You speak english ? Yes or no… It is not a problem. Venez découvrir le cinéma britannique et la langue de Shakespeare avec le festival Univerciné consacré au 7ème art « British ».
Univerciné, c’est 6 jours de projections du 11 au 16 décembre au cinéma Katorza de Nantes :
► Une compétition :
Les films de la compétition ont été sélectionnés par les étudiants du Master Expertise des Professions et Institutions Culturelles de l’Université de Nantes. Quatre premiers longs-métrages, indépendants et inédits, se disputeront donc le prix du jury Univerciné (composé d’étudiants de l’Université de Nantes) et le prix du public :
– « The drummer and the keeper » de Nick Kelly, film d’ouverture en présence du réalisateur
– « Obey » de Jamie Jones, projections en présence de l’acteur principal Marcus Rutherford
– « Winterlong » de David Jackson, projections en présence du réalisateur
– « Old Boys » une comédie de Toby Macdonald
► Des avant-premières :
Une manière de mettre à l’honneur la production contemporaine inédite comme « The bookshop » d’Isabel Coixet ou « The favourite » de Yórgos Lánthimos
► Des documentaires inédits :
« A northern soul » de Sean McAllister, questionne sur la culture et le Brexit, une séance en présence du réalisateur et « Matangi / Maya / M.I.A. » de Stephen Loveridge, un documentaire musical, portrait intime de la chanteuse M.I.A.
► Une programmation de films patrimoines :
L’occasion de revoir des œuvres marquantes du cinéma britannique comme le très classique « Howards end » de James Ivory ou le détonnant « Bloodbath at the house of death » de Ray Cameron
Le festival c’est aussi des débats, des rencontres avec des réalisateurs, une soirée courts-métrages rien que pour rire, des films d’animation pour les plus jeunes… tout un programme so british !
Avec Festiv’Aînés, les seniors ont leur festival de cinéma, rendez-vous du 2 au 7 décembre au cinéma Bonne Garde de Nantes.
Ce festival a pour but de favoriser la rencontre, les échanges intergénérationnels et invite à mieux percevoir la place et le rôle social des seniors dans notre société.
Pour cette 2ème édition, la programmation a été concoctée par une équipe de passionnés de cinéma de l’Orpan, association des seniors nantais, qui propose une sélection de 10 films. Le choix s’est porté sur des œuvres et des thèmes qui provoquent la discussion, comme la ruralité ou la solidarité, l’occasion de (re)voir « Petit paysan » d’Hubert Charuel ou encore « Moi Daniel Blake » de Ken Loach. Toutes les projections seront suivies d’un temps d’échange.
►Dimanche 2 décembre – ouverture du festival avec un cocktail
15h00 – projection du film de Dustin Hoffman« Quartet »
►Lundi 3 décembre – journée sous le thème de l’expression :
10h00 – « Le discours d’un roi » de Tom Hooper
14h30 – « Le Brio » d’Yvan Attal
►Mardi 4 décembre – projections sur le thème de la ruralité :
10h00 – « Petit paysan » d’Hubert Charuel, en présence des associations Bab 44 et SOS paysan 44
14h30 – « Normandie Nue » de Philippe Le Guay
►Mercredi 5 décembre – Dans le cadre de « J’emmène Papy, mamie & Cie au cinéma » :
15h00 – projection du film d’animation « Coco » de Lee Unkrich, suivie d’un atelier et d’un goûter
►Jeudi 6 décembre – sur le thème de la solidarité :
10h00 – « Moi Daniel Blake » de Ken Loach, en présence de la Direction de l’inclusion sociale du CCAS
14h30 – « Vers la lumière » de Naomi Kawase
►Vendredi 7 décembre – clôture du festival :
10h00 – « Au revoir là-haut » d’Albert Dupontel
20h00 – « La finale » de Robin Sykes
Un cocktail sera servi à l’issue de la séance pour clôturer cette 2ème édition de Festiv’Aînés
Rendez-vous samedi 1er décembre au THV de Saint Barthélémy d’Anjou.
Après une nuit du cinéma musicale l’année dernière, le THV laisse carte blanche à Richard et Yannick pour programmer leur nuit. Et même si leurs goûts cinématographiques vont jusqu’à l’inavouables, rassurez-vous, ils savent faire la différence entre le « bon » et le « mauvais » nanar !
Ils vous proposent donc une Nuit du Cinéma, décalée et potache qui rend hommage, avec humour, aux films traditionnellement attachés aux dernières lettres de l’alphabet : ceux dits de série Z et ceux relevant du X…
Faites-leur confiance et laissez-vous embarquer pour un voyage dans un drôle de genre. Drôle, car le lien entre les trois films est bien l’humour, un humour so british pour les deux premiers et complètement décalé pour le dernier.
Au programme :
20h – « Shaun of the Dead » de Edgar Wright – film britannique de 2005 (interdit -12 ans) – Une jouissive parodie d’un cinéma devenu archi-classique. Hilarité garantie.
22h – « Lesbian Vampire Killers » de Phil Claydon – film/documentaire britannique de 2009 – Une série Z complètement déjantée et qui ne se prend jamais au sérieux.
00h – « A la recherche de l’ultra-sex » de Bruno Lavaine etNicolas Charlet – film français de 2015 (interdit -16 ans) – un porno-rigolo concocté pour les 30 ans de Canal+, en écho à leur série culte « Message à caractère pornographique ».
►En cadeau Bonux, à l’issue du dernier film, vous pourrez monter sur scène pour devenir vous aussi doubleur-bruiteur de quelques scènes déjà cul(tes) de l’ultra-sex !
►Rendez-vous samedi 1er décembre au THV de Saint-Barthélémy d’Anjou à partir de 20h00
Le Festival des 3 Continents, véritable fenêtre sur les cinémas d’Asie, d’Afrique et d’Amérique Latine, s’est achevé hier soir au Grand T. Cette cérémonie de clôture a débuté par la projection en avant-première de « Tel Aviv on fire » de Sameh Zoabi, une comédie sur fond de conflit israélo-palestinien très applaudie par le public. C’est donc une salle enthousiaste qui a assisté au palmarès de cette 40ème édition.
Pour la compétition internationale, le jury essentiellement composé de réalisateurs, a beaucoup débattu et échangé pour remettre exceptionnellement 3 prix :
La Montgolfière d’or a été attribuée à « Memories of my body » de Garin Nugroho, un film dans l’air du temps sur la question du genre et de l’homosexualité dans la société indonésienne.
« Three adventures of brooke » de Yuan Qing s’est vu décerner la Montgolfière d’argent. La réalisatrice chinoise très émue a reçu son prix des mains de Lucie Borleteau, membre du jury, qui a souligné la fantaisie et la légèreté de ce film.
Une mention spéciale a été attribuée à « José » de Cheng Li, le jury a relevé la sincérité de l’histoire et le courage des acteurs de ce film qui se déroule au Guatemala.
Le Prix du public Wik/Fip a été présenté non sans humour par Patrick Thibault (directeur en chef Wik) qui a indiqué que ce vote là était « un réflexe citoyen pour être réellement entendu ». Le public a donc voté et attribué son prix à « The dive »de Yona Rozenkier. A noter que ce réalisateur israélien est passé par l’atelier Produire au Sud du festival en 2016 pour développer ce projet.
Le Jury Jeune avec Ambre, Camille, Corentin et Anton a quant à lui récompensé la poésie de la mise en scène de « Winter’s night », le 3ème long-métrage du coréen Jang Woo-Jin.
►Le public pourra revoir les films primés à Nantes au Cinématographe : dimanche 2 décembre à 17h30 « Memories of my body » de Garin Nugroho et à 21 h« Three adventures of brooke » de Yuan Qing, et à Paris à la Cinémathèque française : lundi 10 décembre à 19h15 et à 21h30.
►La 41ème édition du Festival des 3 Continents aura lieu du 19 au 26 novembre 2019. A l’année prochaine !
Un festival de cinéma sur le thème de l’autobiographie ? C’est le OFF « Olonnes Film Festival » qui se déroule du 28 novembre au 2 décembre dans plusieurs lieux du pays des Olonnes.
Pour cette 7ème édition des rencontres cinématographiques de l’association Petite Lanterne, le thème choisi dévoile une pratique peu courante du cinéma le journal filmé. Le journal intime est une forme littéraire à part entière, or depuis quelques années, certains cinéastes comme Agnès Varda ou Alain cavalier s’y sont intéressés et ont entrepris de réaliser leur journal filmé. Ce festival met à l’honneur ces œuvres d’un nouveau genre, nées du témoignage, de l’intime, à l’image du très beau « Carré 35 » d’Éric Caravaca.
– Naissance de ce festival :
Pierre Laudijois, l’un des créateurs de l’association Petite Lanterne à l’origine du festival explique que le OFF est né en 2012 grâce à l’envie d’organiser une rencontre de cinéastes travaillant autour de l’autobiographie, que ce soit par le biais du documentaire ou de la fiction. Pierre précise : « La ville d’Olonne nous a soutenus depuis le début et la première édition.
– Thème et sélection :
Le thème de cette année, le journal filmé s’est imposé comme une évidence, « c’est un genre de films que nous apprécions depuis longtemps, et parce que le hasard a fait que plusieurs films en forme de Journal filmé nous ont été proposés ».
« La sélection est assez simple à faire, car nous avons un réseau par lequel nous sommes au courant des films qui peuvent nous intéresser. Nous avons un groupe de bénévoles qui visionnent les films proposés, ensuite nous bâtissons un programme avec les films retenus en tâchant de conserver une cohérence aux différentes séances.(…) Nous avons pour principe de traiter les films à égalité, que ce soit des films sortis en salle ou des films inédits auto-produits. Nous invitons systématiquement les réalisateurs, et proposons des rencontres et échanges avec le public.
– Moments fort de cette 7ème édition :
Pour l’organisateur du festival : « L’un des grands moments du OFF 2018 est la projection en exclusivité mondiale du film « Journal d’un vidéaste » de Thierry Nouel. Ce chef-monteur free-lance pour France 3, a réalisé son journal filmé pendant une dizaine d’années, entre 2000 et 2010, parcourant le monde sur tous les théâtres d’actualité. Il présente une oeuvre de près de neuf heures (diffusé en quatre séances), qui tisse de manière très émouvante les grands événements de ce début de XXIème siècle avec les péripéties de la vie intime du cinéaste. »
►La projection de « Journal d’un vidéaste » aura lieu samedi 1er décembre en présence de Thierry Nouel.
►Plusieurs autres films sont présentés en avant-première : « Pour Ernestine » de Rodolphe Viémont, « L’orphelinat » de Matthieu Haag, ou encore « Le lieu du mélodrame » de Joseph Morder. Une occasion pour le public de rencontres et d’échanges avec ces réalisateurs qui viennent accompagner et présenter leurs films.
Grande nouveauté cette année c’est la présence du festival dans quatre lieux du Pays d’Olonne : Le Grand Palace (Les Sables d’Olonne), La Gargamoëlle (Château d’Olonne), La Médiathèque de la Jarrie et Le Théâtre de la Licorne (Olonne-sur-mer). « C’est une manière d’aller à la rencontre de nouveaux publics, et d’anticiper symboliquement sur la fusion des trois communes qui doit intervenir au 1er janvier 2019 » précise Pierre.
– Quelques mots sur l’association « petite lanterne » :
« Nous avons créé Petite Lanterne à Olonne-sur-mer en 2010, au moment où Dominique et moi avons pris notre retraite. Nous étions tous les deux professeurs de cinéma (elle à Angers, lycée Renoir, moi à Nantes, en CinéSup au lycée Guist’hau) (…). Le but est de travailler sur les rapports qui existent entre Cinéma et Autobiographie. Nous proposons tout au long de l’année des Ateliers/Ciné, conférences à la médiathèque de La Jarrie d’Olonne, des Café/Ciné, projections dans différents lieux en présence du cinéaste (…) Cette association compte une centaine de membres, dont une vingtaine de bénévoles qui forme le noyau dur de Petite Lanterne. »
Le nom de Petite Lanterne a été choisi à partir du proverbe chinois qui guide notre action depuis des lustres : « plutôt que de fulminer contre les ténèbres, il vaut mieux allumer une petite lanterne ! »
Les cinémas d’Asie, d’Afrique et d’Amérique Latine sont à l’honneur jusqu’au 27 novembre à Nantes avec le Festival des 3 Continents.
Qui dit festival, dit compétition, dit jury… Rencontre avec deux membres du jury de la sélection internationale.
Lucie Borleteau, scénariste, metteur en scène, comédienne et réalisatrice. Cette ancienne élève de Ciné Sup’ Nantes a travaillé avec Claire Denis ou Arnaud Desplechin, et réalisé en 2014 un premier film très remarqué « Fidelio, l’odyssée d’Alice ».
Mahamat-Saleh Haroun, réalisateur tchadien. Son premier long-métrage « Bye bye Africa » a reçu en 1999 le prix du 1er film à la Mostra de Venise. Auteur de films engagés, le Festival des 3 Continents lui rend hommage avec la diffusion de son film « l’homme qui crie », prix du jury à Cannes en 2010.
– Votre rencontre avec le Festival des 3 Continents ?
Lucie Borleteau : C’est un festival que je connais bien. Je suis nantaise et j’y suis allée de nombreuses fois, notamment dans le cadre de mes études, au lycée Guist’hau, option cinéma et ensuite à Ciné Sup’. J’ai même fait partie du Jury Jeune en 1998, c’est un très bon souvenir et me voilà 20 ans plus tard dans le jury de la compétition internationale, c’est fou !
Mahamat-Saleh Haroun : Je connais Nantes pour y avoir présenté plusieurs fois mes films, mais en tant que spectateur et jury du Festival des 3 Continents, c’est une première. Je suis ravi d’être ici pour cette 40ème édition et d’accompagner la 41ème année, ce passage de l’âge de la passion à celui de la raison.
– Quelle est la particularité de ce festival ?
LB : Pour les jeunes cinéphiles, ce festival est une chance, pour moi c’est au même niveau que Cannes. Ici on peut rencontrer les auteurs, débattre, c’est rare les festivals qui font venir autant de réalisateurs. Les nantais sont des cinéphiles curieux, ce festival le prouve, ils ont de la chance et Nantes avec toutes ses salles est une ville unique en terme de programmation.
MSH : C’est un festival à l’écoute de la rumeur du monde, un festival de défricheur, sensible à ce qui ce passe ailleurs, il appelle à lui des cinématographies souvent invisibles. C’est un port d’œuvres singulières.
A Nantes, du 20 au 27 novembre, souffle un vent d’ailleurs avec le Festival des 3 Continents qui nous propose chaque année de partir à la découverte des cinémas d’Asie, d’Afrique et d’Amérique Latine.
Et cette année est une année particulière car le festival fête sa 40ème édition, l’occasion de faire un état des lieux du paysage cinématographique de ces 3 continents.
Avec une programmation de 76 films pour 32 pays représentés, le Festival des 3 Continents nous dévoile un cinéma généreux et multiple qui nous transporte du Congo à la Thaïlande en passant par l’Argentine. Une invitation au voyage, à la curiosité pour des œuvres marquantes du cinéma d’Asie, d’Afrique et d’Amérique Latine.
Des temps forts vont marquer cette 40ème édition, car si 40 ans est un âge de raison c’est aussi l’âge de tout les possibles.
Clap de fin aujourd’hui pour le festival du Cinéma et Musique de Film de La Baule. Le palmarès de cette 5ème édition a été dévoilée hier soir, lors d’une cérémonie à Atlantia.
Après un très bel hommage à Francis Lai qui fut le premier invité d’honneur en 2014, le jury du festival présidé par Catherine Jacob, a décerné les Ibis d’or.
– Le prix du Meilleur Film est attribué à l’unanimité au bouleversant « Sauver ou périr » de Frédéric Tellier, qui se voit aussi récompensé d’un ibis d’or pour la musique de Christophe Lapinta.
– 2 Ibis d’or pour « Guy » de Alex Lutz, Thibault Segouin et Anaïs Deban, récompensent le scénario et la performance d’acteur d’Alex Lutz.
– l’actrice belge Erika Sainte s’est vue remettre l’Ibis de la meilleure actrice pour « A 2 heures de Paris »
– le public a quant à lui plébiscité le film de Ludovic Bernard « Au bout des doigts » avec Lambert Wilson et Jules Benchetrit
– Ibis d’or du meilleur court métrage : « Les jouvencelles » de Delphine Corrard avec Annie Cordy et Jean-Claude Drouot
La soirée s’est poursuivie avec la remise de trois Ibis d’or d’honneur à Eric Serra, Jacques Perrin et Michael Lonsdale pour l’ensemble de leur carrière. Un concert d’Eric Serra, qui a interprété ses plus grands succès (Le Grand Bleu, Nikita, James Bond, Léon, etc.) est venu clôturer cette belle édition.
Quelques petites notes de musique… peuvent nous transporter dans l’univers d’un film, c’est le pouvoir de la bande originale, véritable acteur d’une histoire. Ainsi certains chefs-d’oeuvre du 7ème art sont indissociables de leurs compositeurs : « Il était une fois dans l’ouest » et Ennio Morricone, « Le fabuleux destin d’Amélie Poulain » et Yann Tiersen, ou encore « Le grand Bleu » et la musique d’Eric Serra.
Cette année, la grande bleue est au cœur du Festival du Cinéma et Musique de Film de La Baule, avec comme invité d’honneur, Eric Serra, qui à l’occasion des 30 ans du célèbre film d’Eric Besson « Le grand bleu » donnera un concert lors de la soirée de clôture, samedi 10 novembre.
La mer mais aussi les femmes sont à l’honneur pour cette 5ème édition, par le biais de la superbe affiche de l’artiste Sébastien Dupouey, mais aussi par la présence dans le jury de 3 comédiennes, Audrey Fleurot, Axelle Laffont et la truculente Catherine Jacob, très attendue dans le rôle de présidente de ce jury, formé aussi de 3 compositeurs, Mathieu Lamboley, Philippe Kelly et Alex Jaffray.
Cette année, le festival propose une sélection de 22 longs métrages en avant-premières, inédits ou récents, dont 8 en compétition comme « Sauver ou périr » de Frédéric Tellier, musique de Christophe Lapinta, « Amare Amaro » de Julien Paolini, musique de Pascale Filasto, ou encore « Au bout des doigts » de Ludovic Bernard, musique de Harry Allouche.
Des séances de films « classiques », des courts-métrages, des masterclass et des rencontres sont aussi au programme. Sans oublier la présence des réalisateurs, musiciens et membres des équipes venus présenter leurs films et échanger avec le public.
Cette année 11 prix seront décernés dont 4 Ibis d’honneur pour des personnalités emblématiques du cinéma et de la musique de film pour l’ensemble de leur carrière : Gérard Depardieu, Eric Serra, Jacques Perrin et Michael Lonsdale.
►Le Festival Cinéma et Musique de La Baule c’est du 6 au 11 novembre, retrouvez toutes les infos ici