21 Juil

A Chenôve en Côte d’Or, le feu a repris de plus belle, obligeant les habitants à être évacués

 Les sapeurs pompiers, ainsi que la police, pensaient le feu maîtrisé en ce début de matinée à Chenôve en Côte d’Or. Mais l’incendie a repris sur le plateau de Chenôve, obligeant les forces de l’ordre et les pompiers à faire évacuer les riverains des habitations les plus exposées. On parle de nouveaux départs de feu et la piste criminelle n’est pas exclue.

Photo d'un habitant ©

Photo impressionnante de la reprise du feu par un habitant © Thomas Rouet

Alors que ce matin, il ne restait plus qu’une quinzaine de pompiers pour surveiller des fumerolles. Plus de 20 ha avaient été touchés par les flammes, avec un vent de nord-ouest en direction des vignes et en bordure de la Route des Grands Crus.

Mais là, ce sont d’autres départs de feu qui ont été enregistrés en milieu d’après midi vers 15h30, 16 h. Ceux-ci d’une intensité très violentes comme hier se rapprochaient dangereusement des habitations. Les riverains ont été évacués, certains parlent d’une quinzaine d’habitations. La salle des fête a été ouverte pour les accueillir.  Selon le Bien Public, la piste criminelle est « très sérieusement envisagée ». Le commandant des sapeurs pompiers précise qu’il faut éviter le tourisme dans la zone actuellement

Dans le journal de 19 heures sur France 3 Bourgogne, le commandant Olivier Roy (SDIS 21) a répondu aux questions de Théo Souman

 Ce soir le feu n’était pas encore maîtrisé,  à 20 heures, le nuage de fumée qui s’en dégageait était encore visible dans toute l’agglomération dijonnaise. Les pompiers sont toujours mobilisés pour une nouvelle nuit d’efforts et de surveillance. En deux jours, deux pompiers ont été blessés, l’un par les flammes hier, l’autre victime d’un coup de chaleur ce mardi.

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Les pompiers de Côte d’Or ont veillé toute la nuit sur les braises du plateau de Chenôve © Théo Souman de France  Bourgogne

Les pompiers ont réussi finalement à en venir à bout. Au petit matin du mercredi 22 juillet, avec aussi l’arrivée de la pluie, ceux-ci ont pu dresser le bilan : 100 hectares ont été détruits.

Voici une vidéo et les photos impressionnantes de la reprise de l’incendie ce mardi 21 juillet, prises par Thomas Rouet, un riverain du plateau de Chenôve. 

Avec mes confrères de France 3 Bourgogne et le Bien Public.

Bordeaux en « drone, synthèse et time lapse » laisse ses touristes bouche-bée…

L’Office du Tourisme & des Congrès de Bordeaux Métropole lance une série de vidéeos sur les sites et monumenst de la Capitale du vin à vous couper le souffle. Des vues aériennes saisies par un drone, des images de synthése et autres time lapses, toutes ces dernières techniques mixées promettent un coktail alléchant pour le touriste et même l’onotouriste.

La flèche Saint-Michel, une vue à vous couper le souffle © Office du Tourisme & Congrès de Bordeaux -

La flèche Saint-Michel, une vue à vous couper le souffle © Office du Tourisme & Congrès de Bordeaux – TourismTV

Pour les internautes qui surfent sur la toile en attendant de s’échouer sur le rocher bordelais… Voici la nouvelle collection de vidéos lancée pour faire la promotion de Bordeaux, comme si elle en avait encore besoin !  9 sites et monuments du périmètre Unesco sont mis en valeur et filmés sous toutes les coutures.

Les stars de la ville sont bien sûr le Palais Gallien, la Porte Cailhau, la flèche Saint-Michel, la Grosse Cloche, le Palais Rohan (mairie), le site paléochrétien de Saint-Seurin, la Tour Pey Berland et Bordeaux Patrimoine Mondial (centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine, place de la Bourse).

Des clips de 30 secondes, sans texte mais tout en musique, pour parler au plus grand nombre, aux touristes de tous les pays. Des vidéos diffusées également dans tous les hôtels de l’agglomération bordelaise avec le concours de TourismTV à qui la réalisation de ces films a été confiée.

Ces sites sont par ailleurs accessibles gratuitement avec le Bordeaux Métropole Citypass, excepté le Grand Théâtre. Pour découvrir ces clips:  http://bit.ly/FilmsPatrimoine

 Et pour aller plus loin www.bordeaux-tourisme.com

Lancement des apéros vignerons en fanfare le 27 juillet à la Maison des Vignerons de Duras

C’est l’animation phare de l’été de la Maison des Vignerons de Duras, les Apéros Vignerons pour découvrir le labeur de toute une année. Un lancement en fanfare avec la célèbre Banda In Vino Veritas.

La Banda In Vino Veritas, la banda officielle des vins de Bergerac

La Banda © In Vino Veritas, la banda officielle des vins de Bergerac

Elle offre aux visiteurs la possibilité de découvrir les vins rouges, rosés, blancs sec et moelleux avec les vignerons de Duras en savourant un repas gastronomique élaboré par le chef David Foulou. C’est l’occasion également de visiter en soirée, en accès libre, l’exposition les clés du vignoble et de parcourir le jardin des vignes.

Deux soirées sont prévues au cours de l’été à la Maison des Vignerons de Duras

Le premier apéro vigneron du 27 juillet à 19 h sera animé par la Banda In Vino Veritas, banda officielle des vins de Bergerac et Duras qui propose un répertoire modernisé, éclectique et festif!

www.invinoveritasbanda.fr

Le Deuxième apéro vigneron aura lieu le 17 août à 19 h

La soirée sera animée par le NEW BUMPER Jazz band. Cet orchestre tient à perpétuer les origines du jazz (New Orleans) tout en y apportant ses propres compositions.

www.leblog-jazz-maniac.com

La culte 140, une barrique d’exception pour célébrer un savoir-faire qui remonte au XIXème siècle

A l’occasion de son 140 ème anniversaire, la Tonnellerie Baron présente une barrique d’exception en édition limitée : la Culte 140. 140 car le Tonnellerie Baron a été fondée en 1875. 140 car seulement 140 pièces ont été éditées au printemps.

La Culte 140 de la © Tonnellerie Baron

La Culte 140 de la © Tonnellerie Baron

C’est une édition limitée: la Culte 140 marque un savoir-faire très ancien qui remonte au XIXème siècle, depuis 5 générations. Une barrique qui pour l’occasion a été ornée d’une pièce commémorative en édition limitée.

Chaque pièce est issue de l’assemblage de chênes sélectionnés dans les forêts les plus prestigieuses et aux grains extrêmement fins. Une chauffe spécifique à cette série, rigoureuse et contrôlée, très longues et très douce est traditionnellement réalisée au feu de chêne.

Toutes les barriques « Culte 140 » sont des pièces d’exception minutieusement finies à la main dans l’esprit de la grande tradition de la tonnellerie Française. Le liage aux couleurs du drapeau Français signe cette édition spéciale. Une pièce mythique de 5 francs datant de l’origine de la tonnellerie, 1875, vient parer la barrique telle l’empreinte d’un artiste sur son oeuvre.

Seules 140 pièces ont été éditées. Un privilège suprême que seuls quelques connaisseurs ont et auront le plaisir d’associer à leurs meilleures cuvées.

20 Juil

Un violent incendie s’est déclaré à Chenôve en Côte d’Or, proche du vignoble bourguignon

80 sapeurs-pompiers et une vingtaine d’engins venus de toute la Côte-d’Or ont été déployés pour venir à bout du violent incendie de Chenôve, impressionnant pour les habitations environnantes. Un incendie proche des prestigieux vignobles bourguignons. 

L'incendie ne menaçait aucune habitation, mais les flammes etaient proches du vignoble et des maisons. © Thomas Rouet

L’incendie ne menaçait aucune habitation, mais les flammes etaient proches du vignoble et des maisons. © Thomas Rouet

L’incendie a débuté à 16h30 dans les bois, sur le plateau de Chenôve, à la frontière avec la commune de Marsannay. Des flammes de plus de 10 mètres étaient alors visibles de très loin, au plus fort de l’incendie. Une cinquantaine de pompiers venus de Dijon, Gevrey, Sombernon, Nuits-Saint-Georges, étaient aussitôt mobilisés pour attaquer les flammes, soutenus par une quinzaine de véhicules.

L’incendie spectaculaire sur le plateau de Chenôve, au sud de Dijon © Eric Betsch

CaptureA 18 heures, aucune évacuation n’était envisagée, le vent d’ouest étant plutôt favorable. A 18h30, l’incendie était en passe d’être maîtrisé par les pompiers. Le feu s’étendait sur 2,5 kilomètres carrés, mais il n’y avait pas de risque humain. La raison de cet incendie demeurait à cette heure inconnue. Au total, au moins une vingtaine d’hectares de pinède ont brûlé.

A 20 heures, l’incendie était considéré comme circonscrit.  80 sapeurs-pompiers et une vingtaine d’engins venus de toute la Côte-d’Or continuaient d’opérer sur place.  La surveillance de l’incendie et le noyage devraient se poursuivre tard dans la nuit.

Avec France 3 Bourgogne.

Les images de Damien Rabeisen (images aériennes : Agence B-Wonder) :

Pierre Arditi : « la Cité des Civilisations du Vin, un objet magnifique, comme un jouet… pour tordre le cou au mauvais procès qu’on fait au vin »

Pour la 1ère fois, le comédien Pierre Arditi a visité la Cité des Civilisations du Vin, dont il a accepté d’être l’ambassadeur. Le grand sage a trouvé l’endroit, où va se faire l’initiation à la culture du vin, très instructif. Et d’enfoncer le clou: « au lieu de faire de mauvais procès, il ne faut pas boire avec modération mais avec raison », ose-t-il au coeur de ce vaisseau amiral de la culture et des civilisations du vin.

Sylvie Cazes, Pierre Arditi et Philippe Massol © Jean-Pierre Stahl

Sylvie Cazes, Pierre Arditi et Philippe Massol à l’intérieur du parcours permanent au 2e étage de la Cité du Vin © Jean-Pierre Stahl

« Je la découvre de l’intérieur, j’étais passé 25 fois devant, mais je n’avais pas eu le temps de venir, » confie le comédien du « Sang de la Vigne » sur France 3 en descendant les marches de la Cité du Vin.

Pierre Arditi a pu visualiser sur cette tablette la physionnomie définitive de la Cité © JPS

Pierre Arditi a pu visualiser sur cette tablette la physionomie définitive de la Cité © JPS

C’est Philippe Massol, le directeur général, qui lui sert de guide, accompagnée de Sylvie Cazes, la présidente de la Fondation. Pierre Arditi, toujours drôle, au moment de passer la célèbre coiffe jaune du groupe Vinci pour visiter le chantier: « le casque, ça peut me compromettre ce qu’il me reste de carrière…et il faut mettre les bottes, bon je ne vais pas me distinguer, allons-y » Finalement, il ira en chaussures en daim…

La Cité des Civilisations du Vin © une conception XTU Architects

La Cité des Civilisations du Vin © une conception XTU Architects

Un premier passage devant la future boutique circulaire des vins du monde en rez-de-chaussée, « les vignobles, oui bien sûr, j’aime bien en découvrir. J’en connais quand même beaucoup. Mais si j’ai l’occasion (en tournage à l’étranger), je ne demande pas mieux que d’en découvrir de nouveaux. »

Pierre Arditi, l'homme de théâtre, épaté par l'auditorium Thomas Jefferson © JPS

Pierre Arditi, l’homme de théâtre, épaté par l’auditorium Thomas Jefferson © JPS

Justement, Philippe Massol lui explique que le public pourra découvrir, l’an prochain, dans ces salles d’expositions temporaires au 1er étage, 3 expositions dont une consacrée à la Géorgie. « La Géorgie, ça sera le 1er vignoble qui aura carte blanche », et Sylvie Cazes qui abonde dans le même sens: « c’est le 1er vignoble où la vigne est apparue. »

En outre, la Cité a vocation a aussi éduquer les plus jeunes générations avec « l’école du goût et des arômes » à destination des scolaires ou des familles qui pourront y venir. Et Pierre Arditi, à ce moment là de la visite, de rappeler cette phrase qui lui vient à l’esprit et qui a inspiré aussi ces civilisations du monde du vin: « il ne faut pas boire avec modération mais boire avec raison » et d’appuyer avec son index sur son crâne.

Que de marches, que de marches... on sent que Philippe Massol et Sylvie Cazes ont les mollets déjà bien rompus à l'exercice © JPS

Que de marches, que de marches… on sent que Philippe Massol et Sylvie Cazes ont les mollets déjà bien rompus à l’exercice © JPS

Ici on pourra voir des amphores,  » ah les amphores, ça revient, j’ai goûté ça du côté de Bandol ». Un petit détour par l’amphithéâtre Thomas Jefferson qui a été entièrement financé par les mécènes américains où l’acteur est estomaqué.Petite gymnastique pour grimper les marches qui vont le mener au 2ème étage…

Au coeur du parcours permanent, difficile de fixer la ligne bleue des Vosges à Bordeaux © JPS

Au coeur du parcours permanent, difficile de fixer la ligne bleue des Vosges à Bordeaux © JPS

« Ici, c’est le parcours permanent appelé aussi la grande nef, un espace de 3500 m2 », continue Philippe Massol. Et Pierre Arditi de prendre la pose en consultant la tablette numérique de Philippe Massol: « on regarde traditionnellement la ligne bleue des Vosges, mais en l’occurence c’est la ligne bleue bordelaise… » 

Une dernière petite photo au 4e étage de la tour avec le Pont Chaban en toile de fond © JPS

Une dernière petite photo au 4e étage de la tour avec le Pont Chaban en toile de fond © JPS

Un peu plus loin, il y a aussi cette fameuse table qui viendra se nicher dans une pièce ovale: c’est ici « le banquet des hommes illustres« , précise Philippe Massol. Un Pierre Arditi y prendra place aux côtés de Napoléon, de Winston Churchill ou encore de la Callas et tous auront une sérieuse discussion autour du vin. Pierre Arditi doit justement prêter sa voie et son concours à l’enregistrement d’un texte qui retracera le vin à travers des anecdotes historiques.

Arditi à la Cité des Civilisations 094

A l’extérieur au terme d’une bonne heure de visite, Pierre Arditi va résumer ses impressions sur cette Cité du Vin ainsi: « C’est un objet magnifique, c’est aussi comme un jouet, moi je suis comme un enfant devant. Ca va avoir la fonction première de tordre le cou au mauvais procès qu’on fait au vin. C’est un endroit où va pouvoir s’exercer, se faire l’initiation. L’initiation faisant naître la raison et la raison étant la culture du père…c’est l’éducation d’une certaine manière…Au lieu de faire de mauvais procès où constamment on dit il faut boire avec modération, il faut boire avec raison. Car la raison permet de toucher du doigt ce qu’on est et qui on est ! »

Arditi à la Cité des Civilisations 095

Que c’est magnifiquement dit. Une très jolie tirade, à laquelle les visiteurs de la Cité des Civilisations du Vin ou Cité du Vin ne manqueront pas de goûter et de cogiter au printemps 2016.

(La Cité des Civilisations du Vin est un concept de XTU Architects et une réalisation du groupe Vinci)

Retour sur le Saint-Emilion Jazz Festival avec Franck Binard: « on a eu des festivaliers heureux, avec la banane ! »

Pas moins de 12000 festivaliers se sont succédés dans le Parc Guadet durant les 3 jours du Saint-Emilion Jazz Festival. Une ambiance de folie dans la Cité Millénaire et dans les lieux de concerts et de dégustation. Franck Binard est l’invité de Parole d’Expert.

Le concert de clôture dimanche soir avec Nina Attal © Franck Binard

Le concert de clôture dimanche soir avec Nina Attal © Franck Binard

« Tous les soirs, on a fini à 3 heures et il fallait être sur le pont tous les matins à 7 heures ! », on sent le commissaire général Franck Binard sur les rotules mais heureux de cette 4e édition du Saint-Emilion Jazz Festival. Et d’ajouter: « quand c’est pour ce niveau de satisfaction, on le refera et on le refera encore avec plaisir. » « Hier soir, on avait Nina Attal, c’est une boule d’énérgie, elle a mis le feu ! »

Des morceaux improvisés tout au long du week-end, et pas seulement © Jean-Pierre Stahl

Des morceaux improvisés tout au long du week-end, et pas seulement © Jean-Pierre Stahl

Entre vendredi, samedi et dimanche, ce sont 12000 personnes , 12000 festivaliers qui ont profité des concerts gratuits et payants du Parc Guadet…

« C’est un bilan super positif, à tout point de vue. L’année dernière, malgré les intempéries et l’annulation, on avait retenu un point positif, c’est que le festival s’est ancré dans l’esprit du public. Et on a eu des festivaliers heureux avec la banane et le sourire ! Il y avait de l’ambiance au bar à vin l’Ephémère avec les viticulteurs et la programmation musicale était top. »

Ben l'Oncle Soul lors de son chant a capella dans l'Eglise Monolithe de Saint-Emilion samedi à 1h du matin © Franck Binard

Ben l’Oncle Soul lors de son chant a capella dans l’Eglise Monolithe de Saint-Emilion samedi à 1h du matin © Franck Binard

Et il y a eu ces moments délicieux et inattendus: « Avec Ben l’Oncle Soul, le vendredi matin à Cheval Blanc, on avait évoqué l’histoire de Saint-Emilion. Il n’était pas au courant. Et donc on l’a emmené visiter l’Eglise Monolithe à 1h du matin (après son concert au Parc Guadet) et il nous a fait un chant a capella, ça montre l’intérêt. » De même, China Moses est restée hier toute la journée, au lendemain de son concert donné à château Pavie. « Avec China Moses et d’autres artistes, ils nous ont fait des reprises de Stevie Wonder et aussi un « summer times » a capella dans l’Eglise Monolithe à 1 h du matin aussi »

Stéphane Belmondo, China Moses et Eric lenine, les artistes intronisés par la Jurade de Saint-Emilion durant le festival © Franck'i

Stéphane Belmondo, China Moses et Eric Legnini, les artistes intronisés par la Jurade de Saint-Emilion durant le festival © Franck’i D Photographie

« On a aussi souhaité que le festival puisse irriguer autour de Saint-Emilion. On a mis en place pour la 1ère fois un after club au château La Fleur Picon…Là aussi pour ces concerts gratuits, il y avait un flot permanent d’une centaine de personnes jusqu’à 3h du matin pour le boeuf ! »

Dominique Renard et Franck Binard © JPS

Dominique Renard et Franck Binard © JPS

« Si l’édition culturelle était positive, l’offre gastronomique du Parc Guadet était à la hauteur avec une diversité de produits et de couleurs, allant des atcos aux burgers…Merci aussi à l’équipe de 80 bénévoles qui s’est défoncé, ainsi qu’à Dominique et Emilie Renard. »

Et puisque ce 4e Saint-Emilion Jazz a été une grande édition, Franck Binard son commissaire général promet: « l’année prochaine, ça sera encore plus grand ! »

La 1ère édition de Fest’ à Buzet : le joli succès, en plein juillet, des Vignerons de Buzet

La première édition de Fest’à Buzet a connu un joli succès populaire, ce 13 juillet, avec 2500 personnes rassemblées à la Cave Coopérative des Vignerons de Buzet. A quand la prochaine ? En 2016, bien sûr !

Une belle ambiance festive à la © Cave Coopérative des Vignerons de Buzet, ce 13 juillet

Une belle ambiance festive à la © Cave Coopérative des Vignerons de Buzet, ce 13 juillet

C’était la grosse teuf à Buzet, ce 13 juillet, sur le site de la cave coopérative des Vignerons de Buzet.

Co-organisée en partenariat avec la communauté de communes du Val d’Albret, cette première Fest’ à Buzet a réuni quelque 2500 personnes, qui ont pu profité des diverses animations proposées.

Une fête sous le signe du partage et de l’engagement en matière de développement durable. L’occasion également de visiter le site, les ateliers axés sur la découverte de la nature, de découvrir les ateliers d’initiation à la dégustation, et de s’attarder à la cave coopérative…

L’affluence était au rendez-vous le soir également, pour se restaurer auprès des producteurs et danser sur la musique du groupe Sangria Gratuite.

Rendez-vous en 2016 pour Fest’à Buzet deuxième !

Vincent Leyre, Serge Lhérisson et David Bidegaray des Vignerons de Buzet © Jean-Pierre Stahl

Vincent Leyre, Serge Lhérisson et David Bidegaray des Vignerons de Buzet © Jean-Pierre Stahl

Et pour aller plus loin, lire l’article de mars dernier, focus sur l’appellation: « C’est à Buzet ! Ils s’engagent autrement…Les Vignerons de Buzet concilient depuis 10 ans viticulture et environnement »

19 Juil

La bulle spécule sur une hausse de la consommation

En 2014, les ventes de vins effervescents en grande distribution (hors hard discount) ont représenté 167,4 millions de cols et généré 1,37 milliard d’euros de chiffre d’affaires, soit + 0,8 % en volume et + 2,3 % en valeur par rapport à 2013 et – 0,5 % en volume et + 4 % en valeur par rapport à la moyenne quinquennale, selon France AgriMer.

Plus les bulles sont fines, meilleur est le champagne © JPS

Plus les bulles sont fines, meilleur est le champagne © JPS

Ca bouillonne, ça pétille, ça frétille…sur le marché des bulles ! Il se livre actuellement une guerre sans merci entre les différents acteurs du champagne et des vins effrevescents très intéressante à observer.

Ainsi, le roi des breuvages, le champagne a vu ses ventes baisser légèrement de 0,5% (45,6 millions de cols) par rapport à 2013, confirmant une baisse de la consommation observée depuis le début de la crise en 2009 et qui atteint -5,4% sur cinq ans (2009-2013).

Des italiennes comme Augusta Pavan et Manuela Oregna très percutantes sur le stand italien de  © JPS

Les italiennes de la Maison Lagioiosa ventant le Prosecco lors de Vinexpo 2015 © JPS

En revanche, les crémants, surtout d’Alsace ou des Pays de Loire tirent leur épingle du jeu et augmentent. Mais le plus affolant, c’est la hausse des pétillants étrangers, avec le Proseco italien, dont Côté Châteaux vous parlait lors de Vinexpo et du Cava espagnol: + 14,9 % vs 2013 et + 31,7 % vs 2009/13 pour ces effervescents étrangers.

Le consommateur admet de plus en plus qu’un bon crémant vaut mieux qu’un mauvais champagne », Caroline Blot, chefs de l’Unité cultures et filières spécialisées France Agrimer.

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Le prix moyen de vente de ces vins (8,16 €/col) augmente de 1,5 % vs 2013 et de 4,5 % vs 2009/13 ; toutefois, il reste à relativiser compte tenu des disparités entre les différentes catégories.

C’est le Champagne qui détient le prix moyen de vente le plus élevé (19,50 €/col), en hausse de 2 % par rapport à 2013 et de 5,7 % vs 2009/13. Viennent ensuite les AOP (5,70 €/col soit + 2,9 % vs 2013 et + 7 % vs 2009/13), les effervescents étrangers (4,67 €/col soit + 3,2 % vs 2013 et + 13,4 % vs 2009/13), puis les cuves closes (2,67 €/col soit + 0,9 % vs 2013 et + 10,5 % vs 2009/13).

En termes d’exposition dans les linéaires correspondants de la grande distribution, le Champagne occupe 44 % de l’espace, les AOP 22 %, les cuves closes 17 %, les effervescents étrangers 6 %, et les pétillants & aromatisés 5 %.

Les crémants de Bordeaux lors de Vinexpo 2015 © jps

Les crémants de Bordeaux lors de Vinexpo 2015 © jps

Parmi les effervescents français qui ont le vent en poupe, ce sont dans l’ordre: le Crémant d’Alsace, la Clairette de Die, le Saumur, le Crémant de Bourgogne,le Vouvray, le Crémant de Loire, la Blanquette de Limoux, la Touraine, le Montlouis, le Crémant de Bordeaux, le crémant du Jura, …

Concernant, les vins effervescents étrangers:  avec 9,5 millions de cols commercialisés en grande distribution pour 44,2 millions d’euros de chiffre d’affaires, les vins effervescents étrangers poursuivent leur croissance, avec des ventes en augmentation de 14,9 % en volume et de 18,5 % en valeur par rapport à 2013, et de 31,7 % en volume et de 48,5 % en valeur par rapport à la moyenne quinquennale.

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Si le poids de ces vins dans les ventes totales d’effervescents a presque doublé en 5 ans (3,3 % en 2009 contre 5,70 % en 2014), la part de l’Asti et du Lambrusco s’est, dans le même temps, étiolée au profit du Cava (45 % de PDM volume et 51 % de PDM valeur) et du Prosecco (9 % de PDM volume contre 1 % en 2011 et 13 % de PDM valeur), cette dernière appellation bénéficiant désormais d’une demande supérieure à l’Asti malgré un prix plus élevé.

La guerre des bulles ne fait que commencer ! Et gare au Proseco, car lui (avec ses ventes dopées), c’est un sacré coco !

Avec France AgriMer

18 Juil

Rock and Wine , c’est concert gratuit ce samedi soir en Côtes de Bourg

Les Côtes de Bourg, the Spicy Side des vins de Bordeaux, proposent ce soir à Tauriac à partir de 18h30 un concert  Rock and Wine, histoire de faire bouger la Haute-Gironde.

Rock-and-Wine-en-Côtes-de-Bourg

 

L’association Permis de Jouer de Tauriac, en partenariat avec les Jeunes Agriculteurs des Côtes de bourg vous donne rendez-vous ce samedi 18 Juillet  à Tauriac dès 18h30 pour voir en concert les jeunes talents du moment !

Quelques noms sont à l’affiche : our name is nobody, Jessica BACHKE, Paradoxycall, Bearded Bastard et bien d’autres…Vous pourrez également admirer une exposition d’artistes locaux.

Restauration proposée sur place, le tout accompagné de Côtes de Bourg présenté par les Jeunes agriculteurs de l’appellation.

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