4000 visiteurs en 2013, 5200 en 2014, qui dit mieux ? Cette 3e édition s’annonce une fois de plus comme le grand rendez-vous de la dégustation d’avant les fêtes de fin d’année. 120 grands Bordeaux, 20 maisons de Champagne, 15 grands invités, 10 grands étrangers à découvrir au Palais de la Bourse.
Pour cette 3ème édition déjà bien rodée, Bordeaux Tasting réunira, sous le signe de l’excellence, dans la totalité du palais de la Bourse, dans le grand hall, dans l’amphithéâtre, aux 1er et 2ème étages:
·120 grands bordeaux (crus classés des deux rives et châteaux de référence)
·de très grandes maisons de champagne et des vignerons de talent
·15 grands invités d’autres régions françaises (Bourgogne, Alsace, Provence, Rhône…)
·et pour la première fois, dix «grands étrangers» (Espagne, Nouvelle Zélande, Japon, Chili, Argentine…)
Des Master Class animées par Gérard Basset, meilleur sommelier du Monde
Si le prestige de la manifestation tient à la diversité et à l’excellence des vins et Champagne proposés à la dégustation (en verres Riedel(2)), son succès réside également dans son volet « vino-pédagogique » :
·autour de l’élite des vins de Bordeaux, le meilleur sommelier du monde 2010 Gérard Basset animera des Master class permettant à un nombre limité de visiteurs de participer à une dégustation exceptionnelle de quelques vins de légende,
·l’Ecole du Vin de Bordeaux proposera des initiations à la dégustation.
Programme complet, inscriptions aux ateliers et master class, achat des entrées pour Bordeaux Tasting sur www.terredevins.com.
21€ l’entrée sur terredevins.com jusqu’au 12 décembre (un verre Riedel offert) –25€ l’entrée sur place (+ un verre Riedel offert + abonnement à « Terre de Vins ») – 35 € pour deux journées (+ abonnement à « Terre de Vins » + un verre Riedel offert) – Prix des Master Class : de 35 € à 150 €.
Bordeaux Tasting 2014 :Samedi 13 décembre 2014 de 10h à 19h – Dimanche 14 décembre 2014 de 10h à 18h
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération
Depuis ce matin, le salon mondial des équipements et services des filières viti-viticole, arboricole et maraîchère est déjà pris d’assaut. De nombreux propriétaires de domaines, des responsables techniques et bien d’autres professionnels arpentent les allées de ce salon pour dénicher les dernières innovations.
A Vinitech-Sifel, tous les professionnels présents vous chantent la même chanson: pour être dans le coup, on n’a pas le choix, il faut toujours innover, conncurrence mondiale oblige.
Ainsi Stéphanie Valentin, du château les Garcinières à Cogolin dans les Côtes de Provence, confie: « ça va très vite et on est obligé de suivre. Il n’y a plus de place pour la mauvaise qualité, donc il faut de toutes les manières investir pour aller plus loin dans la qualité, tout en respectant l’environnement. »
Selon une étude menée par BVA pour cette édition, les professionnels demeurent optimistes: en effet, leurs investissements ont connu une hausse de 6 à 21% sur la période 2012/2014.Une tendance qui devrait se poursuivre puisque 79% des viticulteurs, 82% des caves coopératives et 86% des arboriculteurs/maraîchers envisagent d’investir au cours des deux prochaines années. Ils pensent principalement renouveler ou acheter de nouveaux matériels mais également revoir leur budget en ressources humaines à la hausse pour proposer des formations et recruter.
Delphine Demade, directrice du salon Vinitech-Sifel reconnaît : « aujourd’hui nous sommes vraiment sur une tendance très forte; nous avons constaté que sur les années 2010-2012 les investissements ont été de 85% des professionnels et cette tendance va se prolonger sur les deux années à venir à peu près dans les mêmes proportions. »
Parmi les 850 exposants, Thierry Bergeon occupe une place importante: tant au niveau superficie avec son camion d’embouteillage et son robot associé, qu’au niveau investissements car son camion vaut la bagatelle d’1,5 millions d’euros et 300000 € le robot qui saisit les dizaines de bouteilles pour les mettre sur la chaîne.
Il faut être à la pointe de la technologie pour pouvoir satisfaire tous nos clients, petit ou gros, prestigieux ou non, il faut des camions toujours à la pointe de l’innovation ! » Thierry Bergeon, PDG société d’embouteiullage à Libourne.
Ses 400 clients dont les plus grands châteaux de Bordeaux recherchent un service haut de gamme, de la mise en bouteille à la mise en cartons ou en caisses bois, un service clé en main qui nécessite chaque année des améliorations. Ce sont ainsi 7500 bouteilles traitées à l’heure, soit 45 à 50000 bouteilles par jour avec ce type de camion mobile qui se rend dans les propriétés.
Trois jours de folie ou les techniciens, encadrants et même propriétaires de domaines arpentent les 65000 m2 pour dénicher leur petit bonheur, ici un tracteur, là une effeuilleuse, ou encore une rogneuse, et pour d’autres du bouchon en liège dernier cri, du tonneau avec une certaine chauffe. Bref de quoi réchauffer le coeur de ces vignerons par ces températures froides.
Reportage de Jean-Pierre Sathl et Sylvie Tuscq-Mounet
Dès hier après-midi, la CCI de Bordeaux annonçait ce succès de la « gastronomie et de l’art de vivre avec plus de 17 500 dégustations. Un engouement qui s’est très vite manifesté par 80% de pré-vente en ligne des 3 500 Pass et des 800 places pour la Nuit des banquets »
Les Bordelais, Girondins, Aquitains et même les touristes ne se sont pas trompés d’endroits: c’est à Bordeaux SO Good qu’il fallait être. Et d’ailleurs Michel Gérard, le parrain 3 étoiles de la manifestation était de la partie pour souligner l’attrait non seulement touristique mais désormais gastronomique de Bordeaux.
Ils étaient 28 chefs étoilés autour de Michel Guérard à avoir répondu présents dont les plus régionaux de l’étape : Alain Dutournier, Yves Camdeborde, Michel Portos, François Adamsky, Philippe Etchebest, Nicolas Magie, Stéphane Carrade, Jean-Luc Rocha et Nicolas Nguyen.
La Nuit des Banquets dans 7 lieux patrimoniaux, emblématiques ou insolites de Bordeaux (Palais de la Bourse, Musée des Douanes, TnBA, MIN, Darwin, Chapon Fin…) ont accueillis plus de 800 personnes: «on a du mettre en place des listes d’attentes en raison d’une forte demande! »
Le Pass a connu un véritable succès: 80% avait été achetés par internet avant que ne commence Bordeaux S.O Good. Plus de 3 500 ont ainsi été vendus (500 de plus que prévu initialement) avec à la clé 17 500 dégustations de verrines concoctées par des Chefs de la région.
Autres temps forts la dégustation de 30 000 huîtres autour et dans le Dôme de Lumière place de la Bourse ou encore la criée aux Poissons .
A Saint-Seurin-sur-l’Isle dans le Libournais, l’entreprise Amcor s’est lancé voilà 10 ans dans la capsule à vis. Aujourd’hui, elle représente 1/3 de son activité et a permis ces 4 dernières années l’embauche de 80 personnes. Gros plan sur la fabrication de cet objet de bouchage « design » à la veille du salon Vinitech-Sifel.
L’usine de Saint-Seurin-sur-l’Isle est une vieille dame, elle remonte au XIXe siècle, mais depuis 2004 elle a retrouvé une nouvelle jeunesse. Certes elle avait déjà ce savoir-faire qu’elle continue de perpétuer dans le surbouchage avec auparavant l’enseigne Péchiney ou encore Alcan Packaging, mais la voilà qui ne cesse de développer ses chaines concernant l’impression sur les capsules: de 2, elles sont passées à 8 !
Histoire de re-situer dans le contexte, Amcor est une société sous bannière australienne. C’est le leader du packaging avec 27 000 personnes employées dans le monde aussi bien dans l’alimentaire, que les produits de beauté ou la pharmacie. En France, ce sont 800 salariés sur 6 sites, mais seulement 3 fabriquent des capsules à vis: Saint-Seurin-sur-L’Isle (Gironde), Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire) et un autre site en Champagne. Les 3 autres sont aux USA, au Canada et au Chili.
Quant à la capsule à vis, c’est un produit typiquement français. Les 1ers tests ont été effectués en 1959-1961 sur le site de Chalon-surSaône, c’ets en 1968 que la valisation a été effectuée avec un dépôt de marque Stelvin. Ainsi 10 ans de recherches avec notamment la faculté oenologique de Bordeaux été consacrés.
Les premiers succès ont été enregistré en Suisse dans les années 80-90, puis premières expéditions aux USA 90-92, sur le marché français en 2003 Michel Laroche à Chablis a été l’un des pionniers, tout comme André Lurton avec château Bonnet en blanc.
Aujourd’hui, l’essor de la capsule à vis dans le monde est absolument étonnant: de 300 millions en 2003, on est passé à 600 en 2004, puis 1 milliard en 2005, 2 milliards en 2007, 3 millliards en 2009 et 5 milliards en 2013. En Allemagne, la capsule à vis aurrait même supplanté le traditionnel bouchon..
Ces capsules sont produites à partir d’une feuille d’aluminium, trois opérations d’emboutissage de cups sont nécessaires pour obtenir la capsule de 30 mm sur 60 mm. Vient l’opération d’impression avec une peinture sans solvant, puis l’impression en relief (ou non) des noms, marques et mentions légales. Le tout avant d’insérer le fameux joint au fond de la capsule.
Il faut dire que la capsule à vis présente certains avantages:
pas de goût de bouchon, ce fameux TCA
une régularité d’une bouteille à l’autre
un respect du savoir-faire de l’oenologue
une maîtrise du taux de transfert d’oxygène
En revanche, il y a nettement moins de cérémonial pour l’ouverture de la bouteille et il faut même une certaine connaissance pour l’ouvrir avec élégance en tenant la jupe et en faisant rouler la capsule à vis sur l’avant-bras jusqu’à la paume de la main…
Au fond de ces capsules à vis, il y a ce fameux joint d’étanchéité qui peut être différent suivant ce que souhaite l’oenologue ou le viticulteur par rapport à la perméabilité à l’oxygène.
Dans cette success story, 80 personnes ont été embauchées (en vente, service clients et équipement techniques de production) dans cette usine du libournais, portant à 220 le nombre de salariés. Un million d’euros est investi chaque année pour être toujours à la pointe de produits nouveaux.
Regardez le reportage de Jean-Pierre Stahl et Didier Bonnet
En moins d’un an, le blog « Côté Châteaux, entrez c’est chai vous ! » a trouvé progressivement son public, ses lecteurs. Merci à vous tous pour votre fidélité, Côté Châteaux enregistre 200 000 vues largement dépassées depuis ce samedi.
Parmi le top 3 des publications les plus suivies: notre ami collectionneur de la plus de la plus grande cave au monde, Michel-jack Chasseuil, qui a connu des déboires en juin dernier, mais aussi les obsèques de la baronne Philippine de Rothschild célébrées à Pauillac le 1er septembre et enfin la saga Lurton que je vous ai proposée de suivre en octobre tant sur le blog que sur l’antenne de France 3 Aquitaine.
Quand j’ai créé ce blog en vers la mi-décembre 2013 sur une proposition conjointe d’Agnès Hairabedian et de Christophe Roux, les pilote et éditeur du site internet de France 3 Aquitaine, j’ai souhaité le rendre attractif et interactif dès le départ.
Attractif car vous y retrouvez au quotidien toute l’actu de la vigne et du vin qui vous intéresse, vous piochez, lisez ce que vous voulez, de l’info de première main, des reportages sur le terrain, des portraits, des expertises, des tendances, des rendez-vous à ne pas manquer…
Interactif, car j’ai enrichi Côté châteaux de 13 rubriques dont 3 rendez-vous marquants de Bordeaux (Bordeaux Fête le Vin, Vinexpo et la Cité des Civilisations du Vin), de liens vers les réseaux sociaux Twitter, Facebook ou Linkedin, animant une dizaine de groupes, et des renvois vers les magazines spécialisés en ligne de mes confrères.
Puisque vous me suivez aussi partout en France, il m’arrive de vous informer sur les événements d’autres régions viticoles ou parfois sur des intempéries qui frappent nos amis vignerons, en plus de Bordeaux et de l’Aquitaine. And thanks a lot to my friends who read « Side Castles » from their country.
Alain Juppé, l’initiateur du projet de Cité des Civilisations du Vin, a souligné une étape importante du chantier de construction en passe de se terminer, d’ici 3 semaines à Bordeaux. Il a présenté également le budget global qui s’élèvera à 77,7 millions d’euros HT une fois livré, soit 15 à 17 % de plus que prévu. Une hausse qui sera compensée par les retombées économiques et les dons des mécènes.
« C’est un projet essentiel au développement et au rayonnement de la métropole bordelaise et du vignoble de Bordeaux », c’est en ces termes qu’Alain Juppé a débuté son introduction, tout en précisant que « la Cité s’est donnée pour mission de faire partager cette culture millénaire à un public international ».
Il y a un an, il n’y avait rien, ou presque, seulement des pieux en béton pour la solidité de l’édifice. 9000 m3 de béton et un an plus tard, la Cité des Civilisations du Vin se dresse fièrement en entrée de ville de Bordeaux, prête à saluer les projets paquebots de croisière avant qu’ils ne passent sous le pont Jacques Chaban Delmas à deux pas. C’est une idée visionnaire finalement qu’a eu Alain Juppé. Une idée au départ décriée par certains (une poignée de vignerons qui cotisaient voyaient d’un mauvais oeil que le CIVB participe au financement, de l’ordre de 5,5 millions d’euros, le Conseil Général ne voulait pas non plus participer à ce projet (finalement 1m € versés)…alors même que le Conseil Régional socialiste à majorité socialiste aussi disait banco à hauteur de 5,5 m €).
Les Bordelais vont bientôt s’approprier la Cité des Civilisations du Vin », Sylvie Cazes, la présidente de l’association de préfiguration de la Cité des Civilisations du Vin.
Sylvie Cazes aura bien travaillé réussissant à réunir 15 millions d’euros de mécénat pour la construction, et 3 millions de plus pour le fonctionnement qui sera assuré par le fondation validée par le Conseil d’Etat. Quant à la fondation américaine, le pendant de celle de la France, présidée par Robert Wilmers, elle s’apprête à organisée fin janvier une grande soirée de collecte aux Nations Unis avec l’avocat américain influent Sape.
Le budget présenté ce vendredi vers 13h15 au 4e étage dans une atmosphère très ventée a donc augmenté: « au moment du choix du projet en 2011 présenté par le cabinet XTU et l’agence de scénographie Casson Mann, le coût prévisionnel s’élevait à 63 millions d’euros HT. Le coût actualisé à la livraison est de 66,6 m € HT, par effet mécanique de l’évolution du coût de la construction », annonce Alain Juppé. « 60% des marchés ont été attibués, représentant 85% de leur montant global, ce qui permet d’approcher de manière fiable le coût définitif des travaux. Le coût de l’opération aujourd’hui est de 74 m € HT valeur 2011, soit un coût actualisé de 77,7 m € HT à la date de livraison. » A celà, il faut ajouter 3,4 m € pour le développement du périmètre numérique et le mobilier, ce qui porte le budget à 81,1 M €.
Outre le budget revu à la hausse, c’est aussi l’idée d’un ponton d’accès pour le tourisme fluvial qui a fait sensation. Un ponton long de 90 mètres, construit sur la Garonne, pour accueillir des paquebots fluviaux pour des escales de prestige, des grands voiliers, des batcubs et des bateaux de plaisance qui pourront y accoster.
Bernard Farges est certain que les touristes vont venir en masse ® JPS
Les touristes vont venir en masse, « 450 000 et même sans doute plus qui iront ensuite visiter Bordeaux, Arcachon et le vignoble bordelais », précise Bernard Frages le président du Conseil Interprofessionnel du Vin de Bordeaux.
Les retombées économiques vont compenser la hausse du budget car en phase de construction ce sont 60 millions d’euros de retombées économiques directes, indirectes et induites sur 3 ans, mais aussi 200 emplois pendant 3 ans. Ensuite, en phase d’exploitation, on estime à 40 m € de retombées par an dont 1/3 pour la filière vin.
750 emplois directs et induits seront ainsi générés par la Cité des Civilisations du Vin qui a commencé cette semaine à lancer ses premières offres d’emplois. Il faudra aussi se rapprocher de Pôle Emploi qui va recevoir les annonces de postes. Sur site ce sont 250 emplois directs avec les emplois liés à l’aspect visites et culturel, pour la gestion, la maintenance et la sécurité. Il y aura aussi de nombreux commerces dont un restaurant, tous auront des concessions d’exploitation au sein de le Cité car la fondation ne peut pas exploiter elle-même.
Enfin Alain Juppé a annoncé la création juste en face de la Cité d’un hôtel, sans doute « 4 étoiles » pour recevoir les touristes du monde entier.
Regardez le reportage de Jean-Pierre Stahl et Christèle Arfel
C’est parti pour 3 jours de festival de la gastronomie et de l’art de vivre. La 1ère édition qui met à l’honneur la gastronomie du Sud-Ouest dans 3 spots de dégustation: place de la Bourse, place de la Comédie et Cour Mably à Bordeaux.
So Good, ils ont tous ce mot là à la bouche. Ils en salivent d’avance… Tous ont révisé leur classiques et notamment leur anglais pour dire sur le juste ton « so good! »
Les bouchers de Gironde sont sur le pont avec Marguerite leur vache gascogne qu’ils ont engraissé durant une bonne année, à l’image de Sébastien Soulard boucher de Langon, venu avec 8 collègues qui élèvent de façon traditionnelle leurs bêtes sur pieds et avec Daniel Huvier, représentant du syndicat de la boucherie de Gironde. Et avec l’accent du sud-ouest, ils ne sont pas mauvais à déclamer du Shakespeare ou presque : « so good! » (à voir dans la video ci-dessous)
Au palais de la Bourse, c’est ici le palais dédié aux saveurs salées. On y trouve des producteurs de foies gras de canards et d’oies, des magrets, de nombreuses verrines tutoyant juste à côté les terrines, de quoi tenir un siège tout ce week-end.
Le principe est simple: sur le modèle de Bordeaux Fête le Vin, il s’agit de se munir de son pass Bordeaux So Good. 2500 ont déjà été achetés en pré-vente depuis plusieurs jours sur internet au prix préférentiel de 15 €, désormais il est possible d’acheter sur site place de la Bourse des pass à 17 €. Ceux-ci permettent de déguster 3 verrines salées et deux sucrées, un verre de vin, un verre de sirop bio, de participer à un atelier de l’école du vin, etc…
Il y a trois spots de dégustation comme ce soir place de la Bourse avec la dégustation gratuite d’huîtres des producteurs du Bassin d’Arcachon et du Cap Ferret, autour d’un dome de lumière. Mais aussi devant le Grand Hôtel de Bordeaux avec son chef cuisinier, Stéphane Carrade, qui a fait venir les producteurs avec lesquels il travaille. Il va par ailleurs réaliser à 6 mains avec deux autres célèbres grands noms de la gastronomie les menus de son restaurant ce vendredi et ce samedi soir.
Et pour ceux qui ont envie de se remonter le moral, un petit chocolat ou une bouchée de ganache…Ces gourmandises sucrées sont à déguster et en vente Cour Mably. Parmi les grands noms de la pâtisserie de Bordeaux, il y a Luc Dorin, ambassadeur des fameux cannelés de Bordeaux venu les faire déguster avec sa confrérie. Finalement Bordeaux So Good, ça a un air de fête avant les fêtes !
Regardez le reportage de Jean-Pierre Stahl et Christèle Arfel
A 12h ce vendredi, Bordeaux SO Good démarre pour 3 jours de festivités autour de la gastronomie du Sud Ouest. Trois spots de dégustation des produits du terroir tant culinaires que viticoles seront proposés à la dégustation Place de La Bourse, Cour Mably et au Grand Hôtel de Bordeaux, place de la Comédie. Pensez à vous munir toutefois du Pass Bordeaux SO Good…
Les animationset temps forts
Les animations permanentes : vendredi 28 novembre de 12h à 20h ; samedi 29 et dimanche 30 de 10h à 19h
Lescommerçantsetrestaurateurspartenaires de Bordeaux S.O Good vous ouvrent leurs portes et vous font découvrir leurs spécialités gourmandes, les arts de la table et bénéficier de réductions ou surprises au sein de leur établissement (plus d’infos dans le Pass Bordeaux S.O Good)
10h – 11h30 : Cours de cuisine au Grand Hôtel de Bordeaux & Spa A partir d’un panier de produits de saison, je crée une recette aux saveurs locales avec Stéphane Carrade, Eric Guérin et Lionel Lévy.
La Commanderie du Bontemps vient de l’annoncer. La prochaine Fête de la Fleur se tiendra dans le magnifique « chai-cathédrale » du château Montrose qui a nécessité 7 ans de travaux en Saint-Estèphe. Mille invités attendus pour 200 ans d’histoire.
Quelques dates: en 1815, Étienne Théodore Dumoulin plante le vignoble de Château Montrose. En 2006, Martin et Olivier Bouygues rachètent la propriété.
Après avoir effectué une rénovation complète du domaine, travaux qui ont duré 7 ans et qui ont vu la création de ce superbe chai-cathédrale, les propriétaires de Château Montrose, ont choisi d’accueillir la Fête de la Fleur en 2015.
C’est dans leur propriété entièrement rénovée, et notamment dans l’écrin XVIIIe des chais d’élevage du grand vin, qu’ils recevront, le 18 juin prochain, plus d’un millier d’invités à la prestigieuse et très traditionnelle réception qui clôturera Vinexpo Bordeaux.
La Fête de la Fleur existe depuis 1949, créée par la Commanderie du Bontemps (aujourd’hui présidée par son Grand Maître Emmanuel Cruse), elle célèbre la floraison de la vigne.
Cette fête aura une tonalité particulière puisqu’elle coïncidera également avec la commémoration des 200 ans d’histoire du célèbre vignoble de Château Montrose en AOC Saint-Estèphe. Mélissa Bouygues, la présidente de Château Montrose, et Hervé Berland, le gérant du domaine, feront découvrir ce fabuleux domaine restauré avec goût aux invités de marque, vedettes de cinéma, professionnels du monde du vin de Bordeaux et de la planète entière ainsi qu’aux très grands amateurs pour une soirée unique au monde.
Samedi 29 novembre, ce sera le lancement de la saison 2014/2015 de concours de taille de la vigne avec l’ASAVPA Gironde, association de salariés agricoles soutenue par la Chambre d’Agriculture et le Conseil Général de la Gironde. Rendez-vous au château Luchey-Halde en AOC Pessac-Léognan.
Des délégations de plusieurs associations de salariés agricoles de toute la France (Rhône, Loire Atlantique, Aude, Manche, Tarn, Nièvre…) sont attendues au Château Luchey-Halde à Mérignac. Ce château fait partie du plus vieux terroir bordelais, ainsi les premières traces de vignoble sur le domaine remontent à l’époque romaine. Sous la poussée de l’urbanisation, Luchey-Halde est racheté en 1919 par l’armée qui arrache les vignes pour transformer le domaine en terrain d’activités sportives et d’entraînement. En 1999, l’ENITA (Ecole Nationale Supérieure des Sciences Agronomiques de Bordeaux-Aquitaine) rachète le domaine, replante des vignes et reconstitue le domaine viticole Luchey-Halde que l’on connaît aujourd’hui.
Pour cette « 2ème Rencontre des tailleurs de France en bordelais » le programme sera à la fois technique et festif : épreuves techniques et théoriques, animations, visite du château, dégustation, repas gastronomique et bien sûr remise des prix où le premier se verra offrir le Sécateur d’Or offert par la société SNA Europe Bahco.
Pour les concurrents Girondins, et en particulier les médocains, cette « Rencontre des tailleurs de France en bordelais » servira d’entraînement pour le Challenge inter châteaux des tailleurs de vigne médocains dont les 2 manches sont programmées les 17 janvier et 14 février 2014.
Au-delà de la compétition, l’idée de cette « Rencontre des tailleurs de France en bordelais », et de ces concours de taille de vigne en général, est de valoriser les savoir-faire des vignerons, l’enseignement agricole et les échanges entre salariés agricoles en passant un moment agréable entre professionnels.
Renseignements auprès de l’ASAVPA Gironde au 05.56.81.27.67.