17 Nov

A J-1 de Bordeaux SO Good : Bordeaux terre de gastronomie !

C’est aujourd’hui l’une des villes en France les mieux pourvues en chefs ingénieux, chefs étoilés et cuisiniers inventifs, comme Philippe Etchebest, Gordon Ramsay ou Pierre Gagnaire. Bordeaux s’est muée depuis quelques années en terre de gastronomie. Tour d’horizon avec Côté Châteaux.

Jean-Denis Le Braz avec Pierre Gagnaire © JPS

Jean-Denis Le Braz avec Pierre Gagnaire dans les cuisines de la Grande Maison © JPS

Philippe Etchebest – Gordon Ramsay. Le match, place de la Comédie à Bordeaux, dure depuis plus d’un an. Philippe Etchebest a ouvert le Quatrième Mur le 8 septembre 2015, Gordon Ramsay a repris les fourneaux du Pressoir d’Argent le 25 septembre suivant. Même si ce duel faisait fantasmer les fans des 2 chefs stars du petit écran, ce ne fut pas le « cauchemar en cuisine », bien au contraire.

Philippe Etchebest et Gordon Ramsay animent tous deux « Cauchemar en Cuisine » ou « Kitchen Nightmares » de coaching de cusiniers

« Moi j’adore la compétition, je n’ai pas peur » confiait à son arrivée l’Ecossais Gordon Ramsay, chef multi-étoilé et propriétaire de près de 30 restaurants à travers la planète.

« J’ai un petit avantage, c’est que moi je joue à domicile et moi je serai là », lui rétorquait d’en face Philippe Etchebest, Meilleur Ouvrier de France.

Même s’il n’est pas constamment présent, c’est un fait, Gordon Ramasay est secondé par un autre chef israëlien Guilad Peled, avec qui il a obtenu une étoile au guide Michelin pour le Pressoir d’Argent, et qui propose un menu gastronomique à 165 € : « Produits locaux, cuisine pas trop compliquée, cuisine avec un très bon goût mais avec plein de finesse. » Et depuis juin 2016, Gordon Ramsay a repris également la brasserie du Grand Hôtel, la rebaptisant le « Bordeaux-Gordon Ramsay » (39 € le premier menu).

Caves 286

De son côté Philippe Etchebest souhaitait rendre accessible la gastronomie au plus grand nombre avec une formule brasserie et un premier menu à 32 € le midi : « ça continue, on est même en train d’augmenter, donc c’est très satisfaisant, il y a la qualité. Le renouvellement permanent (de la carte et des menus) fait que les gens reviennent. Ils ne mangent jamais la même chose, c’est un vrai travail derrière, c’est un vrai investissement. »

Regardez le reportage de Jean-Pierre Stahl réalisé avec aussi Elise Galand, Delphine Vialanet, Didier Bonnet, Delphine Roussel, SylvieTuscq-Mounet, Sébastien Delalot, Michel Vouzelaud, montage Christophe Varone, mixage Emmanuel Cremese :

Si Philippe Etchebest ne recherche pas forcément d’étoile pour le Quatrième Mur, à Saint-Emilion (à 30 mn de Bordeaux), le nouveau chef qui lui a succédé (après bien sûr le passage de Cédric Béchade), Renan Kervarrec veut retrouver les 2 étoiles pour l’Hostellerie de Plaisance (2 étoiles accordées à l’époque de P. Etchebest). Il y propose une cuisine du marché et des spécialités de la mer : « chez moi, je n’ai vu que des produits de grande qualité, des homards bretons, des langoustes, il y avait la campagne de thons à Port-Louis où mon papa allait choisir ses thons, c’est vraiment culturel chez moi. »

Au centre Renan Kervarrec le chef exécutif avec Christophe Meynard des Pépites Noires et l'ensemble de l'équipe en cuisine de l'Hostellerie de Plaisance © Jean-Pierre Stahl

Au centre Renan Kervarrec le chef exécutif avec Christophe Meynard des Pépites Noires et l’ensemble de l’équipe en cuisine de l’Hostellerie de Plaisance © Jean-Pierre Stahl

Bordeaux, terre de gastronomie ! C’est une multitude d’adresses toutes aussi alléchantes , salivantes les unes que les autres, des adresses étoilées comme le Pavillon des Boulevards *, rue Croix-de-Seguey, ou non étoilées, comme le Gabriel place de la Bourse (Nicolas Frion), ou encore cette fameuse institution historique, le Chapon Fin (Nicolas N’Guyen), qui au début du XXe s a eu jusqu’à 3 étoiles.

Nicolas Masse, le chef de la Grand'Vigne aux Sources de Caudalie ici en démonstration chez Best-Ferrandi Bordeaux © JPS

Nicolas Masse, le chef de la Grand’Vigne aux Sources de Caudalie ici en démonstration chez Best-Ferrandi Bordeaux © JPS

Il y a aussi des doués de la cuisine comme Nicolas Masse qui a décroché deux étoiles au Michelin pour son restaurant la Grand’Vigne aux Sources de Caudalie (photo de l’assiette ci-dessus).

En immersion dans les cuisines du chef étoilé Nicolas Magie © JPS

En immersion dans les cuisines du chef étoilé Nicolas Magie © JPS

Il y a aussi ces chefs sympathiques et militants comme Nicolas Magie, au Saint-James*, qui organise une fois par trimestre un marché gourmand dans la cour du Saint-James.

Regardez ce reportage sur les coulisses d’une cuisine étoilée au Saint-James avec Nicolas Magie, réalisé par Jean-Pierre Stahl, Jean-Michel Litvine et Sarah Paulin:

Et puis, il y a le petit nouveau sur la place, Pierre Gagnaire, 66 ans, qui a pris la succession de Joël Robuchon au restaurant de la Grande Maison. Il a relancé fin septembre les menus gastronomiques où l’on peut déguster de le grouse d’Ecosse (peut-être en clin d’oeil à Gordon Ramsay) : « ça a un goût de tourbe, de whisky, la bruyère, vous voyez… »

La Grande Maison en mode team sportive avec au centre Piere Gagnaire et Jean-Denis Le Braz à gauche © Jean-Pierre Stahl

La Grande Maison en mode team sportive avec au centre Piere Gagnaire et Jean-Denis Le Braz à gauche © Jean-Pierre Stahl

Toutefois les restaurants gastronomiques doivent aujourd’hui prendre en considération le coût de fabrication, et la masse salariale. Pierre Gagnaire, qui a eu une expérience malheureuse à Saint-Etienne, a su se relancer à Paris avec son trois étoiles : « ce 3 étoiles, on ne fait pas fortune, pourtant il marche très très bien, mais on ne perd pas d’argent.Donc on peut aujourd’hui gérer un gastro, en étant raisonnable sur les équipes, en étant attentif à la matière première, ne rien jeter déjà…pour offrir au client une petite oeuvre d’art. »

Bon nombre de ces chefs vont participer ce week-end à Bordeaux SO Good à travers des animations, des démonstrations et des banquets. Tous vont aussi scruter avec curiosité la parution du nouveau Guide Michelin dans un peu plus de deux mois. Une pluie d’étoiles devrait s’abattre sur Bordeaux en 2017.

Comment conserver ses vins : armoire à vins réfrigérée ou cave à vins enterrée ?

Une idée de cadeau (de beau cadeau) pour Noël ? Une cave enterrée ou une armoire réfrigérée pour conserver ses vins. Certes, c’est un investissement, c’est utile, mais c’est aussi parfois un vrai plaisir des yeux.

Daniel Mazeiraud s'est fait construire une très belle cave © JPS

Daniel Mazeiraud s’est fait construire une très belle cave © JPS

Comme par magie, c’est une nouvelle pièce qui s’ouvre… Daniel Mazeiraud, un Girondin, en rêvait, il a fait construire dans son salon cette cave enterrée, avec une température qui ne bouge pas trop tout au long de l’année entre 15 et 17°C et 80% d’hygrométrie naturelle.

Pour Daniel Mazeiraud : « C’est un rêve d’une quinzaine d’années environ ». Ce Girondin qui a franchi le cap et a décidé de se faire plaisir en construisant sa cave à vins enterrée. « Nous connaissions le procédé, mais quand nous avions réhabilité notre maison, avec mon épouse nous n’avions pas les moyens de le faire et c’est vrai que cette année, on a sauté le pas. C’est désormais un grand plaisir d’avoir une cave et d’avoir nos bouteilles à portée de la main. »

Caves 146Il a décidé de se faire construire au beau milieu de son salon une cave ronde de 2 mètres de diamètre, 2 m 25 de profondeur : « on n’a pas forcément de beaux millésimes mais on sait qu’on peut les conserver dans des conditions optimales, avec une température qui reste constante entre 15 et 17° (tout au long de l’année), avec une hygrométrie naturelle de 80 % ».

Elodie Boulan, le gérante de Cavélite, qui propose ces caves enterrées © Jean-Pierre Stahl

Elodie Boulan, le gérante de Cavélite, qui propose ces caves enterrées © Jean-Pierre Stahl

Mais sa cave élaborée par Hélicave est aussi de toute beauté avec un plafond vitré et un verre sécurit de 28 millimètres d’épaisseur, un cadre tout en ixox et un moteur électrique encastré qui permet à la vitre de s’ouvrir en demie-lune. C’est véritablement un élément décoratif, Daniel Mazeiraud a d’ailleurs fait la surprise à ses amis, en leur dévoilant un soir son petit bijou, en l’allumant. Effet « whaou » assuré !

Une armoire made in France par Eurocave à placer dans un cellier, une cave pour la conservation optimale © JPS

Une armoire made in France par Eurocave à placer dans un cellier, une cave pour la conservation optimale © JPS

L’option la plus courante ou classique est l’armoire à vins réfrigérée. Il en existe à tous les prix et de toutes les qualités possibles. Comptez entre 200 et  5000 euros de budget. 150 euros pour les plus petites caves de service en supermarché, dans les 500-600 euros en caves de conservation plus importantes…  et puis il y a le créneau du made in France avec Eurocave et de la qualité.

Un système de rangement unique avec pour chaque modèle de bouteille une "main du sommelier" spécifique © JPS

Un système de rangement unique avec pour chaque modèle de bouteille une « main du sommelier » spécifique © JPS

Présent à Bordeaux depuis 40 ans, ce fabriquant propose toute une gamme depuis la cave 40-50 bouteilles à encastrer dans une cuisine, jusqu’aux caves plus importantes de 100-150 bouteilles et 200-250 bouteilles. Des caves qui peuvent être totalement opaques pour être installées dans un garage, dans une cave, un cellier, ou vitrées pour garnir un salon ou une cuisine.

C’est la seule armoire au monde qui vous permet de mélanger tous les formats de bouteilles avec un vrai confort d’utilisation » Stéphane Lenain d’Eurocave.

Un aperçu de l'intérieur d'une armoire avec présentation inclinée des bouteilles © JPS

Un aperçu de l’intérieur d’une armoire avec présentation inclinée des bouteilles © JPS

Une température entre 12 et 15°, une hygrométrie qui va être stabilisée et uniforme dans toute l’armoire aux alentours de 70%, un sytème d’aération par filtre à charbon, un système anti-vibration, … » bref du high-tech de l’armoire avec des finitions à la demande avec des clayettes en bois de hêtre, des portes vitrées qui en font des objets de décoration.

Christine Dupart dans sa cave enterrée © JPS

Christine Dupart dans sa cave enterrée © JPS

Ces caves s’adressent à des particuliers mais aussi à de plus en plus de professionnels. Christine Dupart, gérante de la Cave des Délices à Villenave d’Ornon, cherchait depuis 3 ans à gagner de la place dans son magasin :

« Je n’avais pas de capacité de stockage, donc quand j’ai cherché une solution qui était sécurisée, car je suis sous alarme video, climatisée et pas loin de ma cave, il n’y avait qu’une seule solution, c’était la cave enterrée. »

Quant au budget de ces caves enterrées, il faut compter entre 10000 et 40000 euros.

« Pour la cave ici on a fait le trou, installé la poche étanche, les éléments qui vont servir de casiers et de murs, puis la trappe et on a refait tout le sol et l’électricité en 15 jours », explique Elodie Boulan gérante de Cavélite.

Stéphane Lenain, gérant d'Eurocave, devant ses magnifiques armoirées réfrigérées © Jean-Pierre Stahl

Stéphane Lenain, gérant d’Eurocave, devant ses magnifiques armoires réfrigérées © Jean-Pierre Stahl

La tendance pour certains particuliers ou certains châteaux du Bordelais est aussi de réaliser des armoires à vins réfrigérées qui vont se fondre dans une pièce et occuper tout un pan de mur.

« Il faut compter un budget de 15000 à 17000 € pour deux cents bouteilles, là on est sur un concept de présentation, d’achat plaisir, mais la plupart du temps, ce sont des bouteilles qui méritent d’avoir un bel écrin, » selon Stéphane Lenain d’Eurocave Bordeaux.

Et pour être dans le coup, ces nouvelles générations d’armoires peuvent être connectées aux smartphones, histoire de bien gérer sa cave et d’avoir les informations nécessaires sur les bouteilles conservées.

Regardez le reportage de Jean-Pierre Stahl, Sébastien Delalot, Christophe Varone et Christian Arligué :

Le vrai-faux du Beaujolais Nouveau

Petit jeu de connaissances et petites mises au point faites par nos amis vignerons du Beaujolais, alors que l’on fête depuis aujourd’hui, 3e jeudi de novembre, l’arrivée des Beaujolais Nouveaux !

BOJO BANNIERE WEB 2Au fil des années, les Beaujolais Nouveaux ont été victimes de différentes rumeurs et autres clichés : « Chaque année, il a un goût de banane », « Oui, ce qui va bien avec l’apéritif, mais surtout pas avec un repas ! », « et puis vous avez intérêt à le boire tout de suite, sinon bonjour le jus de chaussette »…

En fait, les Beaujolais Nouveaux sont surtout victimes de leur succès, ce qui invite tout le monde à s’exprimer sur le sujet, avec ou sans connaissance.

Alors, stop aux idées reçues et lisez la suite pour briller en société et parler en tant que connaisseur de ces vins particuliers !

LE BEAUJOLAIS NOUVEAU EST UN VIN UNIQUE

Vrai et Faux. C’est un effectivement un vin unique parce qu’il a ses propres qualités. Mais s’il est courant de parler de la fête « du » Beaujolais Nouveau, il y a en réalité plusieurs sortes de Beaujolais Nouveaux. D’abord, notez que 2 appellations produisent ces vins primeurs : les Beaujolais et les Beaujolais Villages qui donnent les Beaujolais Nouveaux et les Beaujolais Villages Nouveaux donc.  Ensuite ce sont plus de 2 000 vignerons qui cultivent et élaborent ces Beaujolais primeurs, alors autant dire qu’il est impossible d’avoir deux cuvées identiques sur différents domaines !

 

LE BEAUJOLAIS NOUVEAU EST UN VIN INDUSTRIEL

Faux. Les Beaujolais Nouveaux, et tous les Beaujolais de manière générale, sont produits de façon artisanale. Ce sont des vins très difficiles à produire : la date des vendanges varie chaque année et par conséquence le temps de fabrication alors que la date de sortie reste immuablement la même!  Le fait que tous les Beaujolais Nouveaux soient commercialisés le même jour, a entretenu l’idée reçue de « vins industriels ».

En réalité, le travail des vignes est bien souvent manuel, tandis que les superficies exploitées par les vignerons sont modestes : 10 hectares de moyenne par exploitation.

LE BEAUJOLAIS NOUVEAU A FORCÉMENT UN GOÛT… DE BANANE

Faux. Cette idée du goût de banane est tenace ! S’il est vrai que, par le passé, certains utilisaient une technique de vinification qui donnait cette saveur peu commune au vin et homogénéisait le goût de tous les vins nouveaux, aujourd’hui, il n’en est plus rien. Chaque viticulteur met en œuvre son propre savoir-faire pour élaborer ses vins primeurs. Plus question donc de parier quel goût aura le prochain millésime car il aura tout simplement un goût de vin! Qu’on se le dise !

Les Beaujolais Nouveaux expriment le fruité du raisin comme aucun autre vin et rend parfaitement hommage au terroir sur lequel il repose toute l’année.

LE BEAUJOLAIS NOUVEAU EST UN VIN POUR L’APÉRO

Vrai, mais pas seulement. Certes, les Beaujolais Nouveaux sont principalement servis au moment de l’apéritif. Surtout quand ils sont les stars des soirées dans les bars ou les pubs, à l’heure des happy hours, le 3ème jeudi de novembre et les jours suivants.

Mais si vous décidez de vous faire une soirée Beaujolais Nouveaux à la maison, sachez que vous pouvez les déguster aussi bien avec une pizza qu’avec du lapin, de l’agneau ou une entrecôte.

LE BEAUJOLAIS NOUVEAU A ÉCLIPSÉ LES AUTRES APPELLATIONS DU VIGNOBLE

Vrai en partie. Les vins du Beaujolais comptent 12 appellations, toutes des AOC. Pourtant, le plus médiatique reste le Beaujolais Nouveau. Mais d’autres vins du Beaujolais comme le Morgon, le Brouilly ou Moulin-à-Vent se sont fait de belles réputations en France et à l’étranger !

Les Beaujolais Nouveaux sont des vins primeurs élaborés dans les appellations Beaujolais et Beaujolais-Villages. Ils sont mis en bouteille après 3 à 5 jours de cuve quand les Beaujolais « non primeurs » bénéficient d’un processus de vinification complet, plus long.

Alors, pourquoi avoir créé cette déclinaison de « Nouveau » ? Pour la petite histoire, sachez que les vins d’appellation d’origine ne peuvent être commercialisés qu’à partir du 15 décembre. C’est un décret de 1951 qui le dit !

Mais ce décret prévoit naturellement des exceptions… à laquelle répond l’appellation « Nouveau », ce qui permet de commercialiser une partie des Beaujolais plus tôt. Quant au choix de le promouvoir le 3ème jeudi de novembre, là encore, ce n’est pas un hasard. Cette date permet d’être assez éloignée des traditionnelles célébrations du 11 novembre et de la ferveur de Noël.

LE BEAUJOLAIS NOUVEAU DOIT ÊTRE BU TOUT DE SUITE

Faux. Non, les Beaujolais Nouveaux ne deviennent pas imbuvables au bout de 3 ou 4 jours ni même au bout de 3 ou 4 mois ! Évitez-vous le mal de crâne en souhaitant absolument consommer vos bouteilles dans la semaine, de peur de ne pas pouvoir les conserver. Évidemment, boire du Beaujolais Nouveau dès sa sortie, c’est participer à la ferveur et à la convivialité qui entourent cette fête annuelle. De plus, bus en novembre, les Beaujolais Nouveaux expriment pleinement leur intensité !

Mais notez tout de même qu’un Beaujolais Nouveau se garde facilement entre 8 et 12 mois, dans un endroit sec, préservé de la lumière et de la chaleur, comme tous les autres vins. Vous pouvez donc stocker quelque temps vos bouteilles et les ressortir durant d’autres repas, notamment légèrement rafraîchies lors de barbecues au printemps, pour surprendre vos convives.

À vous de jouer maintenant et de ressortir toutes ces informations lorsque vous déboucherez votre prochaine bouteille de Beaujolais Nouveau, en compagnie de vos amis !

Avec beaujolais.fr

(l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération)