Le fort en gouaille, le chef écossais Gordon Ramsay, l’alter égo de Philippe Etchebest (situé juste en face), a pris les rênes du Pressoir d’Argent. Cette journée était dédiée aux interviews télés, radios et de presse écrite au Grand Hôtel de Bordeaux. Ouverture ce vendredi.
© Gordon Ramsay devant le Grand Hôtel de Bordeaux
« I’m so happy to be here, Bordeaux is a dream for any Chef #thegrandhotelbordeauxhours away from opening » a posté sur Facebook le grand chef du Grand Hôtel et aussitôt ce fut une déferlantes de likes (40 000), de commentaires et de souhaits de « bienvenue à Bordeaux ».
Deux ou trois étoiles, ce n’est pas pour l’instant la chose la plus importante, le plus important c’est d’avoir des gens très contents » Gordon Ramsay.
« Bordeaux, c’est pour moi comme Paris, …des bons vivants, on a une réputation avec des vins extraordinaires, l’ambition ici c’est de monter la cuisine et les vins ensemble. »
Quant commenter la proximité avec son célèbre voisin: « moi, j’adore la compétition, je n’ai pas peur, c’est un grand chef mais je suis prêt… » Ouille, ouille, ouille quand on vous dit que le cauchemar en cuisine ne fait que commencer…
Philippe Etchebest n’as pas tardé à réagir en bon joueur:
On ne peut peut-être pas parler de compétition, on peut parler d’émulation gastronomique ! Philippe Etchebest
Et de poursuivre: « Vous vous rendez compte qu’aujourd’hui avec l’arrivée de Joël Robuchon, de Gordon Ramsay, d’Alain Ducasse probablement, Bordeaux va devenir la capitale de la gastronomie française, c’est juste énorme depuis le temps qu’on l’attendait ! »
Regardez le reportage d’Elise Galand et Didier Bonnet qui l’ont rencontré:
