La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.
#Transport
► Qui sont les gagnants et les perdants de la crise dans le secteur des transports ? De la voiture autonome au véhicule électrique, de nombreuses technologies ont su tirer leur épingle de la crise pour s’imposer dans le futur du secteur. L’ouragan coronavirus qui a déferlé sur nos sociétés laisse présager des changements rapides ayant un impact sur l’industrie des transports : quels nouveaux comportements de consommation, quels impacts pour les constructeurs automobiles, quelles dynamiques de coopérations transfrontalières, quel avenir pour les startups ?C’est lors du salon internationa Ecomotion, qui a cette année eu lieu 100% en ligne, que les conférenciers ont abordé ces questions, jeudi 20 mai. Comme le rappelle Orlie Dahan, directrice d’Ecomotion, les mois à venir vont appeler à davantage de coopération, une relocalisation de la production et un retour à l’essentiel. Côté investissement, les multinationales, également touchées par la crise, risquent de se montrer frileuses. Lire la suite de l’article sur le site @bymaddyness. Légende image : Parking de camion à Singapour. (Photo : Christian Chen sur Unsplash).
#Energie
► Au large des falaises normandes de Fécamp (Seine-Maritime), 71 éoliennes offshore se dresseront à l’horizon dès 2023 a révélé EDF mardi 2 juin. Ce chantier marque un nouveau pas pour l’éolien offshore français, à la traîne par rapport à ses voisins, notamment allemands et britanniques. « C’est une première mondiale une usine éolienne dans laquelle on construit à la fois les nacelles et les pales, ça ne se fait nulle part ailleurs au monde. Ce sera au Havre que l’on verra les composants principaux d’une éolienne sous le même toit », Filippo Cimitan, PDG France Siemens Gamesa. Pales et nacelles des éoliennes seront fabriquées dans un même bâtiment, puis assemblées à Cherbourg avant d’être installées à Fécamp et le port du Havre recrutera le personnel en local pour cette future usine d’éoliennes offshore. Ce chantier mobilisera plus de 1 400 emplois locaux et les 25 années d’exploitation génèreront une centaine d’emplois locaux pérennes dans le port de Fécamp. @franceinfo.
#Travail
► Pour ou contre la semaine de 4 jours ? l y a quelques semaines, la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a lancé une idée : et si les entreprises mettaient en place la semaine de quatre jours pour trois jours de week-end. Les Néo-Zélandais pourraient alors profiter de ces trois jours de liberté pour s’offrir un week-end prolongé et donc relancer le tourisme, secteur clé de l’économie. Pourtant en France, peu d’entreprises ont osé franchir le pas, et ses partisans sont assez rares sur la scène politique, à l’exception peut-être de l’économiste et homme politique de gauche Pierre Larrouturou. Pour relancer l’économie et préparer le “monde de demain”, la semaine de quatre jours est-elle une piste sérieuse à creuser ? Isabelle Rey-Millet, professeure de management à l’Essec, en est convaincue. À l’inverse, Alexandre Ibanez, chef d’entreprise à la tête d’une société de nettoyage industriel, lui se montre plus que sceptique. Voici leurs arguments.@LesEchos.
#DataCenter
► Avec le confinement, les data centers sont devenus de véritables poules aux déjà d’or. Télétravail, commandes en ligne… la planète n’a jamais autant utilisé Internet que ces derniers mois. Une aubaine pour les gestionnaires de centres de données. Beaucoup d’entreprises ont vu leurs besoins de serveurs augmenter à mesure que leurs équipes devaient travailler à distance. D’autres groupes ont vu leurs commandes en ligne s’envoler, ce qui a augmenté leur besoin en stockage et accès à distance. « La tendance était déjà là, mais la crise a accéléré les besoins », explique Florent Martini gérant chez Portzamparc. Signe de la tendance, les fournisseurs des gestionnaires de data centers profitent eux-aussi du contexte. L’américain Nvidia, qui produit des équipements (puces notamment), a progressé de plus de 45% depuis le début de l’année, dépassant les 200 milliards de dollars de capitalisation. @lexpansion.
#Archéologie
► Le plus ancien site maya découvert au Mexique grâce à des impulsions laser. Il fut un temps où faire de l’archéologie maya en Amérique centrale consistait essentiellement à marcher pendant des heures, des jours, des semaines, derrière un homme qui dégageait une voie à la machette dans la forêt tropicale humide du Mexique, du Belize ou du Guatemala. On quadrillait les sites à grand renfort de coupe-coupe et d’huile de coude ; on essayait de deviner les structures enfouies sous le sol et les plantes en lisant les inégalités du terrain ; on finissait par y passer des décennies. Et puis est arrivée la révolution du lidar. Cet instrument emporté dans un aéronef fonctionne sur le même principe que le radar, mais en remplaçant les ondes radio par des impulsions laser. Répercutées par le sol, elles retournent à l’envoyeur et l’on peut ensuite reconstituer avec une grande précision la topographie des lieux en faisant littéralement disparaître toute trace de végétation. Lire la suite de l’article sur le site @lemondefr.