Nous avions adoré « Je m’appelle Requiem et je t’… » de Stanislas Petrosky dans « 9h50 le matin »…
Nous avons rencontré l’auteur au salon Livre Paris, qui nous a parlé de son prochain opus « Dieu pardonne, lui pas ! »
ça promet !
Présentation de l’éditeur :
Estéban Lehydeux, dit Requiem, est de retour. Le curé exorciste débarque cette fois sur le port du Havre.
Il y découvre un docker bien sous tout rapport – si, si ça existe –, accusé de meurtre ; une boîte d’import-export d’objets et de matériel pas bien catholiques ; un syndicaliste forcené mais pas mauvais bougre ; des fanas du troisième Reich ; et bien évidemment une accorte jeune femme tellement mal fringuée qu’il s’empresse toujours, dès qu’il la croise, de la déshabiller !
Entouré de ces drôles de paroissiens notre héros, un Don Camillo carburant à la bière plus qu’à l’eau bénite, va devoir jouer du goupillon et faire quelques entorses aux règles de son ministère pour parvenir à distinguer le bon grain de l’ivraie…
Ce deuxième épisode des aventures de Requiem est basée sur un fait réel : l’histoire de Jules Durand, qui défraya la ville du Havre en 1910. Cette sorte d’affaire Dreyfus dans le monde ouvrier est encore dans les mémoires de nombreux havrais.