06 Sep

C’est parti pour une nouvelle saison de masterclass à la Vinothèque de Bordeaux avec les châteaux de Camensac et Chasse Spleen

C’était hier soir le retour des Masterclass en plein coeur de Bordeaux. La Vinothèque accueillait Céline Villars-Foubet propriétaire des châteaux de Camensac et de Chasse Spleen pour une rencontre-dégustation d’1h30 avec une trentaine de passionnés.

Céline Villars-Foubet à la Vinothèque de Bordeaux @ Jean-Pierre Stahl

C’est un moment privilégié et assez exceptionnel pour tous ces amateurs de grands vins… Participer à une masterclass avec la propriétaire de Camensac et de Chasse Spleen, deux noms de grands châteaux du Médoc, un 5e cru classé en Haut-Médoc et une pépite de l’AOC Moulis, que Julien Doré a mis en avant en 2014 dans « Paris-Seychelles »

Tiens 2014, c’était justement le millésime que Céline Villars-Foubet avait décidé de faire déguster, moins recherché que les 2015 ou 2016, mais un millésime tout-à-fait honorable. « Depuis 2000 avec mon mari Jean-Pierre, nous avons eu l’idée de mettre une citation d’écrivain sur la bouteille: de 2000 à 2005, des citations de contemporains de Beaudelaire et depuis 2006, des écrivains vivants. Sur cette bouteille de 2014, Frédéric Beigbeder y a inscrit: « le chasseur de Spleen finit par collectionner des trophées de un mélancolie. »

Pour cette Masterclass, ce sont une trentaine d’amateurs, de connaisseurs et de passionnés de grands crus qui se sont retrouvés au 1er étage de l’immeuble de la Vinothèque de Bordeaux, juste au-dessus de la fameuse cave, située à deux pas du Grand Théâtre. « Je suis ravie de commencer la saison avec vous qui êtes venus si nombreux », commençait Céline Villars qui se présente notamment comme la soeur de Claire Villars à la tête de Ferrière et belle-soeur de Gonzague Lurton du château Durfort-Vivens. Avec sa famille, ils sont présents et propriétaire dans les 10 appellations du Médoc, pas mal…La réussite de sa famille remonte après guerre: « mon grand-père était pinardier, il était négociant chez Ginestet, il a commencé à acheter Haut Bages Libéral, Ferrière, Gruaud Larose, Citran…J’ai hérité de Chasse Spleen et j’ai pu acheter la moitié de Camensac. A partir de 2005, on a commencé à réveiller la belle endormie, Camensac était très visible dans les supermarchés, on a amélioré la qualité avec ce fabuleux terroir où l’on a deux types de graves; on allie différents types de caractères, si on a 68 hectares en production (sur un domaine de 75) on dénombre pas moins de 150 parcelles en HVE3. »

Madeleine Gaschignard qui a eu un faible pour le 2009 bien équilibré © JPS

« Camensac en gascon signifie le chemin qui mène à l’eau » (car il y avait à cet endroit beaucoup de jalles qui menaient à la Gironde) , commentait Céline Villars-Foubet, mais ce soir-là nos aficionados préféraient trouver le chemin qui mène à la dégustation de ses 5 vins : la closerie de Camensac 2014 (second vin du château) pour débuter « c’est the rapport qualité-prix » dit-elle avec un assemblage 70% cabernet-sauvignon et 30% merlot issus de jeunes vignes, puis château Camensac 2015 « extrêmement solaire, un grand millésime de garde, encore trop jeune pour être apprécié », mais qui dévoile déjà « une trame tannique assez fine, une texture soyeuse, velours… »

Une trentaine de connaisseurs et passionnés dans l’assistance dont Céline et Yannick Terrasse, ici avec Stéphane Venance © JPS

Une soirée riche en échanges et notamment sur l’essor des propriétés viticoles bordelaises qui finalement est assez récent comme aimait le rappeler Céline Villars-Foubet hier : « la prospérité à Bordeaux est relativement récente, depuis les années 90, avec aussi des phénomènes cycliques de crises… Le millésime 90 était l’un des meilleurs et pas très cher, à partir du 95 et avec aussi le 96, on a eu 2 grands millésimes successifs, puis le 2000 avec ses 3 zéros qui a attiré les convoitises et le commerce. Depuis cette époque, on a investi, refait les châteaux et les jardins. »

Le lien est tout trouvé avec 2009 de Camensac, un millésime opulent, très rond, fruité avec ses tanins soyeux et fondus, un millésime qui a fait plutôt l’unanimité dans l’assistance: « 2009, c’est le meilleur, j’aime bien les vins vieux, même si le 2015 n’est pas mauvais (pour ne pas dire bon, mais à attendre), c’est un millésime plus rond, velouté, à boire aujourd’hui et à acheter ça s’est sûr », me confiait Yannick Terrasse, un client fidèle venu de Saint-Morillon, avec son épouse Céline. Pour Madeleine Gaschignard de Bordeaux, « j’ai aimé le 2009, bien équilibré, des tanins souples, rond, très bon, avec un nez de vin vieilli, de cuir et fruits mûrs, une texture ultra souple, comme le 2015 beaucoup de fruits rouges… »

Stéphane Venance de la Vinothèque de Bordeaux et Céline Villars-Foubet de Camensac et Chasse Spleen © JPS

Autre moment exquis, avec la dégustation en avant-première de ce Chasse Spleen 2018 en blanc, tout juste mis en bouteille et que l’on va retrouver lors de la foire aux vins de la Vinothèque, un blanc sec très fruité avec ses notes d’agrumes, assemblage de 55% de sémillon, 45% de sauvignon et 5% de muscadelle.

Il y a un réel engouement autour de ces Masterclass, dont le succès ne se dément pas notamment à chaque Bordeaux Tasting en décembre avec Terre de Vins. La Vinothèque de Bordeauxsouhaite pérenniser ce modèle et en faire un réel rendez-vous: « on souhaite en faire une par mois, cela crée des liens avec les châteaux, cela démystifie et en plus en fait cela sur un format court d’une heure… », mais qui peut déborder avec la passion mutuelle des uns et des autres. « On a fait déguster Cos d’Estournel, mais aussi Léoville Barton avec Liliane Barton qui nous avait fait l’honneur d’être là, la dernière fois c’était très sympa avec Jean-Jacques Dubourdieu (le fils de Denis Dubourdieu) qui a fait déguster Reynon, Floridène et Daisy Daëne, là c’était un côté un peu plus technique, plus vigneron, capable de dire il faisait tel temps tel mois de septembre… »

Bref que de belles rencontres et des moments de partage et de plénitude que Côté Châteaux aime vous faire découvrir.

Les Masterclass de la Vinothèque de Bordeaux, une fois par mois, renseignements:  05 56 52 32 05

05 Sep

Emission spéciale 35e Marathon du Médoc sur NoA en direct du parcours et des châteaux du Médoc

Samedi 7 septembre, 8500 coureurs vont s’élancer depuis Pauillac pour sillonner les route et châteaux prestigieux du Médoc. Une course à suivre Sur NoA avec de nombreux points de directs dont ceux des châteaux partenaires qui attendent les coureurs et l’événement avec impatience. Côté Châteaux sera sur le pont avec eux, avant goût de ce qui vous attend.

« Les Supers Héros » vont faire leur show. Avec un tel thème pour ce 35e Marathon du Médoc, on s’imagine déjà que certains vont se sentir pousser des ailes et vont vouloir survoler ces 42,195 kms. Votre serviteur alias Batman ne va pas voler plus haut que d’habitude mais va rester ancré sur ce terroir de graves et en compagnie des châteaux qui serviront les ravitaillement et dégustations car 21 points de dégustations sont prévus.

En revanche, Emeline Borie fait figure de SuperWoman, car elle se souvient avoir participé au 1er marathon en 1984 : « j’étais déjà là mais pas bien vieille, j’avais 2 ans car je suis née en 1982. On a participé à tous, depuis toujours, mon grand-père Jean-Jacques Borie membre de la Commanderie du Bontemps avec Henri Martin ont été parmi les 1ers à accueillir le marathon. Le marathon passait par le parc en bas du château, à l’époque on donnait des éponges et on faisait quelques dégustations, puis on a arrêté et on les a reprises pour le 30e anniversaire, mais vu qu’on est au 2e kilomètre, pas cette année car ça sera l’heure du petit déjeuner. »

Le Marathon, c’est un événement festif, ça fait partie de notre ADN, le Médoc sans son marathon, il manquerait quelque chose », Emeline Borie du château Grand Puy Lacoste.

Pour ce 5e grand cru classé 1855, le marathon véhicule une image fort sympathique du Médoc dans le monde entier car la moitié des participants sont étrangers. « Quand on voyage dans le monde, Pauillac les gens connaissent et le marathon aussi, quand ils parlent du marathon ils ont des étoiles dans leurs yeux !« , continue Emeline Borie. Les coureurs vont donc passer à travers cette propriété de 90 hectares d’un seul tenant, dont 60 en production. Grand Puy Lacoste sort chaque année entre 250000 et 280000 bouteilles dont 150000 de 1er vin, pour une propriété qui est en agriculture raisonnée, HV3 depuis 1 mois, et qui a quelques parcelles qui s’essaient au bio.

Le marathon, c’est en fait une passion, un sacerdoce, une émotion, une mission. Ainsi Vincent Fabre, son Président, mais aussi vigneron en Haut Médoc à Cissac, mais aussi à Tayac et à Margaux, me confie : « je suis passé par là il y a && ans, on m’a dit tu serais bien Président. C’est une belle équipe qui organise sérieusement cette belle épreuve ».

On l’a limité à 8500 participants car c’est une jauge qui fonctionne bien, même si au début ça bouchonne un peu, ça déroule bien par la suite », Vincent Fabre président de l’Association du Marathon AMCM. 

« Pour la 30e édition, on est passé à 10000, on a vu que ça se compliquait, donc on est revenu à 8500 coureurs car on veut une épreuve qualitative avant tout. Cette année, on a 45 % d’étrangers, moyenne d’âge 43 ans, des CSP ++, on doit répondre à la prouesse ».

Ce marathon va donc être l’occasion d’une grande émission sur NoA, la chaîne 100% Nouvelle Aquitaine de France 3 : elle sera animée par Pascal Zuddas journaliste sportif de la rédaction de France 3 Aquitaine, mais aussi Fabrice Bidault, autre journaliste de France 3 qui va avoir 2 casquettes non seulement en tant que commentateur, mais aussi en tant que coureur, et puis je serai en compagnie de Charlotte Sariq depuis 4 châteaux du Médoc pour vous faire vivre l’ambiance et la mobilisation des châteaux sans qui ce marathon ne serait pas ce qu’il est.

A Pédesclaux, au 22e kilomètre, je serai en compagnie de la propriétaire Manon Lorenzetti et d’Emmanuel Cruse, le grand Maître de la Commanderie. Un château magistral terminé en 2014, mariage de pierre et de verre, un travail de deux ans, que l’on doit à l’architecte Jean-Michel Wilmotte avec son chai 100% gravitaire, construit à fleur de colline sur une croupe de Médoc, avec un dénivelé de 7 mètres. Cette étape va être l’occasion de faire connaissance avec cette jeune génération de Lorenzetti, Manon, 26 ans, qui reprend le flambeau de cette propriété achetée par son père en 2009, après avoir acquis Lilian Ladouys. Elle est entouré de Vincent Bache-Gabriel pour la conduite du vignoble et du chai et de l’oenologue Eric Boissonneau.

« On est assidu depuis le début au Marathon, on a une équipe de 40 coureurs, on fait partie des propriétés qui tous les ans montent une équipe, beaucoup de nos clients nous demandent à courir le marathon, donc on leur offre, on les sponsorise », commente Cindy Ceres du château Pédesclaux.

Aux environs de 13h, nous serons depuis une autre pépite de Saint-Estèphe Haut-Marbuzet, avec le propriétaire Bruno Dubosq, un château prisé des connaisseurs, l’un des vins pour ne par dire le vin préféré du Président Mitterrand : « absolument, c’était son vin préféré, il y a eu pas mal de papiers là-dessus, De Gaulle avait un champagne comme vin préféré, pour Pompidou, c’était Chasse Spleen et Mitterrand Haut-Marbuzet. »  « Mon grand-père a acheté en 52, une époque où la vigne ne valait rien, il l’a acheté en rente viagère. » Aujourd’hui Haut-Marbuzet représente 75 hectares, plantés en 50% merlot, 40% cabernet Sauvignon, 5% cabernet franc et 5% petit Verdot. »

Enfin de retour l’après-midi, et alors que les 1er coureurs seront arrivés depuis près de deux heures, dans la seconde partie d’émission, nous nous retrouverons à château Montrose avec Hélène Brochet directrice de la communication qui en est à son 7e Marathon à Montrose et auparavant à Mouton-Rothschild. Elle nous parlera de ce château qui a été entièrement réhabilité par la famille Bouygues avec un chai cathédrale, 7 ans de travaux

Le Marathon du Médoc sur .3 NoA de 9h à 13h15 et de 14h20 à 16h30.

04 Sep

Portes ouvertes samedi 7 et dimanche 8 septembre en Castillon Côtes de Bordeaux

A vos agendas… Ce week-end est assez intense entre le marathon du Médoc pour 8500 coureurs, les châteaux du Médoc  et un public toujours aussi nombreux, mais si vous recherchez une ambiance plus zen, à découvrir les châteaux de la rive droite, vous pouvez opter pour les Portes Ouvertes en Castillon, ou pourquoi pas assister aux deux…

Jean de Boigne sur le pont au château de Pitray où se tiendra un marché gourmand © JPS

Sur l’appellation Castillon Côtes de Bordeaux, les vignerons vous accueillent lors des Journées Portes Ouvertes samedi 7 et dimanche  8 septembre. Venez profiter d’un moment chaleureux et découvrir (ou redécouvrir) les vins de l’appellation lors d’animations inédites !

l’occasion des Journées Portes Ouvertes, les châteaux vous proposent des visites mais aussi des activités diverses et variées : présentation du travail de viticulteur, parcours biodiversité, musique, food trucks…Tout est réuni pour passer un moment convivial !

Les amoureux de gastronomie pourront profiter du marché gourmand le dimanche à partir de 12h30 au Château de Pitray dans un cadre idyllique. L’après-midi, participez à l’atelier culinaire animé par Cyril Carrini, gagnant du Meilleur Pâtissier saison 4 ! Les enfants pourront eux aussi profiter d’animations qui leur sont dédiées comme les balades à dos de poney.

Après avoir régalé vos papilles, venez profiter de la musique avec Mika V, ancien champion du monde d’accordéon, qui vous fera danser au rythme de son nouveau titre « Badam Badam ».

Les amoureux de la nature ne seront pas en reste et pourront découvrir l’appellation à pied, à vélo ou à cheval le dimanche matin. Plusieurs façons de découvrir de manière originale l’appellation, et bonnes dégustations, avec modération (n’oubliez pas de recracher aussi lors de ces dégustations).

ILS SONT EGALEMENT MOBILISES:

  • Paul Cardoso au Château Haut Beynat : visite du domaine familial, soirée animée par Christophe Egreteaud à la Mairie de Saint Magne le samedi soir (19h)
  • Céline Loste Lydoire au Château Bellevue: ateliers pour enfants, randonnée, repas breton et jeu du palet
  • Comte Von Neipperg au Château d’Aiguilhe : visites guidées thématiques et environnementales

Avec les Castillon Côtes de Bordeaux.

02 Sep

Foires aux Vins : l’éclairage de Jacques Dupont, avec la sortie jeudi du Spécial Vins du Point

A vos tablettes ! Alors que démarrent cette semaine les foires aux vins qui vont durer 5 à 6 semaines partout en France, Jacques Dupont sort jeudi prochain son supplément vins avec le magazine Le Point. Un éclairage utile pour bien décrypter les foires aux vins et les sujets d’actualité de la planète vin.

Jacques Dupont, le célèbre journaliste critique du Point lors des primeurs 2019 à Fronsac © JPS

Plus de 30000 vins ont été passés au crible, 34 catalogues de la GD, de chaînes et cavistes passés à la loupe, une opération vérification sur l’authenticité de domaines ou châteaux et non de châteaux inventés, pour au final ne retenir que 700 vins. Voilà le travail de ces apôtres de Bacchus: Jacques Dupont et Olivier Bompas.

QUID DES CEPAGES ANCIENS

« On a terminé ! », Jacques Dupont et son acolyte Olivier Bompas sont des hommes heureux. Le Spécial Vins, le supplément traditionnel du Point sort en effet ce jeudi 5 septembre et c’est à chaque rentrée du Point l’événement sur la planète vin.

« Cette année, on insiste un peu sur la montée des alcools, sur la montée des prix et puis sur cette contradiction entre la recherche de cépages anciens qui peuvent résister à la grillure et la difficulté de faire admettre cela à l’INAO, pour qui il faut au minimum 10 ans et le vignoble a le temps de mourir ! Je prends l’exemple de Plaimont qui a recherché des cépages anciens dont l’un est très connu le « tardif » qu’ils ont réimplanté depuis 2008 et dont ils ont fait des micro-vinifs.  Ils ont voulu le remettre dans leur appellation mais ils sont désolés, ils voient le tannat qui monte dans les tours, et il y a une contradiction entre cette volonté et la représentation de l’INAO et des instances du monde viticole.

13 APPELLATIONS AU CRIBLE

« On passe en revue 13 appellations, notamment on s’est intéressé à Listrac dont on parle peu, dans le Médoc, et qui peut faire de très bons vins ». On y retrouvera aussi Pommard, Régnié, Languedoc, Monbazillac, Pouilly-fumé, les Rieslings alsaciens, l’AOC Corse etc.

« On a fait aussi un truc amusant, avec une chercheuse de l’ISVV, Stéphanie Marchand, sur les défauts du vin : elle nous donne des explications sur les mauvais goûts du vin, d’abord avec le liège et ce fameux goût de bouchon, mais aussi un vin peut sentir le poulailler, l’oeuf pourri, la serpiellère…elle nous donne ses explications ».

Enfin, « on va retrouver aussi le grand tableau des millésimes et les « témoins » « : vignerons, œnologues, courtiers dans chaque région qui racontent le petit dernier (2018) et signalent leurs millésimes préférés parmi ceux des dix dernières années.

LES GRANDS CRUS DE BORDEAUX PERDENT DU TERRAIN

« Pour les foires aux vins, il est incontestable que les grands crus de Bordeaux perdent du terrain en grand distribution. Il y a une montée des crus bourgeois, des satellites, des Bordeaux de milieu de gamme et une forte présence de la Bourgogne, mais là aussi attention il y a pas mal de trucs bidons (les grands vignerons de Bourgogne ne font pas d’immense volumes). Il y a aussi de plus en plus de petits Côtes du Rhône avec lesquels on peut se faire plaisir et aussi quelques grands noms en Languedoc. Mais il y a moins de grands crus classés naturellement dans les magasins, ils demeurent sur les sites (de vente en ligne) et il y a encore une fois beaucoup plus de milieux de gamme, ce qui n’est pas pour me faire plaisir mais tout de même, et un peu moins de bling bling…

LES CONSEILS POUR ACHETER UNE BONNE CAVE

Autre dossier intéressant et attendu, « les 5 points qu’il faut savoir pour acheter une cave d’appartement, une cave à vin pour les gens qui ne s’y connaissent pas… » Encore de bons tuyaux que nous offrent le tandem de journalistes inséparables, spécialisés dans le vin Jacques Dupont et Olivier Bompas, ancien sommelier.

Spécial Vins par Jacques Dupont et Olivier Bompas, avec le numéro du Point à paraître jeudi 5 septembre chez tous les marchands de journaux.