29 Déc

Joël Robuchon, le chef le plus étoilé au monde, affiche de nouvelles ambitions : 5 nouveaux restaurants ouverts en deux ans

Joël Robuchon, le chef le plus étoilé au monde, selon le Guide Michelin, ouvrira en 2017 et 2018 « cinq nouveaux restaurants », aux Etats-Unis, à Macao et à Genève, a-t-il annoncé à l’AFP.

Ouverture de l'Atelier © Joel Robuchon Montreal... https://www.facebook.com/AtelierdeJoelRobuchonMontreal/ – à Casino Montréal.

Ouverture de l’Atelier © Joel Robuchon Montreal en décembre à Casino Montréal.

Titulaire de pas moins de 31 étoiles au Guide Michelin, dont cinq fois trois étoiles, le Français Joël Robuchon, à 71 ans, poursuit ainsi l’expansion de son empire gastronomique. Il s’appuie sur des investisseurs, pour l’essentiel américains, notamment « les groupes Invest Hospitality, qui comprend des investisseurs publics et privés, et Crest Mi », a-t-il précisé.

En avril 2017, ouverture à New York d’un Atelier Joël Robuchon à Meat Packing, d’un autre Atelier à Miami, au Design District, en octobre 2017, et d’un Restaurant Joël Robuchon à New York (angle 53e rue et Lexington) au début de 2018. En 2018, il ouvrira un Atelier à Genève, à l’Hôtel Woodrow, quai Wilson face au
Lac, et à Macao un Restaurant Tradition à l’Hôtel Karl Lagerfeld.

Et, pour 2019, retour aux sources dans ses terres natales poitevines: Joël Robuchon prévoit l’ouverture à Montmorillon (Vienne), dans le site à l’abandon de la Maison-Dieu, un ancien monastère-hôpital du XIe siècle, d’un Institut international Joël Robuchon, une école de cuisine haut de gamme, associée à la prestigieuse Ecole hôtelière de Lausanne, en Suisse. « Un projet qui me tient très à coeur », a-t-il souligné à l’AFP.

L’année 2016 a été marquée par son départ de La Grande Maison à Bordeaux où, après avoir obtenu deux étoiles en un an, la relation s’est arrêtée nette avec Bernard Magrez, car la Grande Maison accusait un déficit de 2 millions d’euros. Il a été remplacé peu de temps après par Pierre Gagnaire, autre star des fourneaux.

Outre Paris, New York et Macao, où il dispose déjà de restaurants, Joël Robuchon est aussi présent à Monaco, Londres, Las Vegas, Tokyo, Hong Kong, Shanghaï, Taipeh et Bangkok.

Avec AFP

Et voici le mur à vin modulable et design

En voilà une idée originale pour ranger ses bouteilles de vin. Elle vous est proposée par Vin’Store Design, une entreprise de Vouvray qui pétille d’imagination. Son dirigeant, Guillaume Branchet, spécialiste dans le travail de la tôlerie fine a conçu ces racks en inox pour ranger de manière optimum vos bouteilles. Il en existe de toute sorte et en plus cela habille vos murs  dans un salon, une cuisine ou dans un restaurant, ou bien en cave bien sûr.

Un nouveau système de stockage pour agrémente le mur d'une cuisine ou sur socle © Vin'Store Design

Un nouveau système de stockage pour agrémente le mur d’une cuisine ou sur socle © Vin’Store Design

La cave ne se cache plus, elle montre ses plus beaux atours. Grâce à ces racks en inox,  Vin’Store Design propose un concept unique de stockage du vin. A l’origine de cette idée en 2012, Guillaume Branchet, responsable de la société tourangelle A.S.C TOLERIE : « on est dans le tôlerie fine en inox, notre client principal est Proludic, on fabrique des éléments pour des jeux de plein air. On travaille l’inox pour l’industrie du 8/10e au 3mm d’épaisseur. C’est à partir d’un besoin personnel que nous avons commencé à produire ces racks. »

Ce système de rangement pour bouteilles est 100% Made in France. Il a été spécialement conçu pour optimiser la place disponible tout en apportant une touche esthétique et design au lieu servant de cave à vin. Un système adapté à tous types de format de bouteilles, standard, champagne ou magnum…

« Ce système se fixe sur tout support, il est prépercé. Il permet d’avoir un mur de bouteilles. Les bouteilles tiennent uniquement par le goulot et sont suspendues. le goulot est très solide, c’est ce qui est de plus dur sur une bouteille, «  m’explique Guillaume Branchet qui a fait breveté son système en 2013.

Dans les endroits où l’on manque de place, ce système est idéal d’autant qu’ il met en valeur les bouteilles, avec une visibilité de leurs étiquettes et une grande accessibilité. Les bouteilles sont maintenues horizontalement par le col dans les perforations du rail. Ce système permet de créer un mur de bouteilles de vin dans une cave à vin, une cuisine ou la salle d’un restaurant.

Format rack double, triple profondeur © Vin'Store Design

Format rack double, triple profondeur © Vin’Store Design

« On a appelé ça des racks. On part d’un sytème de 3 bouteilles de 15- 18 cm de haut et on va jusqu’à 2 m de hauteur en gamme standard. Toutefois aujourd’hui on peut aller jusqu’à 3 – 4 mètres… »

« Pour vous donner une idée en 2 m en quinconce, une bouteille à gauche, une bouteille à droite, on range 43 bouteilles. »

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Aujourd’hui, ce concept plaît auprès des particuliers, restaurants et cavistes qui le connaissent mais est encore assez méconnu. Côté Châteaux espère réparer cela car l’initaitive est originale. Guillaume Brachet est fier d’avoir vendu son idée auprès d’une institution : « Parmi les restaurants, on a le Grand Monarque à Chartres (une étoile au Guide Michelin) qui s’est fait toute une cave avec ce système-là. » Il recherche également des représentants ou des distributeurs pour développer son concept.

Un nouveau système de stockage pour agrémente le mur d’une cuisine ou sur socle © Vin’Store Design

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Quelques chiffres :

Rail standard en inox brossé de 3 à 43 bouteilles et de 35 € à 200 € TTC.
Le système de rangement Vin’Store Design est disponible en plusieurs mesures sur le site
vinstoredesign.fr
Fabrication sur mesure sur devis.

Pour contacter Vin’Store Design :

vinstoredesign@gmail.com ou Guillaume Brachet au 06 30 05 86 86

27 Déc

Réchauffement climatique: les cépages ancestraux au secours de la vigne

Sécheresse et chaleur: le réchauffement climatique brûle la vigne. Mais l’avenir pourrait bien se trouver dans le passé: les vignerons découvrent que les cépages ancestraux, sacrifiés sur l’autel du rendement, sont en fait plus résistants.

© Producteurs de Plaimont

© Producteurs de Plaimont

Sur une petite parcelle nichée entre châteaux et villages gersois, au milieu des champs de blé au chaume grillé par le soleil, quelques rangées de vignes hautes abritent 37 cépages. « Plant de Cauzette », « N°5 », « tardif », etc. Certains portent des noms qui tutoient le Moyen-Age. D’autres, estampillés « inconnus », n’ont pour l’instant qu’un numéro.

Ils ont été découverts lors de prospections débutées dès les années 90, puis amenés à Loussous-Débat (Gers), dans un conservatoire détenu par la coopérative Plaimont, qui produit 40 millions de bouteilles par an. C’est dans ce musée vivant de la vigne, le plus grand de France à fonds privé, que s’invente l’avenir du vin. On y teste des cépages qui sont autant de trésors oubliés, certains retrouvés dans des vignes datant d’avant la crise du phylloxera, qui a décimé la viticulture au XIXe siècle.

« Avant le phylloxera, il y avait beaucoup plus de cépages. Puis on a voulu faire du volume, alors on a favorisé quelques variétés à fort rendement, abandonnant les autres », explique André Dubosc, fondateur de Plaimont et vigneron depuis trois générations. « Mais aujourd’hui, c’est le retour du boomerang ». « Prenons l’exemple du manseng noir », explique Nadine Raymond, directrice Recherche et Développement chez Plaimont, en soupesant une grappe de raisin quasi-mûre. « Des archives de 1783 parlent de lui comme « celui qui fait le bon vin » mais, après le phylloxéra, on avait besoin de volume. Le tannat a donc remplacé le manseng noir ».

Aujourd’hui, c’est une véritable résurrection. « On en a retrouvé quelques pieds et on a découvert qu’il s’adapte au réchauffement climatique », explique la chercheuse de Plaimont, qui produit 98% de l’appellation Saint-Mont et 48% des Madiran.

2,5 degrés en plus depuis 1984

Le manseng noir fait « moins d’alcool », explique Mme Raymond. Alors que le tannat, cépage dominant des vins gersois, « peut atteindre parfois 16 degrés », soit un taux déjà maximal, précise André Dubosc. Or le réchauffement a déjà fait augmenter le taux d’alcool de 2,5 points entre 1984 et 2015, selon une étude du laboratoire Dubernet réalisée sur un échantillon de vins du Languedoc-Roussillon.

Le « stress hydrique fort », induit par la sécheresse, « bloque la maturité: le grain se concentre, il y a beaucoup de sucre et donc plus d’alcool », résume Jean-Louis Escudier, ingénieur de recherche INRA à Pech Rouge (Aude).

Il y a urgence: « depuis 2000, il s’évapore plus d’eau qu’il n’en tombe », avertit l’expert, se basant sur les relevés effectués dans son unité expérimentale de 34 hectares de vigne en bord de Méditerranée. Sur cette parcelle, l’ingénieur étudie cinq croisements entre vignes à vin et raisins de table qui avaient été plus ou moins oubliés et « qui mûrissent à environ 11 degrés ».
Au conservatoire de Plaimont, Nadine Raymond a, elle, découvert le « vitis vinifera N°5 », qui ne titre que 10 degrés. Mais elle a également mis la main sur un autre miracle, le bien-nommé « tardif », qui mûrit « une dizaine de jours plus tard » que le tannat. « Il est donc tout à fait idéal » car le réchauffement climatique, qui accélère le mûrissement, a déjà provoqué une avancée de deux à trois semaines des vendanges sur le dernier quart de siècle.

Le potentiel de découvertes ne s’arrête pas au sud-ouest. Sur les 6.000 cépages existants dans le monde (sans compter les hybrides), dont 550 en France, seuls 1.200 sont en production (237 dans l’Hexagone). Ainsi, à l’Inra Vassal (Hérault), dans la plus grande banque génétique mondiale de la vigne où sont plantés plus de 2.700 cépages de 54 pays, « il s’écoule deux mois entre le premier et le dernier qui mûrit », explique Thierry Lacombe, co-responsable scientifique de Vassal et ingénieur de recherche à l’Inra de Montpellier. « Cela laisse une formidable gamme de variabilité, une grande réserve de diversité ».

Avec AFP.

26 Déc

La vente des grands vins de Bordeaux fortement relancée en 2016 au Royaume-Uni

Le marché des vins de Bordeaux a été relancé en 2016, notamment à la faveur du Brexit, après cinq ans de morosité, a-t-on appris vendredi auprès de Liv-ex, bourse d’échange britannique spécialisée dans les grands vins.

© archives JPS

© archives JPS

« Le Bordeaux est revenu dans le top des performances, on n’avait pas vu cela depuis le pic de 2011, après deux grands millésimes, 2009 et 2010 », a déclaré à l’AFP le directeur de Liv-ex, Anthony Maxwell après la publication de son rapport annuel cette semaine. Après ce pic de 2011, le marché avait baissé avant de se stabiliser en 2015.
Le Liv-ex Fine Wine 100, indice de référence qui classe les 100 meilleurs vins en terme de prix et de volume de transaction, a connu une forte hausse en 2016.

Avant le Brexit, les crus classés de la rive droite bordelaise se vendaient déjà bien grâce à une baisse des prix et un très bon millésime en primeur 2015 qui a relancé l’intérêt des acheteurs. « Après quatre ans de baisse, il y avait des opportunités », a souligné le directeur de cette plateforme de transactions et de paiement pour les professionnels.

En juin dernier, le vote du Brexit a fait chuter la livre sterling face à l’euro et au dollar, engendrant une flambée des transactions effectuées par des acheteurs principalement américains et asiatiques. Plus largement, en valeur, les transactions de grands vins sur Liv-ex portent à 74,6% sur des crus du Bordelais (légèrement supérieure à 2015 et bien loin du record de 2010 à 95,8%), suivi par la Bourgogne (7,7%). La région bordelaise a perdu du terrain, surtout avec la concurrence d’autres pays producteurs.

En 2017, les perspectives sont encourageantes grâce à un très bon millésime prévu à Bordeaux, nuancées par des incertitudes politiques et macro-économiques.
« Avec la qualité, des volumes stables et une demande forte, il va y avoir de très bonnes opportunités, surtout pour les millésimes qui ont un peu d’âge », a conclu le directeur de Liv-ex, qui se dit « optimiste ».

Créée en 1999, cette plateforme de transactions et de paiement pour les professionnels a traité cette année un nombre record de 4.000 vins de 670 marques différentes, avec pour la première fois des vins anglais et chinois: l’effervescent Nyetimber, Classic cuvée 2010, et le premier millésime d’Ao Yun 2013.

AFP

La bonne santé des vins effervescents et notamment du cava espagnol

Lors des fêtes de fin d’année, la consommation de vins effervescents est à son apogée. Au pays du Champagne, d’autres bulles envahissent les rayons… et notamment le cava espagnol qui, par son prix attractif, séduit de plus en plus. Freixenet annonce une progression de 28 % en volume en France.

© Freixenet

© Freixenet

Avec 10,8% de parts de marché en volume, les vins effervescents étrangers progressent, selon IRI, de + 27,6% en volume, soit un gain de plus de 3 millions de bouteilles en 1 an (Données du 17 Août 2015 au 14 août 2016)

Freixenet, groupe familial indépendant fondé en 1861 est la signature incontournable du cava et le 1er acteur mondial de vins effervescents.

En France, Freixenet affiche une croissance à 2 chiffres, en continue depuis 3 ans et s’inscrit comme la 2 ème marque de vins effervescents (hors champagnes) la plus vendue en hypermarchés et supermarchés. 

La marque affiche une progression  exceptionnelle de +28% en volume en France sur les 12 derniers mois sur un marché en hausse de seulement +3 % en volume (Panels Distributeurs IRI 2016 Total Hypermarchés + Supermarchés)

25 Déc

Et une petite vendange tardive en Jurançon pour bien terminer l’année

Ce sont des vendanges tardives qui se sont déroulées cette semaine en Jurançon au château de Navailles. Un travail méticuleux de ramassage de ces grains chargés en sucre pour obtenir un divin nectar.

De belles vendanges tardives en Jurançon à Aubertin © France 3 Aquitaine

De belles vendanges tardives en Jurançon à Aubertin © France 3 Aquitaine

Nous sommes à Aubertin, dans les rangs de vignes du château de Navailles. Progressivement, on retire les filets de protection contre les oiseaux. Derrière apparaissent enfin ces grappes de raisin qui vont donner ce vin très apprécié en ces fêtes de fin d’année :

« La belle grappe, c’est celle-là, vous voyez les raisins ils sont bien passeriés. « Il y a très peu de jus, mais ça a le goût de nèfle, de figue, c’est le top de la grappe, ça fait un très bon jus après » « , précise Pierre Pommé, le Chef de Culture de la Cave de Jurançon.

Le vignoble de Jurançon est un des rares en France à mener de telles vendanges tardives. Un production, certes marginale pour la cave de Jurançon, avec environ 1% de la production et 50000 bouteilles, mais importante en terme d’image.

C’est la preuve d’un réel savoir-faire de ces vins très riches et très puissants.

Regardez le reportage réalisé en début de semaine par Eric Poussard et Elie Gonzalez, montage Rémi Grillot :

24 Déc

Côté Châteaux vous souhaite un très joyeux Noël

Côté Châteaux vous envoie ces quelques clichés de Noël avant l’heure entre le sapin réalisé en ceps de vigne des Sources de Caudalie et les photos d’équipes comme chez Georges Duboeuf ou de repas de fin d’année du châteaux Mangot…

L'arbre de Noël réalisé à partir des bois de la vigne aux Sources de Caudalie © JPS

L’arbre de Noël réalisé à partir des bois de la vigne aux Sources de Caudalie © JPS

Un petit clin d’oeil à quelques heures du réveillon de Noël et de cet instant de partage en famille et entre amis.

Cité du ViN 1753Côté Châteaux n’a pas résisté à l’idée de vous faire découvrir ce sapin original, choisi par Alice Tourbier Cathiard, à l’entrée des Sources de Caudalie à Martillac : un sapin réalisé entièrement à partir de ceps de vigne.

Et Daniel Cathiard, son père, et propriétaire de Smith Haut Lafitte de commenter  pour Côté Châteaux ce millésime qui fut unj cadeau de Noël: « 2016 année miracle pour Smith Haut Lafitte ! On a frôlé la catastrophe… et finalement on fera peut être un de nos meilleurs vins. Tout ce qui ne tue pas la vigne la rend meilleure ».

CaptureNoël, c’est traditionnellement et aussi la neige. Bien qu’absente depuis deux ans à Bordeaux, Jean-François Quenin a voulu partager la magie d’un hiver enneigé à Saint-Etienne-de_Lisse au superbe château de Pressac, cru classé de Saint-Emilion, depuis 2012.

L'équipe de © Georges Duboeuf

L’équipe de © Georges Duboeuf

Nos amis de la Vallée du Rhône ne sont pas en reste. Georges Duboeuf vous présente l’équipe « technique », douze personnes dont sept oenologues répartis entre le laboratoire et le chai de vinification à Romanèche -Thorins. « Tous oeuvrent avec la même passion pour le vin et ont comme objectif de vous satisfaire pleinement! »
« Nous en profitons pour vous souhaitez de bonnes fêtes de fin d’année ! »

15622112_1259606380763156_4533658550157328263_nNoël, c’est aussi l’occasion de remercier les équipes, qui travaillent tout au long de l’année à réaliser les meilleurs vins possibles. Yann et Karl Todeschini, des châteaux Mangot, en Saint-Emilion, et la Brande, en Castillon Côtes de Bordeaux, ont ainsi invité leurs équipes à partager un premier repas de fêtes.

A toutes et tous, profitez de ces moments à déguster de grands vins ou de petites pépites, sur vos plats de fêtes. Joyeux Noël !

Et enfin voici la vidéo partagée ce jour par Prestige des Bulles, caviste à Pessac, qui « vous souhaite un joyeux noël plein de bulles mignonnes… »  (© Les Minions-Universal)

23 Déc

Pour Noël, offrez la Garonne !

Bordeaux River Cruise organise des croisières à Bordeaux sur la  Garonne, la Dordogne et l’estuaire de la Gironde. A bord de ces bateaux, partez à la découverte des célèbres vignobles du Bordelais (Saint-Emilion, Médoc, Sauternes, Côtes de Bourg), des sites inscrits au patrimoine mondial UNESCO comme Bordeaux et la citadelle de Blaye, et les îles de la Gironde.

Une vue imprenable sur la Cité du Vin pour la croisière

Une vue imprenable sur la Cité du Vin pour une petite croisière, il existe aussi des formules croisière et entrée à la Cité du Vin  © Bordeaux River Cruise

Vous recherchez encore, pour Noël, une idée originale de cadeau de dernière minute ? Ne cherchez plus et bienvenue à bord. Offrez une mini-croisière sur la Garonne pour admirer Bordeaux et ses vignobles.

Au départ de Bordeaux ou de l’Estuaire de la Gironde, offrez un moment sur la Garonne à vos proches avec des coffrets cadeaux que proposent Bordeaux River Cruise. Il vous suffit de choisir la croisière tout en laissant le choix de la date libre (durée de validité 1 an). Vous pourrez ainsi vous laisser bercer par le clapotis tout en dégustant les vins de Bordeaux.

Pour en savoir plus : Bordeaux River Cruse

Côté Châteaux fête ses 3 ans : « blog du vin, je suis ta terre ! »

En ce 23 décembre, le blog du vin, Côté Châteaux, fête ses 3 ans, près de 1800 articles depuis sa première publication et 1 million 250000 pages lues. Des nouvelles du vin en veux-tu, en voilà. Pas mal de fraîcheur, beaucoup d’acidité, de la rondeur et une bonne longueur…en news bien sûr. Le côté obscur, c’est avant tout sa curiosité de la galaxie vin, c’est son côté châteaux !

Cité du ViN 1739

Noir, c’est noir, je sais, quand on me voit, il n’y a plus d’espoir… C’est fardé de cette belle couleur que l’homme en noir, ce farfadet des fadettes, se promène à travers les rangs de vignes, pour vous informer. Et en cette période de Rogue One, a Star Wine Story se déroule dans le bordelais.

Parti d’une galaxie lointaine où Facebook ami de Twitter souhaitait venir en aide à la Princesse Malbec (c’est difficile de trouver un cépage bordelais avec les lettres de Leia !), le côté obscur du châteaux s’est mis en tête une quête de l’info viti-vinicole pour mieux servir son maître Vad…donc au chai nous tirer une pipette.

Cette année aura été marquée par l’ouverture de ce vaisseau posé en bord de Garonne et appelé par les Ewoks , ce peuple habitant le port de la lune -sanctuaire de la belle Endor-mie, « la Cité du Vin ».

Il y a eu aussi ces rencontres privilégiées avec de vieux sages comme Pierre Lillet, détenteur durant 50 ans de la recette du Lillet, la saga Rothschild en terre de Mouton à Pauillac, le nouveau vaisseau des Carmes Haut-Brion dessiné par Star…ck Wars alias Philippe Starck de la Galaxie du design. Que d’histoires, que de tribus.

Le peuple du vin aura été au coeur des tribulations de Côté Châteaux donnant constamment la parole aux amateurs lors de Bordeaux Fête le Vin ou plus récemment pour Bordeaux Tasting. Du petit vigneron, Benoît Manuel Trocard, au plus grand propriétaire, Bernard Magrez, tout le monde a eu le droit de citer dans Côté Châteaux. Les enjeux économiques ou écologiques auront aussi pris une part importante, avec aujourd’hui 30 rubriques qui répertorient toute l’actualité du blog du vin.

Côté Châteaux vous a permis de découvrir de nombreux bars à vins branchés, de dénicher de nombreuses idées de sorties (à vos tablettes), et mis l’accent sur de grands talents de la gastronomie qui marient talent culinaire et accords mets et vins.

Merci à vous tous de continuer à suivre le blogbuster du monde du vin, Côté Châteaux sur Twitter ou Facebook, et bien sûr sur la page de France 3 Aquitaine.

Ps : bravo à Lego pour ce Dark Vador plus grand que Côté Châteaux, c’est normal : « je suis ta terre ! »

Retrouvez le teaser de Côté Châteaux, réalisé par Charles Rabréaud :

22 Déc

« La Cité du Vin », l’ouvrage sur ce lieu de cultures à se procurer pour Noël

« La Cité du Vin, un monde de cultures », c’est le livre co-signé par Jean-Paul Vigneaud, Guillaume Bonnaud et Philippe Caumes, qui retrace l’épopée des travaux mais aussi la réussite de ce lieu devenu emblème de Bordeaux. Un joli livre, sélectionné par Côté Châteaux, à offrir pour les fêtes, avec de sublimes photos.

La couverture de "la Cité du Vin, un monde de cultures" aux éditions Sud-Ouest © JPS

La couverture de « la Cité du Vin, un monde de cultures » aux éditions Sud-Ouest © JPS

Depuis l’inauguration du 31 mai dernier par le Président de la République, depuis son ouverture le lendemain au public, la Cité du Vin vit une existence paisible en bord de Garonne, au rythme des oenotouristes du monde entier, de France, de Nouvelle-Aquitaine et de Bordeaux qui viennent la contempler… Et alors que la Cité fêtait son 200000e visiteur le 2 novembre dernier, paraissait ce bel ouvrage qui aujourd’hui va ravir ceux qui l’auront mis au pied du sapin.

Pour tous ceux qui l’ont déjà visité et pour ceux qui ne la connaissent pas encore, Côté Châteaux vous met l’eau à la bouche (en attendant celle des huîtres) et vous dévoile quelques extraits ainsi que l’interview exclusive de ses deux amis photographes…l

Cité du ViN 1759Dans la préface, Alain Juppé revient sur l’idée forte qui a présidé à la genèse de ce projet : « un tel équipement emblématique fit longtemps défaut dans une ville qui doit au vin une grande part de son renom et de sa richesse depuis des siècles. »

« La Cité du Vin, cette Cité Phare, attire par sa forme légère, douce et imposante. Cet édifice, on le doit à l’agence X-TU et ses architectes visionnaires. Pour connaître les secrets de la forme originale Jean-Paul Vigneaud dresse le portrait d’Anouk Legendre et de Nicolas Desmazières et les interviewe pour mieux cerner leur vision tout en « rondeurs et sans couture »

Les auteurs et notamment la beauté des photos retracent toutes les étapes de la construction avec ces 304 pieux nécessaires pour la stabilité de l’édifice et les normes antisismiques, les 9000 m3 de béton coulés, sans oublier cette magistrale charpente digne d’une cathédrale, des images fortes prises de 2013 à l’été 2016, en amont de la pose de la première pierre et bien après l’ouverture de la Cité du Vin.

Cité du ViN 1763Philippe Caumes, photographe d’architecture, l’a abordé véritablement comme « un objet architectural pur et propre », il l’a suivi durant ces trois années sous tous les angles et notamment depuis les airs en hélicoptère à de multiples reprises.

La pose du bois de la charpente a été un moment privilégié  « ce sont des moments, très intéressants que les visiteurs aujourd’hui ne peuvent plus voir » , aujourd’hui « on est dans l’antre d’une baleine », Philippe Caumes.

Pour Guillaume Bonnaud, photographe à Sud-Ouest : « tout d’abord je trouve le livre magnifique surtout par sa maquette rythmée , après pour ma part habitant juste à côté, j’ai pu l’avoir sous toutes les couleurs car depuis ma fenêtre.

Dès que j’apercevais de belles lumières, tant en hiver et qu’en été, du petit matin au coucher du soleil , j’y courais. Tous les jours, elle a une couleur différente, j’ai réussi à capter des couleurs rouges en courant car je savais que ça n’allait pas durer », Guillaume Bonnaud

« Apres j’ai commencé a la shooter du terrain vague a l’inauguration , ce qui fut sympa c’est de suivre les différentes étapes et de voir l’excitation des différents intervenant et notamment des dirigeants … »

Cité du ViN 1761Et Guillaume Bonnaud de compléter: « ce fut un intéressant chantier, d’autant plus avec l’évolution des matières, des couleurs, du rendu, et ce noir quand on rentre à l’intérieur. L’utilisation des différents matériaux, le bois, le métal, tous ces arrondis en font quelque chose de superbe. »

Ces deux regards ont été bénéfiques pour cet ouvrage, « on s’est bien complété » reconnaît Guillaume Bonnaud. Philippe Caumes a lui aussi réalisé plusieurs milliers de clichés et avoue « j’ai pioché un peu dans mon stock d’images » pour la réalisation de ce livre. Ce qui l’a le plus marqué, c’est très certainement la période à l’automne 2015 : « ce qui était particulièrement remarquable, c’est toute la pose de la vêture, notamment en décembre, dans le froid et de nuit, j’ai pas mal apprécié, ça ressemblait beaucoup à mes montagnes pyrénéennes », faisant référence à ce travail mené par des alpinistes du bâtiment de Coveris et d’Adrénaline 33.

« La Cité du Vin, un monde de cultures » par Jean-Paul Vigneaud, Guillaume Bonnaud et Philippe Caumes aux éditions Sud-Ouest – 24,90 €

Côté Châteaux a suivi également ce chantier durant 3 ans et vous invite à redécouvrir ses reportages et magazines sous la rubrique « La Cité du Vin »

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