Légende image. Météo en Pays de la Loire : mitigé et frais. Photo Virgil Beldie, Facebook. (@F3PaysdelaLoire).
#LuxLeaks
Ouverture mardi du procès du scandale financier à Luxembourg. Le procès dit des « Luxleaks » qui a éclaté en 2014 s’ouvre ce mardi 26 avril 2016 devant la justice luxembourgeoise, avec la comparution de trois hommes, dont le vosgien Antoine Deltour, accusés d’avoir fait fuiter des milliers de pages mettant en lumière les pratiques d’évasion fiscale au Grand-duché. (@F3Lorraine). A lire : L’article à lire si vous n’avez rien suivi aux « Luxleaks » (@FrancetvInfo).
#Immobilier
Airbnb n’a (presque) plus droit de cité à Berlin. Après New York, Berlin va limiter drastiquement le recours à Airbnb. Faute d’autorisation préalable délivrée par la mairie, louer son logement sur la plateforme en ligne sera interdit à partir du 1er mai dans la capitale allemande, sous peine d’une amende pouvant aller jusqu’à 100 000 euros. Comme le rappelle RFI, la ville est l’une des plus prisées par les usagers d’Airbnb et compte 16 000 logements loués via la société californienne. (@FrancetvInfo).
#Social
Rouen : des travailleurs sociaux protestent contre le lancement d’un logiciel informatique. Des travailleurs sociaux et leurs représentants syndicaux ont manifesté pendant la tenue d’une réunion de CHST au conseil départemental de Seine-Maritime. Ils estiment qu’un nouvel outil numérique aboutira à un fichage des personnes en difficulté. (@F3htenormandie).
#EconomieSociale
Salem Massalha, confondateur de Bassita, start-up égyptienne, explique ce que c’est le « clickfunding » : « Le clickfunding est une innovation égyptienne qui utilise l’interaction sur les réseaux sociaux pour financer l’économie sociale. Un sponsor diffuse une vidéo sur notre site et s’engage à financer une certaine cause à partir d’un certain nombre d’interactions. À chaque fois qu’un internaute partage ou commente la vidéo sur un réseau social, cela créé des points dans une barre de progression. Puis, quand la barre est pleine, le sponsor finance la cause. Un commentaire va donner plus de points car l’engagement est plus fort qu’un simple like. » (@InaGlobal).
#Sondage
« À l’heure où le web facilite les modes d’expression et de revendication citoyenne, il nous semblait essentiel de réinventer notre manière de capter l’opinion », explique Adélaïde Zulfikarpasic, Directrice de BVA Opinion. L’institut vient de lancer pour la présidentielle une plateforme qui analyse en temps réel l’impact sur l’opinion de l’actualité, et non plus uniquement à un moment donné. Son nom : POP2017, la Plateforme des opinions publiques pour 2017« . Son objectif : analyser l’émergence de « signaux faibles » dès leur naissance, puis leur développement en temps réel. Au lieu de s’appuyer sur les seuls résultats de sondages d’opinion effectués à un instant donné, cette plateforme permet de suivre leur évolution en continu, de leur naissance à leur cristallisation dans les urnes. (@WeDemain).
#Education
Yann Houry : « La technologie permet de s’affranchir de la contrainte de l’édition scolaire classique ». Enseignant depuis 1999, Yann Houry, professeur certifié de français, exerce au collège de Labrit (Landes) -lalettredeleducation.fr.
#IoT [Internet des Objets]
Bientôt une Silicon Valley de l’internet des objets près de Toulouse. Si la réputation de la région toulousaine n’est plus à faire dans l’aéronautique, il est un autre secteur dans lequel elle veut s’ériger en exemple: l’IOT (de l’anglais internet of things, en français: l’internet des objets). Ainsi, l’IOT Valley vient de se doter d’un nouveau bâtiment de 3000 mètres carrés. Une nouvelle étape dans l’aventure, avant d’atteindre le projet ultime : la création du «Campus IOT», le plus grand site dédié à l’internet des objets au monde. (@Le_Figaro).
Les nouvelles frontières de l’industrie. Robots, machines à assembler, produits industriels et manufacturés… D’ici à 2020, 21 milliards d’objets devraient être connectés dans le monde, sans compter les smartphones et les ordinateurs. L’essor de plateformes industrielles risque de bousculer la face du monde bien plus que ne l’ont fait les géants du Web jusqu’à présent. Un challenge qui demande audace et confiance. A lire : Comment l’Europe veut soutenir l’industrie 4.0. (@Lopinion_fr).
Citation : « La plus grande faiblesse de l’espèce humaine vient de son incapacité à comprendre la fonction exponentielle. » La formule est d’Albert Allen Bartlett, professeur émérite de physique de l’université du Colorado, décédé en 2013.
#Gravitation
Un nouveau satellite pour mettre à l’épreuve Galilée, Newton et Einstein. Faire mentir Galilée, Newton et Einstein. Tel est l’objectif de l’audacieuse expérience scientifique qui va débuter à 711 kilomètres de la Terre avec le satellite Microscope du Centre national d’études spatiales (CNES). Après plusieurs reports dus à la météo et une anomalie de la fusée Soyouz, il a été mis en orbite héliosynchrone, lundi 25 avril, depuis le centre spatial guyanais, à Kourou. Il testera, durant deux ans, la véracité de l’un des grands postulats de la physique moderne : le « principe d’équivalence ». Observé par Galilée, puis par Newton, élevé au rang de « théorie heuristique » par Albert Einstein, celui-ci dit que tous les corps en chute libre tombent dans le vide à la même vitesse, quelle que soit leur masse ou leur composition chimique. Une assertion qui a été vérifiée expérimentalement par les physiciens. (@LeMondefr).
#Environnement
Quelle est l’Empreinte Environnementale Numérique d’un Salarié ? L’’impact environnemental des technologies numériques et d’Internet n’est pas neutre. Internet est responsable à lui seul de plus de 600 millions de tonnes d’émissions de gaz à effet de serre chaque année. Cela représente autant que l’ensemble des avions de l’aviation civile sur une année. Prenons en exemple, celui d’un salarié qui utilise son ordinateur au bureau, il émet du CO2, il consomme de l’énergie pour alimenter son ordinateur, pour alimenter le réseau wifi, pour alimenter son écran. C’est cette consommation énergétique qui détermine l’empreinte environnementale numérique de chaque salarié. Pour chaque entreprise, il est nécessaire de connaitre la quantité d’énergie consommée par salarié pour mettre en œuvre les actions pour la réduire. (@eRSE_net).