Catherine Ringer a enflammé le coeur du public hier soir au château de la Rivière pour l’ouverture du Festival Confluent d’Arts. 3 jours de folie, avec déjà 2000 fans emballés par les standards des Rita Mitsouko.
Comme une ritournelle dans leur tête, ces fans de la 1ère heure se sont fait vaccinés et sont fiers d’exhiber leur pass sanitaire sur leur téléphone portable pour venir voir la Grande Catherine, Catherine Ringer, de Marcia Baïla au château de la Rivière. Des fans envoutés par le 4e concert de sa tournée qui va compter quelques 40 dates entre l’été et l’automne…
« C’est quelqu’un de qui il émane quelque chose de fort, d’intense.. » »Ca commence à remonter, mais elle est toujours très moderne », expliquent Cattehrine Delorme et Dominique Vient de Bordeaux.
Un parterre de 2000 fans subjugués par ces standards écrits, composés et arrangés par Fred Chichin son compagnon disparue en 2007…Des standards repris par Catherine et son fils aujourd’hui guitariste à ses côtés Raoul Chichin.
Les morceaux, on les a travaillé au plus près des versions originales.C’est du pur Mitsouko, mi-Ringer mi-tsouko… « Catherine Ringer
« Valérie s’ennuyait dans les bras de Nicolas et Nicola….ah…ah…lui ne le savait pas !!! » Ah, ces histoires d’A…mour… « Elles finissent mal en général… »
Plus de 40 ans de carrière, avec différentes générations qui l’ont suivi : des jeunes qui étaient au collège ou au lycée ou d’autres jeunes qui bin n’étaient même pas nés, dont les parents leur ont transmis la Rita Mania : c’est cool, 63 ans elle a la forme
Qu’est ce que cela fait d’être un monument ? Je crois que je vais demander au château… Ca fait quoi d’être un monument ? C’est chouette… »
Un élixir de jouvence au pays du vin et du château de la Rivière… « C’est un vin merveilleux le vin de Bordeaux….Il paraît que c’est même le vin des chanteurs à cause des tannins, car ça vous gouleye la corde vocale ! »
A consommer avec modération « c’est comme ça », mais comme dit « Andy, dit moi oui » un concert de Catherine Ringer c’est bon pour la santé !
Regardez le reportage de Jean-Pierre Stahl, Guillaume Decaix, Xavier Granger et Jean-Marc Ceccaldi :