Cette poétique passerelle assure pour les piétons la continuité de la rue du Chinchauvaud, coupée par la voie ferrée.
Elle fut construite après la mise en service de la gare Montjovis (1875) et de la ligne d’Angoulême, au-dessus de la voie (en « fer à cheval »), qui relie cette gare des Charentes à celle des Bénédictins.