#LiensVagabonds
Les GAFAs dévorent de plus en plus le gagne-pain des médias. A retenir cette semaine : – Les géants du web dévorent la pub, autrefois réservée aux médias ; ces derniers pourront-ils résister? ;
– De l’importance de la coopération des médias face aux plateformes ;
– Netflix pourra-t-il survivre au monde nouveau qu’il a créé ? ; L’homme qui veut tuer la télé ;
– Facebook a-t-il besoin du journalisme ? Pas autant que l’inverse ;
– Pourquoi l’e-Sport est en train de conquérir le monde. (@MetaMedia).
#Cyberguerre
La guerre du futur, de la science-fiction à la réalité. Quelles seront les armes de rupture du futur en 2030 ? Quel sera leur concept d’emploi face à de nouvelles menaces très diverses ? Robots tueurs, drones de combat armés, armes laser et électromagnétiques pourraient, à cet horizon, donner un temps d’avance aux pays qui maîtriseront ces technologies. « A quoi ressemblera la guerre du futur » sera l’un des débats du Paris Air Forum (organisé par La Tribune) qui se tiendra le 21 juin auquel participeront Caroline Laurent, directrice de la stratégie de la direction générale de l’armement (DGA), Bruno Sainjon, PDG de l’ONERA, et Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, directeur de l’Institut de recherche stratégique de l’Ecole militaire (IRSEM). (@LaTribune).
#Telecom
Altice a racheté Cablevision 17,7 milliards de dollars – Bloomberg. « En général, quand on arrive aux Etats-Unis, c’est à New York. Donc je ne me suis pas trop pris la tête, j’ai racheté le réseau de New York. » C’est en ces termes que Patrick Drahi commentait récemment l’acquisition par son groupe Altice du câblo-opérateur Cablevision aux Etats-Unis, pour lequel il vient tout juste d’obtenir la dernière autorisation qui lui manquait, celle de l’Etat de New York. Pour l’obtenir, il s’est engagé à améliorer le réseau, à pratiquer des tarifs sociaux et à préserver les emplois du service client. Ce rachat à 17,7 milliards de dollars , la plus importante acquisition de l’homme d’affaires après SFR en France, est sa deuxième acquisition aux Etats-Unis après celle de Suddenlink. Au total, cela porte le montant de l’addition à 24 milliards d’euros outre-Atlantique. (@LesEchos).
#WebSerie
Médecins sans frontières lance une « web-série satirique » contre la politique migratoire européenne. « Notre boulot, c’est de les empêcher de venir, ce qu’il leur arrive après c’est pas mon problème, moi je parle pas migrant je sais pas ce qu’ils veulent », s’exclame Johnny, « le chasseur de migrants », dans une vidéo parodique postée sur YouTube, lundi 20 juin. Il s’agit en fait d’une campagne lancée par Médecins sans frontières (MSF) pour dénoncer les politiques migratoires européennes, explique l’ONG au Monde. (@FrancetvInfo).
#CeuxQuiFont
Dans les Côtes-d’Armor, l’école de Trébédan recrée du lien social. Face au pessimisme ambiant, ils agissent, font bouger la société. Premier volet de notre série : comment une institutrice a soudé un village autour de la rénovation de son école.
#IntelligenceArtificielle
« Google a toujours été une entreprise d’intelligence artificielle ». Greg Corrado, cofondateur du projet Google Brain, détaille les progrès importants des technologies d’apprentissage des machines et la façon dont elles changent Google et façonnent son avenir. (@Pixelsfr).
#Cybersecurite
Près de 140 failles repérées par des hackeurs sur les sites du Pentagone. Invités à tester la sécurité de cinq sites Internet du Pentagone, dont le site amiral defense.gov, des pirates informatiques ont découvert près de 140 failles en un mois, a reconnu vendredi 17 juin le ministre américain de la défense, Ashton Carter. Au total, 1 410 Américains férus d’informatique et de réseaux ont participé à ce concours de piratage, organisé par le Pentagone pour renforcer la sécurité de ses sites. En un mois, ils ont fourni 1 189 rapports sur des vulnérabilités, permettant de détecter 138 failles « valides et uniques ». Le meilleur d’entre eux, qui a décelé plusieurs failles, a empoché 15 000 dollars sur les 75 000 de primes offertes. (@Pixelsfr).
#MoteurRecherche
Cette grand-mère écrit « s’il vous plait » et « merci » dans ses recherches Google. L’histoire de May Ashworth est en train de faire le tour du web. Alors que la plupart des gens ne prennent même pas la peine d’écrire correctement les requêtes sur Google, l’octogénaire est très polie avec le moteur de recherche (après tout, « la politesse ne coûte rien »). Il y a quelques jours, elle a tapé ceci :« pouvez-vous, s’il vous plait, traduire le nombre en chiffres romains mcmxcviii. Merci ». Lorsque son petit-fils de 25 ans voit cette requête sur l’écran de l’ordinateur, il prend une photo puis partage celle-ci sur Twitter. Il ne s’y attendait peut-être pas, mais le tweet a touché des dizaines de milliers d’internautes qui ont partagé la publication. Beaucoup de médias anglophones ont également relayé l’histoire. Même Google a été touché, si bien que sur Twitter, le compte Google UK a répondu « personnellement » à la requête de May Ashworth. « Chère grand-mère de Nan. Nous espérons que vous allez bien. Dans un monde de milliards de recherches, la vôtre nous a fait sourire », lit-on, avant la conversion du nombre en chiffres romains. (@PresseCitron).
#SoftPower
« Creative writing » : la création littéraire, ça s’apprend ? Aux Etats-Unis, les cours de « creative writing » ont pour but de former d’aspirants écrivains. Déclinés également sur le vieux continent depuis quelques temps, comment fonctionnent-ils ? Quelles en sont les forces, les limites ? Peut-on apprendre à être écrivain ? Pour aller plus loin et consulter d’autres références, voir l’article : « Creative writing, narrative nonfiction, Master of Fine Arts : faut-il suivre des cours pour devenir écrivain ? (@FranceCulture).
#Web2day
Les tendances créatives en 2016. La publicité est dépendante des évolutions culturelles et technologiques de notre société, qui influencent la manière dont sont mises en scène les images et vidéos que nous croisons au quotidien. Quelles sont les tendances en matière de création en 2016 ? Voir les six exemples vidéos. (@BlogModerateur).
Le référencement sur Baidu et les réseaux sociaux en Chine, comment ça marche ? La Chine est un énorme marché : 20% de la population mondiale est chinoise (1,39 milliard d’habitants). Les chinois accèdent au web via leur mobile principalement : 913 millions de chinois possèdent un smartphone connecté à Internet. Le web chinois, c’est compliqué. Et surtout, c’est très différent du web qu’on connaît bien en France. Lors de la dernière conférence Viuz, le DG d’Alibaba en France l’expliquait très bien : « les entreprises occidentales ont du mal à s’implanter en Chine ; et les entreprises chinoises ont du mal à s’exporter ». Les plateformes utilisées par les internautes chinois sont très différentes. Alors qu’en France, Google est ultra-dominant sur le Search, que Facebook l’est sur le Social, que YouTube l’est sur la vidéo… Le panorama des sites chinois est plus éclaté. L’ensemble du web est dominé par Baidu, Alibaba et Tencent, mais aucune entreprise n’est en monopole sur un secteur en particulier. Ces 3 entreprises développent des solutions Search, Social Media, Messaging, E-commerce etc. (@BlogModerateur).