Imaginez un temps clair, un léger souffle de vent… et des paysages à vous couper le souffle. Des sensations que vous trouverez dans le diaporama de l’école d’aviation Mousquet’air ULM dans un vol ULM vers et au-dessus du Pic du Midi.
Le Pic du Midi de Bigorre est situé dans les Hautes-Pyrénées. Il culmine à 2 876 mètres. Il est connu entre autres pour la présence d’un observatoire astronomique. Aujourd’hui il est possible d’accéder au pic à pied, par des sentiers de randonnée, ou bien en téléphérique, au départ de La Mongie. C’est une destination appréciée des touristes à la recherche de panoramas grandioses.
Une photo postée sur le réseau social twitter par Europa en el Pirineo @CTPPOCTEFA. Un cliché signé Thomas Richard proposé au concours « Mon été dans les Pyrénées » initié par le CTP (communauté de travail des Pyrénées).
Le Gouvernement propose d’augmenter de 50 millions d’euros sur trois ans la contribution des collectivités au financement de l’ONF. Les communes forestières, nombreuses dans les Pyrénées, seraient directement impactées par le projet de Bercy.
L’Etat planche sur la préparation du budget 2015 et cherche à élargir les ressources. Il prévoit d’augmenter la contribution des communes au financement de la gestion des forêts par les collectivités. Concrètement, cela passerait par l’augmentation des frais de garderie (Les frais de garderie constituent la contribution de ces communes au financement de la mise en œuvre du régime forestier, par l’Office National des Forêts) et la taxe à l’hectare.Chaque municipalité s’engageait à verser à l’ONF 2 euros par hectare. La taxe passerait, en 3 ans, à 14 €. Selon la Fédération na tionale des Communes forestières cette charge est trop importante et met en danger la forêt en France.
Par ailleurs, pour la Fédération nationale des Communes forestières et le Syndicat National Unifié des Personnels des Forêts et de l’espace Naturel, ce projet signifierait la rupture du contrat d’objectif entre l’Etat et l’Office. Un contrat qui court jusqu’en 2016. Et qui avait été mis en place en 2011 afin de remettre à flots l’ONF. Parallèlement, les élus de montagne dénoncent ces mesures. Selon eux, elles mettraient en péril les budgets municipaux qui vivent en grande partie des revenus de l’exploitation forestière. Explications avec le reportage préparé par Régis Cothias :
Pour plaider leur cause la Fédération nationale des Communes forestières sera reçue par le ministre Stéphane Le Foll, le 18 septembre.
Quand les paysages s’animent, ils prennent corps, ils prennent vie. Le Timelapse de Tolkiehn66, c’est un véritable bol d’air dans les Pyrénées-Orientales. Départ depuis l’altitude zéro sur la côte méditerranéenne pour les Pyrénées vers Font-Romeu entre 1600 et 1750 mètres. Une belle montée, tout en douceur et en fluidité, sur le rythme accéléré du ballet des nuages.
Pour les connaisseurs, les cliclés ont été pris avec un Nikon D5300 et une Gopro hero 3 black édition. L’effet time-lapse est une vidéo ultra accélérée réalisée à partir d’une série de photos.
Si vous ne connaissez pas encore le cirque de Barroude (Hautes-Pyrénées), le diaporama de Philippe Villette vous donnera à coup sûr l’envie de vous y rendre. Même si, ce n’est pas possible tout de suite, vous programmerez bien vite une randonnée dans ce coin du Parc national des Pyrénées. Barroude et le Port vieux, c’est la majesté faite montagne. C’est un savant contraste de couleurs, de minéraux, de reliefs, une oeuvre d’art au naturel. Il est encore temps d’y aller, le refuge est gardé jusqu’au 5 octobre.
La scène se passe début août, dans la vallée d’Anisclo (province de Huesca) côté espagnol des Pyrénées, juste derrière Gavarnie. Le journaliste de France 3 Marc Raturat est en randonnée en famille. Il filme la scène sans s’approcher.
Tout à coup, sur le versant d’en face, des vautours fauves s’approchent d’une vache qui vient de vêler. Le veau est encore faible, allongé au sol. La vache va alors tout faire pour protéger sa progéniture.
Elle charge le groupe de plusieurs dizaines de vautours. Puis le veau parvient à se lever. La vache va alors protéger en priorité son veau et abandonner le placenta aux vautours qui le dévorent en quelques secondes.
Phénomène intéressant sur cette vidéo : la vache reçoit le soutien de ses congénères.
C’est d’ailleurs très intéressant de regarder les comportements de groupes des deux espèces qui se font face.
Le Parc National des Pyrénées veille sur une plante emblématique des Pyrénées : la subulaire aquatique. Dans les Hautes-Pyrénées, elle n’est présente que dans une petite laquette de la réserve naturelle du Néouvielle. Son déclin est observé de près chaque année. A ce jour, on impute sa disparition progressive aux effets du barrage situé au-dessus. La pollution n’est pas en cause.
Vidéo / le reportage de Régis Cothias et de Marc Lasbarrères
La Subulaire aquatique est une petite plante verte vivant qui a besoin d’un biotope bien particulier pour vivre et se développer. Elle aime les eaux peu profondes et fraîches des rives et des fonds des lacs d’altitude. Où on la trouve à moitié enfouie dans les sédiments. La petite plante de la famille des crucifères fait partie des espèces végétales protégées, elle est inscrite au Livre rouge de la Flore menacée de France. Sa présence en France n’a été décelée que dans le massif pyrénéen, particulièrement dans des Hautes-Pyrénées et dans la laquette inférieure d’Orédon dans la Réserve naturelle nationale du Néouvielle.
C’est ce que nous propose l’astronaute Reid Wiseman actuellement à bord de l’ISS (La station spatiale internationale). Il en profite pour prendre des clichés de la planète bleue. Sur son compte twitter @astro_reid, on découvre la Terre autrement. Ici, les Pyrénées se dévoilent dans toute leur splendeur d’Est en Ouest.
La Station spatiale Internationale est en orbite autour de la Terre à environ 325 km d’altitude à la vitesse de 28 000 km/h. L’ISS est la plus grande structure jamais assemblée dans l’espace. Occupée en permanence par au moins 3 astronautes, elle regroupe les États-Unis, le Canada, plusieurs pays européens (sous l’égide de l’ESA), le Japon, la Russie, l’Italie (participation supplémentaire par rapport à celle opérée via l’ESA) et le Brésil. Cliquez ici pour en savoir plus sur l’ISS et connaître sa position.
Ce n’est pas l’envie qui vous manque, mais vous avez toujours pensé, certainement à tort, que la pratique du canyoning n’était pas faite pour vous. Un seul moyen pour le savoir : vous rendre du 12 au 14 septembre à Luchon Superbagnères, au Rassemblement InterFédéral de canyoning.
Trois jours où fédérations (Fédération française de spéléologie, fédération de montagne et d’escalade et Fédération française des clubs alpins et de Montagne) organisent le RIF pour expliquer, faire des démonstrations et accompagner cette activité sportive à la croisée de plusieurs disciplines de montagne et d’activités d’eau vive. Nombreux sont ceux qui entre les mois de mai et d’octobre pratiquent les marches en rivière, les sauts et les descentes de toboggans, les descentes en rappel et la nage dans des piscines d’eau turquoise dans les Pyrénées ou dans la Sierra de Guara (toute proche).
Pendant ces trois jours des professionnels du canyoning vous proposeront (des initiations sportives, des conférences et des animations) ponctués de festivités et de rendez-vous conviviaux autour d’un repas-concert les vendredi et samedi soirs.
En vidéo / petit aperçu de ce qui vous attend
Voilà, vous n’avez plus aucunes excuses pour ne pas vous jeter à l’eau. C’est du 13 au 14 septembre à Luchon-Superbagnères (Haute-Garonne).
Vous n’avez pas encore conquis les plus hauts sommets des Pyrénées et donc n’avez pas pu découvrir les magnifiques panoramas de la chaîne. Ce n’est pas grave, le site Internet Pyrénées360 va y remédier. Vous y trouverez une foultitude de photographies panoramiques des sommets pyrénéens sur ses deux versants français et espagnols et quelques vidéos. Le principe est simple. Le cliché propose un panorama du sommet que vous déroulez en scrollant sur la photo. Ainsi, c’est comme si vous effectuiez un tour sur vous même de 360°. Et voilà, vous obtenez le même point de vue que si vous étiez tout là haut. Vous pourrez également tenter de reconnaître les pics et les paysages en toute saison. Sur certains clichés, les sommets sont même identifiés. Le site est très riche. Il permet de découvrir l’ensemble du massif en altitude en toute tranquillité et sans vous fatiguer.