« On veut s’informer vite, au lieu d’informer bien. La vérité n’y gagne pas. […] Une chose au moins est évidente, l’information telle qu’elle est fournie aujourd’hui aux journaux, et telle que ceux-ci l’utilisent, ne peut se passer d’un commentaire critique. » Albert Camus « Actuelles I, Le journalisme critique » Combat, 8 septembre 1944. A lire : Le journalisme face à l’effroi. (@Mediapart).
#AttentatNice
Nice: l’attentat en direct des réseaux sociaux pour le meilleur et pour le pire. Comme à Paris, Bruxelles ou Boston, les réseaux sociaux, Facebook et Twitter en tête, ont été en première ligne pendant et après l’attentat de Nice. Pour le meilleur, la solidarité et l’efficacité, et le pire, l’indécence et le voyeurisme. (@LExpress).
A lire : Le restaurant Le Grand Balcon s’est vu reprocher sur Facebook d’avoir refusé l’hospitalité à des personnes fuyant l’attentat et depuis, sa gérante est harcelée au téléphone et physiquement (@Le_Figaro) ; Un bébé de huit mois retrouvé grâce à Facebook après avoir était perdu dans la bousculade durant l’attaque au camion (@LObs ; Facebook, chambre d’écho de l’attaque de Nice (@Rue89).
Après Nice : cacher la violence, c’est aussi ne pas la comprendre. Nous repoussons de plus en plus loin les images de violence, au risque parfois de la rendre inintelligible. (@Rue89). Photo : Volets fermés – Pixabay/CC0.
Attentat de Nice: le vrai casse-tête de la menace low-tech. Pour les services de renseignement et les forces de l’ordre, les attaques impliquant des technologies passepartout sont beaucoup plus compliquées à déceler et à stopper. Tribune Mark Briskey, Maître de conférence publiée sur le site @FR_Conversation
#Commerce
West Web Festival: L’avenir dans le commerce est digital et humain. Se digitaliser ou mourir, c’est le thème du troisième West Web Festival de Carhaix. « Le magasin n’est pas mort mais il ferait bien de se réinventer rapidement. » Catherine Barba, entrepreneuse et business angel française n’y va pas par quatre chemins. « On se rassure à tord quand on pense que 90% des achats continuent à se faire en magasin ». Car le commerce est en pleine révolution. Entreprises et commerçants ont intérêt à se transformer, à « penser digital » s’ils ne veulent pas être emportés par les mastodontes que sont Amazon et consors. Mais attention prévient-elle, « une idée neuve n’a de valeur que dans l’action ». Il faut penser offre globale et « soigner la relation client. (…) le vendeur doit être à l’épicentre de la relation avec le client. Il doit résoudre ses problèmes et créer du lien émotionnel. » (@OuestFrance).