08 Mar

Le combat des pères, de Raphaël Delpard

Bienvenue en misandrie !

La « justice » familiale est rendue quasiment exclusivement par des femmes.

La « justice » familiale est trèèèèès à gauche.

Le verdict est donc immuable : la mère est une victime. Le meilleur des pères du monde reste un bourreau. Les enfants sont la propriété exclusive de la mère. Le père a le privilège de payer la mère pour qu’elle puisse les élever dignement, mais n’a pas le privilège de les voir grandir.

 

Raphaël Delpard se bat contre les inégalités et les injustices. Autant dire qu’il n’est pas prêt de s’arrêter d’écrire…

Pour son dernier livre « Le combat des pères » (Le Rocher), il a enquêté pendant plus d’un an, et a rencontré des pères, des sociologues, des pédopsychiatres, des avocats, des membres d’association, des juges des Affaires familiales.

Il a mis en évidence les dysfonctionnements et les discriminations de notre système judiciaire : les pères convoqués arbitrairement au poste de police, les demandes exorbitantes de pensions alimentaires (accordées par les JAF), les mensonges et les coups tordus des mères en toute impunité, et au bout du compte la capitulation des pères devant un système pourri jusqu’à l’os.

Et un constat abjecte et inhumain : lors des jugements de divorce, la garde des enfants est attribuée à la mère dans 80 % des cas. Les pères sont systématiquement exclus et écartés de leurs enfants. 600.000 enfants ne connaissent pas leur père et grandissent sous la « protection » de la mère et sous les coups du beau-père.

Bien sûr, il y aura toujours la connasse de service pour éclairer le débat : Ah ben dans mon cas, c’est l’inverse. C’est le père que « ne veut plus voir » ses enfants et qui a refait sa vie… comme dans les bonnes fake news d’internet, où on ne te montre qu’une partie des images, et surtout pas l’historique, bien trop embarrassant.

« Le Combat des pères » ? Perdu d’avance.

Circulez, y’a rien à voir…