La ville dans la révolution digitale. « Le XIXe siècle était un siècle d’Empires ; le XXe siècle, celui des États-Nations. Le XXIe siècle sera un siècle de villes. ». Wellington Webb, ancien maire de Denvers, en 2009.
Légende image. Un girafon et sa mère se câlinent, le 23 novembre 2015, au zoo de Los Angeles. (Mint Images / AFP) Des zoos lancent un concours de photos d’animaux mignons sur Internet (@Franceinfo).
#IntelligenceArtificielle
Ces I.A développées par d’autres I.A sont plus évoluées que celles mises au point par l’homme… Les I.A sont de plus présentes dans notre quotidien et on nous les présente comme des entités nous facilitant la vie. De nombreux exemples peuvent être cités : voitures autonomes, assistants personnels, systèmes de reconnaissance faciale et autres. Ces I.A intègrent le machine learning, des réseaux neuronaux dirigés par des logiciels complexes dont le but est d’apprendre de manière autonome en assimilant des données en grande quantité. Différentes équipes de chercheurs qui proviennent du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ou du centre Google Brain explorent une nouvelle approche consistant à développer une I.A capable de développer des logiciels et ainsi apprendre à d’autres I.A. Chez Google Brain, un dossier (PDF en anglais, 15 pages) explique qu’on a par ce biais développé un système de reconnaissance d’images plus performant que ceux élaborés par des humains. Des résultats similaires ont été notés par d’autres équipes comme celles du MIT, de l’Université de Berkeley, de l’institut OpenAI ou encore chez DeepMind. (@sciencepost_fr).
#Entreprise
Et si le Danemark était le modèle à suivre ? Le Danemark, ce pays où les gens sont les plus heureux du monde et dont Lego, Mærsk ou Skype font la fierté, fait souvent parler de lui. Avec ses 5,7 millions d’habitants, le Danemark compte deux fois moins d’habitants que l’unité urbaine de Paris. Et pourtant, avec environ 30 000 nouvelles entreprises qui voient le jour chaque année, le Danemark se retrouve souvent en tête des pays les plus favorables à l’entrepreneuriat. Alors comment ce petit pays dont on ne connaît que trop peu la culture peut-il rencontrer autant de succès ? ().
#Economie
Entretien avec Bruno Teboul « L’ubérisation n’est qu’une première étape vers l’automatisation de la société avec data, IA et robots » (@VoxPop_ARTE). A lire aussi : L’automatisation, «processus darwinien» et objet de fantasmes (@libe)
La « gig economy » : vers une économie à la tâche mondialisée ? Qu’est-ce que la gig economy ? En anglais le mot gig signifie le concert. Car on a souvent payé les musiciens d’une soirée à la tâche et une fois le bal terminé. Les Canadiens parle de « jobines » comme petits job ou petits boulots sous-payés. La gig economy recouvre donc une réalité économique dans laquelle de multiples travailleurs indépendants et sous-traitants sont payés à la tâche et non au mois avec un employeur unique. Mais cette économie va bien au-delà de ce mode de contractualisation. Il préfigure une sorte de concert mondial composé de centaines de millions de musiciens, provenant des quatre coins du monde, mis en concurrence sur de gigantesques plateformes numériques, essayant de produire une musique harmonieuse au moindre coût. Force est de constater qu’aujourd’hui c’est encore la cacophonie. (FR_Conversation).
#MediaEtElection [Série du site @InaGlobal]
Élections en séries (TV). Par Antoine Faure. Nombre de séries télévisées nous immergent dans le quotidien de professionnels de la politique, notamment au moment de la compétition électorale. Ces fictions nous captivent par les relations entre fond, forme et format qu’elles adoptent, mais que nous disent-elles du champ politique ?
Les médias font l’élection : une croyance qui a la vie dure. Par Erik Neveu. Journalistes, politiques et même grand public : la croyance dans une influence décisive des médias sur le résultat des élections est largement partagée. Qu’en est-il réellement ? Si les médias sont au cœur des campagnes électorales, l’électeur reste l’acteur principal de son vote !
#FausseNouvelle
Le porte-parole de la Maison Blanche au supplice des « faits alternatifs » Le nouveau porte-parole de la Maison Blanche, Sean Spicer, a pu éprouver, mardi 24 janvier, l’inconfort auquel expose la défense de « faits alternatifs ». L’expression a été forgée dimanche par une proche conseillère du président Donald Trump, Kellyanne Conway, à l’occasion de la controverse sur le nombre de personnes présentes à la cérémonie de prestation de serment du 45ème président des Etats-Unis. M. Trump avait peu apprécié que la presse insiste sur le fait qu’il était moins élevé que pour son prédécesseur Barack Obama, en 2009. Lors de son premier briefing officiel, lundi, M. Spicer avait assuré, en réponse à une question sur ce chiffrage, que « parfois, on peut être en désaccord sur les faits ». (@lemondefr).
#Information
L’étonnant sentiment de sécurité face à la surcharge informationnelle. L’avènement d’Internet et à sa suite, des réseaux sociaux, a démultiplié les sources, les contenus et les canaux d’information. Un tel foisonnement informationnel, a longtemps donné le vertige et posé des difficultés dans son traitement. Pourtant, près de 77% des Américains disent désormais se sentir véritablement à l’aise face à elle et en apprécient la masse selon une nouvelle étude menée par PewResearch. 67% d’entre eux pensent même qu’elle leur simplifie la vie. D’ailleurs, 84% Américains qui ont au moins 3 moyens d’accès à Internet (entre le smartphone, la tablette et l’ordinateur) se disent parfaitement à l’aise avec les flux d’informations et son traitement. (@latelier).
#Transport
Près d’un consommateur sur deux, soit 48% des consommateurs interrogés par le cabinet d’audit KPMG dans le monde entier, estiment que la vie privée et la sécurité seront des critères importants à l’avenir pour l’achat d’une voiture connectée. C’est le critère le plus cité, devant la transparence dans la connaissance du coût global de possession de la voiture (cité par 45% d’entre eux) et le plaisir de la conduite et de la vitesse (42%). La privacy est également le critère le plus cité par les cadres du secteur automobile (à 52%), cette fois devant la présence de systèmes d’aide à la conduite ou de la conduite autonome (45%) et la question des émissions carbonées (44%). Par ailleurs, la moitié des consommateurs (49%) estiment qu’ils seraient les plus à même de détenir les données de leur véhicule, 32% estimant en revanche qu’ils pourraient céder leurs données aux constructeurs ou aux entreprises tech. (@RSLNmag).
#Numerique
Comment inciter les filles à y travailler ? «Levez les panneaux, le groupe big data d’un côté et le groupe data scale de l’autre.» Il est 10 heures, mardi 24 janvier. Il flotte comme une odeur de rentrée des classes dans l’auditorium des locaux parisiens de Google, au cœur du IXe arrondissement. Plusieurs dizaines de jeunes filles, lycéennes et étudiantes, sont venues rencontrer des femmes ingénieures dans les métiers du numérique. Cette journée est organisée par l’association Elles Bougent qui lutte pour féminiser les équipes scientifiques des entreprises. Lors de son lancement, en 2005, la présidente Marie-Sophie Pawlak a fait le constat suivant : « La parité existe dans les classes de terminales scientifiques, or, l’année suivante, il y a quatre fois moins de filles qui se dirigent vers les filières scientifiques et technologiques. Pourquoi ? » Beaucoup de raisons expliquent cette déperdition. Son association s’emploie à déconstruire l’image cadenassée de certains métiers à dominance masculine. (@Madamefigaro).
#Mobilite
Le smartphone vous colle définitivement à la peau. En ce début de 2017, le mobile, avec 77% de taux d’équipement en France, dépasse pour la première fois celui des ordinateurs et nul doute que la taille de votre meilleur ami devrait évoluer en conséquence. Objectifs, offrir toujours plus de fonctionnalités avec une visibilité optimum. Quant à la phablette, autrefois raillée pour sa dimension XXL, elle pourrait très vite devenir « le prince de la ville ». Autre enseignement, l’usage du téléphone mobile dans les transports en commun progresse fortement : 49% en 2016 contre 30% en 2015. On imagine que ce chiffre devrait avoisiner les 70% d’ici 2020. On aimerait quand même que les acteurs de ce marché se creusent un peu plus la tête pour nous faire vivre une vraie expérience de trajet, comme avait pu le faire la RATP il y a quelques mois avec sa campagne #consignesAIRATP. Enfin, 81 % des Français ne sont réceptifs à aucun format de publicité sur leur smartphone et les marques vont devoir se triturer les méninges pour conquérir cet eldorado. Et si tout n’était qu’une question de… verticalité ? Découvrez ci-dessous les résultats de l’enquête internationale de Deloitte. (@INfluencialemag).
#Internet
État des lieux 2017 : l’usage d’Internet, des réseaux sociaux, des messageries et du mobile. Comme chaque année, We are social publie son récapitulatif chiffré sur Internet et les réseaux sociaux. La première partie du document vient d’être mise en ligne. Elle rassemble de très nombreux chiffres, à jour, sur l’usage d’Internet, des réseaux sociaux, des messageries et du mobile à travers le monde. Dans quelques jours, l’agence publiera la seconde partie du document, qui permet de connaître les chiffres d’usage d’Internet et des réseaux sociaux dans presque tous les pays du monde. L’usage d’Internet et du mobile en 2017, ainsi sur 7,476 milliards d’habitants, on dénombre : 3,773 milliards d’internautes, soit 50% de la population, 2,789 milliards d’utilisateurs de réseaux sociaux, soit 37%, 4,917 milliards d’utilisateurs de mobiles, soit 66%, 2,549 milliards d’utilisateurs de réseaux sociaux sur mobile, soit 34%. (@BlogModerateur).
#Algorithme
« Les algorithmes ne limitent pas notre liberté de choix, ils l’augmentent » Les algos rythment notre quotidien. Il suffit d’une recherche Google ou d’un passage sur Facebook pour qu’ils soient à l’œuvre. Un chauffeur Uber ou un livreur à vélo leur obéissent au doigt et à l’œil. Quand nous prenons la route, c’est eux qui optimisent nos trajets et nous font contourner les bouchons. Sans compter les transactions financières ou diagnostics médicaux qu’ils réalisent. Pourtant, beaucoup d’entre nous sont bien en peine de les définir précisément. Selon une étude IFOP, 52 % des Français ne savent pas vraiment de quoi il s’agit précisément. Une façon simple de les définir est de les rapprocher d’une recette de cuisine : ils ne sont rien de plus qu’une suite d’instructions utilisée pour résoudre un problème. (@20minutes).
#LiensVagabonds
Le président Trump déclare la guerre aux médias et aux faits. A retenir cette semaine : – Peut-on armer la transparence des algorithmes ? ; – Les robots, bientôt des « personnalités juridiques » ? ; – Le glossaire de l’intelligence artificielle ; – La télévision 3D est définitivement morte, vive la 4K.(@Metamedia).