28 Sep

25ème festival BD de Buc : L’Art du Crime : « La Mélodie D’Ostelinda », d’Olivier Berlion, Marc Omeyer, Marc Bourgne

L’Art du Crime : La Mélodie D’Ostelinda, de Olivier Berlion, Marc Omeyer, Marc Bourgne

Présentation de l’éditeur :

Philadelphie, de nos jours. Mariska, une jeune femme d’origine tzigane se rend à une audition de violon dans l’académie du célèbre Professeur Russel. Elle ignore encore que la mélodie qu’elle a choisi de jouer va changer son destin. Celle-ci fait écho à une rencontre entre un jeune comte et une bohémienne, au temps de Louis XIV. Une histoire d’amour belle et maudite comme toutes les romances impossibles, bercée par les notes d’un Stradivarius…

Nouveau volume de ce thriller brillamment orchestré par Olivier Berlion et Marc Omeyer. Au dessin, c’est l’élégant réalisme de Marc Bourgne qui rejoint ce prestigieux casting !

25ème Festival BD de Buc…

Une 25ème édition exceptionnelle !

L’édition 2018 accueille un programme plein de surprises :

Des dédicaces et des rencontres avec une cinquantaine d’auteurs, adultes et jeunesse, français et internationaux, venus de Belgique, des Pays-Bas, d’Espagne, d’Italie, de Croatie, de Serbie… et même d’Australie !

Ils seront rassemblés autour du dessinateur de l’affiche 2018, Al Severin, qui a représenté Spirou, Fantasio et Spip cherchant leur chemin devant les traditionnelles Arcades de Buc.

Mais aussi des stands de vente spécialisés, des expositions de planches originales et des animations pour tous les âges.

Ouverture : 10h-18h

Entrée libre

Pour consulter le programme détaillé : « Cliquez ici »

ANIMATION ET PROGRAMMATION CULTURELLES

Autodrome de Linas-Monthléry : « Le paris fou, d’Alexandre Lamblin »

Un personnage méconnu, son créateur Alexandre Lamblin, au parcours incroyable, il joue sa fortune sur un pari, pour un projet et lui sacrifie sa vie.

Découvrez et comprenez mieux ce lieu… rêve d’un visionnaire génial.

À travers de nombreux témoignages d’époque, il sera tantôt adulé et aussitôt critiqué, provoquant l’émerveillement ou la controverse.

L’âge d’or de l’aventure du sport et de l’automobile, est impitoyable, elle revie au travers de l’histoire de ce lieu.

Alexandre Lamblin, comme ces contemporains ( André Citroen, Louis Delage, Louis Renault, …), connaitra, le succès, la gloire et la déchéance, mais il fera face la tête haute et le cœur sur la main.

Comme eux, il disparaitra ruiné, oublié de tous, seule la postérité leur rend hommage.

L’autodrome fut dès sa création, le circuit de folles courses de vélos, de motos, de voitures, réalisées par des hommes, des femmes et leurs bolides.

Une enquête qui a nécessité 15 années de recherches, la compilation de centaines d’articles de presse d’époque, de milliers de sources documentaires ou bibliographiques, retraçant l’histoire de l’homme et de son œuvre.

« Linas-Montlhéry, temple de l’Automobile », de Dominique Pascal

Ce WE Lire délivre vous emmène à l’autodrome de Linas-Monthléry pour vivre les Grandes Heures Automobiles !

Retour sur le beau livre…

« Linas-Montlhéry, temple de l’Automobile », de Dominique Pascal, L’Autodrome Editions. 2012

C’est en 1924 que fut créé l’anneau de vitesse de Montlhéry à deux pas de Paris, qui deviendra le Temple de l’Automobile. Courses, records, essais des constructeurs vont faire vivre ce lieu magique, jusqu’à nos jours où le circuit continue de susciter un vif intérêt.
L’auteur est le grand spécialiste Français de l’Autodrome et possède la documentation la plus brillante sur le sujet. Il nous livre ici un ouvrage qui, sans être complet – retracer 80 ans de courses en 128 pages n’est pas envisageable – pointe du doigt les évènements les plus représentatifs : records, 1000 km de Paris, Coupes du salon, Bol d’or auto et moto, cyclisme, bref les petits et grands évènements survenus sur l’autodrome parisien. Sans oublier les essais de l’Utac, dès 1950.

 

 

« Autodrome… Linas-Montlhéry-France », de Christian Schmaltz

Lire délivre vous propose de découvrir des événements par le prisme des livres !

Nous vous emmenons au célèbre autodrome de Linas-Monthléry pour Les Grandes Heures Automobiles, les 28, 29 et 30 septembre 2018.

« Autodrome… Linas-Montlhéry-France », de Christian Schmaltz (Itinéraires Editions, 2017)

Présentation de l’éditeur :

Quand le vrombissement des machines quitte les lieux et que le silence reprend sa place, le regard change aussitôt et peut reprendre son vagabondage.

C’est en quelque sort l’exercice tenté en oubliant habitudes et repères.

S’égarer sans contraintes, découvrir en toutes saisons et à toutes heures, se laisser surprendrepar ces endroits inattendus et inconnus parfois meurtris et souvent ciselés par le temps, tel était ce défi.

Mais l’anneau de vitesse n’est jamais très loin car ce parcours libre qui souligne le graphisme des lignes et sublime le site se veut suggestif. Il rappelle de nombreux souvenirs évoqués par ces témoignages amicaux, sincères et touchant qui racontent autrement ce lieu unique.

Christian Schmaltz propose cette paisible lecture, mise en valeur par son ami Jean-François, discrètement commentée, qui vous ouvre les portes de ce lieu magique, autrement et en silence.

 

14 Juin

Les livres des 24 Heures du Mans 2018 : « L’Histoire des affiches des 24 Heures du Mans », ACO

« L’Histoire des affiches des 24 Heures du Mans/The STORY OF Le Mans 24-Hours posters », Automobile Club de l’Ouest

Ce livre fait l’inventaire de toutes les affiches des 24 Heures de 1923 à 2017 et utilise également des reproductions des programmes officiels pour imager une longue période pendant laquelle, curieusement, la course ne fut pas mise en valeur par des affiches.

Il présente en outre l’intérêt de donner les noms des artistes ou concepteurs des documents, ainsi que des analyses graphiques et techniques des images.

Enfin, il met en évidence les grandes articulations dans l’évolution des styles graphiques.

Format : 21cm x 29.7cm – Couverture rigide –  Nombre de pages : 54

Les livres des 24 Heures du Mans 2018 : « La Légende des 24 Heures du Mans – Edition 2018 », de Gérard de Cortanze

Présentation de l’éditeur

Les voitures mythiques, les pilotes inoubliables, les prouesses technologiques, l’ambiance, les émotions… tout ce qui fait la légende de la plus grande course automobile du monde raconté par Gérard de Cortanze, écrivain… et petit neveu de Charles de Cortanze, vainqueur au Mans en 1938.

« Gérard de Cortanze, pour qui cette course est une histoire de famille, a raison : les 24 Heures du Mans, c’est un roman d’aventures ! » Jean Todt

 

11 Juin

Les livres des 24 Heures du Mans 2018 : « Rebellion Racing aux 24 Heures du Mans », de Bob Garcia

Amandine Gazeau a posé à Bob Garcia quelques questions sur son ouvrage « Rebellion Racing aux 24 Heures du Mans ».

AG : Bob Garcia, on vous connaît plutôt comme auteur de polar que comme spécialiste de l’automobile. Quel rapport entre les deux univers ?

BG : Tout d’abord, je tiens à préciser que je n’ai aucune légitimité dans le monde de l’automobile. Je suis très loin d’être un spécialiste de l’automobile et encore moins de la course d’endurance. Ce qui me passionne et me fascine dans la course automobile, c’est plutôt sa dramaturgie qui ressemble justement beaucoup aux scénarios de thrillers. Tout y est : des personnages hauts en couleur (souvent dotées d’ego très fort, des battants dans l’âme mais profondément humains, qui ont aussi leurs failles et leurs faiblesses), un suspense de chaque instant (tout peut arriver dans une course d’endurance et rien n’est joué tant que les pilotes n’ont pas passé la ligne d’arrivée, il suffit de revoir les 24 Heures du Mans 2016 et 2017 pour s’en convaincre. Même 24 heures après la courses, il peut encore y avoir des rebondissements), l’adrénaline de la course (comment ne pas frissonner en assistant au dépassement d’anthologie de Thomas Laurent dans le Raidillon de l’Eau Rouge lors des 6 Heures de Spa 2018, ou pire encore lors de l’énorme crash de Pietro Fittipaldi au même endroit ?), la stratégie des écuries et ses conséquences sur le déroulement de la course (parfois de véritables coups de poker). A ces faits de course s’ajoutent toute la pression et l’influence de l’environnement : délais de réalisation de machines, tractations en coulisses, évolutions de la réglementation, etc. A chaque course j’ai l’impression d’assister à un film de super-héros au volant de machines extraordinaires, sauf qu’à l’arrivée aucun scénariste n’oserait écrire des histoires aussi improbables ! Ce sont aussi des aventures humaines incroyables. Chaque membre d’une écurie est un rouage essentiel au bon fonctionnement de l’ensemble. C’est comme une mécanique de précision. Une horlogerie de haut niveau. Le moindre de grain de sable dans la mécanique, la moindre erreur de jugement ou d’inattention, et le travail de dizaines de personnes est anéanti en un rien de temps. Chacun a une responsabilité énorme sur les épaules. Cela contribue aussi à la tension et à la dramaturgie de la course. On tremble à chaque arrêt au stand, à chaque dépassement (il faut se souvenir qu’il n’y a pas qu’une seule course, mais quatre courses qui se déroulent en même temps), à chaque virage…

AG : Si je comprends bien, toutes les écuries automobiles sont confrontées aux mêmes contraintes. Pourquoi vous intéresser à Rebellion Racing plutôt qu’à une autre ?

BG : Rebellion, c’est le « petit » qui s’attaque aux « grands ». Son budget de fonctionnement est environ 15 fois moindre que celui des écuries d’usine telles que Porsche, Audi, et pour 2018 Toyota. Une petite équipe d’une quinzaine de personnes parvient à se hisser au niveau des plus forts, et parfois à les dépasser à la régulière. Pour reprendre une image qui est chère à Calim Bouhadra, le vice président de Rebellion Racing, c’est vraiment l’histoire de David contre Goliath ! A force d’ingéniosité, de ténacité et de passion commune, Rebellion a remporté le trophée FIA d’endurance LMP2 en 2017 et s’est attaché les services de pilotes exceptionnels pour la super saison 2018-1019. Il y a aussi le nom « Rebellion », qui colle tellement à l’état d’esprit de l’écurie. Ils ne se laissent pas faire, ils innovent, ils inventent, ils ne font rien comme les autres et ne sont jamais où on les attend… Rebellion, c’est surtout à l’origine une marque de montres Suisses de haute technologie créée par Alexandre Peschi, le propriétaire et la tête pensante de Rebellion Racing. C’est de l’horlogerie de précision appliquée à la course d’endurance… et ça marche !

AG : Je comprend votre enthousiasme pour Rebellion, mais comment le livre est né ?

BG : Sur une simple poignée de main ! J’ai eu la chance d’être reçu par Calim Bouhadra, dont je vous ai déjà parlé, en début d’année 2018 dans les locaux de LEMO (le groupe qui pilote Rebellion Racing) à Lausanne. Le but de ma démarche était de savoir s’il existait un livre sur Rebellion, afin que je puisse interviewer l’auteur et en faire une chronique sur « lire délivre ». Mais la discussion a pris un tour inattendu quand Calim m’a appris qu’il n’existait aucun livre (à part quelques articles ou mention dans des ouvrages plus généraux) sur Rebellion Racing, et qu’il serait favorable à l’idée qu’un tel livre voit le jour. En moins d’une heure de discussion à bâtons rompus sur la monde de la course, et en particulier sur l’incroyable dénouement de la saison 2016-2017, il était implicitement convenu que je pourrais écrire un livre sur l’écurie. Un peu plus tard, après quelques échanges de mail, on a décidé de sortir le premier livre pour les 24 Heures du Mans 2018. Le livre retrace l’origine de Rebellion depuis 2007, et toutes ses participations aux 24 Heures du Mans. C’était un challenge quasi impossible en terme de délai, et pourtant…

(Bob Garcia – Calim Bouhadra)

AG : Le livre est plein de photos. Je suppose que cela implique des droits de copyrights ?…

BG : Calim Bouhadra m’a fait confiance. J’ai pu ainsi accéder à toute la base de donnée de photographies de Rebellion depuis 2012. De plus, ces photos ont été réalisées par Eric Fabre, un des meilleurs (sinon LE meilleur) photographe de course d’endurance.

AG : Et avant 2012 ? Si l’histoire commence en 2007, comment avez-vous fait pour les autres photos ?

GB : Là, c’était plus compliqué. Un vrai travail de fourmi. J’ai retrouvé des témoins de cette époque (pilotes, photographes professionnels ou amateurs). J’ai eu de nombreuses réponses. Tous ont accepté de me donner des photos, sous réserve bien sûr de mentionner leur nom et les copyrights. c’était la moindre des choses. Cela a pris du temps, mais j’ai réussi à retrouver et rassembler les photographies nécessaires pour retracer cette incroyable histoire née de la rencontre de deux  passionnés d’auto, Alexandre Pesci et Hugh Hayden.

AG : Il y a aussi beaucoup d’informations techniques dans le livre, dates, lieux, cursus des pilotes, caractéristiques des voitures… Comment être sûr de ne pas se tromper, si vous prétendez ne pas être spécialiste ?

BG : J’avais un autre joker dans ma manche, mon ami Jean-Philippe Doret, consultant automobile, rédacteur ACO FIA WEC, traducteur de nombreux ouvrages techniques anglais. Ce gars-là connaît par coeur le monde de l’endurance, et en plus il a une mémoire prodigieuse de presque toutes les courses d’endurance. Il a accepté de relire et corriger mes erreurs. Il a aussi apporté ses remarques et de précieuses informations.

(Bob Garcia – Eric Fabre – Jean-Philippe Doret)

AG : Finalement, à qui s’adresse ce livre ? Plutôt à un public de spécialistes ?

BG : Comme je le disais au début de cette interview, je n’ai pas la prétention d’être un spécialiste auto. Cela pourrait être le livre écrit par n’importe quel spectateur fasciné par ces drôles d’engins et les pilotes. J’ai plutôt essayé de raconter une belle histoire. Je crois qu’il n’est pas nécessaire d’être un spécialiste pour s’y plonger et y prendre du plaisir. Dans tous les cas, il reste aussi les fabuleuses photographies d’Eric Fabre qui permettent de contempler cet univers sans forcément entrer dans les détails. Nous avons des commandes de mamans pour leurs enfants, de messieurs, et même d’une grand-mère !

AG : Le livre est bilingue, français/anglais…

BG : Oui. La partie française a été d’abord été corrigée par Valérie, une correctrice professionnelle qui travaille pour des éditeurs de polars, et a ensuite été traduit par Laurent Whale, auteur de polars franco/anglais. Tous deux m’ont confié qu’ils étaient passionnés d’automobiles. Le père de Laurent a même tenu un garage !

AG : Il y a plus d’une relation entre les univers du polar et de l’automobile… ça pourrait presque faire l’objet d’un livre !

BG : Vous ne croyez pas si bien dire… Mais ceci est une autre histoire…

AG : Vous disiez tout à l’heure « on a décidé de sortir le premier livre pour les 24 Heures du Mans 2018 ». Cela signifie qu’il y en aura d’autres ?

BG : Pour l’instant, Rebellion s’apprête à écrire la suite de ce livre en temps réel lors de cette super-saison 2018-2019. Comme dans les bons vieux feuilleton de suspense, nul ne peut imaginer ce qui peut se passer. Rendez-vous au Mans en juin 2019 !

©Amandine Gazeau

Pour se procurer le livre, écrire à : cil.diffusion@gmail.com

 

 

 

05 Mai

« Les 800 Heures » retours sur la carrière incroyable de Paul Frère, journaliste Belge, ingénieur et pilote de légente !

Paul Frère est un mythique pilote Belge, unanimement admiré en Belgique et dans le Monde de l’automobile.

Il fut en effet à la fois journaliste, ingénieur et pilote.

Admiré pour ses facultés d’analyse, de développement et de mise au point, il fut aussi le premier Belge à monter sur le podium d’un Grand Prix de Spa-Francorchamps en 1956 lorsqu’il se classa deuxième sur Ferrari derrière son co-équipier Peter Collins. Il fut aussi et surtout l’UNIQUE journaliste à avoir gagné les 24 Heures du Mans (en 1960).

Ses amis et proches louent en outre ses qualités humaines exceptionnelles.

Antoine Seyler, que Paul Frère considérait comme « le fils qu’il n’avait jamais eu » (Paul Frère eut trois filles) n’hésite pas à affirmer qu’il incarnait à ses yeux une forme de perfection !

Paul Frère est l’auteur de plusieurs livres dont « Les 800 heures »

Description

Quatre-vingt-onze photos n/b hors-texte – Table des matières : Une course entièrement originale – Les premières pages de l’album aux souvenirs – Pilote aux 24 heures du Mans – Suprématie et chute de Maranello – Un tour de circuit de La Sarthe – Les voitures des 24 heures – Un an de travail pour 24 heures de course – Quo Vadis 24 heures ? – Règlement.

 

Et

«  Un des vingt au départ », évoquant les débuts de sa carrière comme pilote.

 

06 Avr

Rebellion Racing affiche ses ambitions !

Prologue FIA WEC, Castellet : conférence de presse de Rebellion Rcaing, menée par Calim Bouhadra, entouré des pilotes (Gustavo Menezes, Thomas Laurent, Mathias Beche) et des partenaires de Rebellion (Oreca/Hugues de Chaunac et TVR/Les Edgar).

L’ambition de Rebellion est de devenir la meilleure équipe privée dans la catégorie reine LMP1 et « pourquoi pas essayer de concurrencer l’unique LMP1 constructeur de la saison 2018-2019: Toyota ».

Affaire à suivre dans un beau livre en préparation, quoi doit sortir à l’occasion des 24 Heures du Mans 2018 : « Rebellion Racing aux 24 Heures du Mans »…