Quand le 7e art et le vin de Pauillac se rassemblent, cela donne toujours de grands moments. L’équipe de « Paris Willouby » qui sort ce 20 janvier était à Pauillac pour une avant-première. La Commanderie du Bontemps n’a pas manqué d’introniser Stéphane de Groodt et Alex Lutz.
Le Château Fonréaud, célèbre Cru Bourgeois de Listrac-Médoc, a reçu samedi 9 janvier l’équipe du film « Paris Willouby » à l’occasion de sa sortie en avant-première au cinéma de Pauillac. Quentin Reynaud (scénariste réalisateur avec Arthur Delaire), les acteurs Stéphane De Groodt et Alex Lutz ont été intronisés par la Commanderie du Bontemps du Médoc, Graves, Sauternes et Barsac ainsi que les producteurs : Xavier Rigault et Marc-Antoine Robert (2 4 7 films) et le distributeur : Thierry Laurentin (Mars Distribution). Heureux de cette intronisation au Château Fonréaud, Stéphane De Groodt n’a pas manqué de saluer les médocains pour leur accueil, de s’émerveiller des bonnes bouteilles dégustées et de féliciter le dynamisme du cinéma local de Pauillac.
Le cinéma L’Eden, salle classée Art & Essai – label Jeune Public, a ainsi invité, à l’occasion d’avant-premières, de nombreux talents : Bernard Rapp en 2003 pour son film « Pas si grave », Roman Polanski et Ben Kingsley pour « Oliver Twist » en 2005, Philippe Loiret en
2006, ou encore Bertrand Tavernier, François Berléand, Claude Lelouch…
Entièrement rénovée en 2014, la salle dispose de 250 places, est équipée en 35 mm, numérique et 3D, et retransmet en direct les ballets et opéras du London Opera House. Après le succès en juillet dernier du 1er festival des Vendanges du 7ème Art, la directrice du cinéma l’Eden annonce sa deuxième édition prévue du 13 au 17 juillet 2016. Du 20 au 26 janvier, l’Eden participera pour la première fois au festival Télérama grâce à son label, salle classée Art et Essai.
« Paris Willouby » une comédie dramatique française. Sortie le 20 janvier. Les Guilby Lacourt forment une famille recomposée typique de notre époque. Entre père, belle-mère, petite sœur, frère, demi-sœur, ou encore demi-oncle, ils ont parfois du mal à s’y retrouver ! Un soir, ils apprennent la mort d’un grand-père avec qui ils ont coupé les ponts depuis une dizaine d’années. Fatalement voués à cohabiter le temps d’un long voyage pour se rendre à son enterrement, ils vont très vite devoir s’adapter au concept du « vivre ensemble » dans l’espace exigu de la voiture familiale. Pour le meilleur et pour le pire !