22 Juil

Plus de 35.000 euros pour une rare bouteille de rouge du prestigieux vignoble australien Penfolds

Une très rare bouteille du prestigieux vignoble australien Penfolds a été vendue du prestigieux vignoble australien Penfolds a été vendue pour 51.750 dollars australiens (35.158 euros), a annoncé une maison d’enchère australienne, ce qui pourrait constituer un record.

De légendaires bouteilles australiennes © Penfolds

De légendaires bouteilles australiennes © Penfolds

Il s’agit d’un Penfolds Grange 1951, premier millésime de ce vin rouge de collection majoritairement à base de syrah, dont il resterait moins d’une vingtaine de bouteilles.

Il est très rare d’atteindre ce genre de somme, mais cette bouteille fait partie de l’histoire du vin australien », Nick Stamford, propriétaire de MW Wines.

Celui-ci a organisé la vente à Melbourne mercredi dernier.  « Nous pensons que c’est un des vins les plus chers vendus en Australie », a-t-il ajouté sans dévoiler le nom de l’acquéreur.

Penfolds, qui produit du vin depuis 1844, est particulièrement connu pour son Grange qui avait été créé en 1951 par le viticulteur Max Schubert qui avait auparavant étudié comment s’élevaient les Bordeaux. Le premier millésime commercialisé avait été le 1952, le 1951 ayant été donné aux amis et membres de la famille des propriétaires du groupe.

Depuis le Penfolds Grange a été plusieurs fois distingué.  Le millésime 1990 avait été élu en 1995 « vin de l’année » par la revue « Wine Spectator » qui, pour la première fois, n’attribuait pas ce titre à un nectar français ou californien.

Le 2008 avait pour sa part reçu de l’influent critique de vin, Robert Parker, la note parfaite de 100.

AFP.

21 Juil

Franchement, Sauternes mériterait bien un petit classement, UNESCO !

Après Saint-Emilion, les climats de Bourgogne, les Coteaux, Maisons et Caves de Champagne, le vignoble de Sauternes, ses châteaux et son micro-climat pourraient espérer un classement au Patrimoine Mondial de l’Humanité. Un nouvel élan se fait jour et pourrait s’amplifier dès la rentrée de septembre avec des réunions mêlant pouvoirs publics, ODG et viticulteurs.

David Bolzan, directeur des Vignobles Silvio Denz, directeur du château Lafaurie-Peyraguey © Jean-Pierre Stahl

David Bolzan, directeur des Vignobles Silvio Denz, directeur du château Lafaurie-Peyraguey © Jean-Pierre Stahl

Yquem, Rayne-Vigneau, Suduiraut, la Tour Blanche, Clos-Haut-Peyraguey ou Lafaurie-Peyraguey, une concentration de 1er crus classés en 1855 et de paysages époustouflants. Fort de ce constat, David Bolzan, directeur des Vignobles Silvio Denz, a écrit à l’UNESCO pour s’informer des démarches à suivre pour relancer l’idée du classement de Sauternes au Patrimoine Mondial de l’Humanité.

Rayne-Vigneau et Lafaurie-Peyragey se font face © JPS

Rayne-Vigneau et Lafaurie-Peyragey se font face © JPS

« Sur les 17 grands crus classés 1855 à Bordeaux, 12 l’ont été à sauternes, c’est dire si le terroir de Sauternes est éligible pour les grands vins », explique David Bolzan. « La deuxième chose, c’est que :

Le paysage, l’architecture viti-vinicole et le micro-climat de Sauternes confèrent une légitimité à cette région pour revendiquer un classement UNESCO, » David Bolzan directeur de Lafaurie-Peyraguey

Sauternes, ce sont 2000 hectares de vignes et 170 viticulteurs aujourd’hui, dont certains sont totalement emballés par le projet à l’instar de Vincent Labergère directeur général du château Rayne-Vigneau :

C’est une excellente idée, on a une vraie identité aujourd’hui à Sauternes, avec le micro-climat qui est une spécificité unique au monde, c’est ce qui permet de développer la pourriture noble grâce au botrytis », Vincent Labergère directeur Rayne-Vigneau.

 « Cela nous permet d’élaborer les vins liquoreux si merveilleux, si complexes, c’est une alternance de brouillards et de soleil, liés à divers facteurs existants dont le Ciron«  explique Vincent Labergère.

Château Yquem, le mythique 1er cru classé supérieur en 1855 © JPS

Château Yquem, le mythique 1er cru classé supérieur en 1855 © JPS

A la tête de l’ODG (organisme de défense et de gestion) Barsac et Sauternes, Xavier Planty avoue avoir aussi lancé l’idée en 2016. Bien qu’il précise qu’aujourd’hui, il faut une concertation, il reconnaît bien volontiers que le dossier a des chances de passer.

Au château Guiraud, le premier des Premiers Grand crus classés bordelais conduit en bio © JPS

Le château Guiraud, le premier des Premiers Grand crus classés bordelais conduit en bio © JPS

« Aujourd’hui, il n’y a rien de concret, si ce n’est qu’il y a des travaux d’approche, pour des réunions et que cette idée puisse coller à travers la région l’appellation et l’ensemble du territoire ».

Sauternes, c’est la plus belle région de Bordeaux, c’est l’architecture la plus préservée, avec des paysages vallonnés et une viticulture orientée vers la biodiersité et l’agriculture biologique, ce sont des vins magiques dans le processus de ramassage. C’est le must de la viticulture bordelaise avec le classement 1855 et le seul château 1er cru classé 1855 supérieur Yquem.«  Xavier Planty.

Xavier Planty,le président de l'ODG Barsac et Sauternes © Jean-Pierre Stahl

Xavier Planty,le président de l’ODG Barsac et Sauternes © Jean-Pierre Stahl

« Ce qui est magique c’est cette science qu’ont eu  nos anciens de comprendre qu’on pouvait faire des grands vins issus de pourriture noble ici, elle est due au fonctionnement écologique de la vallée du Ciron, à cette incroyable machine bio-climatique de la vallée du Ciron en association avec la Garonne et ça c’est unique au monde ! Et ça fait 500 ans que ça dure !

Le Conseil Départemental de la Gironde de la Gironde, avec notamment son président Jean-Luc Gleyze, et la mairie de Sauternes, représentée par son maire Jean-Michel Descamps, devraient plancher dessus dès la rentrée de septembre.

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Jean-Michel Descamps, maire de Sauternes © JPS

Ca serait tout bénéfice, quand on voit les résultats à Bordeaux avec le classement au patrimoine mondial, évidemment on espère des retombées…d’autant plus qu’on a de très très gros projets touristiques et oenotouristiques en Sauternais qui vont voir le jour » Jean-Michel Descamps maire de Sauternes.

L'ancien temple et de vieux chais à Guiraud vont accueillir la future brasserie © JPS

L’ancien temple et de vieux chais à Guiraud vont accueillir la future brasserie © JPS

Château Guiraud effectue depuis quelques temps déjà des travaux et va lancer une brasserie avec 270 couverts le 31 décembre prochain, château d’Arche prévoit un hôtel avec plus de 40 chambres d’ici peu, mais avant :

IMG_7774Lafaurie-Peyraguey va ouvrir au printemps 2018 un hôtel-restaurant plutôt de luxe, le chef est déjà choisi c’est le second de la Maison René Llique en Alsace qui a obtenu 2 étoiles au Michelin. La décoration sera réalisée à partir de 3000 pièces de Lalique puisque le patron n’est autre que Silvio Denz le président de Lalique. Un château qui sera ouvert également à tout type de visiteurs amateurs et grands passionnés.

Ce sera le 1er cru classé, de Bordeaux et dans le monde, à ouvrir ce type d’hôtel-restaurant.

Regardez le reportage de Jean-Pierre Stahl, Pascal Lécuyer, Alain Guinchard et Xavier Mansion:

20 Juil

La production viticole en baisse de 17% selon le Ministère de l’Agriculture en France en 2017, mais sans doute bien plus dans le bordelais

Agreste vient de publier ses statistiques, la récolte de vin en 2017 serait l’une des plus basses de ces 10 dernières années, inférieure de 17% par arpport à 2016; le Bordelais a été particulièrement touché, même s’il est trop tôt pour le dire exactement il y aurait  35% à 50% de pertes. Tour de France de la récolte à venir.

Des sauvignons blancs très sains avec une belle qualité arômatique © Jean-Pierre Stahl

La récolte de sauvignons blancs en septembre dernier dans le bordelais © Jean-Pierre Stahl

« Selon les premières estimations établies au 17 juillet 2017, la récolte de vin pourrait s’établir en 2017 aux alentours de 37 à 38 millions d’hectolitres, soit un niveau inférieur de 17 % à celui de 2016 et de 16 % à celui de la moyenne des cinq dernières années.

Le gel de printemps affecterait fortement la production du Sud-Ouest (essentiellement du Bordelais), des Charentes, du Jura et de l’Alsace. Ces estimations sont fragiles et susceptibles d’être révisées, au regard de la grande hétérogénéité des situations au sein de chacun des bassins de production.

L’année 2017 présente une avance du cycle phénologique de 10 à 20 jours selon les bassins. Pour l’heure, la pression des maladies est faible dans de nombreuses régions grâce à des conditions climatiques chaudes et sèches. Les réserves hydriques des sols sont déficitaires dans certains bassins, comme l’Alsace, le Sud-Est ou la Corse. L’évolution de ce déficit au cours de l’été pourrait influer sur le niveau de la récolte à venir »

EN CHAMPAGNE

Le gel de printemps serait moins destructeur que celui de l’an passé et la pression des maladies est pour l’instant très faible. Le vignoble possède 10 jours d’avance sur la moyenne décennale. Début juillet, le stade fermeture de la grappe est atteint. La production est prévue en hausse sur un an (+ 8 %). Au 17 juillet, les volumes en AOP, indicatifs, n’ont pas encore été fixés par décision interprofessionnelle.

EN BOURGOGNE ET EN BEAUJOLAIS

Le gel a atteint le vignoble de Bourgogne fin avril, essentiellement le Clunysois et le Chablis, mais a été peu marqué dans le Beaujolais. La grêle a occasionné des dégâts sur certaines parcelles, notamment dans le Beaujolais et le Mâconnais. La floraison s’est bien déroulée, l’état sanitaire est préservé. La production de la zone est prévue en hausse sur un an (+ 14 %), après une année 2016 très déficitaire.

EN ALSACE

Le gel a entamé fortement la production (anticipée en baisse de 30 % par rapport à 2016), surtout pour les cépages précoces comme le Gewurztraminer. Le vignoble est très en avance, au stade fermeture de la grappe. Le déficit hydrique des sols est marqué. L’état sanitaire est bien préservé, sans risque actuel de maladies.

EN SAVOIE

480 ha de vignobles ont été détruits par le gel.

DANS LE JURA

Dans le Jura, le gel aurait amputé la moitié de la production.

EN VAL DE LOIRE

Le vignoble a été touché de manière variable par le gel fin avril (0 à 40 % de pertes). Le mildiou et l’oïdium sont peu présents. La végétation présente une avance de 15 jours par rapport à une année standard (stade fermeture de la grappe). Pour autant, la production est prévue en légère hausse par rapport à l’année précédente déficitaire (+ 7 %).

DANS LES CHARENTES

L’épisode de fortes gelées de fin avril aurait nettement entamé la production, anticipée en baisse de 30 % par rapport l’année précédente.

DANS LE BORDELAIS

La production serait fortement impactée par le gel de fin avril et pourrait diminuer de moitié par rapport à la récolte importante de 2016. Pour l’heure, la végétation a une avance de 2 à 3 semaines par rapport à 2016. L’état sanitaire est satisfaisant.

DANS LE SUD-OUEST

Le gel de fin avril et les dégâts occasionnés par la grêle dans certains vignobles réduiraient le volume prévu de récolte (- 18 %). L’état sanitaire est préservé pour l’heure, avec néanmoins quelques attaques d’oïdium.

LANGUEDOC ET ROUSSILLON 

De sévères gelées ont affecté les vignobles de l’Aude et de l’Hérault auxquelles s’est ajoutée la grêle dans une partie de l’Aude. Les dégâts dus au gel sont variables. Dans le Gard, de la coulure affecte essentiellement le Grenache. Dans le Roussillon, les vignobles présentent une avance d’au moins une dizaine de jours comparés à 2016. La production du bassin est prévue en baisse sur un an (- 6 %).

SUD-EST

Le gel d’avril a occasionné des dégâts hétérogènes selon la localisation des parcelles. Au nord du bassin, la grêle a endommagé certaines zones, notamment en Ardèche. La coulure et le millerandage (baies de petite taille) sont importants, surtout sur Grenache, après une floraison parfois abondante. Le déficit hydrique est marqué. Au sud, la pression de l’oïdium est importante. La production est anticipée en baisse de 10 % sur un an.

CORSE

L’augmentation des surfaces permettrait le maintien de la production au niveau de 2016, malgré le gel. La végétation a une semaine d’avance. L’évolution du déficit hydrique dans les prochains mois sera déterminante.

Avec Agreste.

19 Juil

Embarquez pour le 6e millésime du Saint-Emilion Jazz Festival

Attention, le 6e Saint-Emilion Jazz Festival va commencer. Vendredi, samedi et dimanche, préparez-vous à du jazz et du vin dans la Cité Millénaire, avec Hugh Coltman et Stacey Kent pour démarrer.

saintemilionLe retour exceptionnel dans la grande douve du Palais Cardinal est annoncé par les trompettes de Jéricho. Ce sera une nouvelle étape dans l’histoire du Festival. 1000 places
assises dans cet endroit magique.

Sur la grande scène du Festival chaque soir, 2 concerts avec  les plus grands artistes de la scène internationale : Hugh Coltman, Stacey Kent, Jean-Luc Ponty, Biréli Lagrène, Kyle Eastwood Trio, Cyrille Aimée, Malted Milk et Richard Bona.

Cet endroit est particulier car, hormis son caractère historique, il restitue un son d’une qualité hors du commun. Qu’il soit au premier ou au dernier rang, le public bénéficie d’une acoustique
exceptionnelle, pilotée par les ingénieurs son du Festival.

Dominique Renard, Président du Saint-Émilion Jazz Festival, est sur le pont depuis plusieurs jours avec ses équipes de bénévoles pour vous proposer une invitation au rêve et à la découverte.

Le Parc Guadet ne sera pas en reste. Ici tous les concerts sont gratuits : le meilleur de la scène régionale et quelques pépites : Post Image, The Headbangers ou Zappy Birthday Mister Franck…

Au centre du Parc Guadet, on retrouvera le marché gourmand et le fameux bar à vins éphémère : chaque jour, 21 vins seront proposés à la dégustation, des vins des appellations Saint-Émilion, Saint-Émilion Grand Cru, Lussac Saint-Émilion et Puisseguin Saint-Émilion.

Il y aura aussi la fameuse Dégustation Musicale avec cette année l’excellentissime pianiste Yaron Herman dans l’enceinte du Château Angélus, Premier Grand Cru Classé A.

Le Festival a ainsi su montrer depuis ces 5 dernières éditions un professionnalisme et une ambiance formidable au coeur de la Cité Millénaire, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. Plus de 15 000 personnes sont attendues pour la 6e et ces trois jours d’émotions et de musiques à Saint-Emilion.

Dartess, le leader de la logistique et du conditionnement des vins recrute

Leader de la logistique et du conditionnement des vins et spiritueux, Dartess recrute 4 cadres, 3 chefs d’équipe, 5 assistant(e)s administratif(ve)s et 7 caristes. Au total, 19 personnes devraient venir renforcer les équipes et accompagner la forte croissance des activités de l’entreprise.

La préparation des colis sur le site de © Dartess à Blanquefort

La préparation des colis sur le site de © Dartess en décembre à Blanquefort

C’est pour accompagner une croissance de ses activités supérieure à 15% au cours du premier semestre 2017 et porter de nouveaux projets stratégiques que Dartess s’engage à recruter 19 nouveaux collaborateurs d’ici la fin du mois de septembre.  Il s’agit aussi de répondre aux forts pics d’activité lors des mois de juillet, août, septembre et décembre. 

Le recrutement concerne 9 collaborateurs en CDI et 10 en CDD selon quatre profils : responsables, assistant(e)s administratif(ve)s, chefs d’équipe e-logistique et caristes spécialisés.

Au regard de nos très bons résultats sur le premier semestre 2017 et portée par une dynamique commerciale forte, Dartess prévoit une croissance proche de 15% sur l’exercice », Paul Tesson, Directeur Commercial de Dartess.

En 10 ans, l’organisation supplychain a considérablement évolué jusqu’à devenir un véritable enjeu d’organisation et de croissance pour les acteurs de la filière vins & spiritueux.

18 Juil

Paris se rafraîchit au SweetZ de Lafaurie-Peyragey

Sur les toits et terrasses de Paris, la nouvelle mode pourrait être le « SweetZ ». Ce Sauternes de Lafaurie-Peyraguey apprécié « on the rocks » avec un zeste d’orange est assez rafraîchissant par ces températures caniculaires.

Le Sweetz, la nouvelle façon d'apprécier le Sauternes à l'apéritif © DB

Le Sweetz, la nouvelle façon d’apprécier le Sauternes à l’apéritif © DB

Par 32°C, hier soir, en terrasse chez Duclot, avenue de la Grande Armée, « le SweetZ a cartonné, plus une bouteille ! », me confie David Bolzan le directeur général des Vignobles Silvio Denz.

Une soixantaine de restaurateurs et sommeliers étaient conviés à venir déguster une dizaine de grands châteaux de Bordeaux, comme Léoville-Poyferré, Rauzan-Ségla, Pichon-Comtesse, Larrivet Haut-Brion, la Conseillante, ou encore Lafaurie-Peyragey. Ce dernier a lancé depuis peu et notamment lors du dernier Vinexpo une nouvelle idée et une nouvelle marque « le SweetZ », comme un clin d’oeil au propriétaire suisse Silvio Denz de Lafaurie-Peyraguey.

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Le Sweetz, c’est donc cette idée originale d’ajouter quelques cubes de glace dans un verre de Lafaurie-Peyraguey avec un zeste d’orange, l’effet est aussitôt étonnant, rafraichisssant, plus aérien, « c’est vrai que c’est compliqué de déguster un Sauternes quand il fait chaud, là on casse un peu les codes, mais on se rend compte que cela devient tendance, le Sweetz cartonne, » explique David Bolzan.

Après avoir dévoilé cette idée à Vinexpo, la voici mise en avant en plein coeur de la capitale, le SweetZ va-t-il avoir un écho planétaire ? Les équipes de Lafaurie-Peyraguey en sont persuadées, c’est l’occasion de faire venir une clientèle jeune, décontractée, féminine vers les liquoreux et par la suite de faire apprécier dans d’autres conditions et circonstances le Sauternes.

Des visites oeno-écolos sur iPad au château d’Agassac

Une idée de visite pour cet été ? Agassac, à Ludon-Médoc. Ce château aux allures de château de conte de fées propose des visites écologiques, ludiques pour découvrir autrement le vin, le vignoble et le marais d’Agassac.

Des Coréens se prenant en photo devant le château d'Agassac © JPS

Des Coréens se prenant en photo devant le château d’Agassac © JPS

UN OENOTOURISME FAMILAL, CONVIVIAL ET INTERACTIF

Agassac fut le premier château viticole français à proposer des visites ludiques, familiales et interactives sur Ipod audio et en vidéo 5ème génération. Le Château d’Agassac a été sacré 5 fois Best of Wine Tourism par la CCI de Bordeaux.
Longtemps les domaines du bordelais se sont présentés comme des temples viticoles, inaccessibles, mais depuis une dizaine d’années cela change et certains s’ouvre largement à l’oeno-tourisme. C’est le cas du Château D’Agassac qui a pris un virage résolument tourné vers les touristes, proposant deux thèmes de découverte à partager en famille.

UN JEU DE PISTE « VIN-TERACTIF »

Pendant que les petits tentent de libérer la Princesse Etoile emprisonnée depuis des siècles dans une tourelle du Château… les Grands peuvent parfaire leurs connaissances liées aux vins et à l’histoire du Château.
Equipé d’un i-Pad audio et vidéo qui le guide, le public découvre la propriété, son histoire et ses vins de manière originale en répondant aux questions qui lui sont proposées tout au long des étapes d’un circuit. Ce jeu de piste « Vin-teractif » est doté de cadeaux pour enfants et adultes.

UN PARCOURS NATURE POUR UNE SENSIBILISATION A L’ENVIRONNEMENT ET A L’ECOLOGIE

En Médoc, les plus grands terroirs regardent la rivière… et la propriété D’Agassac est doublement placée sous le signe de l’eau : des douves encerclent son château classé monument historique. Tout proche, un marais offre une halte aux oiseaux migrateurs.
Depuis plus de 10 ans, la propriété s’est engagée dans le respect de la nature en pratiquant une viticulture raisonnée et durable. Sa riche histoire a permis de créer trois biotopes, intimement liés par la gestion de l’eau et dont chacun participe au développement durable de la propriété.
Le temps d’un parcours initiatique, ludique et interactif, les visiteurs peuvent vivre une expérience authentique en se laissant conter sur iPad, les liens qui unissent son Parc, son Marais et ses Vignes.

Avec Château d’Agassac, ouvert tous les jours de 10h à 18h, 15, rue du Château d’Agassac 33290 Ludon-Médoc, téléphone : 05 57 88 15 47

Visites interactives : Adultes 8€ / Enfants : 5€ , ces visites sont suivies d’une dégustation de 4 vins et de jus de fruit pour les enfants. Visites « patrimoine et histoire », entre vignes et marais 45mn. A noter, pour se restaurer : la Table d’Agassac.

17 Juil

Rendez-vous en septembre pour la nouvelle saison de « Vigne & Vin » dans le 12/13 sur France 3 Aquitaine

A la rentrée, rendez-vous pour une nouvelle saison « Vigne et Vin » dans le 12/13 une fois par mois sur France 3 Aquitaine. Un éclairage sur les techniques pour produire du vin ou des focus sur les appellations du grand Sud-Ouest.

Frédéric Lot et Jean-Pierre Stahl

Frédéric Lot et Jean-Pierre Stahl, en pleine inspiration © RG

Durant l’été, on ne chôme pas. Certes on partage quelques moments fort sympathiques mais on pense aussi au public. Frédéric Lot et  Jean-Pierre Stahl ont ainsi réfléchi, « sous le soleil exactement », à la programmation de la 5e saison des chroniques « Vigne et Vin » qui seront à nouveau exposées dès la rentrée de septembre sur France 3 Aquitaine.

Un tandem qui fonctionne plutôt bien avec un reportage-dossier télé, réalisé par votre serviteur et ses collègues Journalistes reporters d’images, et un éclairage en plateau par Frédéric Lot, expert en vins. Ce sont ainsi, chaque mois, des thèmes proposés sur des techniques d’exploitation de la vigne ou de vinification, mais aussi des focus sur des appellations de Bordeaux, de Bergerac ou plus généralement du Sud-Ouest. Des sujets que vous pouvez retrouvez aussi sur votre blog Côté Châteaux sous la rubrique « Vigne & Vin », où vous pourrez voir ou revoir les 4 saisons, quasiment 40 dossiers-reportages et avec l’expertise de Frédéric.

Cette année, nous vous avons ainsi proposé :

Et parmi le best of sur les 3 premières saisons :

Merci pour votre fidélité et merci de nous suivre sur France 3 Aquitaine et/ou sur les réseaux sociaux.

40e Jumping de Blaye : un anniversaire dignement fêté grâce aux cavaliers, bénévoles et aux vignerons de Tutiac

Encore un beau succès populaire pour le jumping de Blaye qui fêtait son 40e anniversaire dans les douves de la Citadelle de Blaye. Un succès partagé avec les Vignerons de Tutiac, fidèles au poste.

© Jumping de Blaye

© Jumping de Blaye

Créé en 1977, le Jumping de Blaye s’inscrit comme un rendez-vous formidable et populaire en plein coeur de l’été.

C’est un concours porté par 150 bénévoles avec bien évidemment les Vignerons de Tutiac dont Coté Châteaux avait tiré le portrait  en février dernier : les Vignerons de Tutiac, la belle aventure de la coopérative dans le nord Gironde

Avec Loic Giraudot, Christelle Venancy, Flavie Grenon, Christophe Senstier, Patricia Servant, Les © Vignerons de Tutiac avec Romaric Morillon et Sandrine Mamert à la Citadelle de Blaye

Avec Loic Giraudot, Christelle Venancy, Flavie Grenon, Christophe Senstier, Patricia Servant, Les © Vignerons de Tutiac avec Romaric Morillon et Sandrine Mamert à la Citadelle de Blaye

« C’est aussi toute l’appellation Blaye Côtes de Bordeaux qui a fêté les 40 ans du Jumping International de Blaye avec la présence d’un stand des Jeunes Agriculteurs et la grande soirée de jeudi soir du « Grand Prix de Blaye Côtes de Bordeaux », explique Michaël Rouyer directeur de Blaye Côtes de Bordeaux.

« D’ailleurs à cette occasion, un grand dîner de Gala a réuni l’ensemble des acteurs de la profession viticole en présence notamment des Présidents du CIVB et des courtiers ».

« L’appellation Blaye Côtes de Bordeaux dote chaque année le Jumping de plus de 1000 bouteilles pour récompenser les cavaliers. Cette année, pour les 40 ans, nous avons également offert 40 double magnums personnalisés aux couleurs du Jumping ».

Un concours qui vous donne rendez-vous à l’année prochaine, avec toujours le même enthousiasme.

Revoir le reportage réalisé en février sur les Vignerons de Tutiac par Jean-Pierre Stahl,  Sébastien Delalot, Eric Delwarde, Xavier Granger et Xavier Mansion : 

15 Juil

Le Gabriel consacré parmi les meilleurs restaurants au monde par le Wine Spectator

Le Gabriel, restaurant 2 étoiles de l’hôtel la Reserve à Paris, vient de recevoir l’Award du Wine Spectator « Restaurants 2017 ». Le Gabriel a pour chef Jérôme Banctel et comme chef sommeliers Jaimee Anderson et Michihito Higashihara,  ce dernier a séjourné à Bordeaux avec Joël Robuchon.

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Michihito Higashihara et Jaimee Anderson, les sommeliers du © Gabriel

Désormais dans la « short list » des meilleurs restaurants au monde, le Gabriel s’est vu décerner cette place d’honneur le le 6 juillet par le Wine Spectator, le magazine américain de référence en matière de restaurants exclusifs et de vins d’exception dans 76 pays à travers le monde.

Situé avenue Gabriel, à Paris, Le Gabriel, est le restaurant doublement étoilé de l’hôtel la Reserve. Un Grand Hôtel, magnifiquement décoré par Jacques Garcia, qui a aussi relooké le Grand Hôtel de Bordeaux, aujourd’hui devenu l’Intercontinental. 

C’est Jérôme Banctel*, qui officie avec son équipe, derrière les fourneaux du Gabriel. Il a obtenu 2 étoiles décernées par le Guide Michelin en 2016, après seulement un an d’ouverture, reconnaissant ainsi sa fabuleuse cuisine française contemporaine, très créative, surtout inspirée par les saisons.

*Jérôme Banctel, breton formé aux côtés des plus grands, notamment Alain Senderens, est passé par les cuisines de très belles tables de France et d’ailleurs. Ses voyages au Japon l’ont fortement influencé. Partout, il a peaufiné sa maîtrise de la cuisine française de tradition avec passion et rigueur. Jérôme Banctel défend la saveur authentique avant tout. En harmonie avec les voyages gastronomiques initiés par le chef, Jaimee Anderson** et Michihito Higashihara***, les sommeliers, proposent de déguster les vins de la cave de la Reserve qui abrite les plus grands châteaux.

Nos équipes s’enrichissent de ce duo aux horizons si différents. Leur culture japonaise pour l’un et anglo-saxonne pour l’autre alliée à la passion de leur métier et à leur parfaite connaissance des vins de France, d’Europe et du Monde est telle qu’ils sont précieux pour la Réserve Paris », Didier Le Calvez .

Diplômée d’International Business par le Washington State University, Jaimee Anderson**a poursuivi ses études en France à la Sorbonne. Elle a choisi le métier de sommelier par pure passion et y a rapidement excellé notamment au restaurant de Wolfgang Puck à Los Angeles : Cut. Elle était la Chef sommelière au Four Seasons de Beverly Hills avant de rejoindre La Réserve Paris où elle vient de recevoir son titre de Chef sommelière également. « Je suis très heureuse de travailler auprès du Chef Jérôme Banctel et de son exceptionnelle équipe ».

Michihito Higashihara*** quant à lui, diplômé au Japon, a exercé dans un des plus anciens bars à vins japonais avant de poursuivre sa formation à Bordeaux où il a développé ses compétences auprès des meilleurs sommeliers du monde puis au restaurant Joël Robuchon à la Grande Maison à Bordeaux.  Il a ensuite rejoint Paris au sein de la prestigieuse Tour d’Argent. « Je suis très honoré de travailler avec Jaimee auprès de notre chef Jérôme Banctel, j’y vis ma passion au quotidien dans un lieu unique et enchanteur ».

 A lire aussi Le Gabriel à la Réserve Paris« Paris 8e: Banctel joue et gagne »par Gilles Pudlowski 

Le Gabriel, 42 Avenue Gabriel, 75008 Paris Téléphone :  01 58 36 60 50