05 Juil

« On s’y col » 4 dates pour grimper à vélo 4 cols mythiques des Pyrénées

Col du Soulor 2016 ©CDT 64

Col du Soulor 2016
©CDT 64

L’opération « On s’y col » permet aux cyclistes amateurs de vivre une expérience unique en grimpant les cols mythiques des Pyrénées fréquemment empruntés les cyclistes du Tour de France à l’assaut des Pyrénées. 4 cols pour 4 ascensions dont une nocturne. Premier coup de pédale le 9 juillet à la Pierre Saint-Martin. 

L’opération « On s’y col » créée en 2015 rencontre un succès croissant. 600 participants en 2015 et 1200 en 2016.  La troisième édition propose pour la première fois une ascension nocturne du col du Soulor, une nuit de pleine lune.

Le principe est simple et se veut convivial. C’est gratuit, les inscriptions sont ouvertes à tous, quelque soit son niveau. Les routes des cols sont pour l’occasion fermées à la circulation, ce qui permet d’aborder la montée à son rythme tout en profitant des paysages pittoresques des Pyrénées, du passage dans les villages aux lacets les plus hauts. Après l’effort un repas festif, accompagnés d’une la remise de tee-shirts et de diplômes, et pour la première fois l’organisation d’un jeu concours avec séjour à la clé.

4 cols des Pyrénées à grimper à vélo pour le plaisir :

  • Col de la Pierre-Saint-Martin, le dimanche 9 juillet
  • Col du Soulor en version nocturne, le samedi 22 juillet
  • Col de Bagargui, le dimanche 27 août
  • Col d’Aubisque, le dimanche 10 septembre

 

 

04 Juil

En 2018, le parc National d’Ordesa et du Mont-Perdu va fêter ses 100 ans d’existence

Le parc est surmonté au Nord par le massif des Trois Sœurs (Tres Sorores en espagnol, Tres Serols en aragonais) constitué par le Mont-Perdu (3355 mètres), le Cylindre (3 327 m) et le Soum de Ramond (3260m). ©Capture vidéo

Le parc est surmonté au Nord par le massif des Trois Sœurs (Tres Sorores en espagnol, Tres Serols en aragonais) constitué par le Mont-Perdu (3355 mètres), le Cylindre (3 327 m) et le Soum de Ramond (3260m).
©Capture vidéo

Après l’anniversaire des 50 ans du Parc National des Pyrénées, ce sera au tour du Parc National d’Ordesa et du Mont-Perdu (Espagne) de célébrer en 2018 son siècle d’existence. Classé au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1997, il est l’un des plus anciens parcs d’Espagne. Retour en images sur 100 ans d’histoire.

Le Parc National d’Ordesa et du Mont-Perdu se trouve dans les Pyrénées aragonaises dans le Sobrarbe. Il a été créé en 1918 par un décret royal. A son origine, il incluait la vallée d’Ordesa, mais en 1982 il a intégré la vallée de Pineta, les gorges d’’Escuaín et le Canyon d’Anisclo. Le territoire forme le grand massif calcaire du Mont-Perdu représentant une superficie totale de 15 608 hectares.
La préservation de son environnement, la diversité de ses paysages font de du parc transfrontalier avec la France, une merveille du massif des Pyrénées où glaciers, forêts de hêtres et de sapins, cascades au fond des vallées et déserts offrent des paysages montagnards extraordinaires et différents de son pendant français le cirque de Gavarnie.

Le massif des Trois Sœurs (Tres Sorores en espagnol, Tres Serols en aragonais) constitué par le Mont-Perdu (3355 mètres), le Cylindre (3 327 m) et le Soum de Ramond (3260m) domine la partie nord du parc. On y trouve aussi de nombreux 3000 mètres, comme le Marboré, le Taillon, le Petit et le Grand Astazou, les pics des Gabiétous, la Tour et le Casque. qui sont situés sur la crête frontière entre l’Espagne et la France, dont l’un des lieux les plus emblématiques est la brèche de Roland.

29 Juin

La route du col d’Agnes remise en état juste à temps pour le passage du Tour de France

©Maria Lafourcade / France 3 Occitanie

©Maria Lafourcade / France 3 Occitanie

Les travaux de la route du col d’Agnes avancent. Renforcement des remblais, remise en état de l’enrobé, tout doit être fin prêt pour l’étape ariégeoise du Tour de France entre St Girons et Foix. La route doit rouvrir à la circulation vendredi 7 juillet. Tout juste une semaine avant le passage des coureurs cyclistes.

Le 3 juin dernier un spectaculaire éboulement avait fortement endommagé la route du col d’Agnes. En trois semaines, il a fallu déblayer des tonnes de gravats, stabiliser le terrain en posant des blocs de rochers, soutenir les remblais.

©Maria Lafourcade / France 3 Occitanie

©Maria Lafourcade / France 3 Occitanie

Et aussi poser une paroi en béton de plus de 50 tonnes. L’étape la plus compliquée de ce chantier réalisée par des entreprises locales privées sous la responsabilité du Conseil départemental.

©Maria Lafourcade / France 3 Occitanie

©Maria Lafourcade / France 3 Occitanie

Les travaux démarrés dans les plus brefs délais touchent à leur fin. Un tour de force compte tenu de l’ampleur des dégâts, des conditions météo et du délai. Si la course cycliste de l’Ariégeoise a du être déroutée, ce ne sera pas le cas du Tour du France dont le tracé de l’étape St- Girons / Foix passe par le col d’Agnes (1500m) le 14 juillet.

Le reportage de Maria Lafourcade et Pascal Dussol :

Plus de 300 000 euros ont été engagés pour l’ensemble des travaux de réparation, du déblayage à la finition du bitume.

Météo : il neige sur le Pic du Midi un 29 juin

© Webcam Pic du Midi le 29 juin 2017

© Webcam Pic du Midi le 29 juin 2017

Le froid est de retour sur l’hexagone. En plaine, les valeurs sont inférieures de 10 degrés aux valeurs de saison. Et en altitude, la pluie devient neige. Avec une limite qui se situe entre 2400 et 2500m d’altitude. Au Pic du Midi, les flocons sont de retour.

Un 29 juin, alors que l’été vient de s’afficher au calendrier, il neige sur les plus hauts sommets des Pyrénées. Les chutes de neige ont débuté dans la soirée

du  28 juin. Comme ici au Pic du Midi (Hautes-Pyrénées) à 2877m d’altitude.

Les images du sommet ce jeudi :

Un scénario qui devrait se poursuivre jusqu’à samedi, journée la plus fraîche de la semaine selon Météo France.

Les randonneurs devront faire preuve de prudence, avec le froid et la neige, les conditions pour les randonnées changent notamment avec le retour de sols et de rochers glissants. Soyez prévoyants et emportez bonnet et gants, en altitude le froid est souvent mordant.

27 Juin

Hautes-Pyrénées : les journées du reportage à Bourisp

©Comité des fêtes de Bourisp

©Comité des fêtes de Bourisp

Pour la 3ème année consécutive, le village de Bourisp (Hautes-Pyrénées) accueille du 30 juin au 9 juillet les journées du reportage. Il s’agit principalement de reportages photos qui trouvent comme décor naturel le cadre du pittoresque village de montagne.

Les organisateurs proposent sans imposer (car il n’y a  pas de thématique unique) un voyage à travers de nombreux reportages photos réalisés par des professionnels ou des amateurs. Un des originalités, le cadre de l’événement qui se déroule en plein air dans les rues et cours de la commune. Les sujets traités sont très variés : étranger, social, culturel, environnement, guerre, amour … Ils ont été soigneusement choisis par un comité de sélection avec pour lien commun à la notion de reportage. C’est-à-dire qu’ils racontent une histoire avec une unité de lieu ou de temps.

Les auteurs seront présents du vendredi au dimanche afin de travailler avec les écoliers et d’échanger avec le public. Certains interviendront également le vendredi soir et le samedi soir lors de « conférences-débats » sur le travail de photoreporter.

On retrouvera les clichés de :

  • Laurence Fleury: « Les nouvelles bergères des Pyrénées »
  • Patrick Godeau : « Jazz à Luz, festival haut perché »
  • Henri Coldeboeuf : « Fêtes historiques à Rochefort en 2015 et 2016 »
  • Jean-Michel Nossant : « La classe maternelle d’Élouan »
  • Frédéric Grimaud : «La communauté népalaise Rana Tharu »
  • Pierre Ciot : « Manifestation contre le projet de loi El Khomri »
  • Yohan Bonnet : «Jacques, une histoire ordinaire»
  • Laurent Mazzaggio : «Cambodge pause»
  • Jacques Hamel : «ARTE XÁVEGA, pêche en mer traditionnelle au Portugal»
  • Philippe Abadie : «Cuba de l’ombre à la lumière»
  • Christian Bellavia : «Sivens ou le barrage impossible»
  • Julien Ermine : «Hébron, une jeunesse sous tension»
  • Jeanne Taris : «Gitanos de la ciudad sin ley»
  • Antonio Gibotta : «Le voyage d’un pèlerin»
  • Youri Bilak : «Projectio»
  • Olivier Touron : « Ecosse »
  • Vincent Levrier : Arizo

En savoir plus sur les journées du reportage de Bourisp.

Pyrénées : la randonnée, une pratique de plus en plus tendance

MaxPPP / Gaétan Bally

MaxPPP / Gaétan Bally

Se couper du monde, vivre hors du temps, éprouver l’effort d’un plaisir simple : la randonnée est une tendance. Plus de 18 millions de Français pratiquent la marche à pieds, et avec eux, c’est tout un secteur de l’économie qui se met en marche. Un feuilleton signé Marc Raturat et Elise Laperdrix.

Banyuls dans les Pyrénées-Orientales. Départ depuis Banyuls sur le sentier du GR10. Le chemin de grande randonnée qui traverse d’est en ouest le massif sur lequel se croisent des milliers de randonneurs à la belle saison.

Col de Pailhères dans l’Ariège. Courir en montagne a longtemps été considéré comme sacrilège. Le montagnard devait avoir un pas mesuré pour marcher longtemps, ne pas se blesser…
Depuis une petite dizaine d’années le randonneur traditionnel voit apparaître une nouvelle sorte de montagnard, le Trailer, le coureur de montagne en français qui le laisse dubitatif.

Tourneboup. Lac Dets Coubouts dans les Hautes-Pyrénées. Le Col du Tourmalet a gagné sa réputation grâce au tour de France, mais la montagne ne se résume pas à la seule route.
Perpendiculaire au col, la vallée de Lagaubie a su préserver un aspect glaciaire.

Col du Portet-Etang de l’Oule dans les Hautes-Pyrénées. A cet endroit le GR ressemble à une allée de parc. Plat, peu de dénivelé, ni de trop gros caillou.
Cette portion dessinée dans les estives rejoint en 2km le lac de l’Oule.
La Fédération de la Randonnées Pédestre en a la charge.

22 Juin

Les questions (pas si bêtes) que vous vous posez avant de partir en randonnée pour la première fois

Comme toute chose nouvelle, faire sa première randonnée en montagne et de préférence dans les Pyrénées, ne s’improvise pas. Vêtements, parcours, météo, nourriture sont autant de sujets pour lesquels il est indispensable de se renseigner. On fait le point.

Comment choisir ses chaussures ?

Des chaussures à votre pied

Sans chaussures, pas de randonnée possible. C’est le matériel indispensable sur lequel il faut porter toute son attention. On déconseille les chaussures neuves sorties de la boîte sans jamais avoir été essayées pour un premier départ. Prenez le temps de les tester pas nécessairement sur terrains accidentés. Si les nouveaux matériaux ont progressé, certains modèles trop rigides et certains pieds plus fragiles souffrent encore d’ ampoules et divers bobos. Une entrée en matière décourageante pour des premiers essais de marche en montagne. Faites-vous aider pour votre premier achat, il en existe pour tous les niveaux et toutes les ambitions.

Quels sont les vêtements dont on ne peut pas se passer ?

Des vêtements choisis en fonction de la saison

Sans pour autant se ruiner avec l’achat de vêtement très techniques, il faut est préférable de partir avec des affaires adaptées à l’effort physique. Un tee-shirt respirant, une laine polaire, un pantalon léger et dans lequel on est confortable. Un vêtement pour se protéger du vent et de la pluie. En montagne le temps change rapidement et il faut pouvoir se protéger rapidement. Dans le sac, on laisse une paire de gants et un bonnet. En altitude, il fait vite froid. Le thermomètre perd 1°C environ tous les 100m d’altitude. De la même manière, il faut toujours avoir avec soi des lunettes, un chapeau et une crème solaire.
Le sac à dos doit être adapté à votre morphologie. Inutile de prendre trop grand au risque de le charger et de caler en cours de randonnée, épuisé par le poids du sac-à-dos.

Comment choisir son parcours ?

Un parcours à votre portée

Il ne faut pas croire que la montagne plus c’est haut plus c’est beau. Et l’envie de grimper jusqu’au sommet donne des ailes. Pour la première fois, il vous faudra peut-être modérer vos envies. Se lancer dans l’ascension d’un sommet même de moyenne altitude peut vite se révéler au-dessus de vos limites. C’est aussi le cas des animaux domestiques qui vous accompagnent en sortie. L’objectif est de se faire plaisir, pas d' »en baver » au point de ne plus vouloir recommencer. Alors renseignez-vous sur le parcours. Le nombre de mètre de dénivelé permet d’établir le niveau de difficulté. On compte 300 m/heure pour un randonneur moyen (non débutant). Quand les distances à parcourir sont importantes, il faut pondérer la montée avec le dénivelé.

Comment consulter la bonne météo ?

La météo à évaluer avant le départ

Premier réflexe à avoir pour préparer sa sortie, consulter le bulletin montagne de Météo France sur le site ou par téléphone 08 99 71 02 XX. Les deux chiffres sont ceux du département dans lequel vous comptez randonner. La précision est importante car d’un bout à l’autre du massif des Pyrénées, les conditions météorologiques peuvent être radicalement différentes.
Si la météo est mauvaise (pluie, orage, neige) autant renoncer tout de suite à la randonnée et la programmer ultérieurement. S’il y a bien des éléments contre lesquels on ne peut lutter ce sont ceux-là. Pour un randonneur débutant, il s’agit tout simplement de bon sens. Déraisonnable de se mettre dans une situation galère dès son premier essai.

Alimentation, de quoi ai-je besoin ?

De l’eau et de la nourriture pour la balade et un tout petit peu plus

Qui dit effort, dit carburant. En montagne, les besoins en calorie augmentent avec la difficulté de la course et les conditions météo. S’il fait froid, l’organisme est mis à rude épreuve et prendre le temps de bien se nourrir est indispensable. Quand il fait chaud et avec la montée en altitude, les besoins en eau croissent. Pour que les muscles fonctionnent normalement, il ne faut pas être déshydraté. De l’eau dans des bouteilles plastiques, des encas énergétiques et un pique-nique pour les sorties à la journée sont suffisants. Choisissez des emballages légers et surtout pensez à les ramener dans la vallée. Et gardez quelques réserves au cas où la promenade durerait plus longtemps que prévu.

 

Parmi les autres précautions, prévenez vos proches de votre destination. Si vous avez les genoux fragiles, des bâtons vous aideront dans les descentes. Et prenez votre téléphone portable, il peut être d’un grand secours pour alerter. Et aussi faire quelques photos souvenirs.

 

21 Juin

Le Parc National des Pyrénées fête ses 50 ans avec les enfants

Au lac de Payolle, les enfants sont sensibilisés à la protection de la nature par les gardes moniteurs du Parc National des Pyrénées. ©Régis Cothias / France 3 Occitanie

Au lac de Payolle, les enfants sont sensibilisés à la protection de la nature par les gardes moniteurs du Parc National des Pyrénées.
©Régis Cothias / France 3 Occitanie

Le Parc National des Pyrénées fête cette année un demi-siècle d’existence. Un cinquantenaire fêté durant tout l’été avec une foule d’animations : expos, rencontres mais aussi des randonnées. En point d’orgue une traversée à pied de la réserve naturelle. Ce mardi, les élèves à cet anniversaire avec des journées de découverte comme ici au Lac de Payolle, à 1.200 m d’altitude, sur les pentes du col d’Aspin.

Décrire, raconter la nature c’est le travail de David Rouanet, garde moniteur à St-Lary. Le Parc National étudie, préserve, protège les montagnes des Pyrénéees. Dans sa mission figure également le partage de ces connaissances auprès du public et notamment auprès des enfants.

Créé en mars 1967, le Parc célèbre cette année ses 50 ans.  Il s’étire sur 100 km et 6 vallées, 45.000 ha dans sa zone coeur et renferme de véritables joyaux de la nature comme le cirque de Gavarnie, les cascades du Pont d’Espagne, le Pic du Midi d’Ossau, des lacs, des fleurs uniques comme l’aster des Pyrénées, des animaux emblématiques gypaète, isard, grand tétras…

Consultez ici l’intégralité du programme des festivités :

20 Juin

Vidéo : les rues du Pas de la Case inondées suite à un gros orage

Webcam Grandvalira 20 juin 15h35

Webcam Grandvalira 20 juin 15h35

Des orages localement très violents se sont déclenchés sur la chaîne des Pyrénées, ce mardi dans l’après-midi. La quantité d’eau tombée en peu de temps a fait rapidement gonfler les ruisseaux de montagne qui ont débordé jusque dans les rues de la Pas de la Case, inondant une grande partie de la ville.

Sur la vidéo, l’eau qui arrive avec une grande force de la montagne déborde en bas des pistes noyant littéralement un des parkings de la station de GrandValira.

Une peu plus bas, dans la ville du Pas de la Case, les rues sont inondées. Les devantures des magasins sous l’eau.

19 Juin

Le PGHM de l’Ariège porte secours à un chien épuisé lors d’une randonnée dans les Pyrénées

©PGHM - Savignac-les Ormaux

©PGHM – Savignac-les Ormaux

Le Peloton de gendarmerie de haute montagne de Savignac-les-Ormeaux a porté secours à un chien qui n’arrivait plus à marcher lors d’une randonnée dans les Pyrénées ariégeoises. Ce sont ses maîtres qui ont appelé les gendarmes en constant que « Kenzo » ne pouvait plus les suivre.

Les gendarmes de haute montagne ont pour vocation de secourir les hommes en perdition. Ce dimanche après-midi, dans le Donezan, les hommes du peloton de Savignac-les-Ormeaux sont partis chercher « Kenzo » un chien American Staff de 30kg plus habitué aux canapés qu’à la randonnée en montagne. Ses maîtres étant dans l’incapacité de le porter, ils ont naturellement fait appel aux gendarmes qui n’ont pas hésité à intervenir et à le redescendre sur un brancard.

Le PGHM en profite pour rappeler sur sa page facebook un principe de précaution avec un brin d’humour que « Comme pour les humains, il ne faut pas surestimer les capacités physiques de son animal surtout si celui-ci est un toutou citadin ! »

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