnes (jusqu’à 5 simultanément) afin de vérifier si le port du masque est respecté. Lors de l’interaction, Pepper affiche sur sa tablette un cercle de couleur vert ou rouge autour du visage selon si la personne porte un masque ou non. Si le gentil petit robot ne verbalise pas la personne qui ne porte pas de masque, il peut utiliser, en complément, ses fonctions émotionnelles et vocales pour délivrer un message aux personnes analysées, à l’entrée d’un hall d’aéroport ou d’un magasin. @villeintelmag

#Energie

► A Allassac en Corrèze une structure portée par cinq agriculteurs a pour ambition de produire du biogaz. Dans une usine censée transformer en méthane les fumiers et lisiers de cinq exploitations agricoles. Après une réunion à la mairie fin juillet, pour expliquer le projet aux riverains, plusieurs habitants ne sont pas rassurés par cette nouvelle situation : les camions qui vont circuler, la route qui va être élargie, le bruit, les odeurs… La centrale doit entrer en fonctionnement en 2021, ce qui laisse au moins du temps pour peaufiner ce qui doit l’être et rassurer ceux qui s’inquiètent. @franceinfo.

03 Août

ReVue d’actu de 11h11 – lundi 3 août 2020

La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.

#Climat

► « Notre couverture climatique implique une expérimentation sans cesse ». Interview avec Hannah Fairfield, cheffe de rubrique Climat au New York Times par Diana Liu, MediaLab de France Télévisions. La prise de conscience mondiale des enjeux climatiques ces dernières années s’est accompagnée d’une transformation en matière de couverture des thématiques climatique et environnementale au sein de nombreuses rédactions, y compris le New York Times. En début 2017, le quotidien new-yorkais a ouvert son service climat (climate desk), qui compte aujourd’hui une douzaine de reporters et de rédacteurs. Le journal se démarque par son traitement innovant et transversal du climat : en 2019, environ 900 articles ont paru sur le climat — des formats graphiques « explainer », des reportages d’investigation utilisant de nouvelles technologiques et des enquêtes visuelles sur les conséquences du réchauffement climatique dans le monde entier. Comment raconter le climat de manière accessible, mais aussi puissante et novatrice ? Méta-Media en a discuté avec Hannah Fairfield, cheffe de rubrique Climat au New York Times. Lire la suite de l’article sur le site @metamedia. Légende image : Moáis. Isla de Pascua Source : Josh Haner – New York Times.

#Pollution

► Des scientifiques du Laboratoire d’océanographie microbienne de Banyuls-sur-Mer, dans les Pyrénées-Orientales, pensent résoudre dans « quatre ou cinq ans » la question des emballages biodégradables dans le milieu marin. Dans la salle de tests, chaque boîte contient des petites lamelles de plastique. Certains sont fabriqués à base de pétrole et d’autres le sont à base d’algues, de pommes de terre, de canne à sucre ou encore de bactéries… Ces nouveaux plastiques, qui se délitent beaucoup plus rapidement, sont des solutions concrètes pour les fabricants d’emballages. @franceinfo.

#LiensVagabonds publiés par le site Métamedia.

► Une audition et des résultats inédits pour les GAFA en pleine pandémie. À retenir cette semaine : – « Des médias publics en bonne santé constituent une force pour les démocraties » ; – Communication : le slow content, une voie d’avenir ; – Nice-Matin lance une newsletter entièrement dédiée au journalisme de solutions ; – Comment créer 25 millions d’emplois en décarbonisant l’économie ; – Trois études sur la couverture climatique aboutissent à une conclusion : le climat est un sujet important pour le public et les médias peuvent mieux le traiter ; – Une nouvelle étude aux États-Unis suggère que les publicités télévisées et les publicités en ligne perdent de leur influence sur les consommateurs.