Encore un ouvrage à se procurer durant cet été. Pour tout savoir sur la famille Trocard, il n’est pas trop tard ! C’est une famille très connue à Bordeaux qui s’illustre dans le monde du vin depuis 1620 . A lire sur votre lieu de villégiature.
Cet ouvrage d’Elisabeth Madranges retrace l’histoire de la Famille Trocard dans le monde du vin depuis le XVIIème siècle.
La Vigne ! La vigne ! tu n’as plus que ce mot à la bouche mais ce n’est pas ta vigne qui va nous
nourrir ! »
Depuis ce jour de 1621 où la jeune Marie Traucart reprochait vertement à son époux son amour de la vigne, quinze générations se sont succédé dans la région de
Saint-Emilion. Elles ont lutté contre les caprices de la nature, survécu aux épidémies et versé autant de sueur que de larmes pour faire des vignobles Trocard
ce qu’ils sont aujourd’hui, quatre siècles plus tard.
Une histoire passionnante aux multiples rebondissements…
Le Festival de la bière britannique, qui se déroule jusqu’à samedi à Londres, accueille pour la toute première fois du vin anglais, illustrant le succès grandissant de la filière vinicole au Royaume-Uni.
« Il faut se diversifier et donner aux gens plus de choix. Peut-être qu’après quelques pintes de bière, vous aurez envie de vous asseoir et de déguster un verre de vin »,
explique à l’AFP Colin Valentine, un des organisateurs de l’événement. Le festival, qui se tient depuis 1977, célèbre la bière produite grâce à des méthodes traditionnelles et artisanales, par opposition à la bière industrielle pasteurisée.
Parmi les 900 types de bières, cidres ou poirés présentés, les visiteurs peuvent désormais également découvrir une sélection de vins, rosé pétillant, Chardonnay ou Pinot Noir, produits dans le sud de l’Angleterre.
Les gens qui viennent ici sont curieux d’essayer quelque chose qu’ils ne connaissent pas. Certaines personnes expliquent ne jamais avoir bu de vin anglais auparavant. Puis elles viennent, elles essaient et trouvent ça vraiment bon », Will Burgess, un responsable du marchand de vin Honest Grapes.
Au cours de la dernière décennie, le nombre d’hectares de vignes a plus que doublé en Angleterre et au Pays de Galles, et devrait encore augmenter de 50% d’ici 2020, indique l’organisation des producteurs de vins anglais. L’Angleterre reste toutefois encore une toute petite nation du vin, avec seulement 5 millions de bouteilles produites en 2015, dont une majorité de vins pétillants, selon l’organisation. Aujourd’hui, certains crus anglais sont jugés de grande qualité par les experts et ont récolté des prix à travers le monde.
A l’ouverture du festival, mardi, la bière « Goat’s Milk » (« Lait de chèvre ») a reçu le titre de « Championne des bières britanniques ». Produite par une brasserie du centre de l’Angleterre, Church End Brewery, la bière est décrite comme un « nectar doré ».
Le Bal des Graves revient le mercredi 23 août, sur le boulodrome du quartier des pêcheurs au Cap Ferret, de midi à minuit, pour une cinquième édition. L’occasion de découvrir et d’apprécier le savoir-faire des viticulteurs de la région des Graves, dont 10 seront présents pour ce Bal des Graves !
UN RENDEZ-VOUS CHIC ET CONVIVIAL
Le Bal des Graves, organisé en partenariat avec le Syndicat Viticole des Graves, la Mairie du Cap Ferret et l’agence d’événementiel bordelaise La Pin-Up, est une occasion unique de découvrir et d’apprécier le savoir-faire singulier de cette grande région viticole. Véritable moment d’échange, familial, enjoué, élégant et convivial, le Bal des Graves met à l’honneur les vins de Graves le temps d’une belle soirée d’été sous les pins parasols du Cap Ferret, aux abords des cabanes pittoresques du quartier ostréicole du village.
Au cours de ce grand banquet gastronomique et musical, les participants pourront déguster les vins de Graves blancs et rouges de renom, des viticulteurs des Graves. Huîtres petites et grandes du Cap Ferret ou du Banc d’Arguin, planchas de poissons, coquillages et crustacés, produits du terroir et spécialités locales viendront ravir les papilles des fins palais.
Créé en 2012 grâce à la collaboration du Syndicat Viticole des Graves avec l’agence La Pin-Up, le Bal des Graves s’est imposé, en 5 ans, comme un rendez-vous atypique et original pour la promotion des vins de Graves. L’édition 2016 a séduit plus de 1500 personnes.
• De 12h00 à 14h00 : Ouverture pour l’inscription au concours de pétanque, dégustation de vin, stand fooding, animation musicale
• 17h00 : Ouverture du Bal des Graves, dégustation de vins de Graves, banquet musical, concours de pétanque, concert et DJ-set
• 00h00 : Fin
PETANQUE POUR LES GRANDS
Les joueurs de pétanque, quant à eux, trouveront leur bonheur sur le boulodrome du Cap Ferret avec un grand concours en doublette ou triplette.
Les plus petits ne seront pas en reste avec les pirates de Skin Jackin et leurs tatouages éphémères délirants, une pêche à la ligne, un Club Plage Mickey, un Skate Park et des jeux en bois. Le Wunderstudio de Pierre Wetzel, un studio photo mobile aménagé dans une caravane Airstream Liner de 1948, immortalisera ces moments pleins de convivialité et de partage.
Des concerts rythmeront cette folle soirée. C’est le trio de soul-pop J-Silk qui ouvrira le Bal des Graves. Issu de la scène actuelle qui mélange hip-hop, électro et pop à la façon de The Internet, Anderson Paak, Little Dragon et James Blake entre autres, J Silk est un patchwork-collage Neo-soul de vestes Adidas vintages, de synthés analogiques, de beats hip-hop et d’une et d’une voix sensuelle et singulière.
Puis, 45 Tours Mon Amour ! terminera le bal en célébrant la petite galette noire dans un set exclusivement à base de 45 tours : casting de selectors irréprochables, collections de pépites musicales… Le DJ cultive un postmodernisme, nostalgique et moderne, pour le plus grand plaisir des amoureux de la nuit.
Le journaliste et critique gastronomique Christian Millau, cofondateur du Gault et Millau et qui avait révolutionné la gastronomie française avec la Nouvelle cuisine, est mort samedi à l’âge de 88 ans; il rejoint ainsi son confrère Henri Gault, disparu 17 ans plus tôt. Jacques Dupont, le « Monsieur Vin » du guide, qui collabora plus de 12 ans avec lui, rend hommage à Christian Millau pour Côté Châteaux.
Après une carrière de journaliste qui l’avait vu travailler dans divers quotidiens, Christian Millau avait lancé en 1969 le premier guide Gault et Millau, avec son confrère Henri Gault, mort en 2000.
Il avait été l’un des pères de la Nouvelle cuisine au début des années 1970, un mouvement qui a bouleversé les codes culinaires. Il a co-fondé le Gault et Millau devenu le deuxième guide gastronomique français après le Michelin, et qui est distribué aujourd’hui dans 12 pays.
Il a révolutionné le monde de la gastronomie en s’appuyant sur quelques chefs qu’il avait découverts, comme Michel Guérard et Joël Robuchon, et en lien étroit avec Paul Bocuse, en lançant en 1973 la Nouvelle cuisine, un manifeste qui a eu un retentissement mondial », Côme de Chérisey directeur général du Gault et Millau.
Les préceptes de la Nouvelle cuisine, en dix points (« Tu ne cuisineras pas trop », « Tu utiliseras des produits frais et de qualité », « Tu allégeras ta carte »…) ont eu un effet considérable sur la pratique culinaire et donné naissance à la cuisine contemporaine.
« Ces commandements de la Nouvelle cuisine ont apporté un big bang dans l’univers de la gastronomie de l’époque. C’était alors une cuisine où les chefs n’étaient pas encore mis à l’honneur, très traditionnelle, avec des viandes plutôt faisandées, des sauces lourdes, de la crème du beurre… », a affirmé Côme de Chérisey.
Jacques Dupont était journaliste depuis longtemps quand il a commencé à travailler pour lui vers 1986-1987, néanmoins il me précise :
J’ai commencé à écrire sur le vin avec Christian Millau, dans le Gault et Millau. » Jacques Dupont
Jacques Dupont est devenu en France l’une des plus grandes références journalistiques et critiques de vin. Il travaille depuis avec Le Point et sort de nombreux guides, à l’occasion des primeurs ou pour les Foires aux Vin, le prochain est prévu le 7 septembre.
Sa collaboration s’est faite par un concours de circonstances, Jacques Dupont réfléchissait à un quotidien sur le modèle de USA Today pour le groupe Hachette, qui finalement ne s’est pas fait, en revanche vu qu’il parlait souvent de vin à la radio, la proposition lui a été faite par un ami de venir travailler au Gault-et-Millau. « J’ai commencé par la petite porte, par m’amuser…Mon copain n’est pas resté, par contre Christian Millau m’a convoqué dans son bureau pour me dire que j’allais faire le guide des vins de Gault et Millau. » A l’époque, Jacques Dupont n’était pas l’expert qu’il est devenu aujourd’hui, il avait toutefois en lui le métier de journaliste mais aussi la passion du vin, « ce n’est pas grave lui avait dit Christian Millau, vous apprendrez ! »
Et c’est ainsi que pendant plus d’un an, « on s’est payé quelques coups avec Pierre Cristol…on a eu carte blanche pendant un an et demi et on a pu déguster comme des malades. C’est aussi à cette époque que s’est nouée mon amitié avec Denis Dubourdieu (et sa macération pelliculaire). »
Christian Millau a véritablement marqué Jacques Dupont, devenu aujourd’hui ce grand journaliste en vin: « c’était un homme de récit, il adorait raconter les histoires », comme Jacques Dupont d’ailleurs. C’est dans la fibre humaine que passe souvent le coeur, l’émotion et l’humanité. L’intérêt, il est là, c’est ce qui nous lie tous nous autres journalistes, le rapport aux autres, et l’idée de faire ressortir une ambiance, un vécu en plus du fond.
« J’avais beaucoup d’admiration pour lui,on est resté en très bons termes, même après la fin de ma collaboration en 1998, je l’avais revu 2 ou 3 fois. C’était un très grand journaliste, qui a écrit de nombreux ouvrages très drôles. Christian Millau avait un peu cette pensée subversive du cabaret du Chat Noir ».
Christian Millau avait été journaliste politique, puis judiciaire avant de se consacrer à la gastronomie et au vin.
Regardez l’une des dernières interviews de Christian Millau réalisées par Gault-et-Millau :
Qui a dit qu’il y avait un trop plein de cavistes ? La preuve que non. Même si la capitale mondiale du vin est bien dotée, Nicolas va ouvrir son 3e magasin qui sera inauguré en septembre, dans la Galerie des Grands Hommes, en plein coeur de Bordeaux.
Déjà présent deux fois dans la capitale de l’Aquitaine, Nicolas s’installe aujourd’hui dans un bel emplacement au cœur de la Galerie des Grands Hommes. L’ouverture est prévue pour le 26 août prochain. Cette nouvelle boutique va offrir un nouvel espace, d’une belle superficie, équipé des agencements dernière génération (écran digital en vitrine et Vinothèque au centre du magasin).
A la tête de cette nouvelle boutique, un binôme de deux cavistes faisant déjà partie de la société Nicolas : Jérémie Guignard et Jean-Gérard Liotard.
« Caviste Nicolas depuis 3 ans, d’abord à Toulouse puis à Arcachon, je suis très enthousiaste à l’idée d’ouvrir ce nouveau magasin. Etant né dans les vignes de la région et ayant travaillé le vin AOC Bordeaux, cette ouverture a un parfum particulier à mes yeux. J’ai hâte de relever ce nouveau challenge tout en poursuivant la transmission de ma passion qui est le vin », explique Jean-Gérard Liotard.
Ouvert du Lundi au Samedi de 9h à 20h à partir du 26 août 12, Place des Grands Hommes Galerie Commerciale 33000 BORDEAUX
Le 10 août prochain, le Clos Haut-Peyraguey, 1er Cru Classé de Sauternes, vous propose une chasse au trésor en vélo autour du château. Ludique et gourmand.
Un parcours de 12kms à vélo, pour une balade en famille ou entre amis. Chaque équipe suivra le parcours semé d’épreuves et d’énigmes qui leur permettront d’atteindre l’étape suivante, autour du Clos Haut-Peyraguey – 1er Grand Cru Classé, et de l’appellation Sauternes.
L’équipe gagnante sera celle qui finira le parcours en moins de temps et sera récompensée. La journée sera clôturée par unApéritif Gourmandavec descadeaux offerts à chaque participant.
Venez avec vos vélos ou louez-les sur place. Inscriptions obligatoires jusqu’au 8 Août 2017. Nombre de places limitées.
Un rosé de huit ans d’âge à la carte d’un restaurant trois étoiles: impensable il y a vingt ans, cet attelage gastronomique signe la formidable montée en gamme des vins rosés, brouillant une image de vin de soif ou de barbecue véhiculée par Les bouteilles bon marché.
Parfaits sur du poisson grillé, des viandes blanches ou des plats orientaux, certains crus de Côtes-de-Provence ou d’appellation Bandol n’ont plus rien à voir, ni en prix, ni en qualité, avec les pyramides de rosés translucides proposés tout l’été à l’entrée des supermarchés de la Côte d’Azur, voire de toute la France.
« Les gens sont très surpris et assez réticents au début », observe Franck Perroud, sommelier au triple étoilé Michelin de la Vague d’Or à Saint-Tropez, qui flèche de grands rosés de son choix en accord avec certains mets. « Mais quand on leur fait goûter, ils découvrent quelque chose qu’ils ne connaissent pas du tout et généralement, ils finissent avec une deuxième bouteille! », dit-il.
Il exulte: « Avant, les gens buvaient le rosé de l’année, ou avec beaucoup de glaçons au bord de la piscine. Maintenant on peut proposer des cinq, six et même dix ans d’âge, il y a une gamme qu’on peut qualifier de gastronomique en terme de complexité et de savoir-faire et on s’aperçoit, sous l’impulsion de jeunes vignerons, que le rosé est le plus difficile à faire ».
Durant sa formation dans les années 1990 à l’Ecole hôtelière de Nice, M. Perroud se souvient que le rosé n’était même pas évoqué, alors qu’aujourd’hui, avec le chef Arnaud Donckele, il a mis une soixantaine de références à la carte. Essentiellement des rosés régionaux dénichés chez des débutants comme au domaine de La Pertuade à La Mole, ou chez des vétérans comme l’atypique Clos Cibonne, un pur cépage tibouren, cultivé près de Toulon. PLUS DE 100 EUROS LA BOUTEILLE
« On a fait évoluer le produit que faisait le grand-père dans les années 1940 mais on ne s’est pas laissé attirer par les levures, le goût myrtille, pamplemousse, etc », explique Olivier Deforges qui exporte son Clos Cibonne jusqu’à Los Angeles, Bangkok et Sydney. Le flaconnage, un format bourguignon, une couleur vert bouteille et une étiquette style bière d’abbaye, reste vieux jeu mais la vinification est très travaillée, le chai climatisé et depuis une quinzaine d’années, les ventes sont reparties à la hausse.
« C’est technique », confirme Guy Sauron, du Domaine Siouvette.« A tout moment, on a un risque d’oxydation qui donne une couleur jaune. Il y a un travail de dingue qui a été fait en cave et en vigne depuis vingt ans ».
Signe de la qualité qui s’améliore, les prix montent sans atteindre les niveaux stratosphériques des grands rouges et des grands blancs. La France est le pays qui vend ses rosés le plus cher à l’export.
Un bon rosé démarre à environ 15 euros la bouteille (contre un prix moyen en grande distribution de 2,70 euros les 75 cl) et une Cuvée Garrus du Château d’Esclans, près de Fréjus, propriété de Sacha Lichine, héritier d’une dynastie de viticulteurs d’origine russe installés à Bordeaux, se négocie à parfois à plus de 100 euros la bouteille: c’est le rosé le plus cher du monde.
Rencontré lors d’un salon des Côtes de Provence en mars, Guy Negrel, propriétaire-récoltant de la 7ème génération au Mas de Cadenet, raconte: « Ca me rendait malheureux cette mauvaise image du rosé qui date d’il y a trente ans. J’ai même entendu dire que le rosé n’était pas un vin! »
« Il y a eu les congés payés en 1936, les Français sont partis à la mer et ont découvert le rosé. Le succès a été énorme mais c’était mis en bouteille à Bercy et pas très qualitatif », dit-il. Au pied de la montagne Sainte-Victoire, ses vignes bio donnent un rosé élevé en barrique « pour plus de volume. On est sur des arômes de fruits frais, très bon avec de la tomate, ou de la tomate confite ».
C’était l’un des groupes les plus attendus hier soir. UB 40 a enflammé le Reggae Sun Ska avec son tube planétaire, comme en écho au vin rouge de Bordeaux.
Le groupe mythique des années 80 n’avait pas pris une ride, ou presque, en tout cas pas plus que nous… Quelques 24000 festivaliers s’étaient pressés pour ce 20e anniversaire et cette 1ère soirée, avec Danakil, Toots Hibbert, et bien sûr les britishs de UB 40.
Fan de la 1ère heure, Côté Châteaux n’allait pas les louper et réaliser ce petit clin d’oeil, à l’occasion de leur passage à Pessac, mais surtout « Bordeaux » comme ils le soulignaient tous hier soir en prenant la parole.
D’autant qu’ils ont entonné leur célèbre « Red Red Wine » dans la capitale mondiale du vin. Une ode au vin rouge pour noyer le chagrin d’une séparation. Un tube écrit en 1968 par Neil Diamond, devenue tube planétaire avec les UB 40, qui ont démontré qu’ils avaient encore plein de pep’s… ou de red red wine à revendre.
En ce samedi 5 août, les jeunes vignerons des Côtes de Bourg vont investir le Parc de l’Esconge pour une soirée festive alliant patrimoine et produits du terroir, une soirée tout simplement baptisée : la Nuit du Terroir !
Venez rencontrer les vignerons de Bourg en Gironde, ce sont de jeunes vignerons des Côtes de Bourg qui souhaitent ainsi dynamiser leur appellation. Venez donc goûter leurs vins et les spécialités des producteurs locaux, tout en savourant les concerts au programme.
Le début des festivités est prévu à 17 heures et jusqu’à 1h du matin.
Pour plus d’informations suivez La Nuit du Terroir sur Facebook et Twitter .Tous à vos # avec le #nuitduterroir2017.
C’est la 3e édition de la Fête de la Rivière, ce dimanche 6 août. L’occasion de découvrir le terriroire mais aussi le terroir de Sainte-Foy-la-Grande, à travers les vins de cette appellation nouvellement rattachée aux Côtes de Bordeaux.
Depuis le 24 novembre 2016, Sainte-Foy a rejoint l’Union des Côtes de Bordeaux. C’est donc tout naturellement pour fêter cela, mais aussi célébrer la Rivière, que dimanche tout le pays foyen va se mettre sur son 31. Une fête où l’on pourra découvrir les vins de l’appellation mais aussi d’autres Côtes de Bordeaux.
Cette fête, c’est aussi et avant tout la fête de la rivière Dordogne, qui a toujours joué un rôle important dans le développement de la commune de Sainte-Foy-la-Grande, la bastide foyenne était l’une des plus prospères grâce au commerce fluvial qui s’y est développé.
Aujourd’hui, la Dordogne retrouve toutes ses lettres de noblesse grâce à l’inscription en 2012 du Bassin au Réseau Mondial des Réserves de Biosphères. Ce réseau international rassemble des sites d’exceptionqui concilient conservation de la biodiversité, valorisation culturelle et développement économique et social.
Rendez-vous donc à Saint-Foy-la-Grande pour cette 3e Fête de la Rivière et du Vin en Pays Foyen, mais première fête sous ce nom, depuis le mariage avec les Côtes de Bordeaux;
De nombreuses animations seront au programme : des démonstrations de rouleurs de barriques de Lussac, présentation du travail de tonnelier, marche nordique et randonnée pédestre le matin, dégustations à partir de 11h, animations musicales, marché gourmand et feu d’artifices le soir.