La ville dans la révolution digitale. « Le XIXe siècle était un siècle d’Empires ; le XXe siècle, celui des États-Nations. Le XXIe siècle sera un siècle de villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-Unis), en 2009.
#Environnement
► Au Mexique, un arbre artificiel pour purifier l’air. Une solution aux problèmes récurrents de pollution du Mexique ? Un arbre artificiel, mis au point par l’entreprise Biomitech, a été installé à Puebla, l’une des principales villes du pays. Grâce à l’action de microalgues situées à l’intérieur, il purifie l’air. Baptisée « Biourban », cette structure métallique de 4 mètres, faite de cylindres empilés, reproduit le processus de photosynthèse d’un arbre, 365 jours par an. « Ce système inhale la pollution et (fonctionne ensuite avec) un processus biologique à l’image d’un [véritable] arbre », explique à l’AFP Jaime Ferrer, cofondateur de Biomitech. Cette entreprise créée en 2016 assure que chacun de ces dispositifs équivaut à 368 vrais arbres. @FRANCE24. Crédits : BioMiTech.
#Information
► Cinq tendances qui donnent confiance en l’avenir. La planète se réchauffe, notre système économique est malade, la perte de sens et le burn-out nous guettent… Les grandes tendances actuelles ont vite fait de nous filer le bourdon, voire une bonne crise d’éco-anxiété. Mais à y regarder de plus près, il y a aussi des forces, plutôt positives, qui se mettent en place. Des artistes imaginent un écofuturisme solaire, les Néerlandais nous invitent à lever le pied, et les jeunes sont plus sustainable que digital natives. Lire la suite de l’article sur le site @LADN_EU.
#Numérique
► Les tontines numériques, une innovation africaine contre la précarité. Les tontines numériques, une innovation africaine contre la précarité. Le numérique contre la pauvreté (2/6). Ce système d’épargne rotatif, très pratiqué sur le continent, est désormais disponible sous forme d’applications, notamment au Sénégal. Lire la suite de l’article sur le site @lemondefr.
► Bwam, l’application qui permet à la diaspora d’acheter des services pour les proches en Afrique. Bwam, l’application qui permet à la diaspora d’acheter des services pour les proches en Afrique. Le numérique contre la pauvreté (3/6). La plateforme propose d’affecter l’argent envoyé au Cameroun à l’achat de médicaments, de gaz, d’énergie solaire ou de frais de scolarité. Lire la suite de l’article sur le site @lemondefr.
#Pollution
► Paris Fashion Week : on sait que la mode pollue, mais sur les réseaux on s’en fiche À Paris, la Fashion Week reprend du service jusqu’au 1er octobre. Alors que 75 défilés et 25 présentations sont prévues en moins de 10 jours, quelles marques et tendances intéressent le plus les internautes ? @LADN_EU a demandé à Visibrain, outil de veille des médias sociaux, de sonder la communauté des fashionistas d’Instagram. Alors que, force est de constater que l’impact de la filière sur l’environnement n’intéresse pas, ou peu. Sur Instagram, seules 158 publications mentionnent le terme « sustainability ». Publiés moins de 50 fois chacun, les termes « eco-fashion » et« eco-friendly » n’ont pas plus de succès. Sur Twitter, où il y a pourtant 4 fois plus de messages liés à la Fashion Week depuis le 1er septembre (environ 50 000), le constat est le même : seuls 45 tweets parlent de l’enjeu écologique. C’est bien peu pour la deuxième industrie la plus polluante au monde. Lire la suite de l’article sur le site @LADN_EU.
#Climat
► Un mètre d’eau en plus d’ici à 2100 : voici les conséquences sur six villes et régions du monde. Les prévisions sont inquiétantes. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) a lancé, mercredi 25 septembre, une nouvelle alerte sur les impacts du réchauffement climatique sur l’océan et la cryosphère. Selon ce rapport, le niveau des mers et océans monte plus de deux fois plus vite qu’au XXème siècle. En outre, les océans se réchauffent, s’acidifient et produisent de moins en moins d’oxygène, ce qui nuit à la vie sous-marine. Grâce au site Sea Level, franceinfo a simulé cette augmentation du niveau des mers et des océans sur les côtes françaises, mais aussi pour les villes de Venise (Italie) et d’Amsterdam (Pays-Bas) ainsi qu’en Floride (Etats-Unis). A lire : Accélération de la montée des eaux, fonte du permafrost, cyclones extrêmes… Ce qu’il faut retenir du dernier rapport du Giec sur le climat. @franceinfo.
#Presse
► Droits d’auteur de la presse : Google engage un bras de fer. Cela sonne comme une déclaration de guerre, aux yeux du secteur des médias et des politiques français. Google ne veut pas payer pour le droit voisin créé pour la presse par la directive européenne sur le droit d’auteur, adoptée le 26 mars. Alors que la France a été le premier pays à transposer ce texte, dès le 23 juillet, le leader de la recherche en ligne a annoncé, mercredi 25 septembre, qu’il changeait les règles d’affichage de ses services : par défaut, les pages ne montreront désormais plus d’extraits d’articles ou de photos miniatures, mais seulement les titres et les liens (adresse URL), sauf si les éditeurs donnent leur autorisation. @lemondefr.
#Ville
► Bouge Ma Ville : faire participer les citoyens au bon fonctionnement de la cité. Parce qu’ils s’impatientent de voir leur problèmes réglés, les usagers des villes se tournent fréquemment vers les réseaux sociaux pour faire part de leurs doléances, à grand renfort de photos et vidéos. Mais est-ce vraiment la solution ? Pas vraiment, selon Laurent Tulpan, créateur de « Bouge Ma Ville », une application censée rétablir le lien entre les citoyens et leur municipalité. Interpeller les services municipaux via les moyens traditionnels, téléphone ou courrier, sur un problème de voirie, une incivilité, ou encore un problème de transport, sans avoir de réponse, c’est le constat que dressent de plus en plus de citoyens. Pour résoudre plus facilement la situation et faire en sorte que les doléances soient adressées aux bons interlocuteurs, afin qu’ils puissent répondre plus facilement, de nombreuses villes se sont doté de services rapides de type « Allo-Mairie » ou « Allo-Voirie » qui permettent de prendre en compte les demandes des usagers, les traiter et leur adresser une réponse dans les meilleurs délais. Mais ce n’est pas un cas général, notamment pour les petites collectivités. @villeintelmag.