Nous avions adoré « Je m’appelle Requiem et je t’… » de Stanislas Petrosky dans « 9h50 le matin »…
Nous avons rencontré l’auteur au salon Livre Paris, qui nous a parlé de son prochain opus « Dieu pardonne, lui pas ! »
ça promet !
Présentation de l’éditeur :
Estéban Lehydeux, dit Requiem, est de retour. Le curé exorciste débarque cette fois sur le port du Havre.
Il y découvre un docker bien sous tout rapport – si, si ça existe –, accusé de meurtre ; une boîte d’import-export d’objets et de matériel pas bien catholiques ; un syndicaliste forcené mais pas mauvais bougre ; des fanas du troisième Reich ; et bien évidemment une accorte jeune femme tellement mal fringuée qu’il s’empresse toujours, dès qu’il la croise, de la déshabiller !
Entouré de ces drôles de paroissiens notre héros, un Don Camillo carburant à la bière plus qu’à l’eau bénite, va devoir jouer du goupillon et faire quelques entorses aux règles de son ministère pour parvenir à distinguer le bon grain de l’ivraie…
Ce deuxième épisode des aventures de Requiem est basée sur un fait réel : l’histoire de Jules Durand, qui défraya la ville du Havre en 1910. Cette sorte d’affaire Dreyfus dans le monde ouvrier est encore dans les mémoires de nombreux havrais.
Armelle Carbonel avait fait l’unanimité avec son premier polar « Criminal Loft« . Elle était une des invitées de marque du salon du polar « Les Mines Noires » de Noeux-Les-Mines.
Loin des clichés et des poncifs du polar, elle va beaucoup plus loin avec « Majestic Murder » en inventant une nouvelle façon d’écrire le polar. Magnétique, envoûtant et brillant. A découvrir impérativement.
On n’a pas fini d’entendre parler de cette auteur de génie !!
En 1942, au sein des Usines Chausson réquisitionnées par l’armée allemande, un bureau d’études clandestin développe dans le plus grand secret un prototype de microcar. Les rationnements de matières premières de l’après-guerre rendront sa mise en production impossible. Un seul prototype roulant est fabriqué, le N° 0001. Il réapparait aujourd’hui en exclusivité au salon Rétromobile après 70 ans d’oubli. Remarquée par son design précurseur et ses nombreuses innovations technologiques, cette voiture est le témoin d’une véritable épopée industrielle, celle de la Société des Usines Chausson.
Bruno Palmet, le rédacteur en chef du magazine « Spirit of Le Mans« , répond aux questions de « Lire délivre » sur le Salon Rétromobile.
Discipline à la renommée mondiale, l’endurance n’avait jusqu’alors pas de magazine dédié en France, pays qui accueille pourtant son épreuve reine, les 24 Heures du Mans. Spirit of Le Mans est ce magazine. Trimestriel haut de gamme édité par l’Automobile Club de l’Ouest, il offre une plongée dans le monde fascinant de l’endurance, traité sous tous ses aspects : sportifs, technologiques, humains, environnementaux, culturels, sociétaux… Un rendez-vous immanquable pour les passionnés d’automobile, de sport ou tout simplement les lecteurs avides de découvertes.
A l’évidence, Michel Vaillant apprécie France 3… et réciproquement !
Nous vous parlions de la nouvelle série BD « Michel Vaillant » dans « 9h50 le matin », puis nous vous proposions une interview exclusive de Denis Lapière, le nouveau co-scénariste de la série, réalisée au Festival BD d’Angoulême…
Voici maintenant l’interview de Philippe Graton, fils du créateur de « Michel Vaillant » Jean Graton et scénariste de la série… qui nous annonce quelques scoops incroyables !!
Journaliste automobile spécialisé depuis 40 ans, Patrice Vergès partage ses activités entre le reportage et l’écriture de livres. Après avoir travaillé pour de nombreux magazines automobiles et généralistes, il écrit, aujourd’hui, pour plusieurs sites Internet spécialisés dans la voiture ainsi que dans des revues auto-rétro. Depuis 2006, parallèlement, il a publié six livres autour du thème de l’automobile ancienne et également six thrillers, un genre qui le passionne. Dans la majorité d’entre eux, l’action se situe dans les années 60/70. Une époque qu’il affectionne et qui concourt à imprégner ses romans d’une atmosphère nostalgique très particulière.
Présentation éditeur :
1967, Jean-Pierre Mancini, pilote amateur, participe à la célèbre Coupe R8 Gordini. Au décès brutal de son père, lui même ancien coureur automobile, il se découvre une demi-sœur dont il n’avait pas connaissance. Il se noue alors une étrange et troublante histoire entre eux. L’existence « bleu Gordini » de Jean-Pierre se teinte en rouge sang dans cette intrigue haletante, parfumée à l’ambiance et à l’odeur de l’huile de ricin des circuits automobile des sixties, saupoudrée de l’atmosphère d’une époque où la vitesse était une ivresse mortelle.
« Lire délivre » vous emmène au Salon Rétromobile de Paris, à la rencontre d’auteurs de la Nouvelle Aquitaines, comme il se doit… passionnés de voitures !
Mais cette petite visite sera aussi l’occasion de découvertes incroyables et passionnantes… Suivez le guide dans les « posts » suivants !
Le personnage de Michel Vaillant (voir son site officiel) a été créé par Jean Graton en 1957 dans le Journal de Tintin sous la forme d’une courte histoire de quatre planches intitulée La 24e Heure.
Le premier album, Le Grand Défi, paraît deux ans plus tard
Le troisième fils de Jean Graton, Philippe Graton, devient en 1994 le scénariste de la série.
En 2007, le 70e album de Michel Vaillant est le dernier de la saison 1 de la série.
Philippe Graton décide de relancer la série en la confiant à Denis Lapière (scénario), Marc Bourgne (chargé des story-board et des personnages) et Benjamin Benéteau (dessinateur des décors, concepteur des voitures et des scènes de course), talentueux dessinateur aquitain (né en Vendée) !
Au nom du fils, tome 1 de la seconde saison de Michel Vaillant, sort en novembre 2012.
Michel Vaillant est édité chez Dupuis depuis le 1er janvier 2010, dans le cadre d’un contrat de partenariat entre Graton Éditeur et les Éditions Dupuis.
Mais comme souvent dans le monde de la BD, la réalité rejoint la fiction. Ainsi, le 3 juin 2012, Michel Vaillant en chair et en os prend le départ de la septième épreuve du championnat du monde WTCC sur le circuit de Portimao. Pour l’occasion, le pilote Alain Menu, dont la Chevrolet Cruze reprend pour l’occasion les couleurs de la Vaillante, n’a pas hésité à se glisser dans la peau du personnage… allant jusqu’à se teindre et recouper les cheveux, et donner une interview en tant que Michel Vaillant !
Tébo, de son vrai nom Frédéric Thébault, est un auteur de bande dessinée né à Caen le 15 juin 1972.
Sur un scénario de Zep, il a en particulier dessiné la série « Captain Biceps »
Son humour et son trait sont immédiatement identifiables.
Pour « La jeunesse de Mickey », il signe le scénario et les dessins. Son idée, particulièrement originale sans être iconoclaste, consiste à mettre en scène « pépé Mickey » ! La petite souris de Disney a bien vieilli, et raconte ses aventures à son arrière petit neveu. En cinq récits savoureux ; « La ruée vers l’or », « prisonnier dans le Bayou », « Le messager de la paix », « Hors-la-loi du chocolat » et « la course aux étoiles », Tébo revisite les anciennes aventures de Mickey. Mais avec le temps et avec l’âge avancé du héro, pépé Mickey perd un peu la mémoire, commet quelques approximations, enjolive ou exagère certains passages. Effet comique garanti. Les conclusions de récits sont souvent délirantes et l’arrière petit neveu s’interroge à juste titre, comme à la fin de « La ruée vers l’or » :
«M’ouais, c’est la vérité ?
Non… On a été incapables de retrouver cette fichue entrée… Mais au moins j’ai rapporté un beau vase moche.
Pépé, ce vase, c’est moi qui te l’ai fait quand j’étais en primaire… merci de le trouver moche. »
On découvre au passage la première rencontre de Mickey et de son ennemi juré Pat Hibulaire.
Un chef d’œuvre d’humour, qui revisite et modernise l’univers de Mickey, sans jamais tomber dans la parodie ! Une réussite !!