10 Mar

C’est ce week-end le salon des vignerons indépendants à Bordeaux Lac

Ce vendredi 10 et jusqu’à dimanche 12 mars se déroule à Bordeaux Lac, le salon printanier des vins des Vignerons Indépendants. Depuis près de 25 ans, les Vignerons Indépendants donnent rendez-vous aux bordelais. Avec plus de 300 vignerons présents – dont plus de 50 issus de la région bordelaise – le salon amène ici l’ensemble des régions à ses visiteurs.

Cédric Coubris du château La Mouline © JPS

Un salon sous le signe de l’environnement

Cette année, plus de 60% des vignerons présents sont engagés dans une démarche environnementale.
Alors que le vignoble français n’affiche encore que 12% de bio au national, cette démarche s’élève à  près de 50% chez les Vignerons Indépendants en faisant les champions du bio !

Un salon pensé pour les consommateurs

Ce salon est aussi l’occasion pour les amateurs de découvrir les vignerons dans des conditions optimales : légèrement excentré du centre-ville, il offre un accès plus facile pour le visiteur en voiture ou en tram, des parkings gratuits, de larges espaces de chargement dédiés.

L’initiation à la dégustation gratuite, le service livraison, tout est ainsi pensé pour le confort des amateurs.

Les vins proposés sont abordables pour chacun avec des cuvées démarrant dès 7€ !

Alors que la consommation du vin a chuté de 70% en 60 ans, la fréquentation des salons Vignerons Indépendants explose avec une hausse de fréquentation de 20% sur l’année 2022.

Si les Français boivent moins, ils boivent mieux.
Ils recherchent l’éthique et veulent aller à la rencontre de ceux qui font le vin et comprendre les enjeux de la vigne.

Salon des Vins des Vignerons Indépendants au Centre des Expositions de Bordeaux Lac

10 mars : 10h à 20h
11 mars : 10h à 19h
12 mars : 10h à 18h

Idée de sortie en Sauternais : ce dimanche venez déguster Goudji et Rayne-Vigneau

Un événement exceptionnel à Bommes ce dimanche : venez partager un moment unique et privilégié avec l’un des plus grands artistes contemporains en orfèvrerie : Goudji dont les oeuvres seront présentées dans le chai à barrique avec une dégustation des vins du Château de Rayne Vigneau.

Les grands Sauternes du Château de Rayne Vigneau trouvent leurs origines dans une alchimie parfaite entre savoir-faire des hommes et terroir exceptionnel. Derrière chaque bouteille de notre 1er Grand cru classé en 1855 se cache une terre magique, parsemée de pierres fines.

Ce fut une évidence d’organiser cette rencontre entre Rayne Vigneau et Goudji ! Rayne Vigneau et Goudji symbolisent 2 univers différents mais
présentent de nombreuses similitudes dans leur démarche : la recherche de l’unique, de l’intemporel, du partage …

« Goudji est à mes yeux le plus grand orfèvre français de notre époque. Thomas Germain fut celui du XVIIIe siècle, Froment-Meurice celui du XIXe siècle, Puiforcat celui du XXe siècle et Goudji celui du XXIe siècle ». Daniel Alcouffe conservateur honoraire au Musée du Louvre

L’histoire de Goudji c’est l’Histoire de l’Europe dans la 2ème moitié du XXe siècle.

Né en Géorgie, province de l’URSS, en 1941, il apprend le travail des métaux et du bois, avant d’entrer aux Beaux-Arts de Tbilissi et de travailler à Moscou comme Designer. Marié à une Française, Katherine Barsacq, en 1974, il quitte l’URSS et « naît en France à l’âge de 33 ans ». Il peut enfin se consacrer au travail des métaux précieux, alors interdit en URSS. Son art est novateur sur tous les plans : sculpteur de formation, Goudji ne veut créer que des pièces uniques, sorties de ses propres mains, sans jamais utiliser de procédés permettant l’édition ou la reproduction de l’œuvre à l’identique. Orfèvre, il conjugue la technique de la dinanderie avec l’incrustation de pierres dures dans le métal, une innovation qu’il a élaborée seul.

09 Mar

Vins de Bordeaux : 1400 vignerons et négociants sont en tournée partout en France

C’est la Tournée des Vins de Bordeaux. Une opération menée durant 3 jours par des vignerons et négociants de Bordeaux, chapotée par le CIVB, pour reconquérir le consommateur et les parts de marchés avec à la clé des bons de réduction : 1,5 € pour l’achat de deux bouteilles de Bordeaux. Attendez-vous à les croiser dans les supermarchés, chez des cavistes ou dans des restaurants dans 560 villes en France.

« Vous avez de la chance car aujourd’hui c’est la tournée des vins de Bordeaux »…Durant 3 jours, vignerons et négociants de Bordeaux sont en tournée avec leurs vins, à la rencontre du consommateur avec des bons de réduction.

« Vous avez 1,5€ de remise pour l’achat de 2 bouteilles… » « Il faut des vins pour tous les jours, des vins pour recevoir, des vins quand on est seul, donc il y en a pour tous les prix et je pense que l’opération est intéressante… », commente Pascal Lambert client originaire de l’est de la France.

Avec la foire aux vins de printemps, les remises sont cumulables et donc attractives. L’objectif est de relancer la consommation de vins rouges qui a baissé en 10 ans de plus de 30%. « Le client a été convaincu, il a pris 6 cartons donc oui c’est une offre vraiment très intéressante… », commente Frédéric Pineau, conseiller en vin.

En grande distribution, 125 millions de bouteilles sont vendues à l’année. Il faut donc y être bien présent comme ici à Auchan Mériadeck (400 références de Bordeaux, 80% des rayons selon Pierre Deycard responsable) et faire découvrir de nouveaux goûts de Bordeaux.

On a à peu près 1400 points de vente aux quatre coins de la France qui vont accueillir des viticulteurs qui vont présenter leur vins… Le style a évolué, on a des vins de plaisir des vins de tous les jours, des vins de copains et ce sont des vins prêts à boire aujourd’hui, » Frédéric Louis-Maugeais de la Maison Bouey

Chez les cavistes, des dégustations sont assurées par des vignerons qui proposent pour l’apéritif des crémants et blancs secs tendances… « ca plaît beaucoup, voici une contre-étiquette en anamorphose sur un sauvignon blanc », commente Pierre Le Foll distributeur de vins

Il y a des parts de marché à prendre, la consommation des vins à bulles est en forte augmentation en France, donc la il y a des parts de marchés à prendre et Bordeaux peut tirer son épingle du jeu », Hubert Burnereau, vigneron de la cave coopérative Bordeaux Families.

A Bordeaux, les crémants aujourd’hui ont le vent en poupe, il s’en vend 10 millions de bouteilles à l’année.

Regardez le reportage de Jean-Pierre Stahl, Nicolas Pressigout et Sarah Colpaert :

08 Mar

Journée du 8 mars : portrait d’Alexia Eymas, vigneronne en Blaye Côtes-de-Bordeaux

Alexia Eymas est à l’honneur dans Côté Châteaux, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes. Une vigneronne qui ne ménage pas sa peine tout au long de l’année pour produire et vendre le vin de son château Maison Neuve. Une propriété qui se transmet de mère en fille depuis son arrière-grand-mère. Nous sommes allés à sa rencontre à Saint-Palais et l’avons suivi aussi à Wine Paris. A voir ce midi et ce soir sur France 3 Aquitaine et sur France 3 NOA dans le magazine sur les femmes du vin et lés Alénor du Vin de Bordeaux.

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04 Mar

En Haut-Médoc, le château Doyac adopte 4 petits cochons Kune-kune pour aérer ses sols

A même pas 3 mois, ces 4 bébés Kune-Kune sont des travailleurs en herbe… En plus de devenir les mascottes du domaine, ils se montrent déjà très professionnels en matière de désherbage, une aide précieuse de la part de ces petits cochons herbivores.

« La on a Tire-Lire qui est au travail, et Ortie, Ginger et Presle. Cela fait 15 jours qu’on les a, et ils sont hyper attachants,très dociles et faciles à éduquer en plus, super intelligents. Avec son petit groin, on le voit, il aère super bien le sol, il mange les mauvaises herbes jusqu’à la racine, il fertilise la vigne, ça n’a que des avantages… », commente Astrid de Pourtalès.

Originaires de Nouvelle-Zélande, ces petits cochons herbivores sont champions pour désherber la vigne et décompacter en profondeur le sol avec leur groin, une solution écologique sur un vignoble certifié Demeter depuis 2019 en biodynamie…

Le travail du sol nous prend beaucoup de temps, buter, débuter, on consomme du gasoil, si on on a des petits Kune-Kune qui peuvent faire le job à notre place c’est gagnant gagnant. Avec 4 petits cochons, ils ne vont pas nous faire les 30 hectares du vignoble, mais avec les portées successives…On a l’espace pour avoir 20 cochons très facilement. », commente Max de Pourtalès du château Doyac.

A la taille adulte, ces cochons ne pèseront que 50 à 80 kilos malgré leur gourmandise et ne devraient pas occasionner de dégâts dans la vigne…

Il leur faut des céréales en plus, là c’est de l’orge, de l’avoine et du blé…Et il leur faut aussi des légumes, des fruits pour des vitamines et qu’ils grandissent…Vous voyez ils sont très goinfres, ils se jettent sur nous quand on arrive… »

En attendant de voir leur effet bénéfique, le millésime 2022 s’annonce déjà grandiose grâce au terroir…

« Au final, on a un millésime très concentré, et qui grâce au sol calcaire est resté très frais… »

Le château Doyac compte agrandir son cheptel de Kune-Kune à terme pour en faire travailler une vingtaine dans sa vigne.

Regardez le reportage de Jean-Pierre Stahl, Nicolas Pressigout et Rémi Grillot : 

01 Mar

Crise viticole de Bordeaux : le chiffrage des aides dévoilé au salon de l’agriculture…

Ce midi, sur le stand de la Région Nouvelle-Aquitaine, le Ministre de l’Agriculture et le président de Région ont détaillé, avec les représentants du CIVB, les aides tant de la distillation de crise (160 millions) que pour l’arrachage des vignes du bordelais. 30 millions de l’Etat et 10 millions de la Région, auxquels le CIVB devrait faire voter 19 millions en assemblée générale le 11 avril prochain. Au total 57 millions pour l’arrachage. Pour le collectif des vignerons, « on prend ce qu’on nous donne mais on est loin du compte… »

Allan Sichel, Alain Rousset, Marc Fesneau, Bernard Farges au salon cemidi © Samuel Chassaigne – FRance 3

Ce midi, au salon de l’Agriculture, Alain Rousset et Marc Fesneau ont détaillé ce plan d’aides d’urgence, d’abord une aide à la distillation de crise: « immédiatement et dès cette année 2 fois 80 millions d’euros, avec l’objectif d’atteindre les 200 millions d’euros en mobilisant les fonds de réserve de crise, la distillation principalement dans le bordelais, avec vocation à écouler ce qui faut écouler tout de suite pour essayer de détendre le marché, » selon Marc Fesneau Ministre de l’Agriculture

Concernant l’arrachage, l’Etat va débloquer 30 millions d’euros pour financer l’arrachage sanitaire et la Région devrait compléter à hauteur de 10 millions d’euros, pour des projets de reconversion.

« C’est une forme de plan social sanitaire…Car une vigne en dépérissement peut mettre des maladies aux autres vignes...La Région met 10 millions d’euros et on verra s’il faut peut continuer, le Ministre a dit qu’il mettra 30 millions et a dit je verrai si je peux pas monter  à 38 ou 40 millions », commente Alain Rousset président de la Région Nouvelle-Aquitaine

A ces aides, le Conseil Interprofessionnel du Vin de Bordeaux va faire voter lors de son assemblée générale le 11 avril prochain une aide complémentaire de 19 millions d’euros pour de l’arrachage sanitaire. Au total, cela concernera 9500 hectares selon le CIVB.

La réunion publique du collectif des viti 33 lundi soir au Pian Sur Garonne © JPS

Pour le porte parole des viticulteurs de Gironde, Didier Cousiney : « on prend tout ce qu’on nous donne, mais on est encore loin du compte, tant financièrement (cela fait à peine 6000 e à l’hectare), qu’au niveau de la surface (15 000 hectares minimum. On se demande comment vont être attribué ces primes, on compte déjà 2000 hectares de friches. On ne lâche pas. Nos dirigeants de la filière n’ont pas encore mesuré assez l’ampleur de la crise. »

Selon Bastien Mercier du collectif : « il en manque, on se retrouve demain soir pour reprendre tout cela. Pour moi, cela ne va pas, on va expliquer que le problème va perdurer si on ne fait pas un audit avec les Etats Généraux de la viticulture. »

Affaire à suivre.

Regardez le reportage de Jean-Pierre Stahl, Antoine Jegat, Samuel Chassaigne, Robin Nouvelle :

24 Fév

Ruinart goûte chez Bocuse une bouteille oubliée presque centenaire

L’étiquette est vieillie mais intacte, et le liquide ambré vient embrasser le verre : Ruinart a débouché jeudi « le plus ancien millésime connu » de sa maison, en date de 1926, retrouvé dans une cave du chef Paul Bocuse.

© Frédéric Lot

En novembre 2021, Maxime Valery, nouveau chef sommelier du restaurant Paul Bocuse à Collonges-au-Mont-d’Or (Rhône), réalise un inventaire complet des stocks de vin, quand il tombe sur ces bouteilles éparpillées dans des caisses vermoulues. « Au début je me dis : ce ne sont pas des vraies, je vois 1926, je me dis que ce n’est pas possible », se remémore le jeune sommelier. Il nettoie avec précaution la couche de poussière noire et humide qui les recouvre.

Les bouteilles, longtemps conservées dans la cave de la maison du chef, à côté du restaurant, ont dû subir une crue de la Saône voisine. Il contacte immédiatement Ruinart, qui vient authentifier les bouteilles. Un véritable trésor pour la maison de champagne, certes la plus ancienne (1729), mais dont les caves ont été vidées sous l’occupation nazie pendant la Deuxième Guerre Mondiale, perdant ainsi son héritage.

« C’est le premier millésime de la maison », souligne Frédéric Panaïotis, le chef des caves de Ruinart venu jeudi ouvrir une des précieuses 18 bouteilles retrouvées. 1926, c’est aussi l’année de naissance du mythique chef lyonnais, qui aimait à collectionner les bonnes bouteilles portant ce millésime.

L’effervescence du champagne a quasi disparu. Mais Frédéric Panaïotis ne cache pas son excitation : « C’est une belle bouteille », peut-il enfin déclarer après la première gorgée.

De cette année 1926, les carnets de caves de la maison Ruinart disent que la vendange fut belle. Les vins « ont assez d’élégance » ne sont « pas très corsés. On pourra peut être parler de 1926 comme étant de bons vins mais pas de grands vins : ce n’est pas 1911 ni 1921 mais c’est au moins des 1923 ».

Un petit goût d’abricot, une « tension en bouche avec un côté citron confit », un « petit moment sucré » au milieu puis en fin de bouche « un peu de gratte et d’amertume ».

La bouteille libère progressivement son arôme vieilli par le siècle. Trois d’entre elles seront conservées par le restaurant Bocuse, les 14 autres vont retrouver les caves de Ruinart.

AFP

21 Fév

La Tournée des Vins de Bordeaux, les 9, 10 et 11 mars

Ils ont enfourché leur tandem pour partir à la rencontre des consommateurs. Les 9, 10 et 11 mars attendez-vous à croiser des vignerons et des négociants qui vont vous proposer leur production à déguster. Une opération menée dans toute la France en grande distribution, chez les cavistes, dans les bars à vins et dans les restaurants.

Pendant 3 jours, les vignerons et négociants de Bordeaux partent en tournée dans toute la France pour aller à la rencontre des consommateurs.

Le vignoble se mobilise pour donner rendez-vous chez des cavistes de quartier, dans des brasseries, aux comptoirs de bars à vins, dans les rayons vin des supermarchés, à Bordeaux, en Île de France, en Bretagne, etc.

Lors de la première édition en 2020, plus de 1 000 acteurs s’étaient mobilisés dans près de 700 villes de France. Cet événement collectif unique reflète l’envie des femmes et des hommes de Bordeaux d’échanger avec les consommateurs et de raconter Bordeaux autrement, notamment à travers l’histoire qui se cache derrière leurs bouteilles

13 Fév

Wine Paris-Vinexpo Paris : sur le front de la reconquête des marchés pour Bordeaux

Le salon Wine Paris-Vinexpo Paris s’est ouvert ce lundi sur une note plutôt optimiste. Les Bordeaux et notamment les Côtes de Bordeaux sont venus faire déguster leurs vins et essayer de signer de nouveaux contrats avec les cavistes, restaurateurs et distributeurs français et étrangers. 30 000 visiteurs attendus de 52 pays pour 3387 exposants…

Pour les vignerons des Côtes de Bordeaux, ce salon Wine Paris-Vinexpo Paris du 13 au 15 février à la Porte de Versailles, c’est l’opportunité de nouveaux débouchés après de cavistes, restaurateurs, distributeurs…Eric Bantegnies, vigneron du château Bertinerie, fait déguster ses blancs secs et rouges produits en Blaye-Côtes de Bordeaux : « des lyres en blanc, c’est un 100% sauvignon, on vendange à la main, on trie à la main… »

Paris est un lieu facile d’accès pour tout le monde, pour tous nos clients étrangers et nos clients français, et c’est un endroit où il faut être présent pour les rencontrer au moins une fois dans l’année », Eric Bantegnies du château Bertinerie

« On travaille ensemble depuis 2001 donc on se connaît un petit peu déjà, donc là c’est vraiment pour découvrir les vins… », commente Fabrice Picaud acheteur de « Vins, champagne, spiritueux et caviar »

A l’heure où Bordeaux commercialise moins de 4 millions d’hectolitres de vin à l’année, les vignerons se retroussent davantage les manches pour faire déguster et relancer par exemple le marché chinois en sommeil...

« Malgré le fait qu’on ait eu une crise covid, mais d’ici 3 ans je pense qu’on est en train de bien passer la crise », commente Xue Gao, négociante bordelaise de FiWine Bordeaux et FinestWine.com

Aujourd’hui Bordeaux innove davantage, fait des vins sur le fruit et imagine de nouveaux packagings…

« On est sur la région Normandie et on recherche des petites pépites, de nos régions, et là on est sur un profil de choses qu’on recherche, qui change, et qu’on n’a pas l’habitude de déguster… » Solenne Coiffard grossiste distributeur « Les Vins de Paul »

« Ce qu’il faut pour vendre aujourd’hui, c’est y croire, on a de très jolis vins, on a de très jolis produits, moi je vois des marketings, des images, des étiquettes qui évoluent, on a un goût un peu plus sexy, on a repensé tous nos produits, Bordeaux a une nouvelle image », Jean-Vincent Bideau château Petit-Boyer

Wine Paris-Vinexpo Paris, ce sont près de 3400 exposants présents qui vont rafler de nouveaux marchés auprès de 30 000 visiteurs attendus.

 

 

12 Fév

Et le meilleur sommelier du monde 2023 est le letton Raimonds Tomsons

Un concours de haute volée, 17 demi-finalistes, 3 finalistes et un seul vainqueur: le Letton Raimonds Tomsons. Pascaline Lepeltier échoue de peu, aux portes de la finale…

Le 3e candidat à passer, fut le meilleur de cette finale : Raimonds Tomsons © Michel Trama

C’est un peu comme dans Highlander, il ne peut en rester qu’un… C’est donc Raimonds Tomsons le nouveau Highlander de la sommellerie qui s’est imposé ce soir au coucours organisé en France et la finale à l’Arena à Paris.Il s’impose face à la danoise Nina Jensen et face au chinois Reeze Chai au terme de 4 heures de compétition. La française Pascaline Lepeltier qui est sommelière à New-York chez Chambers à Manhattan termine 4e de la compétition. Bravo à tous.