Un vibrant hommage au coeur de Londres, à l’occasion d’un dîner exceptionnel. Le château d’Issan a convié une cinquantaine d’amis britanniques dans le cloître de l’Abbaye de Westminster en l’honneur d’Aliénor d’Aquitaine qui s’est uni à Henri Plantagenêt, en buvant du vin du château d’Issan (anciennement Lamothe-Cantenac).
863 ans ont passé…Mais le Grand Maître n’a pas oublié. Grand Maître de la Commanderie du Bontemps mais aussi propriétaire du château d’Issan, Emmanuel Cruse a tenu à rendre hommage à la célèbre Aliénor d’Aquitaine dont les noces avec Henri Plantagenêt furent célébrées le 18 mai 1152.
Les vins servis au cours du dîner provenaient des Vignobles Lamothe-Cantenac qui devinrent plus tard, le Château d’Issan. Le mariage a uni les régions de France, l’Aquitaine, l’Anjou et la Normandie en vertu d’une règle, et ainsi a commencé la longue implication des Anglais dans la région du vin la plus célèbre de France, Bordeaux. Une histoire commune qui a pesé dans le développement des vins de Bordeaux.
Aussi le 18 mai dernier, le Château d’Issan a convié une cinquantaine d’amis britanniques à un dîner exceptionnel qui se tenait dans le Cloître de l’Abbaye de Westminster. 863 ans plus tard, le Château d’Issan, Grand Cru Classé en 1855 de Margaux, a décidé de célébrer cet anniversaire au coeur de Londres, à l’Abbaye de Westminster, célèbre pour accueillir les mariages et les couronnements de la Famille Royale d’Angleterre.
Ce dîner confidentiel s’est tenu dans le « Cellarium » (cellier) de l’abbaye, là où les moines avaient l’habitude de conserver leurs vins.
Une seule et grande table a réuni l’ensemble des distributeurs historiques pour partager cette expérience exclusive.
Tout au long du dîner ont été servis :
– Double Magnum de Château d’Issan 2005
– Jéroboam de Château d’Issan 2000
– Impériale de Château d’Issan 1990
– Impériale de Château d’Issan 1985
La devise du Château d’Issan « Regum Mensi Aris Que Deorum » – « Pour la table des Rois et l’autel des Dieux » est gravée dans la pierre du Château d’Issan et sur son étiquette, une devise qui devait résonner ce soir-là dans la tête d’Emmanuel Cruse et dans ce fameux « cellarium »…