11 Fév

Confluent d’Arts au Château de la Rivière les 5, 6, et 7 juillet

2e édition de ce fabuleux festival au sein d’un château magique. Les 5,6 et 7 juillet, vous allez vibrer aux rythmes des balkans avec Goran Bregovic, goûter à une dégustation musicale et à une ambiance Nouvelle-Orléans, vivre à l’heure du cinéma en plein air et du théâtre de rue. Un programme haut en couleurs, en exclu dans Côté Châteaux.

CaptureLe programme de ce nouveau « Confluent d’Arts » est mis en scène par la Mairie de La Rivière, le Château de La Rivière et le café-théâtre le Baz’art. Il est le signe d’une complémentarité, d’une complicité, d’une même passion.

Une programmation unique pour vous faire vivre d’intenses dégustations de mets, de vins, de mots et de notes ! Au cœur d’un patrimoine architectural et paysagé emblématique du fronsadais, trois jours de festival les 5,6 et 7 juillet.

JEUDI 5 JUILLET : MEXIQUE ET BALKANS

Ouverture des portes à 18 h (payant) Attention : accès au site réservé aux personnes munies d’un billet (achat en pré-vente ou sur place)

19h30 : Première partie sur la grande scène : APOSTOL CUMBIA Groupe musical Franco-Mexicain qui va vous transmettre avec ce concert (durée 1h30) toute la force et la chaleur de l’Amérique Latine.

© Goran Bregovic -photo de profil Facebook

© Goran Bregovic -photo de profil Facebook

21 h 30 : La musique des Balkans va résonner dans le parc des Arts du Château avec : Goran Bregovic et son éloquent et superbe Orchestre des mariages et des enterrements (Six cuivres rutilants et deux puissantes voix féminines bulgares) nous invite à assister à un concert ébouriffant ! Avec son nouvel album « Three Letters from Sarajevo » Goran Bregovic repousse les murs et ouvre toutes les frontières. C’est une des soirées les plus festives de l’été qui vous attend au Château de La Rivière. Concert payant : pré-vente 25 euros / moins de 18 ans : 10 euros / moins de 12 ans gratuit Sur place 32 euros Un concert organisé en partenariat avec Musiques de Nuit du Rocher de Palmer.

VENDREDI 6 JUILLET : DEGUSTATION MUSICALE ET CINEMA DE PLEIN AIR

Dégustation musicale : « Des Notes et des Vins »: 18 h 30 (payant) dans la cour des Arts. Une dégustation en musique exceptionnelle avec le pianiste NICOLAS STAVY un musicien d’une sensibilité, d’une imagination, d’un lyrisme rare ! Chopin, Liszt, Fauré au programme de ce récital, tout en dégustant 3 grands millésimes de la cuvée ARIA du Château de La Rivière. Entrée payante :pré-vente : 20 euros / moins de 18 ans : 10 euros / moins de 12 ans gratuit Sur place 25 euros (dégustation des vins réservée uniquement aux adultes)

19h30 (gratuit) PERRY GORDON & HIS RHYTHM CLUB Groupe musical de Jazz and Blues New Orleans pour un « Dancing in Wine Parc » Cinéma en plein air : le 7ème Art dans le parc des Arts : (gratuit)

Projection gratuite sur écran géant à partir de 21 h 30 « VISAGES, VILLAGES » de Agnès Varda et JR, film documentaire français de 2017, 1h 30 mn Agnès Varda et JR partent sur les routes de France en quête de rencontres autour d’un point commun : l’image ! Ils vont ainsi montrer, partager et exposer un grand nombre de portraits. Attachant, émouvant, étonnant… Ce film documentaire a été couronné par de nombreuses récompenses : Prix du meilleur documentaire New York Critics Circle Awards en 2017. Prix « L’œil d’Or » à Cannes en 2017. Prix du meilleur documentaire National Society of film Critics Award le 6 janvier 2018. Sélectionné pour les Oscars 2018.

chateau la riviere concert de lily 142SAMEDI 7 JUILLET : THEATRE DE RUE 

Le Théâtre de rue au Château des Arts (Gratuit) Portes ouvertes à partir de 15 h Au programme de cette après-midi et soirée le Théâtre de rue sous toutes ses formes. Avec les compagnies suivantes à découvrir en famille : de 16 h à 23 h

COMPAGNIE GOKAÏ – 16 h et 18h10 (cirque, danse, musique) France. « Du Haut » création 2017 – 20 mn. Clara Serayet, Hugo Journaud, Lucca Ferrari. Entre rêve et réalité, comme un temps suspendu. « Du Haut » vous propose un dialogue authentique et ludique entre un corps dansant dans les airs et une musique électro/rock.

SIVOUSPLAIT – 16 h 30 et 18 h 40 (mime, théâtre) Japon – 30 mn. « Silences amusants d’un couple en blanc » Nozomi et Takeshi. C’est un spectacle visuel qui mêle le mime et l’humour. C’est subtil et poétique, mâtiné d’une fantaisie toute nippone. Ainsi, vous allez assister à un match de tennis qui se transforme en un ballet surréaliste, une séance photos qui devient une lutte hilarante contre un vent d’enfer…

CIRC PANIC – 17 h15 (cirque) Espagne. « Mira T » création 2017 – 45 mn Jordi Panareda, Sasha Agranov. Ce spectacle est comme un voyage vers l’inconnu, une aventure à travers les sentiments de l’artiste acrobate, des sentiments entre lesquels il balance, comme balance le mât de la structure de « Mira T ».

COMPAGNIE TIMELESS BALLET – 19 h15 (Danse) France. « Faune » création 2017 – 15 mn avec Clara Duflo, Sohrâb Chitan, mise en scène de Benjamin Pech étoile du ballet de l’Opéra de Paris. Faune relie la danse, la musique et la poésie dans un univers onirique où l’animalité, la relation à la nature et la symbolique érotique constituent des thèmes phares de la pièce.

KaRNaVIrES – 22 h (théâtre de rue et de feu) France. « Nuit de Lumière » – 40 mn Conception, mise en scène : Rémy Auda. Magie des images, magie du feu, ce spectacle emporte le public dans un parcours qui transforme un instant l’espace et le temps. Les Illumineurs, personnages extraordinaires, orchestrent cette apothéose d’étincelles comme un immense cabaret ouvert vers les étoiles.

19h30 (gratuit) : LUCKY PEPPER BAND Répertoire rock’n’roll directement influencé par les années 50. Ce groupe de jeunes bordelais sait y faire : alternant morceaux explosifs, blues pêchus et ballades 50’s, leur énergie communicative et leur spontanéité mettent tout le monde d’accord !

ET PENDANT TOUT LE FESTIVAL :

Une exposition temporaire du sculpteur, plasticien verrier, LUC DE MUELENAERE viendra habiter la cour du château avec ces personnages fantasmagoriques tout droit sortis du four à verre.

La scénographe, artiste plasticienne, Constance Malaquin réalisera avec les enfants des écoles de La Rivière et de Saint Germain de La Rivière une décoration spécifique du parc du château pour le festival.

Des visites des caves souterraines du Château de La Rivière seront organisées en fonction des horaires d’ouverture des portes. Dégustations de Thés de Pu’er (Chine Yunnan)

Bar à vins avec les vignerons de la commune de La Rivière Buvette Restauration sur place avec de nombreux Food-Trucks

Renseignements : Mairie de La Rivière : 05 57 24 98 28 Château de La Rivière : 05 57 55 56 56  Baz’art : 05 57 74 70 69  Réservations   www.lerocherdepalmer.fr www.chateau-de-la-riviere.com www.le-bazart.com

09 Fév

Michel Vico, le chef du Jasmin au château Le Stelsia, honoré par 1 étoile au guide Michelin

Après avoir remporté 3 toques et une note de 15,5 sur 20 au Gault & Millau 2018, Michel Vico a été récompensé le 5 février dernier à Paris, par le célèbre guide pour sa cuisine gastronomique devant 200 chefs étoilés du monde entier.

© Le Jasmin, restaurant gastronomique de Michel Vico au sein du Stelsia

© Le Jasmin, restaurant gastronomique de Michel Vico au sein du Stelsia

Michel Vico, c’est d’abord un beau cv, il compte à son actif de nombreux noms de cuisines prestigieuses comme le Martinez, le Bristrol ou le Crillon. Avant d’arriver au Stelsia en janvier 2015, il dirigeait une brigade d’une cinquantaine de collaborateurs au restaurant gastronomique de l’Hôtel Casino Barrière de Lille.

Depuis son retour en terres lot-et-garonnaises, il a su montrer son goût pour les beaux produits du terroir qu’il affectionne tout particulièrement et qu’il magnifie au quotidien au Jasmin, tels que le célèbre pruneau d’Agen, la truffe, le foie gras…

Michel Vico, le chef du © Jasmin à Saint-Sylvestre sur Lot

Michel Vico, le chef du © Jasmin à Saint-Sylvestre sur Lot

 « Je suis honoré de recevoir une étoile par une telle Institution mondialement reconnue. J’ai aussi un grand respect pour tous les chefs sélectionnés.

A travers mon savoir-faire, j’espère transmettre ma passion pour ma région, le Lot-et-Garonne, tout en étant toujours à la recherche de produits d’exception. Je souhaite donner du plaisir avec une cuisine émotionnelle et passionnée », Michel Vico.

Le Jasmin*, une bonne table française à découvrir pour les fin gourmets, au sein du Stelsia****, un château hôtel  de 31 chambres « hors du commun », ancienne bâtisse du Moyen-Âge aux façades arborant les couleurs de l’arc-en-ciel, rappelant aux petits comme aux grands enfants les châteaux de contes de fée…

08 Fév

Blaye au Comptoir à Bordeaux : ils sont venus, ils sont tous là, et vous proposent de découvrir leurs vins

50 vignerons de Blaye ont investi ce jeudi midi et ce soir 50 bars et restaurants de Bordeaux. Ils vous proposent jusqu’à demain soir de déguster leur production.

Laetitia Mauriac au Familia pour Blaye au Comptoir © JPS

Laetitia Mauriac au Familia pour Blaye au Comptoir © JPS

Pour cette 12e opération de Blaye au Comptoir, retrouvez les dynamiques vignerons de l’appellation ce jeudi 8 et vendredi 9 février dans une cinquantaine de restaurants, cavistes et bars à vins de Bordeaux.

Ils vont vous proposer un verre de dégustation en guise de bienvenue dans l’ensemble des restaurants partenaires de cette opération, à l’instar de Laetitia , propriétaire du château la Levrette (le nom de la femelle du lévrier et pas autre chose !) qui est ce jeudi au Familia, dans l’enceinte des Halles de Bacalan, l’un des endroits les plus prisés du moment, à Bordeaux.

Avec Blaye au Comptoir, il n’y a pas de barrière entre consommateurs et vignerons ; les échanges se font dans un environnement propice et en toute simplicité ! C’est ce lien direct qui plaît et fait le succès de l’opération. » Mickaël Rouyer, directeur de l’appellation.

Mickaël Rouyer, Laetitia Mauriac, Emilie Paulhiac, Anne-Sophie Pinot et Aurélie Lascourrèges, la team des Baye - Côtes de Bordeaux © JPS

Mickaël Rouyer, Laetitia Mauriac, Emilie Paulhiac, Anne-Sophie Pinot et Aurélie Lascourrèges, la team des Baye – Côtes de Bordeaux © JPS

Cette année, de nouveaux établissements ont rejoint l’Opération Blaye au Comptoir comme la brasserie le Familia à Bacalan (en face de la Cité du Vin), les cavistes Bordeaux Magnum et la Vinothèque, les bars à vins le Millésime, le Bistro du Fromager ou les 3 Pinardiers.

Retrouvez les 50 établissements de Blaye au Comptoir Bordeaux.

A suivre prochainement sur Côté Châteaux un focus sur Blaye et à voir aussi le 22 février dans le rendez-vous mensuel « Vigne et Vin » dans le 12/13 sur France 3 Aquitaine, avec Frédéric Lot.

UBB Grands Crus : la soirée de tous les records au Palais de la Bourse de Bordeaux

C’était hier une soirée de folie ! Celle où de nombreux records sont tombés. Celui de la plus grosse enchère sur une impériale de Pétrus 2011 celui aussi de la recette maximale de 265500 € récoltés lors des enchères de 42 lots. Cette somme va servir à financer le club de formation de l’UBB. Allez les petits !

Laurent Marti avec ses talentueux et jeunes rugbymen © JPS

Laurent Marti avec ses talentueux et jeunes rugbymen © JPS

« Ah, qu’est ce qu’on est serré »… pour l’apéritif, il ne manquait que Patrick Sébastien, on ne pouvait à peine bouger tellement il y avait de monde au Palais de la Bourse à Bordeaux, et c’est sans compter les gros bébés de l’UBB qui prenaient aussi un peu de place.

Sophie Gaillard, Tourisme Bordeaux Métropole, Jean-Jacques Bonnie (Malartic-Lagravière), Hervé Grandeau (Fédération des Grands Vins) et Fabien Teitgen (Smith Haut-Lafitte) © JPS

Sophie Gaillard, Tourisme Bordeaux Métropole, Jean-Jacques Bonnie (Malartic-Lagravière), Hervé Grandeau (Fédération des Grands Vins) et Fabien Teitgen (Smith Haut-Lafitte) © JPS

Non, sans rire 650 personnes étaient présentes pour cette 5 édition de la Soirée de Gala UBB Grands Crus, et tant que le grand hall (où les tables étaient dressées) n’était pas ouvert, il était un peu délicat de se faufiler, mais par ce froid glacial, c’était idéal pour se réchauffer.

41 lots qui ont rapporté 265500 € © JPS

41 lots qui ont rapporté 265500 € © JPS

Une soirée courue du gratin du vin de Bordeaux et du monde de l’entreprise, bref de tous les fans de rugby et de l’UBB. On pouvait ainsi y croiser tout le staff de Lafite Rothschild pour le Médoc, ou Stéphanie de Boüard-Rivoal pour Angélus à Saint-Emilion, mais aussi d’autres grands noms de Pessac-Léognan avec Hugo Bernard (Domaine de Chevalier) ou Fabien Teitgen (Smith Haut Lafite) et même de gros négociants comme Fabrice Bernard (Millésima) qui prépare son fameux Panorama du 27 mars prochain sur le millésime 2016 « un millésime remarquable et remarqué. » 

Des enchères animées avec brio notamment par Michael Llodra © JPS

Des enchères animées avec brio notamment par Michael Llodra © JPS

Laurent Marti, le dynamique président de l’UBB, a souligné la bonne forme du club et de son pool de jeunes espoirs cadets et  juniors. Il n’a pas manqué de se féliciter d’avoir « 5 sélectionnés en équipe de France, c’est presque au-delà de ce qu’on pouvait espérer…On a des entraîneurs hors pair ».

C’est vrai qu’on est à la mode en équipe de France, on nous a même pris le manager Jacques Brunel » Laurent Marti

Hugo Bernard (Clos des Lunes), Bonnie-laplagne (Malartic-Lagravière), Fabrice Bernard (Millésima) © JPS

Hugo Bernard (Clos des Lunes), Véronique Bonnie-Laplane (Malartic-Lagravière), Fabrice Bernard (Millésima) © JPS

Et de commenter l’actualité en championnat : « à domicile, on n’a concédé qu’un seul match nul face à Brive, si on continue comme cela tout devient possible. Si on bat Castres, on va continuer notre bonhomme de chemin, après on aura Toulouse… L’équipe repart sur une nouvelle histoire. »

Guillaume Pouthier (les Carmes Haut-Brion) 12 bouteilles Domaine de Ponsot 99, des Comtes Lafon 2001, Georges Roumier 2001 et René Engel 2001 avec le maillot de Sébastien Taofifenua pour 8800 € © JPS

Guillaume Pouthier (les Carmes Haut-Brion) 12 bouteilles Domaine de Ponsot 99, des Comtes Lafon 2001, Georges Roumier 2001 et René Engel 2001 avec le maillot de Sébastien Taofifenua pour 8800 € © JPS

Et quelle histoire, celle de ce soir-là est à marquer d’une pierre blanche, car quand au début du coup d’envoi de la soirée Laurent Marti déclare « chaque année, vous nous comblez, on a fait 167000 € l’an dernier », il est loin de s’imaginer que les généreux donateurs vont pulvériser de près de 100000 € de mieux le précédent record avec 265500 € récoltés.

Le joueur Fidjien Beni, 27 ans et 123 kilos, avec Côté Châteaux, un peu poids plume à côté © Guillaume Bonnaud

Le joueur Fidjien Peni Ravai, 27 ans et 123 kilos, avec Côté Châteaux, un peu poids plume à côté © Guillaume Bonnaud

Les lots les plus prestigieux qui se sont envolés ont été :

  • une caisse Duclot de neuf 1ers crus ou crus classés tous sur le millésime 2007 (Mouton, Margaux, La Mission Haut-Brion, Haut-Brion, Ausone, Lafite, Cheval Blanc, Pétrus, Yquem) avec le maillot de Jeff Poirot (tournée de novembre 2017 France vs All blacks) à 18000 €
  • une impériale d’Angélus 2015 à 10000 €
La table du CIVB avec Christophe Chateau et Hervé Grandeau © JPS

La table du CIVB avec notamment Christophe Chateau et Hervé Grandeau © JPS

  • une impériale de Cheval Blanc 2008 à 9000 € avec maillot de Yann Lesgourgues (Afrique du Sud vs Barbarians, tournée juin 2017)
  • 6 magnums de Lafite Rothschild avec maillot de Baptiste Serin (Afrique du Sud vs France, tournée juin 2017)
  • ou encore en clou de la vente une impériale de Pétrus 2011 avec maillot de Matthieu Jalibert à 45000 €.
Le lot le plus cher de la soirée : une impériale de Pétrus parti à 45000 € © jps

L’un des lots les plus chers de la soirée : 6 magnums de Lafite et un déjeuner pour 4 au château pour 27000 € © JPS

Pour faire le show, on a pu compter sur le sympathique tennisman Michaël Llodra qui animait l’enchère du lot 35 : un dîner pour 10 personnes à la cave clandestine, dégustation d’une caisse panachée de 6 magnums de Clos Fourtet de 1950 1961, 1975, 1982, 1995 et 2005 parti à 26000 €.

Une salle bondée et survoltée, 650 personnes © JPS

Une salle bondée et survoltée, 650 personnes © JPS

Ce sponsoring va permettre une fois encore à l’UBB de pouvoir compter sur la jeune génération de joeurs qui mènent en parallèle un double cursus, à la fois scolaire et sportif. Au printemps prochain, le stade André Moga va devenir un véritable lieu de vie, d’entraînement et de formation avec la livraison du nouveau centre de formation.

Après avoir reçu ses 2 étoiles au Michelin, la cave du chef Jean Sulpice a été dévalisée

C’est une honte : moins de deux jours après avoir décroché deux étoiles au Michelin, l’Auberge du Père Bise à Talloires (Haute-Savoie) a été victime d’un cambriolage qui a ciblé les plus grands crus de sa cave selon son chef, Jean Sulpice.

Le grand chef de Talloires, © Jean Sulpice (photo de son profil Facebook)

Le grand chef de Talloires, © Jean Sulpice (photo de son profil Facebook)

« C’est horrible… Entre 150 et 200 bouteilles ont été volées. C’est tout notre patrimoine qui s’en va, des bouteilles achetées par la famille Bise, sur plusieurs générations, et qui vieillissaient là », a déploré le « cuisinier de l’année » 2018 du guide Gault et Millau, confirmant une information du Dauphiné Libéré.

Parmi les plus grands crus emportés, des « Château d’Yquem, Petrus, Margaux, Mouton Rothschild, Cheval Blanc, des bouteilles de 1952, 54, 56… et des Bourgogne très rares », a détaillé le chef, effondré, soulignant qu’une « clientèle étrangère venait spécifiquement pour ces millésimes ».

« On est assuré mais leur valeur est inestimable », a souligné Jean Sulpice, qui a repris et rouvert l’établissement centenaire l’an passé avec sa femme Magali.

CaptureDans la nuit de mardi à mercredi, il a quitté la cuisine « vers une heure du matin » pour rejoindre le corps de bâtiment où il loge, à 20 mètres de distance, avec sa famille, et selon les caméras de vidéosurveillance de l’établissement, les cambrioleurs sont passés à l’action à 4 h du matin.

Malgré la porte blindée de la cave et le code requis pour déverrouiller, les cambrioleurs sont entrés et « sont restés plus d’une heure dedans […] ils sont allés directement dans les casiers contenant les plus vieux millésimes et n’ont rien pris au-dessus de l’année 2000 », a poursuivi Jean Sulpice.

C’est mercredi matin, en arrivant en cuisine à 07 h, que le chef a trouvé « une bouteille de Petrus cassée », avant d’aller vérifier la cave. « Ils avaient pris des chariots pour transporter les bouteilles, qu’on a retrouvés sur le parking ».

Les gendarmes de la section de recherches d’Annecy et de la brigade de Faverges sont chargés de l’enquête.

Malgré ce coup dur, Jean et Magali Sulpice accueilleront ce soir les clients de l’Auberge, comble en hôtellerie. « Heureusement qu’elle est là cette deuxième étoile, parce que sinon, ça serait dur de remonter la pente », confie le chef en espérant que des vignerons leur viendront en aide.

Avec AFP.

07 Fév

Les vignerons indépendants ont fait leur show au Luxembourg

Rien n’arrête les Vignerons Indépendants, même pas l’hiver. Ils ont réchauffé l’atmosphère et les coeurs des amateurs de vins au Luxembourg, en proposant de déguster le fruit de leur travail et de leur passion. Du coup, ce fut une affluence record pour cette édition 2018 !

Le salon des © Vignerons Indépendants au Luxembourg

Le salon des © Vignerons Indépendants au Luxembourg

C’est une particularité là-bas, ce salon est associé au Salon des Antiquaires, de ce fait le salon s’adresse à une clientèle exigeante et sensible à l’élégance et au raffinement.

Ce salon permet aussi de réaliser une belle vadrouille à travers les terroirs hexagonaux : une route des vins intra-muros de Saint-Emilion à Jurançon en passant par le Médoc, sur un même espace,  où l’on peut en toute simplicité acheter sur place directement au vigneron présent derrière son stand.

Cette nouvelle édition a permis à l’amateur français, luxembourgeois ou  belge, de découvrit non seulement les richesses vinicoles des terroirs de la Nouvelle-Aquitaine mais aussi les autres saveurs de la Région, en particulier les fromages des Pyrénées, foie gras du Périgord ou encore jambons Pata Négra, Serrano…

Le jeudi soir, un afterwork était spécialement organisé sur le salon situé au cœur du quartier des affaires de Luxembourg. Cette soirée privilégiée s’adressait tout particulièrement à la population active travaillant dans le quartier, souhaitant se détendre après une journée de travail avec la possibilité de se restaurer sur place.

06 Fév

2e édition de « sous les pavés, la vigne ! » les 10 et 11 février au Hangar 14 à Bordeaux

C’est la 2ème édition bordelaise du salon « Sous les pavés la vigne » samedi et dimanche.  Coproduit par Rue89 Bordeaux et Nouriturfu, le salon des vins actuels et naturels revient à Bordeaux, au Hangar 14.

1-sous-les-paves-la-vigne-780L’an dernier, près de 2000 visiteurs avaient trinqué avec « Sous les pavés la vigne… » De quoi s’agit-il ? Une manif de vin ? Des vignerons qui battent le pavé ? Le vin qui vous intéresse ici est idéaliste, marginal, minoritaire, voire impossible selon certains tenants de l’establishment vinique. De fait, ce vin « idéaliste » est porteur de valeurs, des conceptions artisanales et humanistes de l’agriculture ou du commerce, qui intéressent un média indépendant tel que Rue89 Bordeaux.

Des thèmes sociétaux sont directement abordés durant le salon, notamment par le biais de débats. Mais c’est bien d’abord pour déguster et acheter des vins – issus de cette minorité délicieuse – qu’on se rendra à « Sous les pavés la vigne » ! Véritable festival « agriculturel », le salon réunit bien sûr de nombreux (euses) vigneron (nes) bio, biodynamiques et naturels, français et internationaux, mais aussi des brasseurs, des stands « food », des auteur (es) qui font l’actualité (en dédicace), une projection et des débats. Sans oublier des happenings, comme une dégustation hors programme, annoncée le jour J aux visiteurs, une première cette année à Bordeaux : le « quart d’heure mythique ». Pour 10 euros, les visiteurs auront ainsi accès à toutes les dégustations et animations au sein du salon. Petite cerise cristalline sur le gâteau, un verre griffé leur est offert à l’entrée.

DEUX DEBATS :

  • « Faut-il biodynamiter le vignoble ? », le samedi (15h) ;
  • « Vin naturel, vin conventionnel : irréconciliables ? », le dimanche (15h), avec notamment Eric Tesson (directeur de la CNAOC)
  • La projection du feuilleton documentaire « Cash sur Table », de la Revue Far Ouest, ou la réponse du vignoble bordelais à la question des pesticides, le dimanche (11h)

LIVRES & AUTEURS:  François Caribassa (Qu’est-ce que boire ? Critique de la dégustation des vins ; éd. Menu Fretin) Isabelle Guichard (Précis à l’usage de ceux qui pensent que Demeter n’est qu’une déesse grecque ; éd. de l’Epure) Antonin Iommi-Amunategui (Manuel pour s’initier au vin naturel ; éd. de l’Epure) Jean-Benoit Meybeck (Cosmobacchus ; éd. Eidola) Et aussi : les « quarts d’heure mythiques » (dégustation « happening » de cuvées rares ou épuisées)

Avec « Sous les Pavés, la Vigne ! » les les 10 et 11 février au Hangar 14 à Bordeaux

05 Fév

Philippe Etchebest, nouvel étoilé au Michelin avec La Table d’Hôtes du 4e Mur à Bordeaux

La nouvelle vient de tomber, Philippe Etchebest vient d’obtenir une étoile au guide Michelin lors de la remise de récompense du célèbre Guide à Paris. Bravo au chef qui avait ouvert le 4e Mur dans l’enceinte du Grand Théâtre en septembre 2015 à Bordeaux et marque l’essai avec La Table d’Hôtes du 4e Mur, un concept original et gastronomique.

etchebest

C’est une récompense méritée pour Philippe Etchebest, le célèbre chef de la place de la Comédie à Bordeaux. Il a ouvert son restaurant, le 4e Mur, en septembre 2015 et ne cherchait  pas forcément à avoir d’étoiles pour cette brasserie.

L’ironie avait voulu qu’une première étoile fut décernée avant lui à son rival et ami d’en face Gordon Ramsay pour le Pressoir d’Argent. L’injustice est réparée et la guéguerre ou le cauchemar en cuisine va pouvoir continuer, entre ces deux stars et des fourneaux et du petit écran.

CapturePhilippe Etchebest vient de décrocher cette étoile pour La Table d’Hôtes du 4e Mur, ouverte en juillet dernier, en sous-sol de sa brasserie du 4e Mur. Une table gastronomique celle-ci qui laisse au chef exprimer tout son talent, comme une mélodie en sous-sol. Il avait déjà connu la gloire des étoiles avec 2 étoiles décrochées lorsqu’il était chef à l’Hostellerie de Plaisance à Saint-Emilion.

Cette année, 621 étoiles ont été décernées, soit 5 de plus que la dernière édition.

CaptureMichel Vico, du restaurant le Jasmin au Stelsia à Saint-Sylvestre sur Lot (47) a décroché une étoile également, autre table gastronomique récompensée cette année celle de Julien Lefebvre du Château de Cordeillan-Bages, propriété de la famille de Jean-Michel Cazes à Pauillac (Gironde) et aussi 1 étoile pour Tanguy Laviale pour Garopapilles à Bordeaux. Bravo aux chefs.

Capture

A Bordeaux, on compte toujours 3 deux étoiles avec la Grande Maison (Pierre Gagnaire), le Pressoir d’Argent (Gordon Ramsay) et la Grand’Vigne au sein des Sources de Caudalie-château Smith Haut Lafitte (Nicolas Masse). A Saint-Emilion l’Hostellerie de Plaisance conserve aussi ses 2 ** (Ronan Kervarrec). Parmi les 1*, il y a bien sûr le Logis de la Cadene à Saint-Emilion (Alexandre Baumard), le Saint-James à Bouliac (Nicolas Magie), le Pavillon des Boulevards (Bordeaux), le Prince Noir (Lormont-Bordeaux). Le seul 3 *** de la région reste les Prés d’Eugénie de Michel Guérard à Eugénie-les-Bains. Revoir les reportages sur Bordeaux Terre de Gastronomie 

GUIDE MICHELIN 2018 : 28 TROIS ETOILES EN FRANCE :
La Maison des Bois, de Marc Veyrat, et le restaurant éponyme de Christophe Bacquié
ont rejoint lundi le cercle prestigieux des tables auréolées de trois étoiles en
France, qui compte au total 28 établissements dans l’édition 2018 du guide Michelin.
C’est un de plus qu’en 2017, après le retrait par le guide du restaurant Le Suquet
à Laguiole (Aveyron), conformément au souhait de son chef Sébastien Bras. Le fils
de Michel Bras, fondateur du restaurant, avait fait la demande inédite de ne plus
figurer dans le guide qui lui accordait trois étoiles depuis 1999.
CaptureDix « trois étoiles » sont situés à Paris (entre parenthèses l’année d’attribution):
– Alain Ducasse au Plaza Athénée (2016)
– Le Cinq, à l’hôtel Four Seasons George V (Christian le Squer, 2016)
– Alléno Paris – Pavillon Ledoyen (Yannick Alléno, 2015)
– Epicure à l’hôtel Bristol (Eric Frechon, 2009)
– L’Astrance (Pascal Barbot, 2007)
– Le Pré Catelan (Frédéric Anton, 2007)
– Guy Savoy (2002)
– Pierre Gagnaire (1998)
– L’Arpège (Alain Passard, 1996)
– L’Ambroisie (Bernard Pacaud, 1988)
En régions :
– La Maison des Bois à Manigod, en Haute-Savoie (Marc Veyrat, 2018)
– Le Restaurant Christophe Bacquié, à l’Hôtel du Castellet, dans le Var (Christophe
Bacquié, 2018)
– Le 1947 au Cheval Blanc à Courchevel (Yannick Alléno, 2017)
– La Bouitte, à Saint-Martin de Belleville en Savoie (René et Maxime Meilleur,
2015)
– L’Assiette champenoise, à Tinqueux dans la Marne (Arnaud Lallement, 2014)
– La Vague d’or, à Saint-Tropez (Arnaud Donckele, 2013)
– Flocons de sel, à Megève (Emmanuel Renaut, 2012)
– Auberge du Vieux Puits, à Fontjoncouse dans l’Aude (Gilles Goujon, 2010)
– Le Petit Nice, à Marseille (Gérald Passédat, 2008)
– Anne-Sophie Pic, à Valence (2007)
– Lameloise, à Chagny en Saône-et-Loire (Eric Pras, 2007)
– Régis et Jacques Marcon, à Saint-Bonnet-le-Froid en Haute-Loire (2005)
– Georges Blanc, à Vonnas dans l’Ain (1981)
– Les Prés d’Eugénie, à Eugénie-les-Bains dans les Landes (Michel Guérard, 1977)

– Troisgros, à Ouches dans la Loire (Michel Troisgros, 1968)
– L’Auberge de l’Ill, à Illhaeusern dans le Haut-Rhin (Marc Haeberlin, 1967)
– Paul Bocuse, à Collonges-au-Mont-d’Or dans le Rhône (1965)
A Monaco :
– Le Louis XV Alain Ducasse (1990, retirée 1997, retrouvée 1998, retirée en 2001,
retrouvée 2003)

Avec Guide Michelin et AFP

En Afrique du Sud, la talentueuse « wine maker » Ntsiki Biyela se fait une place parmi une large majorité de vignerons blancs

Depuis plus de trois siècles, la viticulture sud-africaine était le privilège d’une élite de quelques familles blanches. Mais la récente apparition d’une poignée de producteurs noirs a commencé à changer, timidement, le visage de cette industrie séculaire. Côté châteaux l’avait rencontrée chez Philippe Raoux car elle a signé une cuvée des Wine Makers du château d’Arsac.

Philippe Raoux avait confié sa cuvée à N

Philippe Raoux avait confié sa cuvée 2013 à Ntsiki Biyela, vigneronne d’Afrique du Sud © Jean-Pierre Stahl

Ntsiki Biyela a accédé à la célébrité en 2004 en devenant la première vigneronne noire d’Afrique du Sud. Dix ans après la chute du régime raciste de l’apartheid, son entrée fracassante dans un secteur jusque-là exclusivement réservé aux Blancs avait été érigée en symbole de la nouvelle Afrique du Sud « arc-en-ciel » rêvée par Nelson Mandela.

La patronne d’Alsina Wines n’a aujourd’hui rien perdu de l’enthousiasme de ses débuts. Mais elle concède que se faire une place dans l’industrie vinicole de son pays, qui compte parmi les 10 principaux producteurs de la planète, n’a pas été « des plus facile ».

« Outre son aspect financier, c’est un domaine qui exige beaucoup d’engagement, qu’il s’agisse de traiter avec les producteurs, les acheteurs ou les consommateurs », explique Ntsiki Biyela, 39 ans. « Pour réussir, il faut bien comprendre toute la chaîne ».

Créée il y a trois ans à peine, sa cave sise à Stellenbosch (sud-ouest) près du Cap, la capitale sud-africaine du vin, vend des bouteilles de sauvignon blanc, cabernet sauvignon et chardonnay. Pour l’instant, sa production est entièrement vendue à l’étranger, notamment aux Etats-Unis, en Allemagne, au Ghana et à Taïwan. Perfectionniste, Ntsiki Biyela a tenu à maîtriser l’ensemble de la chaîne de fabrication.

Je produis mon vin moi-même et contrôle le processus du début à la fin »Ntsiki Biyela

Elle s’est lancée dans la production après des études d’oenologie à l’université de Stellenbosch et a fait ses gammes dans l’un des nombreux domaines vinicoles de la ville. Sa toute première cuvée lui a valu les honneurs du prix de la Femme vigneronne de l’année en 2009.

Alsina, sa maison lancée en 2014 et baptisée en hommage à sa grand-mère, a débuté avec une production confidentielle de 2.400 bouteilles l’an. Elle a franchi le cap des 12.000 bouteilles en 2017 et espère s’approcher des 18.000 dès 2018.

Rien ne prédestinait Ntsiki Biyela au monde du vin. Elevée à l’autre bout du pays dans un village du KwaZulu-Natal (nord-est), elle n’en a bu son premier verre qu’à l’âge de 20 ans.
« Je n’aimais vraiment pas ça », s’amuse-t-elle, « c’était horrible ». La jeune Sud-Africaine voulait s’orienter vers des études de chimie mais ses rêves ont été contrariés faute de moyens. Obligée de faire des ménages pour gagner sa vie, elle a retrouvé plus tard le chemin de l’université en décrochant une bourse en oenologie, totalement inattendue.

Elle a alors pris la direction de Stellenbosch, à 1.600 km de chez elle et s’esclaffe encore aujourd’hui au souvenir du jour où elle y a découvert la vigne, pour la première fois de sa vie. « Je me demandais ce que pouvaient bien être ces petits arbres tout courts », raconte Ntsiki Biyela. 

J’ai eu le sentiment que le vin m’avait choisie et donc je l’ai adopté »

« Ce fut un voyage très intéressant (…) de découvrir un monde que je ne connaissais pas mais que j’ai fini par apprécier ».

Désormais établie, la viticultrice souhaite susciter l’émergence d’une nouvelle génération de producteurs dans un secteur où la participation noire s’est longtemps limitée à ne fournir que des bras, souvent payés de quelques bouteilles de vin. « J’ai lancé ma propre marque pour restituer à ma communauté ma connaissance de l’industrie du vin », dit-elle.

Sa cave a rejoint une poignée d’autres producteurs noirs, dans un secteur agricole largement tenu par les Blancs: seuls 2% des vignerons sud-africains sont noirs, selon l’organisation professionnelle Wines of South Africa (WOSA).

« Ces dernières années, un nombre remarquable de femmes noires ont fait leur entrée dans l’industrie du vin », se félicite le ministre provincial des Opportunités économiques, Alan Winde. « Mais la plupart d’entre elles ne font que produire du vin, elles ne sont pas encore impliquées dans son commerce », relève-t-il. Ntsiki Biyela le sait: pour se développer, elle et ses collègues devront convaincre la majorité noire sud-africaine des charmes du vin, qui lui sont encore largement inconnus malgré l’émergence d’une classe moyenne noire aisée. « J’espère qu’avec le temps, les choses vont changer ».

Avec AFP

03 Fév

Le vignoble du Sud-Ouest à l’honneur pour recevoir à Miami le trophée très convoité de la « Wine Region of the Year »

Les amis de Côté Châteaux à l’honneur lundi dernier à Miami ! C’était pour eux le grand soir avec la remise des Wine Star Awards organisé par le magazine Wine Enthousiast. Une délégation de 12 personnalités du Sud-Ouest avait fait le déplacement.

thumbnail_IMG_20180129_221728Une délégation de 12 personnalités du vignoble du Sud-Ouest était présente pour recevoir le trophée très convoité de la « Wine Region of the Year ». L’élection du Sud-Ouest comme vignoble de l’année avait eu lieu aux Etats-Unis le 9 novembre dernier.

A Miami,  en ce lundi 29 janvier, c’était don la soirée des Wine Star Awards,  évènement organisé par le très influent magazine Wine Enthusiast.

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Guillaume de Conti sur son 31 pour l’occasion © Vins de Bergerac et Duras

Pour les Vins de Bergerac et Duras, c’est Guillaume de Conti du Château Tour des Gendres qui représentait ces appellations et avait revêté pour l’occasion un smoking.

Côté buffet, 3 appellations de Bergerac et Duras importées aux  Etats-Unis ont brillé aux côtés des autres appellations du Sud-Ouest, sélectionnées par le sommelier ambassadeur du Sud-Ouest,  André Compeyre (responsable du très sélect Wine bar new-yorkais, Aldo Sohm) :

          Bergerac sec Anthologia du Château Tour des Gendres,

          Côtes de Duras rouge Les Apprentis Du Domaine Mouthes le Bihan

          Monbazillac Domaine de l’Ancienne Cure

Un grand bravo à ces amabassadeurs du savoir-faire du Sud-Ouest.