Demain, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, La Cité du Vin propose « elles font bouger le vin » : une journée où la place des femmes dans le monde du vin va être décortiquée. Au programme : une soirée avec projection d’un documentaire, rencontre avec 4 invitées exceptionnelles et soirée networking pour célébrer celles qui, hier étaient dans l’ombre, et aujourd’hui sont dans tous les métiers du vin.
ELLES OCCUPENT DES METIERS AUTREFOIS SURTOUT MASCULINS
Elles sont vigneronnes, œnologues, viticultrices, sommelières… Elles sont bien sûr des femmes et de plus en plus nombreuses dans le monde du vin. « Nous avons choisi de profiter de cette date symbolique, pour proposer une soirée mettant à l’honneur celles qui ont su se faire une place dans un univers très masculin, voire parfois macho, » selon Solène Jaboulet, directrice marketing et communication de La Cité du Vin.
UNE SOIREE EVENEMENT
A 17h : un documentaire « Les héritières », écrit et réalisé par Vincent Herissé, sera projeté dans l’auditorium et dressera le portrait de 6 femmes bourguignonnes qui ont su s’imposer sur le devant de la scène viticole.
A 18h : quatre invitées aux parcours exceptionnels : Caroline Meesemaecker, directrice de Wine Services, Jocelyne Perard, fondatrice de la Chaire Unesco « Culture et traditions du vin », Virginie Routis, caviste sommelière de la Présidence de la République et Vitalie Taitttinger, directrice du marketing et de la communication de la maison de champagne Taittinger) échangeront sur leur expérience dans des domaines variés, de la
recherche jusqu’au marketing et à la communication, en passant par la valorisation des vins sur les
tables les plus prestigieuses.
Une soirée networking au belvédère, avec un cocktail signé par l’équipe du Seasons Food Truck, en partenariat avec « Le Journal des Femmes » et avec le soutien de la Maison de Champagne Taittinger.
En 1999, Saint-Emilion était le 1er vignoble inscrit au Patrimoine Mondial de l’Humanité au titre de ses paysages culturels. Cette année, on va fêter les 20 ans de cette belle aventure durant 3 jours les 28, 29 et 30 juin. Mais avant, un peu d’inspiration à travers ce magnifique court-métrage de deux minutes vantant les valeurs universelles et exceptionnelles de cette inscription.
« Il y a des endroits dans le monde qui laissent des souvenirs inoubliables. Saint-Emilion et sa Juridiction font partie de ceux-là. Depuis plus d’un millénaire, l’Homme a façonné les paysages et a su transmettre le savoir-faire qui a fait le renom international du vin qui porte le nom de la cité. Lorsque le 5 décembre 1999, la Juridiction de Saint-Emilion intègre la prestigieuse liste de l’Unesco, ce sont ses paysages culturels qui sont ainsi consacrés, témoins vivants de cette Histoire préservée ».
UNE ODE A SES PAYSAGES CULTURELS
Trois valeurs sont au cœur de l’inscription : la valorisation, la sauvegarde et la transmission du bien inscrit. Ce court-métrage est un véritable hymne à la Juridiction de Saint-Emilion, une ode à ses paysages culturels.
UN VIGNOBLE FAMILIAL
Deux minutes d’émotion pour rendre hommage aux femmes et aux hommes qui préservent et transcendent ces paysages uniques, en assurant la transmission auprès des jeunes générations. Saint-Emilion est un vignoble familial avec des propriétés de 8 hectares en moyenne. Préserver cet environnement exceptionnel est au cœur des préoccupations des habitants et des vignerons. Deux minutes de bonheur pour célébrer ces paysages culturels : ceinture boisée, bâti, vignes et rivières.
3 JOURS DE CELEBRATIONS
Réalisé par Elizabeth Maphis (Orenda Creative Inc.), ce film marque également le lancement des festivités des 20 ans de l’inscription de la Juridiction de Saint-Emilion avec une année de projets et 3 jours de célébrations les 28, 29 et 30 juin 2019.
Au programme : Saint-Emilion Fête le Vin, de nombreux concerts gratuits, portes ouvertes des châteaux, marché des producteurs, cycle de conférences, espaces enfants, ateliers biodiversité, balades philosophiques et déambulations nocturnes, illuminations de monuments emblématiques, scènes de théâtre de rue, points de vue exceptionnels, banquet au bord de l’eau, reconstitution de la marque à feu du vinetier de la Jurade de Saint-Emilion, feu d’artifice etc.
Le salon des Vignerons Indépendants de Bordeaux est devenu une institution au fil des ans. Démarrant petit et rassemblant quelques milliers les premières années, il compte aujourd’hui plus de 300 exposants au Parc des Expositions de Bordeaux et près de 30000 visiteurs sur les dernières éditions.
Tout a démarré il y a tout juste 20 ans du côté du Parc des Expositions, avec d’irréductibles consommateurs gauloisqui ne buvaient à l’époque que du Bordeaux, voire pire :« une visiteuse bordelaise racontait, qu’elle ne buvait que des vins du Médoc, même pas de Saint-Emilion et pas plus d’’Entre-Deux-Mers ou de Pessac-Léognan… » Alors pensez donc, du Bourgogne ou des vins du Jura ? Pfff…
Nous partions de loin ! »,Daniel Mouty Président de la région Nouvelle Aquitaine et Président des salons des Vignerons Indépendants
Aujourd’hui, l’eau a coulé sous les ponts et le vin dans les artères des différents salons. Le public a ouvert son esprit et le salon des Vignerons Indépendants est devenu un salon de la découverte de la richesse des terroirs, de l’ensemble des régions viticoles de France: Alsace, Champagne, Loire, Jura, Bourgogne, Bordeaux, Languedoc-Roussillon, Provence, Vallée du Rhône et Corse.
LE SECRET DU SUCCES
Ce qui a plu durant toutes ces années, ce sont les échanges entre les consommateurs et les vignerons, des rencontres fort intéressantes, des égustations toutes aussi étonnates et un enrichissement de pouvoir faire le tour de toutes les régions viticoles de France en un même lieu.
DES VENTES DIRECTES SANS INTERMEDIAIRE
Les consommateurs au fil des années ont pu apprécier non seulement de rencontrer ces hommes et ces femmes, vignerons et vigneronnes, qui ont réalisé ces vins de terroirs, après avoir dégusté et questionné sur leurs méthodes de vinification, d’élevage, les cépages, assemblages, mais aussi entendre parfois les vignerons s’épancher sur la dureté de leur métier qui dépend de Dame Nature, des intempéries et de l’ensoleillement.
L’intérêt était aussi de pouvoir acheter en direct soit une bouteille, quelques-unes, un carton de 6, voire plusieurs. Au démarrage les prix étaient souvent fort attractifs, mais au fil des années, le consommateur a vu les prix augmenter, ce qui est certainement l’un des bémols sur ces dernières années, car le porte-monnaie des acheteurs n’est pas toujours extensible.
LE PROFIL DU VIGNERON INDEPENDANT
Le Vigneron Indépendant est reste avant tout un vigneron qui travaille sa vigne, vendange, vinifie,et met en bouteilles à la propriété. Il commercialise son vin en France et à l’exportation. Et participe bien sûr à plusieurs salons de vignerons indépendants. Il y a d’ailleurs une liste d’attente car les lieux ne sont pas forcément extensibles. Ainsi ce sont 313 que l’on va retrouver à Bordeaux.
DES INITIATIONS A LA DEGUSTATION
Tous les jours, des cours d’initiation gratuits à la dégustation seront assurés. Bien déguster ça s’apprend grâce aux 3 sens que sont la vue, l’odorat et le goût. Des travaux pratiques, tout en recrachant, durant tout le salon. Des cours ¾ heure avec un professionnel.
ET PUIS UNE TENDANCE AU BIO
Ces dernières années, on croise de plus en plus de prorpiétés et domaines certifés en vin biologique, une démarche avec un cahier des charges rigoureux et des vinifications qui interdit tout recours à des produits de synthèse et limite notamment les ajouts de sulfites dans les vins. D’autres sont engagés dans une démarche plus poussé, en biodynamie (cahier des charges Demeter ou Biodyvin), enfin d’autres vignerons se sont inscrits dans une démarche de Haute Valeur Environnementale, une certification publique qui émane du Grenelle de l’Environnement en 2008.
Le Salon des Vignerons Indépendants, c’est vendredi 8 mars, samedi 9 et dimanche 10 mars au Parc des Expositions de Bordeaux Lac.
A l’occasion de la journée internationale du droit des femmes prévue le 8 mars, Côté Châteaux a choisi de consacrer un numéro spécial sur les femmes du vin. Un focus sur ces maîtres de chais, oenologues, vigneronnes, propriétaires, sommelières, le tou t conjugué au féminin pour ce grand numéro de Côté Châteaux diffusé à partir du 4 mars sur NoA. Une tendance à une féminisation qui se ressent de plus en plus dans le monde viti-vinicole à Bordeaux.
La journée des femmes, comme son nom l’indique, ce n’est qu’une journée, le 8 mars. Mais pour Côté châteaux, c’est un peu restrictif et c’est désormais toute l’année dans le monde du vin.
A l’origine, il s’agissait d’une « Journée nationale de la femme » (National Woman’s Day), le 28 février 1909, célébrée aux Etats-Unis à l’appel du parti socialiste d’Amérique. Depuis elle s’appelle journée des femmes ou des droits des femmes, célébrée le 8 mars en France, l’occasion de dresser chaque année un bilan sur la situation des femmes dans la société et de revendiquer plus d’égalité en droits.
Côté Châteaux a tendance à dire qu’aujourd’hui les inégalités s’estompent progressivement, même s’il reste de nombreux progrès encore à faire. Mais des métiers qui jusqu’ici étaient dévolus aux hommes, se retrouvent aujourd’hui pas mal pris par des femmes comme maître de chai.
Sandrine Garbay en est l’exemple type. Diplômée de l’Institut d’Oenologie de Bordeaux, titulaire d’un doctorat en sciences biologiques et médicales, elle est rentrée à château Yquem en 1994 pour travailler en tant que responsable de la qualité. Pendant quelques années, elle a travaillé aux côtés de Guy Latrille, maitre de chai durant 45 ans à Yquem, puis l’a remplacé en 1998, un rêve qui est devenu pour elle une réalité. C’était alors à l’époque une petite révolution dans un monde essentiellement masculin, une première maître de chai à la tête d’un cru classé 1855, et pas n’importe lequel, celui qui est en haut de la liste : Yquem 1er cru supérieur.
Ce n’était pas courant qu’il y ait des femmes maîtres de chais dans des domaines aussi prestigieux comme Yquem. J’ai été une des premières femmes maîtres de chais dans un grand cru de Bordeaux. Cela a été un grand bonheur et aujourd’hui une grande fierté », Sandrine Garbay maître de chai à Yquem.
Depuis plus de 20 ans, elle participe à cette magie de révéler ces raisins botrytisés pour donner l’un des plus grands vins liquoreux au monde. Bien sûr, elle a à ses côtés une solide équipe : Antoine Depierre comme chef de culture, Francis Mayeur directeur technique et bien sûr Pierre Lurton, Pdg d’Yquem : « Sandrine Garbay est une amie de longue date, c’est l’ambassadrice idéale pour Yquem, elle apporte sa touche de féminité de précision et d’élégance. » C’est donc tout naturellement que Côté Châteaux a pensé à elle comme la révélation de ces 20 dernières années et a fait son portrait dans ce numéro 5.
Ce numéro de Côté Châteaux débute dans les Graves, avec la nouvelle génération de femmes qui émergent dans le monde du vin à Bordeaux. Nous sommes allés à la rencontre de Léa Rodrigues-Lalande, 28 ans, une tête bien faite et une tête bien pleine, qui fait rayonner le château de Castres. Elle travaille aux côtés de son père José depuis plusieurs années et s’occupe de la gestion, du marketing et de la représentation tant en France qu’à l’étranger des 4 propriétés de la famille dans les Graves et en Pessac-Léognan.
Quand à savoir si aujourd’hui elle ressent encore une « ségrégation » vis-à-vis des femmes : « non, il n’y a plus de misogynie, les femmes sont très bien intégrées. A la rigueur, un femme jeune a peut-être un peu moins de crédibilité qu’une femme qui a un peu plus d’expérience, mais en tout cas nous sommes désormais bienvenues dans ce domaine-là. » Léa-Rodrigues Lalande s’apprête a participer à la grande semaine des primeurs :« on a recevoir la planète entière et cela va déterminer l’impact que va avoir le millésime 2018, et pour nous, c’est un superbe millésime. »
Sébastien Delalot et Jean-Pierre Stahl au château de Lusseau avec Bérangère Quellien et Gwenaëlle Le Guillou
Des femmes qui suivent également les grandes tendances du moment et qui pour certaines ont été aussi précurseurs dans le choix de passer en bio : Bérangère Quellien au château Lusseau nous raconte, non sans humour, les idées qu’elle a mis en place sur sa propriété familiale depuis 1870 à Ayguemorte-les-Graves. « La bérue déglingué, c’est mon surnom, j’en ai fait aussi une cuvée pour casser tous ces codes souvent un peu lourd dans le bordelais. »
Passer en bio, j’y pensais quasiment dès mon installation en 2001 afin de respecter le terroir et le côté plus paysan de notre travail de vigneron », Bérangère Quellien du château Lusseau.
Guenaëlle Le Guillou, directrice du Syndicat des vignerons Bio de Nouvelle-Aquitaine confirme cette tendance :« aujourdhui on compte 952 propriétés, sur 13000 hectares, en bio sur la région, ce qui eut dire qu’on a une offre très large, dans toutes les appellations et dans tous les types de vins. En 2017 on a enregistré une centaine de propriétés supplémentaires qui ont franchi le pas de l’agriculture biologique. Est-ce que les femmes sont plus sensibilisées ? Peut-être , on sent que les femmes sont aussi à l’écoute du consommateur qui recherche des vins plus respectueux de l’environnement. »
Autre exemple de réussite dans le bordelais, Sylvie Cazes, co-propriétaire de Lynch-Bages, et ancienne présidente de l’Union des Grands Crus de Bordeaux. Elle a acquis en 2014 château Chauvin et c’est là sur ce domaine que je commence son portrait : « avec mes enfants en 2014, nous avons acquis cette très jolie propriété de Chauvin, en particulier avec Julie Régimbeau qui s’occupe de la propriété avec moi. Chauvin est situé à côté de Pomerol et en face du ravissant village de Saint-Emilion. Nous sommes médocains à l’origine, mais nous avons été séduits par ces paysages magnifiques et ce très beau terroir de Chauvin. »
Et de présenter son cuvier et son chai à barriques : « nous produisions 50000 bouteilles de grand vin et 20000 bouteilles de 2e vin Folie de Chauvin qui tire son nom d’une maison qui se situait sur la propriété au XIXe siècle… » Deux femmes de caractère qui s’entendent très très bien et pour cause : « globalement, ça se passe assez naturellement entre nous, on travaille ensemble depuis 3 ans maintenant » confie Julie sa fille. « Le caractère le plus impressionant chez elle, c’est cette faculté d’aller au bout des choses, c’est cela aussi qui m’a été transmis. »
Sylvie Cazes a ce recul et cette expérience reconnue pour parler de l’histoire des femmes dans le monde du vin : « en fait, il y a toujours eu des femmes dans la vigne, premièrement pendant les guerres quand les hommes n’étaient pas là, et puis aussi au fil des successions, quand il n’y avait pas de garçon ou quand les garçons voulaient changer de métier. En troisième lieu, il était assez courant de voir des femmes dans des postes de commerciaux ou dans le marketing, que dans des postes echniques, mais aujourd’hui il y a plus de filles à la faculté d’oenologie que de garçons, et de plus en plus de femmes qui dirigent des propriétés et en particulier à Bordeaux. »
La suite du reportage va se poursuivre au Chapon Fin, le plus vieil et plus bel établissement historique de Bordeaux avec son décor de rocaille où tous les plus grands chefs d’Etat, rois, artistes se sont pressés. Car Sylvie Cazes est aujourd’hui propriétaire avec sa famille de ce bel établissement avec Nicolas N’Guyen Van Hai en cuisine et en cette mi-février elle fait découvrir ses vins et son actualité aux journalistes spécialisés dans le vin et la gastronomie à Bordeaux. Une femme de tête qui est aussi la présidente de la Fondation pour la Culture et les Civilisations du Vin, ce qui va tout naturellement nous emmener à la Cité du Vin pour terminer ce n°5 de Côté Châteaux.
Nous partagerons ainsi un instant magique avec Shiyu et Caroline Boutry, les deux cavistes-sommelières de Latitude 20, elle nous présenterons également leur fabuleux parcours et la cave toute en rondeur, aux 800 références dont 500 du monde et avec 12 000 à 14 000 bouteilles dans un meuble unique.
L’émission se terminera en apothéose au 8e étage de la Cité du Vin au belvédère avec Marina Léon, médiatrice oeno-culturelle et une délégation féminine de salariées de la Cité du Vin qui compte un personnel féminin à 70%. Vivent les femmes du vin !
A voir dès le 4 mars à 20h15 sur la chaîne NoA, Côté Châteaux Spécial Femmes du Vin réalisé par Jean-Pierre Stahl et Sébastien Delalot.
LES DIFFUSIONS SUR NOA : (Chaînes 337 sur Orange, 455 SFR, 326 Free et 339 Bouygues)
le 4 mars à 20h15 et 22H30
le 6 mars à 11h10 et 23h15
le 8 mars à 8h45, 20h15 et 23h15
Regardez Côté Châteaux N°5 Spécial Femmes du Vin réalisé par Jean-Pierre Stahl et Sébastien Delalot:
Ca manquait dans le paysage, une émission 100% terroirs. Côté Châteaux commence à trouver son créneau. Ce magazine mensuel part à la rencontre des petits vignerons et grands magiciens du vin. Ca se boit comme du petit lait…l’émission bien sûr.
A peine Côté Châteaux a-t-elle été lancée début décembre avec les Côtes de Bourg, que déjà l’émission suivante sur Monbazillac était programmée pour les fêtes de fin d’année, celle sur Cognac continuait pour la publication des très bons chiffres de vente du Cognac début janvier et Castillon en Côtes de Bordeaux enchaînait le 11 février juste après l’opération découverte « j’irai déguster chez vous ! » des Castillon à Rennes.
Si vous n’avez pas encore trouvé la chaîne, c’est pourtant facile, il suffit de mémoriser : cela passe sur NoA, la nouvelle chaîne 100% terroirs de Nouvelle-Aquitaine, diffusée sur les box Orange 337, SFR 455, Free 326 et Bouygues 339. Sinon en direct sur internet quand vous connaissez l’heure de diffusion, en vous renseignant sur le blog éponyme Côté Châteaux.
Monbazillac et Castillon semblent avoir conquis les surfeurs du net, avec des centaines et centaines de likes, Cognac également mais en dessous et Bourg était un joli galop d’essai. Vous pouvez retrouver les émissions sur YouTube et aussi désormais sur les pages Facebook de France 3 Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes. Castillon vient de dépasser les 10000 vues en deux jours, c’est un bon début, et l’article sur le blog a été lu par déjà 1700 personnes.
La prochaine que je vais vous présenter, avec mon compère Sébastien Delalot, dès le 4 mars à 20h15 est une Spéciale Femmes du Vin. Un grand moment.
Les femmes qui prennent de plus en plus le pouvoir et des fonctions jusque là dévolues aux hommes, c’est la nouvelle tendance de ces 20 dernières années.
Côté Châteaux vous réserve un très beau numéro avec de charmantes et passionnantes vigneronnes, qui seront à l’honneur car au mois de mars on pense bien sûr à la journée internationale de la femme du 8 mars. Mais vous allez découvrir qu’elles sont à l’honneur finalement toute l’année, car leur activité ne se cantonne pas aujourd’hui à des taches subalternes et encore moins à un seul jour dans l’année. Vive les femmes du vin, l’émission n°5 sur Côté Châteaux !
Regardez Côté Châteaux n°4 réalisé par Jean-Pierre Stahl et Sébastien Delalot:
Les 7 et 8 février prochains, l’appellation Blaye Côtes de Bordeaux investit à nouveau les bistrots, bars à vins, cavistes et restaurants de Bordeaux. Le but faire découvrir les vins de Blaye et pour l’occasion une cinquantaine de vignerons animeront ces dégustations dans ces établissements.
Les jeudi 7 et vendredi 8 février, les vignerons de l’appellation Blaye Côtes de Bordeaux s’invitent dans près de 40 restaurants, bars à vin et cavistes bordelais
afin de promouvoir leurs vins et d’en faire (re)découvrir l’excellent rapport qualité/prix/plaisir.
DES ECHANGES FRUCTUEUX ET CONVIVIAUX
Pour son édition 2019, Blaye au Comptoir reste fidèle à la formule qui a fait son succès depuis ses débuts : des échanges conviviaux entre vignerons et consommateurs autour d’un premier verre de dégustation offert et la possibilité pour la clientèle de l’établissement de commander le vin du vigneron à prix propriété. Un événement placé sous le signe de la proximité et de la convivialité, qui a su conquérir les amateurs si l’on en croit les 50 000 verres dégustés lors de Blaye au Comptoir à Bordeaux et à Paris en 2018 !
DE NOUVEAUX POINTS DE CHUTE
De nouveaux établissements partenaires se lancent dans l’aventure Blaye au Comptoir aux côtés des habitués dont fait partie le bar à vin Au Bon Jaja, accueillant le vigneron Vincent L’Amouller du Château Frédignac depuis plusieurs années. Parmi eux : le Thélonious Café Jazz Club accueillera Arnaud Ovide, vigneron du Château Vieux Planty alors que Yann Bouscasse, vigneron du Château Cantinot, animera le Bistro Poulette – restaurant convivial du célèbre marché des Capucins.
« Même si nous restons fidèles au concept et aux établissements partenaires, chaque édition apporte son lot de nouveautés pour attirer plus de participants chaque année», selon Emilie Paulhiac, responsable communication de l’appellation Blaye Côtes de Bordeaux.
Rendez-vous à Vézelay dans l’Yonne. La fameuse et traditionnelle Saint-Vincent tournante fêtée chaque année fin janvier a lieu au pays de la vieille basilique Saine-Marie. Nul doute que le vin y sera béni.
UNE PREMIERE A VEZELAY
C’est la 1ère fois que ce village de l’Yonne accueille la grande fête du saint patron des vignerons. Ce sera aussi l’occasion de fêter la nouvelle AOC “Vézelay”.
Les temps forts des festivités avec les processions, le défilé des délégations des villages suivi par les intronisations sont retransmis sur France 3 Bourgogne Franche-Comté toute la journée grâce aux équipes mixtes France 3 / France Bleu.
Elles seront positionnées dans le cortège et au cœur du village, pour suivre les confréries de Bourgogne et pour vivre avec le public d’amateurs et de connaisseurs la découverte des caveaux et les nombreux spectacles de rue.
UNE EMISSION SPECIALE CE SAMEDI A 20H10
France 3 Bougogne vous propose une émission spéciale ce soir présentée par Elsa Bezin. Vous allez revivre cette journée exceptionnelle animée avec ses fanfares, concerts, jongleurs, théâtre et des chansons à boire …
Vous serez invités dans les coulisses de cette fête vigneronne, pour y suivre les préparatifs avec de nombreux bénévoles, ainsi que les cérémonies officielles. Une ambiance conviviale et festive autour de la vigne et du vin qui fait chaque année vibrer tout un village le temps d’un week-end !
Avvec France 3 Bourgogne Franche-Comté et France Bleu, vivez cette manifestation incontournable du monde viticole à l’antenne et sur le web.
C’était il y a 20 ans. Saint-Emilion, les 8 communes alentours et le vignoble étaient classés au patrimoine mondial de l’humanité, au titre de paysage culturel. 20 ans plus tard, l’ensemble des acteurs de Saint-Emilion s’apprêtent à célébrer cet anniversaire marquant par une grande fête du 28 au 30 juin.
C’est à l’aube de l’an 2000 que Saint-Emilion, dont le nom résonne depuis 787, date de l’édification de la fameuse église monolithe, est à nouveau entré dans l’histoire. Celle de la préservation d’un joyau de l’humanité.En décembre 1999, ce fut LA consécration :Saint-Emilion intégrait la liste des biens du patrimoine mondial de l’humanité, au titre de paysage culturel.
A l’époque, Saint-Emilion était pionnière : pour la première fois au monde, un paysage viticole était admis sur la prestigieuse liste de l’Unesco avec ses huit communes formant l’ancienne Juridiction de Saint-Emilion et 5 000 hectares de vignes en Saint-Emilion et Saint-Emilion Grand Cru. Depuis Côteaux, Maisons et Caves de Champagne (le 4 juillet 2015) ainsi que les 1247 Climats de Bourgogne ont été également inscrits à l’Unesco. Depuis plus d’un millénaire, l’homme a ainsi façonné les paysages et su transmettre le savoir-faire qui a fait le renom international du vin qui porte le nom de la cité. Ce sont ainsises paysages culturels qui sont depuis le 5 décembre 1999 consacrés, témoins vivants de cette Histoire préservée.
A VOS TABLETTES : LES 28, 29 ET 30 JUIN
Trois jours de célébration sont donc prévus les 28, 29 et 30 juin 2019, pour rendre grâce à ce 1er vignoble inscrit au Patrimoine Mondial de l’Humanité en 1999 au titre de ses paysages culturels. Pour l’occasion, une cuvée anniversaire des 20 ans, issue des différents terroirs, est élaborée par l’Union des Producteurs de Saint-Emilion et sera proposée à la dégustation lors des trois jours de célébration.
TROIS PROJETS DURANT CETTE ANNEE 2019
En attendant ces cérémonies, trois projets importants seront menés tout au long de l’année :
« 20 ans, 20 000 arbres », qui a pour vocation d’impulser la plantation de 20 000 arbres et réservoirs de biodiversité dans la Juridiction de Saint-Emilion ;
« 20 ans, 20 sites », un parcours initiatique au travers de 20 tables de lecture du paysage dans l’ensemble de la Juridiction ;
« 20 ans et les enfants », un programme pédagogique complet mis en place avec 10 écoles pour sensibiliser les plus jeunes à l’environnement.
Sur le modèle de Bordeaux Fête le Vin, sera organisé un Saint-Emilion Fête le Vin, il y aura également de nombreux concerts gratuits comme le Saint-Emilion Jazz sait les organiser, mais aussi il sera possible de visiter toute la juridiction avec de nombreuses portes ouvertes des châteaux, sans compter un marché des producteurs, des conférences, des espaces dédiés aux enfants, des ateliers sur la biodiversité, des balades philosophiques et déambulations nocturnes, des illuminations de monuments emblématiques, des scènes de théâtre de rue, points de vue exceptionnels, un banquet au bord de l’eau, reconstitution de la marque à feu du vinetier de la Jurade de Saint-Emilion, et feu d’artifice,…
Depuis plus d’un millénaire, l’homme a façonné les paysages et a su transmettre le savoir-faire qui a fait le renom international du vin qui porte le nom de la cité. Lorsque le 5 décembre 1999, la Juridiction de Saint-Emilion intègre la prestigieuse liste de l’Unesco, ce sont ses paysages culturels qui sont ainsi consacrés, témoins vivants de cette Histoire préservée.
Cognac. Un nom mythique, un nom magique en terre charentaise. Ce terroir de 76 000 hectares a produit 204 millions de bouteilles en 2018, soit une hausse pour la 4e année consécutive de 3% en volume après les 8% de l’an dernier. Entre Pierre Vaudon, petit vigneron-distillateur-bouilleur de cru et les grandes maisons Hennessy et Courvoisier, Côté Châteaux vous dévoile l’univers étonnant de ces vieilles eaux-de-vie ainsi que leur histoire sur NoA en ce mois de janvier.
Bienvenue au pays des distillateurs et des bouilleurs de cru.Côté châteaux débute chez Pierre Vaudon, à Echallat.Un domaine qui s’étend sur 60 hectares, partagés entre le terroir de la Grande Champagne et celui des Fins Bois.
Pierre Vaudon nous dépeint les 6 crus qui font Cognac entre la Grande Champagne, la Petite Champagne, les Borderies, Fins Bois, les Bons Bois et les Bois Ordinaires, ainsi que les arômes qui s’en dégagent. Un terroir délicat, tout comme l’opération de double distillation, de double chauffe qui caractérise la production de Cognac. Pierre Vaudon, c’est cette première belle rencontre de ce magazine de 18 minutes.
Portrait en pied du fondateur Richard @ Hennessy dans son uniforme militaire rouge et or (jaune). Tenue d’apparat.
L’histoire de Cognac est aussi intimement liée à des personnages célèbres comme Richard Hennessy, un officier irlandais engagé dans l’armée de Louis XV, qui a créé la distillerie Hennessy en 1765.Au 17e siècle, pour faire face à la mévente des vins de la région et aux problèmes de transport, les vignerons charentais eurent l’idée de « brûler » leurs vins, c’est à dire de les distiller. Son histoire, ainsi que celle de la Maison Hennessy est contée à travers les visites « de la Vigne au Cognac » proposées par la Maison Hennessy.
Ce leader du Cognac, qui a lui tout seul totalise la moitié de la production de Cognac, nous emmène dans une expérience multi-sensorielle au sein du Chai de la Faïencerie. Vous allez tout connaître de la saga familiale Hennessy de Richard le fondateur à Maurice Hennessy, son arrière-petit-fils qui va avoir l’idée d’attribuerdes étoiles en fonction de la qualité du cognac. Il va ainsi donner naissance au Cognac Hennessy Trois Étoiles, connu aujourd’hui sous l’appellation VS (Very Special).
En 1817, le Prince de Galles, futur George IV de Grande-Bretagne, grand connaisseur de cognac demanda à Hennessy de créer une eau de vie « very superior old pale » ce qui deviendra le VSOP. Puis fut créé le XO (eXtra Old) en 1870 par Maurice Hennessy, initialement réservée à sa famille et ses amis, devenue une référence internationale pour les cognacs.
Hennessy offre au visiteur une palette d’expériences à vivre en 4 formules au choix, sans ou avec réservation: « signature »(18€, 1h30 avec dégusattion du VS et VSOP)), « X.O symbole » (33€, 1h30 avec dégustation du VSOP et du XO), « exception » (70€ 2h, dégusattion XO et Paradis), et cette fameuse « de la vigne au cognac »pour percer les secrets les mieux gardés où après cette visite en images est prévu une visite des vignes, de la distillerie du Peu avec sa dizaine de vieux alambics en cuivre : vous pourrez y apprécier et déguster les différents stades de la coupe, de cette double distillation depuis le brouilli (qui titre à 30°) obtenu lors de la première distillation, puis le coeur lors de la seconde, la tête et la queue étant remélangés au brouilli.
La suite de la visite se poursuit à nouveau sur le site de la Faïencerie où sont élevées ces eux de vie. C’est l’étape du vieillissement en barriques de chêne. Ici comme dans les autres chais de la Maison, on dénombre 380 000 barriques. L‘eau de vie, qui titre au maximum 72%, est mise dans des fûts de chêne neufs. Au cours de cette période, le volume d’alcool baisse pour arriver aux 45° obligatoires pour la commercialisation.
Une immersion au sien du Paradis où sont entreposées les plus vieilles dame-jeannes de la Maison dont la plus ancienne remonte à 1800, une compréhension de l’étape d’assemblage également des différentes eaux de vie selon les années, les cépages et crus mélangés. Le tout se terminant par une fabuleuse dégustation des eaux de vie en élevage, d’Hennessy X.O et de Paradis. (250€ cette fameuse visite)
COURVOISIER ET SON HISTOIRE INTIMEMENT LIEE A NAPOLEON
Cognac est riche en amateurs et en histoire. Celle de Courvoisier est très certainement l’une des plus étonnante également. Courvoisier, basé à Jarnac, offre également 4 visites à la hauteur des attentes du public de novices ou d’amateurs : de la visite classique, à la visite premium, en passant par « embouteillez-vous même » et « essence » (un assemblage d’une centaine d’eaux-de-vie de Grande Champagne et Borderies, élaborées depuis le début du XXe siècle.
Mais ce qui fait l’attrait de Courvoisier, créé en 1809 près de Paris à Bercy, c’est son histoire commune avec celle de Napoléon 1er. L’Empereur avait visité Courvoisier à Bercy dont la notoriété était déjà très importante en 1811.
Il avait décidé d’offrir à ses hommes qui partaient au combat le soir un verre de vin et le matin un cognac. Par la suite la légende veut qu’il ait emporté avec lui des barriques de Courvoisier sur l’île de Sainte-Hélène, qu’il aurait aussi dégusté avec ses geoliers anglais et l’auraient qualifié de « Napoleon’s Brandy ». Tanguy Bougeard, responsable des visites au château Courvoisier, et Benoît de Sutter, Maitre Distillateur, nous parlent de cette histoire et nous font découvrir l’un des bicorne de Napoléon et l’une de ses redingotes exposées au château Courvoisier à Jarnac.
Basé depuis 1828 à Jarnac, Courvoisier a poursuivi sa belle histoire avec la famille Curlier. Une histoire qui va rejoindre celle de la Tour Eiffel car ce Cognac sera choisi comme Cognac officiel dégusté lors de l’exposition universelle de 1889, d’où Couvoisier va tirer de cette expérience le « Toast de Paris ». La Belle Epoque sera aussi l’occasion de célébrer de nombreuses fêtes et événements avec Courvoisier. Une richesse de l’histoire qui se poursuit au sein du chai et du Paradis où sont encore entreposées des eux-de-ie de 1769 réservées pour le roi d’Angleterre Edouard VII amoureux de la France et de ses cognacs.
De cet Age d’Or, l’ensemble du monde va s’en imprégner et ces cognacs vont être surtout dégustés à l’étranger.« Aujourd’hui Courvoisier produit 18 millions de bouteilles, dont plus de 99% sont exportés vers les USA, la Grande-Bretagne, la Russie, la Chine et l’Afrique du Sud », selon son PDG patrice Pinet.
Notre road-trip en pays cognaçais se poursuit au fameux bar Louise, bar à Cognac, bar à cocktails avec Patrick Raguenaud, le Président du BNIC, le Bureau National Interprofessionnel du Cognac.
Celui-ci nous dépeint la bonne santé du Cognac qui a connu 8% de hausse en volume sur l’exercice précédent et 3% encore en 2018. 204 millions de bouteilles ont été expédiées cette année ; les principaux marchés sont 1° les USA 87,4 millions de bouteilles 2° Singapour 27,2 3° Chine 24,2 4° le Royaume Uni 9,7 et la France 4,6 millions (selon les chiffres réactualisés, pour 2018).
Enfin, comme à chaque numéro de Côté Châteaux nous vous proposons un association mets et cognacs proposés par Expérience Sur Mesure, avec la chef sommellière Oriane Chambon et le chef Cédric Coulaut, au sein de la maison de cognac de Pierre Vaudon. Un moment exquis et riche en arômes et saveurs.
Côté Châteaux spécial Cognac est à regarder sur NoA :
lundi 21 janvier à 20h15 et à 22h30
mercredi 23 à 11h15 et à 23h30
jeudi 24 à 17h50
vendredi 25 à 8h50, puis 20h15 et à 23h25.
d’autres diffusions à voir également sur la semaine 5.
Regardez Côté Châteaux n°3 spécial Cognac, réalisé par Jean-Pierre Stahl et Sébastien Delalot :
C’est un nouvel épisode de « Côté Châteaux », l’émission sur les terroirs de Nouvelle-Aquitaine, qui a été tourné ce jour en Castillon, Côtes de Bordeaux. Ce 4e numéro sera diffusé en février. En attendant, le numéro 3 sur le vignoble de Cognac arrive très bientôt sur NoA…
C’est un peu le teasing, histoire de vous mettre l’eau ou le vin à la bouche. Le number 4 oder Nummer Vier is coming soon, but va falloir patienter jusqu’en février.
Avec Sébastien Delalot et votre serviteur, nous sommes allés sur les coteaux de Castillon en Côtes de Bordeaux faire un focus sur cette belle appellation au terroir remarquable, non loin de Saint-Emilion plus connu.
L’émission va débuter à deux pas du champs de bataille, au château la Brande à Belvès-de-Castillon, où sont rejouées chaque année les reconstitutions de la Bataille de Castillon remportée par les Français sur les Anglais en 1453, dans le vignoble des frères Todeschini, Karl et Yann. Ceux-ci vous dévoileront tout de leur histoire familiale et de leurs racines profondément ancrées sur ce terroir, expliqueront leur choix du bio, la taille de la vigne et leur travail au chai.
Au passage, puisque nous parlerons taille de la vigne, un reportage sur l’initiative de Philippe Carille, qui utilise au château Poupille ses sarments comme bois de chauffage pour chauffer sa maison et son domaine, sera mis en avant.
Non loin de là, le tournage se poursuit au Domaine de l’A, dans l’antre de Stéphane et Christine Derenoncourt. C’est l’une des figures de l’appellation, qui s’est faite toute seule, comme le raconte le livre Wine On Tour.
Outre sa casquette de vigneron et ce domaine qu’il a acheté avec Christine en 1999, aujourd’hui il conseille pas loin de 140 domaines dans le monde (75 à Bordeaux) avec une équipe de 20 personnes au sein de Derenoncourt Consulting.
Il nous parlera de sa passion pour magnifier le terroir, révéler ce qui fait l’identité d’un vin.
L’histoire avec un grand H sera contée également au château de Pitray, avec Jean de Boigne. Un Comte à la tête de l’un des plus beaux ou le plus bel édifice même de l’appellation: le château de Pitray qui totalise 600 ans d’histoire. Un château où on a toujours cultivé le raisin et qui produit aujourd’hui plus de 400000 bouteilles.
Castillon, c’est aussi de belles initiatives pour mieux faire connaître l’appellation comme « j’irai déguster chez vous », une opération où un couple de vignerons vient à domicile parler de leur savoir-faire en terre castillonnaise. Et ce sont également « les déjeuners créateurs d’accords »organisés une fois par mois dans un château de l’appellation avec le chef Jean-Christophe Loste. Un déjeuner organisé cette fois-ci au château Lescaneaut chez Malika et Pascal Boueix, également producteurs de vins de Castillon.
Voilà en substance ce qui vous attend en février, il va falloir patienter un peu, mais réjouissez-vous car le numéro 3 de Côté Châteaux sur Cognac arrive dès la mi-janvier, je vais tout vous raconter d’ici peu.
DIFFUSIONS SUR NOA :
lundi 11 février à 20h15 et 22h30,
le 13 à 11h15, et 23h15,
le 14 à 18h,
le 15 à 17h30, 20h15,
le 16 à 0h30, 4h du mat, et 9H45,
le 18 à 19h30,
le 20 à 11h30…
NoA c’est la chaîne de France 3 Nouvelle Aquitaine (339 sur box orange, 455 Sfr, 326 Free et 337 Bouygues).
Regardez Côté Châteaux N°4 sur Castillon en Côtes de Bordeaux réalisé par Jean-Pierre Stahl avec Sébastien Delalot :