La ville dans la transformation digitale et la transition écologique. « Le XIXème siècle était un siècle d’Empires ; le XXème siècle, celui des États-Nations. Le XXIème siècle sera un siècle des villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers (Etats-unis) en 2009.
#Surveillance
► Cynthia Fleury : « Nous sommes entrés dans une ère de “bien(sur)veillance” » Après plus de six semaines de confinement, chacun a dû adapter son quotidien à de nouvelles contraintes, nous poussant à nous interroger sur la vie recluse d’« assigné » à résidence. Philosophe et psychanalyste, Cynthia Fleury, qui tient le « Journal d’une confinée » pour Télérama, a répondu à vos questions sur le sens de notre existence en temps de confinement. @lemondefr. Légende image : A Marseille, le 25 avril 2020. (Photo : Anne-Chrisitne Poujoulat / Afp).
#Media
► Dear Internet, les journaux de confinement en ligne se multiplient. Par Mathilde Floc’h et Laure Delmoly, France Télévisions, MediaLab. Depuis le début du confinement, la tendance est au récit personnel et à la mise en scène en ligne. Les formats se multiplient : les auteurs publient des chroniques régulières dans les médias, les jeunes (et moins jeunes) se filment sur TikTok, d’autres enregistrent leurs propres podcasts, participent à des challenges artistiques ou postent quotidiennement des photos sur leurs comptes Instagram. Pourquoi se mettre en scène au moment même où l’on est contraint de vivre au ralenti et d’évoluer dans un espace restreint ? Le journal de confinement permet non seulement de raconter son intériorité & de participer à une expérience psychique collective mais il permet de recréer du lien social en ligne à travers différents outils. Tour d’horizon des différentes tendances en matière de “journaux de confinement ». Lire la suite de l’article sur le site @metamedia.
#Ville
► Comment le coronavirus va changer le visage des grandes villes. La crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19 pourrait bousculer notre conception de l’urbanisme. Elle interroge sur la densité urbaine, le partage de l’espace, la place de la nature. La révolution du télétravail induite par le confinement pourrait aussi favoriser l’activité hors des grandes métropoles. « Le débat sur la densité, qui avait déjà surgi avant les élections municipales, certains habitants des grandes métropoles dénonçant la bétonisation dans leur commune, se renforce avec la crise sanitaire », estime également Jean-Claude Driant, professeur à l’Ecole d’urbanisme de Paris. A rebours du discours montant, ces dernières années, d’une nécessité de densifier les villes pour répondre à la crise du logement et lutter contre l’étalement urbain et l’artificialisation des sols. « Ce dogme est en train de se retourner. On prend conscience que la ville dense n’est pas forcément souhaitable pour tout le monde », poursuit-il. @LesEchos
► « Quand j’entends dire que les villes vont profondément changer, ou même qu’elles vont disparaître, je pense que les gens cèdent peut-être un peu trop à la panique. (…) Avec le confinement, les entreprises ont adopté le télétravail, et en cela la pandémie a accéléré une transformation qui était déjà à l’oeuvre. Je pense que nous aurons encore besoin d’aller physiquement dans des bureaux, mais le télétravail, combiné à un ralentissement économique, va probablement réduire la demande. (…) Un autre changement prévisible, à moyen terme, concerne les déplacements. Les gens auront sans doute plus de réticence à prendre le bus ou le métro, et cela profitera à la micromobilité : par rapport aux voitures, les vélos ou les trottinettes nécessitent relativement peu d’espace, et constituent une alternative aux transports en commun. Les villes vont donc devoir leur laisser davantage de place, » explique l’architecte et ingénieur, Carlo Ratti qui dirige le Senseable City Lab, laboratoire du MIT (Massachussetts Institute of Technology) spécialisé dans les villes du futur, sur le site @LesEchos A lire aussi : Carlo Ratti, l’Italien qui réinvente la ville («Les Echos Week-end»)
#Commerce
► « Sauvons nos commerces » pendant le confinement, une plateforme efficace pour aider les plus « petits ». Depuis quelques semaines La plateforme « Sauvons nos commerces » est devenu un coup de pouce salvateur aux petits commerces des départements du Rhône et de la Loire. Cette plateforme a été mise au point par un couple et elle est totalement gratuite. Depuis la plateforme « Sauvons nos commerces » compte de plus en plus de bénéficiaires dans la région Auvergne Rhône-Alpes. @franceinfo.
#JeuVidéo
► « L’ambiance n’est pas la même lorsqu’on joue chez soi » : comment la scène e-sport s’est adaptée à la pandémie. Football, rugby, basket-ball… Partout dans le monde, nombreuses sont les compétitions sportives à avoir été interrompues préventivement face à la pandémie due au coronavirus, puis pour répondre aux mesures de confinement qui touchent plus de la moitié de la planète. Mais il est un secteur sportif qui continue tant bien que mal à tourner : l’équipe Cloud9 a remporté le championnat d’Amérique du Nord de League of Legends, deux Français sont devenus champions d’Europe de Fortnite et la saison professionnelle d’Overwatch se maintient en ligne. Si toutes les compétitions n’ont pas pu se tenir, et que certains événements ont été annulés ou reportés, les plus grands championnats d’e-sport ont en effet pu se maintenir tant bien que mal. Lire la suite de l’article sur le site @lemondefr.
#Transport
► Un plan gouvernemental de 20 millions d’euros pour encourager la pratique du vélo pendant le déconfinement. Afin d’éviter que le déconfinement soit synonyme d’une hausse massive de la pollution de l’air, le vélo est promu. Le ministère de la transition écologique et solidaire a notamment annoncé, mercredi 29 avril, un plan doté de 20 millions d’euros pour faciliter la pratique de la bicyclette et éviter que les Français privilégient trop leur voiture lorsqu’ils seront autorisés à se déplacer à nouveau, notamment pour se rendre au travail. « Nous voulons que cette période fasse franchir une étape dans la culture vélo, et que la bicyclette soit la petite reine du déconfinement en quelque sorte », a ainsi assuré Elisabeth Borne, dans un entretien au Parisien. @lemondefr.