18 Juil

Les Pyrénées : le remède anti-canicule

cc : E. D'Ascoli Photographies

cc : E. D’Ascoli Photographies

En ces temps de fortes chaleurs, une seule direction pour trouver un peu de fraîcheur : les Pyrénées. Plus on gagne de l’altitude, plus l’air est frais. Et, le vent des crêtes permet de respirer alors que l’ambiance est étouffante un peu plus bas dans la plaine.  Voici les 4 bonnes raisons qui vous feront quitter les villes et les plaines surchauffées.

1- 100m d’altitude c’est un degré de moins au thermomètre

En altitude, même par temps excessivement chaud, le thermomètre varie fortement. Les nuits sont fraîches, voire froides. Et les matins, plein de rosée. Si dans la journée le mercure peut grimper très fort quand on approche les cimes, il redescend très vite dès le soleil couché. Par ailleurs, sauf phénomène d’inversion thermique, tous les cent mètres d’altitude gagnés, le thermomètre perd environ un degrés.

2- L’eau fraîche des rivières comme régulateur thermique

Inutile de prendre le maillot de bain. Se tremper les pieds dans les ruisseaux et les lacs suffit largement à éviter le coup de chaud. En lacs de montagne, la température en surface de l’eau se situe entre 5 degrés pour les lacs glaciaires et 15 degrés pour les plus bas. S’y tremper entraîne un véritable choc thermique dont il faut se méfier. S’y baigner intégralement y est même dangereux. On fait tremper les pieds, on se mouille la nuque et déjà on se sent mieux.

3- Le vent des crêtes : un ventilateur permanent

Destination crêtes, cols et sommets pour profiter de l’air frais. Effets cumulés de la prise d’altitude et du vent des crêtes, même par fortes chaleurs, il est souvent nécessaire d’enfiler une laine polaire et un coupe vent quand on atteint les points les plus hauts. C’est le vent des crêtes. Il fait plus que rafraîchir : il refroidit.

4- Chercher l’humidité dans les forêts

Pour ceux qui n’ont pas l’ambition d’atteindre les sommets, la balade en sous-bois est une bonne alternative. La fraîcheur y est maintenue grâce au parasol naturel des branches et des feuilles et au sol toujours humide qui ne voit pas le soleil. Les premières hêtraies se trouvent dès 600m d’altitude. De nombreux chemins et routes forestières permettent de s’y promener sans compétence technique particulière et cela un peu partout de l’est à l’ouest de la chaîne.

Voici donc pourquoi, les Pyrénées restent la destination fraîcheur du sud de la France.

13 Juil

Les bouquetins ibériques prospèrent dans les Pyrénées

©PNP / Jean-Paul Crampe

©PNP / Jean-Paul Crampe

Le printemps 2016 a été un bon cru pour la famille des Bouquetins ibériques. Le Parc National des Pyrénées a enregistré 9 naissances intervenues entre mai et juin derniers. Deux cabris sont malheureusement décédés, effet de la sélection naturelle.  La population est à ce jour estimée à environ 70 individus.

Les mois de Mai et de Juin correspondent à la période des naissances chez les ongulés. Avec 9 naissances naturelles, moins deux décès la population des bouquetins ibériques implantée dans le Parc national des Pyrénées s’accroît à un bon rythme. A ce jour, et avant de prochaines réintroductions, un peu plus de 70 individus évoluent désormais essentiellement dans une zone couvrant le Péguère et  le Soum de Grum/Barbat et le lac d’Estaing.

Trois noyaux constituent l’ensemble de la population dans les Pyrénées. L’un récent constitué d’une dizaine d’individus dans le secteur de Gavarnie, l’autre dans le Couserans en Ariège qui compte également une 60 aine d’individus.

La reproduction naturelle ainsi que les apports d’individus venus de la sierra de Guadarrama en Espagne doivent atteindre 200 bouquetins pour que leur survie soit assurée de façon pérenne.

LIRE ICI LE DOSSIER SUR LES BOUQUETINS DES PYRENEES

Pyrénées espagnoles : le massif de la Maladeta a un nouveau refuge gardé

Le refuge du Cap de Llauset dans les Pyrénées Aragonaises ©Federacion aragonesa de montanismo

Le refuge du Cap de Llauset dans les Pyrénées Aragonaises
©Federacion aragonesa de montanismo

Il aura fallu attendre 6 ans avant que le nouveau refuge du massif de la Maladeta, dans la partie aragonaise des Pyrénées ne voit le jour. C’est fait. Il a ouvert ses portes aux randonneurs tout début juillet à l’entame de la saison des randonnées en altitude.

Niché à 2425m d’altitude le refuge du Cap Llauset est désormais le plus haut refuge gardé des Pyrénées Aragonaises. Il ouvre des perspectives aux randonneurs du GR11 et aussi à ceux qui veulent s’attaquer aux plus hauts sommets de la chaîne des Pyrénées dans le secteur des Monts maudits qui compte 20 pics culminant à plus de 3000m. Il rend également possible en combinaison avec celui de la Rencluse, un périple autour de l’Aneto, le plus haut sommet des Pyrénées.

Six ans de travaux ont été nécessaires pour la mise en place du module le plus important de la bâtisse. Soit 940m² qui proposent 30 places soit les 2/3 de sa capacité maximale à l’achèvement des travaux. Le coût des travaux est évalué à 2,5M d’euros. Le refuge dispose de toutes les commodités que l’on trouve habituellement en refuge et aussi plus rare de l’internet, d’une webcam, et d’un système d’évaluation météo.
Il est possible d’effectuer les réservations en ligne.

 

12 Juil

Les 14 commandements pour réussir sa randonnée dans les Pyrénées

©manuel | MC

©manuel | MC

C’est le moment de sortir le sac à dos et les chaussures de montagne du placard. La saison de la randonnée est ouverte. Afin de bien se préparer, le site internet reussirmarandonnee.fr, recense point par point  tout ce qu’il faut anticiper en terme de matériel et les comportements à adopter pour une balade en toute sécurité. Ce sont 14 commandements dont voici l’essentiel.

On ne part pas en montagne sans un minimum de préparation même la « montagne à vache », l’appellation commune des parcours peu sportifs réservés aux familles.

1- La météo, tu surveilleras

Essentiel. Toute randonnée n’est envisageable que si le temps est adapté. En été, les phénomènes à observer sont les orages. Ils sont fréquents et se développent vite en altitude. La foudre est un réel danger pour les promeneurs. Le vent pose aussi un problème lorsqu’il est violent, ce qui est assez commun lorsque l’on approche des crêtes. Et enfin, la neige. Car oui, il y en a encore en montagne. Les névés sont des sources fréquentes de chutes qui ne se terminent pas toujours très bien. Cette année particulièrement, les plaques de neige sont nombreuses en début de saison estivale.

2- Le parcours, tu étudieras sur la carte

Une carte tu prendras et tu t’entraîneras à lire. Chaque couleur a un sens. Une carte IGN place toujours le nord en haut de la carte. Bref, un petit apprentissage à réaliser avant de prendre le départ. Quand on est perdu, même si on a une carte, c’est trop tard.

3- Du niveau des membres du groupe, tu tiendras compte

Il est primordial d’adapter son choix de promenade à son niveau d’entraînement. Pour la première sortie de l’année éviter de faire l’un des 212 3000 que comptent les Pyrénées. Si vous partez à plusieurs. Il faut s’adapter au niveau du membre le plus faible. Outre la distance, s’est surtout le dénivelé qu’il faut regarder. Au delà de 1000m dans la journée, il faut déjà avoir un certain entraînement.
4 catégories sont décrites, elles te permettront d’évaluer les marcheurs.

4- Le fond du sac, tu vérifieras

S’il est important de ne pas trop se charger, il reste indispensable de prendre l’indispensable. C’est ce que l’on appelle le fond de sac. Composé pour l’essentiel de la trousse de secours, du téléphone portable chargé, de la couverture de survie, des cartes ou topos correspondant à votre randonnée, d’une casquette ou d’un bob, de lunettes de soleil, de crème solaire, d’un sifflet : utile pour alerter les secours; d’eau et de  nourriture en quantité suffisante mais pas trop. Et aussi d’un vêtement pour la pluie, de gants et d’un bonnet, même en été les températures peuvent brutalement chuter, d’un sac poubelle pour ramener les déchets qui sera utile pour garder les affaires au sec en cas de pluie. Plus un sac est grand plus on tendance à la charger…

5- Jamais seul, tu ne partiras

Faire de la randonnée n’est pas sans danger. La moindre chute se transformer en drame. Un coéquipier est donc indispensable. Et même accompagné, il est important de prévenir votre entourage de votre destination. Ils seront à même de contacter les secours si vous ne rentrez pas dans les temps.

6- Aux enfants, tu t’adapteras

Partir en montagne avec des enfants se prépare. En plus d’un itinéraire adapté à leur niveau et à leur âge, on est vigilent sur leurs chaussures qui doivent être de vraies chaussures de randonnée. Les tout petits seront portés. Là encore, il faudra être attentif à leur installation et aux protections contre le soleil et le froid.

7- L’alerte, tu sauras donner en cas d’accident

Un seul numéro à retenir : le 112. En montagne le réseau n’est pas égal, donc il n’est pas toujours facile de téléphoner. Si un refuge est à proximité, ne pas hésiter à s’y rendre. Quand l’hélicoptère approche le signe conventionnel pour demander de l’aide est le Y fait avec les bras en l’air. En attendant leur arrivée, il faut protéger les randonneurs à commencer par soi-même et donner les premiers secours. Se faire aider si vous n’êtes pas seul.

8- Partir tôt, tu t’obligeras

Plus on donne le top départ de la balade tardivement plus on voit les risques de changement de la météo augmenter. En effet, pendant la période estivale, les risque d’orages est non négligeable. La plupart du temps, ils éclatent dans l’après-midi et en soirée. Cela permet aussi, de partir « à la fraîche », de se laisser de la marge en cas de prolongation forcée de la randonnée..

9- Le chemin, tu suivras

Plusieurs raisons à signaler pour ce commandement essentiel. Votre sécurité bien sûr. Le chemin est toujours l’itinéraire le plus sûr. Son parcours est adapté graduellement à l’effort physique. Et puis, c’est respecter la biodiversité de la nature en ne la dégradant pas en marchant hors sentier.

10- La nature, tu respecteras

Rester propre et discret. Propre en ramenant vos déchets et en ne laissant rien sur place, même de la nourriture pour les animaux. Respectueux des animaux et des plantes. On ne cueille pas, on ne s’approche pas des animaux, on les dérange le moins possible…

11- De l’eau, tu boiras

Avant et tout au long de l’effort tu penseras à t’hydrater et à manger. Les règles de nutrition restent les mêmes que celles des autres sports d’endurance. Privilégiez la veille au soir un repas à base de sucres lents, ne pas boire d’alcool. Puis pendant, la promenade manger et boire régulièrement en petite quantité.

12- Tes déchets, tu ramèneras

Tu n’aimes pas voir les détritus des autres randonneurs, donc tu ne fais pas la même chose. La montagne est un espace de liberté sauvage qu’il faut respecter pour qu’il reste une destination nature propre. Donc, ton passage doit être invisible. A commencer par les restes de tes encas.

13- Les animaux, tu ne nourriras pas

Ils n’ont pas besoin de toi. Toute l’année, ils se débrouillent tout seul. Par ailleurs, ce que tu pourrais leur laisser risque d’être inadapté à leur besoin, tu pourrais donc les mettre en danger.

14- Le balisage, tu suivras

Il existe différents types de balisages. Ceux-ci te permettent de savoir où te te situe, comme ceux spécifiques du Parc National, d’autres de repérer ton chemin. Le plus connu d’entre eux est celui du GR10, le sentier qui traverse les Pyrénées de part en part. Il est constitué de deux barres de peinture une rouge et une blanche.

 

11 Juil

Les plus belles photos d’orages sur les Pyrénées

Orage sur le Viscos près de Luz Saint-Sauveur ©Roger Renan

Orage sur le Viscos près de Luz Saint-Sauveur
©Roger Renan

Comme souvent en période estivale, les orages sont nombreux en montagne. Habituellement, ils éclatent en deuxième partie de journée et en soirée. Dans la journée du dimanche 10 juillet, l’activité orageuse a été importante dans les Hautes-Pyrénées comme en témoignent les photos postées sur les réseaux sociaux.

L’orage en approche du Pic du Midi

Toujours dans le Hautes-Pyrénées, l’activité orageuse a été intense entre 23h et 6h du matin

La foudre est tombée

Puissant éclair sur le sommet du Viscos aperçu depuis Luz Saint-Sauveur

Les routes de la réserve naturelle du Néouvielle se découvrent désormais en vélo…électrique

Lac d'Oredon ©Cyril Denise/ PNP.

Lac d’Oredon
©Cyril Denise/ PNP.

Cet été, quatre vélos à assistance électrique sont mis à la disposition du public afin qu’il découvre sans (trop) d’efforts les lacs d’Orédon, d’Aubert ou de Cap de Long, joyaux du massif granitique de la réserve naturelle du Néouvielle.

Il est désormais possible pour tout un chacun de parcourir les routes de la réserve du Néouvielle cheveux au vent, sans avoir une préparation physique exceptionnelle. En effet, le Parc National des Pyrénées, gestionnaire de la réserve met à la disposition du public, au niveau du parking d’Oredon les vélos en échange de papiers d’identité. Seule la circulation sur  les routes bitumées est autorisée.

C’est gratuit. Mais attention, il n’y a que quatre vélos pour l’été.

En dehors de la période estivale, il faudra réserver les vélos pour en disposer. Un numéro téléphonique est  en service pour la livraison à domicile (05 62 54 16 70) mais elle restera à la charge du bénéficiaire.

 

 

07 Juil

La terre a tremblé trois fois dans les Hautes-Pyrénées en moins de 24h

©Capture RéNaSS

©Capture RéNaSS

Un séisme de magnitude  2,8 sur l’échelle de richter s’est produit dans les Hautes-Pyrénées ce matin aux alentours de 4 heures. En moins de 24h, la terre a tremblé 3 fois dans les Hautes-Pyrénées. L’événement le plus fort évalué à 3,3 sur l’échelle de Richter s’est produit mercredi dernier dans l’après-midi.

Dans la nuit de mercredi à jeudi vers 4 heures du matin, un léger séisme a eu lieu. Le dernier de la série des 3 événements sismiques recensés à cette heure. Précédemment mercredi 6 juin à 19h26, la terre a de nouveau tremblé une deuxième fois. La force du phénomène a été évaluée à 1,8 sur l’échelle de richter. Quelques heures auparavant, un phénomène sismique modéré côté à 3,3 sur l’échelle de la force qui compte 9 stades, s’était produit  mercredi après-midi dans les Pyrénées-Atlantiques vers 16h30. Son épicentre se situait à 6km de Pau.

Trois petits séismes se sont donc produits dans les Hautes-Pyrénées entre mercredi et ce jeudi. Les deux derniers étant des répliques du premier, également le plus intense. Aucun dégâts n’a été recensé.

Les Pyrénées sont situés sur une zone sismique,  la chaîne est donc fréquemment secouée par des tremblements de terre modérés.

05 Juil

Avis de recherche pour trouver le randonneur disparu sur le GR10

Gérard Dufour est parti d'Handaye pour rejoindre Banyuls par le GR1. Il randonne seul sur le GR10.

Gérard Dufour est parti d’Hendaye pour rejoindre Banyuls par le GR1. Il randonne seul sur le GR10.

Le sexagénaire parti faire le GR10  n’a pas donné signe de vie depuis 7 jours. Ce mardi matin, les recherches pour le retrouver ont repris. Et un avis de recherche a été lancé.

Sa famille est inquiète. Gérard Dufour s’est engagé dans la traversée des Pyrénées en juin dernier. Arrivé au refuge d’Ayous mardi dernier, il ne donne plus de nouvelles depuis et il reste introuvable. Des recherches ont été engagées par le PGHM d’Oloron et et les gendarmes du peloton de Pierrefitte Nestalas. Son téléphone a été localisé près de Laruns mercredi dernier. Puis, jeudi dernier à Arrens-Marsous, selon une information de la préfecture. Il devait se rendre à Cauterets.

L’homme vêtu de couleur sombre et portant un sac à dos rouge randonne seul. Un avis de recherche pour disparition inquiétante a été publié.

Toute information susceptible de le concerner doit être transmise à la brigade de gendarmerie d’Argelès Gazost.

04 Juil

[Insolite] Des lamas s’installent au col du Tourmalet pour voir passer le Tour de France

Lamas au col du Tourmalet ©Joel Adagas

Lamas au col du Tourmalet
©Joel Adagas

Vous avez entendu parler d’isards, de marmottes et même d’ours. Mais saviez-vous qu’il y avait des lamas dans les Pyrénées ? N’en doutez plus, voici la preuve en images de la présence de l’animal originaire d’Amérique du Sud. Ils se sont installés, malgré la brume, aux premières loges au col du Tourmalet pour attendre les coureurs du Tour de France.

Lamas au col du Tourmalet ©Joël Adagas

Lamas au col du Tourmalet
©Joël Adagas

Une vingtaine de lamas circule sur les estives de La Mongie et du Tourmalet . Les animaux ont été introduits par un éleveur de la vallée de Campan en 2000. Leur adaptation s’est parfaitement déroulée. Le 2 juillet, ils ont grimpés à 2115m et se sont installés avec un peu d’avance à la meilleure place pour voir le peloton du Tour de France. Le tour ne passera par le col que samedi 9 juillet. Le Tourmalet fait partie des incontournables, il compte parmi les cols plus connus et est pris d’assaut par les cyclistes amateurs dès son déneigement effectué au mois de mai.

A priori, inoffensifs, il faut tout de même se méfier des camélidés. Ils pourraient cracher et mordre s’ils sont dérangés. Avec un chien, la situation peut se compliquer. Tenez le en laisse et ne vous approchez pas. En revanche, ils aiment se faire photographier et ils se laissent approcher facilement.

Un randonneur activement recherché sur le GR10

dufour

Un sexagénaire originaire de la région parisienne n’a pas donné signe de vie depuis 6 jours, alors qu’il effectuait la traversée des Pyrénées par le GR10. Des recherches ont été engagées tout le week-end, sans succès. Une enquête de gendarmerie est ouverte. 

Le sexagénaire est parti d’Hendaye le 10 juin dernier pour faire la traversée intégrale des Pyrénées, en autonomie. Tous les deux jours, ils donnaient des nouvelles à son épouse par téléphone. Vendredi, sans nouvelle de son mari depuis mercredi sa femme a alerté les secours en montagne de Pierrefitte-Nestalas (65).


Les gendarmes du PGHM d’Oloron  et les pompiers montagne ont engagé en vain des recherches le long du GR10 entre Ayous et le Val d’Azun  samedi et dimanche. Il aurait été aperçu pour la dernière fois le jeudi 30 juin à Arrens-Marsous (65) et devait se rendre à Cauterets (65) pour rejoindre Luz-Saint-Sauveur (65).
Depuis, toujours aucun signe de vie. Le randonneur reste introuvable. Sa famille a lancé un appel sur Facebook. 

Une enquête pour disparition inquiétante est ouverte afin d’analyser les informations recueillies.