Villes et Révolution Numérique. « Le XIXe siècle était un siècle d’Empires ; le XXe siècle, celui des États-Nations. Le XXIe siècle sera un siècle de villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers, en 2009.
Légende image. World’s First Street Art In The Amazonian Rainforest. World’s First Street Art In The Amazonian Rainforest | Bored Panda http://www.boredpanda.com/world-first-street-art-in-the-amazonian-rainforest/ Philippe Echaroux created this Street Art 2.0, a way of doing street art that replaces bomb sprays by technology.(@boredpanda).
#PresidentielleUS
Contrairement aux Etats-Unis, « les sondages fonctionnent en France ». A la surprise générale, Donald Trump a été élu président des États-Unis, mercredi 9 novembre, et pourtant les sondages donnaient Hillary Clinton gagnante. Est-ce que cela pourrait se produire France ? Gaël Sliman, président de l’institut Odoxa, invité de franceinfo ne le pense pas. Les sondages ne l’ont pas vu venir ! Donald Trump a été élu 45e président des États-Unis, mercredi 9 novembre. Le riche homme d’affaire a battu Hillary Clinton. Et pourtant aucun institut de sondage ne l’avait prédit. Mais, en France, cela ne pourrait pas se produire, selon Gaël Sliman président de l’institut Odoxa invité de franceinfo mercredi 9 novembre. Selon lui, c’est la méthode de travail des instituts de sondage américains qui explique leur mauvais pronostic pour la présidentielle. Les instituts américains et britanniques [qui n’ont anticipé ni la victoire de David Cameron ni le Brexit] ne travaillent pas comme les Français. « En France, on croit aux classes sociales et à la méthode des quotas, alors qu’aux États-Unis on applique une méthode aléatoire, qui n’est même pas complètement appliquée dans les règles » explique Gaël Sliman. (@Franceinfo).
Victoire de Donald Trump : « Il est impossible de sonder un vote irrationnel » Donnée largement gagnante par les sondages, Hillary Clinton a été nettement battue à la surprise générale par le candidat républicain iconoclaste. Elements d’explication avec Daniel Warner, politologue américain. Après le « oui » au Brexit en juin, la victoire du républicain Donald Trump aux Etats-Unis, mardi 8 novembre, sonne comme un nouveau signal, très puissant, des « oubliés de la mondialisation » contre leurs élites. Donnée gagnante par les sondages, Hillary Clinton a été nettement battue à la surprise générale, par le milliardaire new-yorkais. Souvent qualifié de « populiste », Donald Trump n’a cessé durant sa campagne de multiplier les outrances et les controverses, fissurant un peu plus une société américaine déjà très divisée. De quoi le « vote Trump » est-il le nom ? Comment les sondages ont-ils pu autant se tromper ? Franceinfo a interrogé Daniel Warner, politologue américain. (@Franceinfo).
#MediaSocial
Méta-Media décrypte : Twitter Twitter a récemment fêté ses dix ans et fait régulièrement les gros titres : le format court et instantané des tweets en fait un outil propice aux gaffes et aux petites phrases. Mais Twitter n’est pas qu’une machine à buzz, c’est aussi un outil journalistique incontournable, pour informer et diffuser…(@Metamedia).
Comment savoir ce que quelqu’un regarde sur YouTube? En observant son trafic ! En théorie, quand vous regardez une vidéo sur YouTube, personne ne peut savoir de quel contenu il s’agit. Tous les échanges avec le site sont chiffrés en TLS. Même l’URL demandée n’est pas visible. Donc vous êtes parfaitement à l’abri d’éventuels fouineurs, tel que votre fournisseur d’accès ou les forces de l’ordre, n’est-ce pas ? Faux ! A l’occasion de la conférence de sécurité Black Hat Europe 2016, le chercheur en sécurité Ran Dubin a montré qu’il n’est pas nécessaire de déchiffrer le flux YouTube d’une personne pour savoir quelle vidéo elle regarde. Il suffit d’analyser son trafic et d’avoir un bon algorithme d’apprentissage automatique. (@01net)
#Environnement
939 mails non lus? Pour sauver la planète, commencez par nettoyer vos boîtes. « Mails non lus : 939 ». Quand votre boîte dégouline de spams et de newsletters ouvertes une fois sur cinq, c’est la planète qui souffre. Car pour les stocker, ces mails, il faut… de l’énergie. Plus exactement, « pour chaque e-mail stocké, dix grammes de CO2 sont générés par an », selon les calculs de Cleanfox. Pourquoi est associé à chaque e-mail, comme nous sommes nombreux à l’ignorer, un coût écologique ? Parce qu’il y a desdata center (les centres de traitement des données où sont, entre autres, hébergés nos mails) à faire tourner. Ces data center, « il a fallu d’abord les fabriquer. Ils sont allumés en continu, ils doivent être refroidis… Sans compter que la plupart des mails sont dupliqués par sécurité au cas où l’un des data center soit victime d’un incendie », explique Edouard Nattée, cofondateur de Cleanfox. (@20minutes).
#innovation
A Toulouse, dix grandes entreprises ont décidé de mutualiser leur démarche d’open innovation en organisant ensemble un concours de start-up. Deux premiers projets ont été primés : une plate-forme dédiée au pilotage de l’intelligence collective et un casque de chantier connecté. La démarche, baptisée Synerthon (contraction de synergie et hackathon) a été lancée il y a quelques mois par le club d’entreprises toulousain Ambition Toulouse Métropole (ATM). « L’objectif est de mettre en œuvre une démarche d’innovation ouverte pour créer des synergies entre grands groupes et ETI, favorisant les échanges, le partage et l’intelligence collective, afin de former des alliances et de travailler à plusieurs avec des startups et des entreprises innovantes », souligne Jean Paoletti, président du club ATM et directeur régional d’Enedis. (@LUsineDigitale).
#SiliconValley
Victoire de Trump, les craintes de la high-tech. A quelle sauce seront-ils mangés ? C’est ce que se demandent aujourd’hui nombre de fleurons américains de la high tech et des télécoms après l’élection de Donald Trump à la tête du pays de l’Oncle Sam. Hillary Clinton, en bonne élève, avait passé au peigne fin ce secteur clé de l’économie. La candidate démocrate s’était notamment positionnée en faveur de la neutralité du Net, souhaitait lutter contre la fracture numérique concernant le haut débit, ou encore accompagner les investissements dans la 5G. A l’inverse, Donald Trump n’a pas affiché de programme clair. Le futur président des Etats-Unis s’est contenté de prendre position contre certains deals, politiques industrielles, et décisions gouvernementales lorsqu’il y trouvait un gain politique immédiat. (@latribune). A lire aussi : Le secteur de la « tech » tremble après l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche (@LesEchos).
#Livraison
Deliveroo: bientôt une convention collective pour les livreurs ? Le syndicat britannique des travailleurs indépendants (Independent Workers Union of Great Britain, IWGB) veut que Deliveroo, qui existe depuis 2013, le reconnaisse comme interlocuteur à Camden, un quartier du nord de Londres, première étape vers la négociation d’une amélioration des conditions de travail et des salaires des livreurs. (@latribune).
Pourquoi Amazon reste le chouchou des Français. Le géant américain Amazon reste l’enseigne de distribution préférée des Français, dans un environnement où de nouveaux entrants viennent bousculer les positions établies et où le prix n’est plus le seul élément d’attractivité, selon une étude publiée vendredi 4 novembre par le cabinet OC&C. Ce cabinet auditionne chaque année 5.000 consommateurs français pour mesurer l’attractivité de 106 enseignes, en se basant sur différents critères (prix bas, qualité des produits, choix, services …). (@Challenges).
#Cyberpiratage
Pourquoi les ampoules connectées sont une cible de choix pour les pirates Les ampoules, nouvelle porte d’entrée des hackers pour accéder à des données sensibles ? Une fois connectés, ces objets s’exposent au piratage, comme le rapporte le New York Times, et peuvent dès lors servir d’accès à d’autres objets d’un même réseau. Une équipe de chercheurs est parvenue à pirater à distance le modèle Philips Hue, qui permet en théorie de contrôler facilement et de personnaliser l’éclairage de son domicile. Pour ce faire, Eyal Ronen, du Weizmann Institute of Technology (Israel) et Colin O’Flynn, de la Dalhousie University (Halifax, Canada), ont élaboré une fausse mise à jour de l’appareil, avant d’y incorporer un logiciel malveillant et de l’envoyer à une ampoule cible. Le programme en question a par la suite conduit l’objet contaminé à attaquer les autres ampoules de son réseau, pour que les chercheurs puissent en prendre le contrôle. Les ampoules connectées Philips Hue ont pour particularité de communiquer entre elles via une technologie utilisée principalement dans le domaine de la domotique: le protocole ZigBee. Ce dernier est notamment utilisé par le Logitech Harmony Ultimate, une télécommande universelle pour gérer à distance les appareils de la maison. Il aura en l’occurrence permis aux chercheurs de favoriser une réaction en chaîne. (@FigaroTech).
#Politique
[Civic Tech] Le numérique peut-il améliorer les démocraties? Partie 5 Voici la cinquième et dernière partie d’une série d’articles faisant un tour d’horizon de l’impact du numérique sur le fonctionnement des démocraties. Elle avait commencé avec une entrée en matière sur les raisons pour lesquelles la soif de démocratie participative grandit, suivie d’une seconde partie passant en revue les grandes applications du numérique en politique, d’une troisième sur les civic techs et d’une quatrième sur la démocratie participative visant à promouvoir des candidats issus de processus participatifs aux élections, comme LaPrimaire.org. Nous allons ici traiter de l’influence des grands acteurs du numérique sur la démocratie ainsi que la perspective de voir l’intelligence artificielle se porter au secours du politique, poursuite de la prospective dans ce domaine que j’avais déjà abordée il y a quelques mois. Cette série se terminera par une description des nouvelles formes de leadership qui pourraient émerger de la démocratie participative numérique, en faisant un parallèle avec celles qui s’exercent dans les startups. (@frenchweb).
Comment les CivicTech peuvent doper la démocratie et détrôner les politiques ? avec: Serge Pilicer, fondateur de Mon e-parti. (@BFMBusiness).