C’était hier soir, au cinéma Bonne Garde de Nantes, plus de 200 personnes étaient là pour la projection du documentaire « Latifa, le cœur au combat », suivie d’une rencontre avec Latifa Ibn Ziaten, mère d’un soldat tué par Mohammed Merah, et le réalisateur Cyril Brody.
A l’issue de la séance, c’est une femme un peu timide qui s’avance sur la scène pour 1h30 d’échanges, mais que l’on ne s’y trompe pas, ce petit bout de femme est une battante, une combattante. Et dès les premières remarques ou questions, ses yeux pétillent et l’on retrouve le personnage du documentaire, une femme déterminée qui n’a de cesse de porter une parole de tolérance.
Elle nous explique : « je représente la femme d’origine marocaine, la française et la musulmane, j’en suis fière et j’assume ces 3 femmes »
Latifa insiste aussi face au public composé de jeunes et de mamans sur l’importance de l’éducation : « les mamans ne doivent pas baisser les bras, l’école et les parents sont là pour faire grandir notre jeunesse. Il faut faire démarrer le moteur que l’on a en nous pour aller vers les autres. »
Cyril Brody raconte que pour le documentaire qu’il a réalisé avec Olivier Peyo, Latifa n’a pas joué, c’est elle, c’est sa vie.
Ce sont aussi ses mots avec ses imperfections, mais son discours est direct et c’est ce qui fait mouche auprès des jeunes, qu’ils soient issus d’une cité, de la campagne ou d’un centre pénitentiaire. Tous sont touchés par son histoire.
Et quand dans la salle quelqu’un lui demande comment elle réagit face aux menaces qu’elle reçoit, elle répond : « mon fils est mort debout, je n’ai pas le droit de baisser les bras. Je n’ai pas peur car j’ai déjà payé le prix le plus cher« .
Dans le documentaire sa fille dit d’elle qu’elle est Gandhi, en tout cas elle est assurément une Grande Dame.
► »Latifa, le cœur au combat » est en salle depuis le 4 octobre et sortira en DVD.
Ciné-Rencontre : mardi 12 décembre à 20h00 au cinéma Bonne Garde de Nantes avec Latifa Ibn Ziaten et Cyril Brody àl’occasion de la projection du film « Latifa, le cœur au combat ».
Ce documentaire de Cyril Brody et Olivier Peyon relate l’histoire de Latifa Ibn Ziaten, une mère courage devenue activiste pour la paix.
Le 11 mars 2012, au cours d’un voyage en Turquie, Latifa reçoit un appel : Imad son fils devenu soldat a été assassiné par un tueur en scooter sur un parking à Toulouse. Ce tueur c’est Mohamed Merah, un jeune français radicalisé passé par la prison et l’Afghanistan d’Al-Quaida. Il tuera encore deux autres militaires, puis trois enfants et un professeur dans une école juive. La France entre dans une nouvelle ère du terrorisme et la vie de Latifa bascule.
Pourtant, elle refuse de perdre espoir, et fonde l’association IMAD pour la jeunesse et la paix. Latifa parcourt les villes de France dans un seul but : défendre la jeunesse des quartiers et combattre la haine avec la tolérance et l’écoute. Elle transforme ainsi chaque jour son destin singulier en un combat universel.
Pendant plus d’un an, les réalisateurs ont suivi Latifa dans ses interventions pour raconter son combat pour la paix.
Cyril Brody : « Quand nous avons commencé à réfléchir au film, nous nous sommes demandés ce que le personnage de Latifa permettait de comprendre et de raconter de la France d’aujourd’hui. Ses interventions dans les écoles ou les prisons sont accueillies avec ferveur [ …] elle représente le chaînon manquant entre deux mondes. Dans une époque marquée par une défiance réciproque des institutions de la République et d’une partie de la jeunesse, musulmane ou non, elle parvient à renouer des liens qui semblaient défaits. »
Olivier Peyon : « Latifa est toujours sur la route, depuis mars 2012, sa maison est son chemin […] Dès le début nous avons eu envie de cette marche sans fin, guidée autant par l’angoisse du deuil que la nécessité d’aller au devant des problèmes pour les empêcher […] Ce mouvement nous permet de raconter la France de 2017, ses enjeux les plus dramatiques et les plus urgents, comme sa richesse et sa jeunesse. Latifa était aussi pour nous une véritable passeuse. »
► »Latifa, le cœur au combat », mardi 12 décembre à 20h00 au cinéma Bonne Garde à Nantes en présence de Latifa Ibn Ziaten et du réalisateur Cyril Brody.
►Retrouvez une interview de Latifa Ibn Ziaten dans le journal de 19h de France 3 Pays de la Loire, mardi 12 décembre.
Casting bébé : hochets, tétines et autres doudous sont attendus sur le tournage à Laval et au Mans du prochain film de Sébastien Betbeder « Ulysse et Mona ».
L’équipe recherche :
Bébé de 3 à 10 mois (qui aura entre 5 et 12 mois au moment du tournage)
Pas de critères physiques particuliers, fille ou garçon. Résidence à proximité de Laval ou du Mans
Il s’agit d’une scène où une assistante maternelle s’occupe de 2 bébés dont elle a la garde tout en discutant avec sa fille, venue lui rendre visite.
Si vous êtes intéressés merci d’envoyer par mail à ulysse.et.mona.casting@gmail.com : coordonnées et adresse, date de naissance, photos et vidéos récentes, en précisant « casting bébés – suivi du prénom du bébé » dans l’objet du mail. Seules les propositions complètes et correspondantes aux critères seront traitées.
Tournage d’une demi-journée entre le 22 janvier et le 23 février 2018 à proximité de Laval ou du Mans. Rémunéré.
Synopsis du film : Il y a quelques années, Ulysse, soixante ans, a mis un terme à sa carrière d’artiste contemporain. Aujourd’hui, il habite seul avec son chien Joseph dans un vieux manoir au milieu de la forêt. Mona, vingt ans, est étudiante aux Beaux-Arts. Un jour, Mona décide de partir à la rencontre d’Ulysse.
Qui a dit que les personnes âgées ne donnaient plus de la voix ?
Le documentaire « Huguette the power » nous prouve le contraire…
La belle histoire de cette chorale commence en 2016 en Mayenne, quand Julie Aubry, médiatrice culturelle du festival Au foin de la rue et des travailleurs sociaux de 5 Etablissements d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes, proposent à leurs résidents de monter sur scène. La chorale « Huguette the power » avec ses 60 choristes dont certains ont plus de 90 ans était née.
Après 6 mois de répétition sous la baguette du chef de chœur Pierre Bouguier et du groupe de musique “Mémé les watts”, ces chanteurs du 3ème âge sont montés sur scène en début d’année dans la région. Cannes à la main mais lunettes noires et casquettes à l’envers, ils ont fait un tabac avec un répertoire de vieilles chansons remises au goût du jour, même le rap n’a plus de secret pour eux !
Le réalisateur Arnaud Ray a filmé les répétitions, les concerts et interviewé les acteurs de ce projet intergénérationnel. Riche de témoignages de qualité, ce documentaire montre que derrière le mot “vieillesse” se cachent des hommes et des femmes au caractère bien trempé, dont l’expérience ne demande qu’à être partagée. « Huguette the power » ré-interroge notre regard sur les anciens, il leur donne la parole, une voix rare et précieuse.
Retrouvez le documentaire « Huguette the power » dans les cinémas mayennais :
Cinéma Yves Robert à Evron : le 5 décembre à 20h30
Cinéma Le Majestic à Montsûrs : le 6 décembre à 14h30 et 20h30
Cinéma le Palace à Château-Gontier : le 7 décembre à 15h00 et le 14 décembre à 20h30
Tu as entre 10 et 11 ans et une bonne pratique du foot, ce casting est pour toi :
Pour le tournage à Nantes du film de Stéphane Demoustier « La fille au bracelet », la production recherche pour faire de la figuration des garçons entre 10 et 11 ans pratiquant le football en club catégorie U11 (ex-poussins).
Le tournage d’1/2 journéee aura lieu dans la 2ème quinzaine de janvier 2018, sur Nantes et ses environs.
Si vous êtes intéressés, merci d’envoyer avant le 8 décembre : coordonnées, lieu du domicile, âge, taille, photos récentes, le club de foot et le poste occupé à lfabcasting@gmail.com
Synopsis du film :Bruno et Céline voient leur vie de famille basculer lorsque Lise, leur fille de 17 ans, est accusée du meurtre de son amie Flora. Deux ans après le crime, Lise vit avec un bracelet électronique, en compagnie de ses parents et de son petit frère Jules. Alors que le procès approche, la vie de Bruno ne tourne plus qu’autour de ces quelques jours au cours desquels il sait que le destin de sa fille va se jouer, au beau milieu d’une cour d’assises…
Du 21 au 28 novembre, retrouvez la 39ème édition du festival nantais consacré aux cinématographies d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine.
La plupart des films qui y sont projetés n’ont jamais été diffusés en dehors de leur pays d’origine, le festival a ainsi acquis une réputation de découvreur : on peut citer le malienSouleymane Cissé, le hongkongaisWong Kar-wai, ou encore l’iranienAbbas Kiarostami, mais c’est bien auprès du public jeune que le festival tient ce rôle.
Le festival de 3 continents se veut un festival d’initiation au(x) cinéma(s), la démarche est de rendre les œuvres accessibles à tous, une attention toute particulière est mise sur le jeune public, les spectateurs de demain.
Rencontre avec Sandra Ricordeau, responsable du pôle publics et médiation pour le festival qui explique « qu’une programmation spécifique est mise en place en fonction des âges » :
Pour les tout-petits : « Premiers pas vers les 3 continents », est une invitation à approcher le festival dès 3 ans, avec des films et des court-métrages adaptés.
Pour les adolescents : « De l’autre côté des apparences : merveilleux, fantastique et autres étrangetés », le festival propose un programme thématique, ouvert à tous mais spécialement pensé pour les collégiens et lycéens.
Cette année, ce sont les différentes déclinaisons du fantastique qui sont mises à l’honneur avec une sélection de films ludiques, troublants, spectaculaires, où le cinéma montre son aptitude à enjamber les bordures du réel, à brouiller nos perceptions …
Sandra nous indique que « ces films font l’objet d’un accompagnement spécifique avec la mise en place du cahier des enseignants. Fruit d’un travail fait en amont, ce support est un véritable outil pédagogique, il permet d’aller plus loin et d’ouvrir des pistes de travail sur le cinéma, ses techniques, son sens, afin de rebondir vers d’autres domaines ». Ainsi, les films présentés sont toujours contextualisés et accompagnés, ils ouvrent le débat sur la satire politique, le rapport des classes ou encore le corps et l’espace.
Ces séances publiques et scolaires offrent une véritable « mixité des publics » et les enseignants ont répondu présents avec plus de 120 classes déjà inscrites. Et l’on vient de loin, à l’exemple de ce lycée de Douarnenez qui s’installe durant 3 jours à Nantes pour un véritable parcours cinématographique, entre film à visée plus pédagogique et séance de la sélection officielle.
Des actions sont faites aussi vers les « publics empêchés », tels que les enfants hospitalisés, les jeunes détenus ou les migrants.
Ainsi, le festival vient à eux : au service pédiatrie du CHU, des projections, des échanges et des ateliers comme une initiation aux maquillages d’effets spéciaux ont été organisés. A l’établissement pénitentiaire pour mineurs d’Orvault, il a été mis en place une projection suivie d’un débat autour d’un film asiatique diffusé en VOSTF.
Sandra est particulièrement fière du travail accompli auprès des associations de quartier, des structures socio-culturelles ou des associations de migrants pour amener ce public différent vers le festival. Ces actions, c’est permettre à ces jeunes à priori peu enclins à aller vers ces cinématographies, d’accéder à une ouverture et éveiller un intérêt qu’ils ne soupçonnaient pas. Pour Sandra « ils se rendent compte que le festival est plus accessible et moins élitiste qu’ils ne le pensent… mon rôle c’est de semer des graines… on démocratise, on démystifie ».
Autre lien très étroit entre le festival et les jeunes, ce sont les différents partenariats qui ont été mis en place avec l’enseignement supérieur. Ces projets associent les singularités de chaque cursus avec l’événement du festival et les coulisses de son organisation.
A l’image de l’université de Nantes, où les étudiants du Master 2 InfoCom couvrent l’actualité du festival avec la création d’un journal, d’un blog et d’un fil d’actualité Instagram. Ou encore, les premières et terminales option cinéma du lycée Guist’hau qui livrent quotidiennement un cliché du jour pour diffusion sur les facebook et twitter du festival. Ils réalisent des courts films autobiographiques « Mon F3C », ainsi qu’un article « Mon festival de l’intérieur ».
Le Festival des 3 Continents est bien là dans son rôle de découvreur et d’initiateur, comme en atteste Pacôme, élève en 1ère année du BTS Audiovisuel au lycée Léonard de Vinci à Montaigu : « Je connaissais déjà le festival depuis plusieurs années mais ce n’est que l’année dernière avec mon lycée que j’ai pu y accéder le temps d’une semaine … J’ai découvert des longs et des courts métrages qui m’ont profondément marqués … je vois ce festival comme une manière de s’ouvrir au monde et de s’ouvrir à, non pas un cinéma, mais à des cinémas. Et l’intérêt, c’est que chaque tranche d’âge à la possibilité de venir au festival, tant il y a de la diversité dans la programmation. »
Et de rajouter : « Le festivaloffre aux enfants une initiation intéressante au cinéma étranger, autre que le cinéma américain, tout en les éloignant des films d’animations populaires à l’humour parfois un peu trop facile. Mais je dirais au final que ce n’est pas une initiation uniquement pour le jeune public mais également pour n’importe quelle personne peu habituée à l’art cinématographique sous toutes ses formes. Et si c’est le cas, alors je pense que ce festival est fait pour eux. »
Le rendez-vous est donné aux curieux, jeunes et moins jeunes pour partir explorer et découvrir ce cinéma d’ailleurs …
Cette année, le THV de Saint-Barthélémy d’Anjou a laissé carte blanche à Fred, musicien et chanteur des Rude Boy System, pour concocter une nuit du cinéma musicale et engagée, vendredi 17 novembre dès 19h00.
Au programme de cette soirée « Bad Boys », 3 films pour découvrir 3 périodes et 3 mouvements musicaux :
·19h00 : Quadrophenia de Franc Roddam – film britannique, 1979 – inspiré d’un album des Who qui dépeint le mouvement mod des années 60.
·21h30 : Rude Boy de Jack Hazan et David Mingay – film/documentaire britannique, 1980 – sorte de docu-fiction consacré aux Clash et au mouvement punk dans l’Angleterre de la fin des années 70.
·00h00 : The Harder They Come de Perry Henzell (titre français : Tout, tout de suite) – film jamaïcain, 1972
Ces 3 films parcourent quelques chemins de l’histoire de la musique, caisse de résonance d’une révolte de la jeunesse, en rage contre les institutions et la fatalité économique.
Pour le tournage d’un long métrage « La Fille au bracelet » de Stéphane Demoustier,la production recherche 3 décors à Nantes et ses environs :
► Une grande maison moderne / contemporaine : Nantes ou proche périphérie
Intérieur : Au RDC, grande pièce de vie avec des baies vitrées donnant sur une terrasse, cuisine indépendante et bureau. A l’étage, 4/5 chambres et salle de jeux.
Extérieur : quartier résidentiel de standing, en zone pavillonnaire. Jardin entretenu.
Rôle : Maison qui appartient à la famille principale du film. Occupation : 2 à 3 semaines (prépa-tournage)
► Une maison de campagne / ferme / longère avec piscine : 30-40 min de Nantes
Intérieur : en bon état, avec grande pièce de vie lumineuse. Cuisine ouverte sur salon de préférence, mais pas obligatoire.
Extérieur : de l’espace et une piscine extérieure, au calme.
Rôle : Maison de vacances de la famille. Occupation : Environ 10 jours (prépa-tournage)
► Une maison familiale dans quartier pavillonnaire : Nantes ou proche périphérie
Intérieur : en bon état, de plain-pied, l’entrée donne sur une grande pièce de vie, un couloir qui permet de distribuer l’espace nuit, plusieurs chambres.
Rôle : Maison de Diego, personnage principal. Occupation : 3 jours (prépa-tournage)
Les personnes ayant des décors ou des pistes peuvent envoyer leurs propositions (avec coordonnées et photos) par mail à reperagestournages@gmail.com
Dates de tournage : entre janvier et mars 2018
Synopsis du film : Bruno et Céline voient leur vie de famille basculer lorsque Lise, leur fille de 17 ans, est accusée du meurtre de son amie Flora. Deux ans après le crime, Lise vit avec un bracelet électronique, en compagnie de ses parents et de son petit frère Jules. Alors que le procès approche, la vie de Bruno ne tourne plus qu’autour de ces quelques jours au cours desquels il sait que le destin de sa fille va se jouer, au beau milieu d’une cour d’assises…
Ce film est soutenu par le Conseil régional dans le cadre des aides à la production cinématographique et audiovisuelle et est accompagné par le Bureau d’Accueil des Tournages des Pays de la Loire.
Devinez ce qu’ont en commun « L’aile ou la cuisse », « La chèvre », « Le dîner de cons » ou encore « Le placard » ?
Ce sont toutes des comédies mises en musique par Monsieur Vladimir Cosma !
Jusqu’au 12 novembre, le festival de cinéma et de musique de film de La Baule rend hommage à ce grand compositeur, à qui l’on doit les musiques les plus marquantes du cinéma français.
Cette année l’accent est donc mis sur les comédies, avec notamment un coup de projecteur sur Jacques Tati dont on fête les 110 ans de sa naissance et une projection en musique des films de Buster Keaton.
Mais cet événement sera aussi l’occasion de découvrir en avant-première quelques films très attendus comme « Beach rats » d’Eliza Hittman ou « M » de Sara Forestier, en compétition et que les membres du jury, présidé cette année par la réalisatrice Diane Kurys, devront départager.
Des rencontres avec des réalisateurs, des comédiens sont aussi au programme ainsi que des master-class dirigées notamment par Stéphane Lerouge, grand spécialiste de la musique de film ou par Vladimir Cosma lui-même.
Durant tout le mois de novembre, partout en France se déroule le mois du doc, rendez-vous incontournable pour découvrir des films et échanger ses idées sur le monde …
Le principe : la projection de films documentaires organisée par des structures culturelles, éducatives et sociales, afin de promouvoir ce genre cinématographique peu représenté à la télévision ou au cinéma, auprès d’un large public et notamment des jeunes.
Pour cette 18ème édition, dans la région, c’est 80 séances qui sont proposées dans une cinquantaine de lieux de projection : du cinéma aux centre culturels en passant par des médiathèques et dans des endroits plus insolites comme le CHU d’Angers ou le lycée professionnel Jean-Jacques Audubon à Couëron.
Les films programmés proposent une vision du monde et de la société à travers un programme thématique varié : démêler le vrai du faux, les femmes en mouvements, exils et migrations,… Les projections sont accompagnées par des débats, des rencontres pour prolonger la réflexion sur les différents thèmes abordés. C’est une véritable ouverture sur le monde qui nous entoure …
Le mois du film documentaire se décline aussi en ligne avec Tënk, plateforme de diffusion du documentaire d’auteur, et retrouvez sur Mediapart une sélection de 4 documentaires.