24 Jan

Un festival de courts-métrages !

Dans la Sarthe, si le chiffre 24 est synonyme des 24 heures du Mans auto, moto et Cie, il est aussi attaché à un festival de cinéma hors-norme, le festival des 24 courts.

Cet événement qui a lieu du 26 janvier au 4 février, met à l’honneur le cinéma d’un genre très particulier : le court-métrage. Exercice qui se révèle un vrai défi : raconter une histoire, faire vivre des personnages, provoquer des émotions, le tout en moins de 30 minutes.

24 courts

A l’origine de ce festival, une association Au Film des Mots, créée en 2001 par des réalisateurs sarthois pour développer des projets et aider à la diffusion de courts-métrages. Mais c’est en 2004, que le festival des 24 courts est lancé par un passionné du 7ème art, Claude Saussereau, enseignant, scénariste et réalisateur. Dès la première année, le public répond présent pour cet événement qui n’a cessé depuis de confirmer ce succès.

Pour cette 15ème édition, 68 courts-métrages ont été sélectionnés sur les 1000 films reçus, une chance pour ces réalisateurs de voir leurs œuvres sur grand écran, mais aussi l’occasion de rencontres et d’échanges avec des festivaliers de plus en plus fidèles.

Et si ce festival entièrement consacré aux courts-métrages est assez unique, l’originalité est aussi de proposer la projection des différentes catégories dans 4 lieux de la région, à la ville comme à la campagne, au Mans comme à Bouloire :

Vendredi 26 janvier à 20h30 : Ciné d’ici à la salle François Rabelais à Changé. C’est la 2ème édition pour cet événement en marge du festival qui propose une sélection de films d’auteurs sarthois. Un vrai moment d’échanges, sans compétition.

Vendredi 2 février à 20h : Les 24 tout courts au cinéma Les Cinéastes au Mans. Le festival dans le festival, les 24 tout courts a pour objectif de valoriser la production et le travail des auteurs de courts-métrages d’animation ou de fiction de moins de 5 minutes. La projection est suivie du palmarès pour cette catégorie.

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Samedi 3 février de 16h à 22h30 : Les 24 courts – sélection internationale au théâtre Epidaure à Bouloire. Dans cet ancien hospice reconverti en théâtre, ce sont 8 films qui nous viennent de Bulgarie, de Belgique ou de Russie qui seront jugés. Et la soirée se clôturera après le palmarès, par un cabaret-spectacle-projection « Argentic Rodéo »

Dimanche 4 février de 10h à 18h : Les 24 courts – sélection nationale au cinéma Simone Signoret à Mulsanne. C’est une programmation très attendue par les fidèles de ce festival, l’occasion d’apprécier une sélection de films porteurs de thèmes forts comme le racisme, la famille ou la vieillesse.

24 courtsCette année, le jury est co-présidé par deux acteurs de talent : Marie-Christine Adam (vue dans de nombreux films comme Disco de Fabien Onteniente ou Le Capital de Costa-Gavras) et Philippe Caroit (présent sur le petit écran avec la série RIS Police scientifique ou au cinéma dans Les Randonneurs à Saint-Tropez de Philippe Harel).

Le public jeune sera aussi bien représenté avec la participation d’un jury d’étudiants, et une sélection de coups de cœur des collégiens et lycéens de la région.

Toutes les infos sur le site : www.24courts.fr

21 Jan

Les cinémas de Mayenne prennent soin de vous…

Avec Les Rencontres Cinéma et Santé du 22 au 30 janvier 2018, le grand écran vient ausculter notre relation à la santé.

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Pour la 14ème année consécutive, les salles de cinéma du nord Mayenne proposent un programme de 6 films sur des thèmes de santé comme la drogue, la greffe ou l’enfermement psychiatrique. Ces documentaires ou fictions seront accompagnés de débats, d’échanges avec les réalisateurs, acteurs ou professionnels de santé.

rencontres (1)►Le Vox Mayenne accueillera la soirée d’ouverture lundi 22 janvier à 20h30, avec la projection en avant-première du film « La fête est finie », en présence de la réalisatrice Marie Garel-Weiss et des deux actrices principales, Zita Hanrot (César du Meilleur Espoir Féminin pour Fatima, en 2016), et Clémence Boisnard. Ce long-métrage aborde le thème de la toxicomanie chez les jeunes et du cheminement pour s’en sortir.

 

► »Réparer les vivants » de Katell Quillévéré sur le don d’organe sera diffusé mardi 23 à 20h30 au cinéma l’Aiglon de St Pierre-des-Nids et sera suivie d’une rencontre avec les médecins de ce secteur.

►Mercredi 24 au cinéma de Gorron, Arnaud Ray viendra présenté son tonitruant documentaire « Huguette the Power » où les seniors trouvent une deuxième jeunesse grâce à un projet musical.

►A Ernée jeudi 25, le documentaire « Les sentinelles » donne la parole aux agriculteurs, ouvriers, empoisonnés par l’amiante ou les pesticides, une soirée en présence de son réalisateur, Pierre Pézerat.

► »12 jours » de Raymond Depardon sera l’occasion de parler de l’enfermement psychiatrique, avec Xavier Talois, cadre supérieur de santé, pôle santé mentale du CHNM. Rendez-vous au Vox à Mayenne, vendredi 26 à 20h30.

►Et toujours au Vox, le film « Roues libres » d’Attila Till viendra clôturer ces rencontres, mardi 30 janvier à 20h30. Une comédie noire, grinçante sur des bad boys en fauteuil roulant. Un film digne des frères Cohen ou d’un Tarantino !

Pour compléter cet événement, une exposition photo est proposée par Sophie Faguer, jeune photographe mayennaise. Elle expose une série de portraits en 16/9 aux couleurs désaturées, de son frère Léo, mettant ainsi en scène celui pour qui la parole était devenue un obstacle infranchissable. A découvrir jusqu’au 30 janvier au cinéma le Vox à Mayenne.

►Toutes les infos sur le site Atmosphère53

19 Jan

Succès pour les documentaires algériens au festival Premiers Plans

Il y avait un parfum d’Orient mercredi soir au festival Premiers Plans d’Angers …

Trois films issus du laboratoire documentaire d’Alger étaient présentés ce soir là et ce fut un véritable succès.

Xavier Liébard, réalisateur nantais de documentaires dont le récent « Les voix du large », est à l’initiative de ce projet, il nous raconte cette soirée forte en émotion pour ces jeunes réalisateurs algériens présents.

« C’est un carton plein pour la première projection des quatrièmes labos d’Alger, la salle était complète et le public particulièrement attentif aux oeuvres présentées :
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►Louisa Beskri, réalisatrice de « Birds » a fait le déplacement depuis Alger pour rencontrer le public angevin. Âgée d’à peine 25 ans, elle porte un premier film documentaire sans concession qui suit pas à pas Abderaman, jeune enfant d’immigré de 6 ans qui fait la manche dans les rues de Tipaza. Ce document brut, montre une enfance rude, mais qui sait garder une belle part d’insouciance, comme si la jeunesse d’où qu’elle vienne permettait tous les possibles.
« Birds » est déjà sélectionné dans plusieurs festivals au Nigéria, à Palerme en Sicile et à Stockholm en Suède.
►Zidani El Keyer a également fait le déplacement pour présenter « Nice very Nice », un portrait tendre de Didou, vieil habitant d’un quartier mythique d’Alger : la Casbah. Didou a construit dans son appartement une improbable fresque mauresque en mémoire à sa femme disparue, qui s’étend jusque dans la rue en contrebas. Malgré ses 89 ans, il continue à sculpter son oeuvre. Cet hommage amoureux, à l’image du facteur cheval, attire de nombreux touristes en visite dans le vieil Alger.
Zidani a découvert Didou il y’a quelques années. Marqué par cette rencontre, ému par ce geste, le jeune réalisateur avait à cœur de filmer ce personnage et d’en laisser une trace. Les Labos d’Alger lui ont permis de mettre en lumière un thème fort, ce que nous sommes capables de faire par amour.
Son film vient également d’être sélectionné en Sicile et au festival du film africain de Louxor en Egypte.

 

soirée labo (1)►Enfin le 3ème film, dont le réalisateur Narcisse Youmbi n’a pu faire le déplacement, « Dr Fatma » évoque le portrait d’une femme gynécologue et obstétricienne au moment des consultations avec ses patientes. Son cabinet, lieu d’intimité et de confidence devient un véritable révélateur de la place de la femme. Dans un ton drôle et un véritable sens de la mise en scène le Dr Fatma exhorte ses patientes a ne pas se laisser diriger et à choisir leur destin.

A l’issue de la projection de ces trois films, Xavier Liébard nous confirme que « charmée par la diversité et la force de ces propositions, la salle a su encourager ces jeunes graines de cinéastes algériens à continuer. »

Le festival Premiers Plans qui a une véritable vocation de découvreur de talents, prouve encore une fois son attachement et sa motivation à faire émerger et à épauler de nouveaux réalisateurs. Avec le laboratoire documentaire d’Alger, ces jeunes algériens ont pu donner à voir au public des films forts et engagés.
A n’en pas douter voici de jeunes auteurs à suivre …
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La reprise de la projection des labos d’Alger est prévue ce soir à 19h45, Salle 6 au cinéma Les 400 coups d’Angers – séance gratuite dans la limite des places disponibles.
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14 Jan

Festival Premiers Plans, zoom sur le labo d’Alger

PREMIERS PLANS

Angers déroule le tapis rouge au 7ème art jusqu’au 21 janvier avec le Festival Premiers Plans qui met en lumière le jeune cinéma européen.

Si Premiers Plans, qui fête cette année son 30ème anniversaire, a su s’imposer comme un rendez-vous incontournable du cinéma, ce que l’on sait moins, c’est qu’il œuvre à son développement grâce à des échanges et des partenariats avec des pays comme la Chine ou l’Algérie.

Depuis sa première édition en 1989, Premiers Plans se définit comme un véritable découvreur de talents, de nombreux réalisateurs qui y ont présenté leurs premières œuvres, sont maintenant des artistes confirmés à l’image d’Arnaud Desplechin, Danny Boyle ou Joachim Trier. De cette envie de se mettre au service de réalisateurs en devenir et de faire émerger de nouveaux talents, est né un partenariat avec l’Algérie, basé sur la formation aux films documentaires.

► Zoom sur le laboratoire documentaire d’Alger : avec Xavier Liébard, réalisateur de la région, à l’initiative de ce projet.

Pour Xavier, le Festival Premiers Plans est une affaire de cœur et de fidélité, il y collabore depuis de nombreuses années. Durant 6 ans, il s’est occupé du laboratoire documentaire dans le cadre des Ateliers d’Angers, qui a permis à une centaine d’amateurs passionnés et professionnels de se former à ce genre cinématographique, et de réaliser 30 courts-métrages documentaires.

cette expérience, s’était permettre aux gens d’aimer le cinéma, mais aussi de le pratiquer

Suite à ce succès, Xavier Massé, l’administrateur du festival et Pénélope Lamoureux chargée de mission culturelle à l’ambassade de France à Alger, ont proposé à Xavier d’exporter l’idée du laboratoire en l’adaptant aux besoins professionnels algériens.

Ainsi en 2014, l’aventure « Laboratoire documentaire d’Alger » est mise en place avec pour enjeu de former des professionnels algériens à tous les postes de construction d’un documentaire (réalisation, cadre, son, montage), avec une entrée spécifique sur le son dirigée par l’ingénieur du son, Arnaud Marten. Karim Moussaoui programmateur à l’institut français d’Alger et réalisateur reconnu (« En attendant les hirondelles » sélectionné en 2017 à un certain regard à Cannes), en coordonne la partie algérienne.

Cette formation pratique sur la réalisation documentaire, la seule existante en Algérie regroupant la totalité du processus de création de ce genre cinématographique, est désormais bien identifiée et reconnue. Les partenariats s’étoffent, notamment avec Dzair Tv pour l’Algérie et les ateliers Varans pour la France qui octroient des bourses aux réalisateurs algériens. Un vrai tissu de professionnels commence à apparaître autour de ces ateliers, offrant à la jeune génération une occasion de porter un regard neuf sur la société algérienne.

labo alger

Depuis sa création, une quarantaine de professionnels algériens a ainsi été accompagnée dans l’écriture et la réalisation, 12 films documentaires ont été produits, 12 petites formes sonores montées et mixées. Preuve du succès de cette formation : ces films ont obtenu une soixantaine de sélections dans des festivals à travers le monde et reçus 10 prix internationaux.

Projections, formations, réalisateurs invités à Angers puis à Alger, cartes blanches : c’est un véritable partenariat sur le long terme qui est monté dans le cadre de ce laboratoire entre l’Institut Français d’Alger et le festival Premiers Plans. Et cette année encore, cette collaboration permet à 12 professionnels algériens de présenter leur réalisation lors du festival.

Pour cette nouvelle édition, ils ont relevé un pari fou et audacieux : tourner 3 films documentaires en 20 jours sur le thème de « l’ombre et la lumière », avec un nouvel exercice : présenter une série de photos pour illustrer son thème. Pour ce contre-la-montre qui oblige à la coordination et l’efficacité, ils ont été accompagnés pédagogiquement par Xavier Liébard (réalisation), Yacine Bouaziz (montage) et Arnaud Marten (son).

Retrouvez ces 3 films : « Birds » de Louisa Beskri, « Nice, very nice » de Zidani El Kheyer et « Dr Fatma » de Narcisse Youmbi, au Festival Premiers Plans, lors de 2 soirées exceptionnelles : 

  • mercredi 17 janvier à 19h45 au cinéma Les 400 Coups  – projection suivie d’une rencontre avec Xavier Liébard, Louisa Beskri, Zidani El Kheyer (réalisateurs) et Abdenour Hochiche (Institut français d’Alger)
  • vendredi 19 janvier à 19h45 au cinéma Les 400 coups.

 

 

11 Jan

Sortie du film « la surface de réparation », le FC Nantes au cœur de l’histoire

Dans les sorties de ce début d’année, à noter le 17 janvier, l’arrivée sur nos écrans du film « la surface de réparation » de Christophe Regin, tourné à Nantes.

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« La surface de réparation », c’est l’histoire de Franck, ancien joueur de foot, qui ne peut faire le deuil de ses rêves de jeunesse et qui vit actuellement dans les coulisses du FC NantesSans statut, ni salaire, il connait bien les joueurs et les couve autant qu’il les surveille. A la fois espion pour un dirigeant, intermédiaire des joueurs, chaperon des plus jeunes, il est parvenu à devenir un maillon essentiel du club mais sans en faire véritablement partie. 

Pour son premier long-métrage, Christophe Regin a choisi de situer l’action de son film à Nantes, il tenait à ce que l’action se déroule dans une ville de province ordinaire, avec un cadre plutôt bourgeois. il ne voulait surtout pas d’une ville avec un passé footballistique lié à une forte identité ouvrière, comme Lens ou Saint-Etienne.

Le réalisateur explique : « Il fallait que la géographie des lieux soit répétitive, car le quotidien de Franck s’articule toujours autour des mêmes endroits : le centre d’entraînement, le stade, le café des supporters, les entrées de boîte de nuit. Il a une connaissance et une maîtrise parfaites de ces lieux et de leurs faunes, mais il n’en fait jamais tout à fait partie. Il vit dans un appartement qui n’est pas le sien, « travaille » au centre sans y être salarié, il connaît les stadiers mais vend des places à la sauvette… Il n’est ni vraiment dedans, ni vraiment dehors … » – propos recueillis par allociné.

►Retrouvez l’interview de Franck Gastambide, acteur principal du film dans le JT de France 3 Pays de la Loire du vendredi 12 janvier 2018

►Reportage sur l’avant-première du film, lors du Festival International du Film de La Roche-sur-Yon qui a eu lieu en octobre 2017

10 Jan

Un tournage à la maison…

Dans le cadre du tournage du prochain court-métrage du nantais Guillaume Mainguet « Lait Poivre », produit par Acrobates Films, le réalisateur recherche le décor principal :

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Maison ou appartement en rez-de-chaussée à Nantes

T4/T5 (4 pièces + cuisine) dans quartier calme, fenêtres au nord (facultatif), bâtiment des années 60/70.

Le lieu doit être vide.

Durée d’occupation : 4 jours de tournage entre le 19 février et le 3 mars

 

Les personnes ayant des décors (propriétaires uniquement) ou des pistes peuvent envoyer leurs propositions par mail à laitpoivre@gmail.com avec : coordonnées, adresse exacte et photos en précisant dans tous les cas la superficie, le nombre de pièces, l’orientation.

Synopsis du film :  Jean, la soixantaine, rend visite à son fils Vincent, fâché avec lui depuis quelques années, pour lui annoncer qu’il est atteint de la maladie d’Alzheimer. Entre la pudeur et la maladie naissante, les deux hommes laissent surgir leur animosité et leur besoin d’affirmer leur parole respective.

Ce film est soutenu par la région des Pays de la Loire, en partenariat avec le CNC, et est accompagné par le Bureau d’Accueil des Tournages des Pays de la Loire.

08 Jan

La Plateforme accueille les professionnels du cinéma des Pays de la Loire

 

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Moteur… ça tourne… action !

Faire un film, c’est une histoire de passion et un vrai travail d’équipe pour arriver au clap final.

Le cinéma est un domaine où chaque acteur a son importance et où les métiers sont multiples, liés les uns aux autres : auteurs, comédiens, techniciens, producteurs, distributeurs,… tous unis pour un même projet : donner à voir une oeuvre cinématographique.

Mais, il n’est pas simple de mettre en relation tous ces professionnels, présents en grand nombre dans notre région. C’est dans ce but que l’association La Plateforme a été créée en 2013, elle se définit comme un Pôle Cinéma Audiovisuel qui œuvre à structurer, fédérer et faire reconnaître ce secteur en Pays de la Loire.

Zoom sur cette association avec Adrien Heudier, son directeur :

La région avec ses nombreux décors naturels, ses professionnels, son attractivité … est-elle une véritable terre de cinéma?

La Plateforme, vous donne rendez-vous en janvier pour 2 temps forts.

►Toutes les infos sur le site de La Plateforme

20 Déc

Un Noël version grand écran

Pour noël, le cinéma vous offre un tourbillon de couleurs, de contes, de rigolades, d’émotions, … et cette année encore, nos bout’choux sont gâtés, avec de nombreux films rien que pour eux :

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  • Drôles de petites bêtes – à partir de 3 ans

Lorsque Apollon, un grillon baladin au grand cœur, arrive au village des petites bêtes, il ne tarde pas à perturber la vie du Royaume tout entier… 

« Intelligent, drôle et coloré, Drôles de petites bêtes est également une belle initiation au cinéma pour les enfants ». L’Express

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  • Myrtille et la lettre au père noël – à partir de 3 ans

Tandis que l’hiver étend son manteau de neige sur le paysage, une souris, un biscuit et une petite fille vont vivre d’étonnantes aventures.

« Trois contes autour de l’amour de l’autre qui enchanteront les tout-petits et leurs accompagnants ». Les Fiches du Cinéma

  • Ernest et Célestine en hiver – à partir de 3 ans

Ernest est un gros ours. Il aime jouer de la musique et manger de la confiture. Il a recueilli chez lui Célestine, une petite souris orpheline et ils partagent désormais une maison. Les deux compères ne s’ennuient jamais ! 

« Après le succès d’Ernest et Célestine, la souris et l’ours reviennent le temps d’un programme de 4 courts-métrages. On y retrouve le raffinement visuel d’une des plus belles réussites de l’animation française de ces dernières années ». Le Monde

  • Les moomins attendent noël – à partir de 4 ans

Les Moomins vivent dans une vallée reculée de Finlande. Petits bonhommes tout en rondeur, inspirés des traditionnels trolls, ils ressemblent à des hippopotames. Tolérants, aventureux et épris de liberté, ils accueillent dans leur maison beaucoup d’invités …

« Une histoire pleine de bons sentiments vantant la nature et le bonheur des fêtes en famille et entre amis. A réserver aux tout-petits ». Studio Ciné Live

  • Wallace et Gromit, cœurs à modeler – à partir de 6 ans

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Vous les connaissiez inventeurs ? Les voici entrepreneurs ! Nettoyeurs de vitres ou boulangers, Wallace et Gromit mettent du cœur à l’ouvrage. Un peu trop peut-être.

« La marque de fabrique du studio Aardman est bien là : humour anglais, entre rêverie et absurdité, gags déjantés et personnages formidables. Un boost de bonne humeur ! » Le Nouvel Observateur

  • Coco

Depuis plusieurs générations, la musique est bannie dans la famille de Miguel. Un drame pour le jeune garçon dont le rêve est de devenir un musicien aussi accompli que son idole, Ernesto de la Cruz. Bien décidé à prouver son talent, Miguel, se retrouve propulsé dans un endroit aussi étonnant que coloré : le Pays des Morts.

« Ne passez pas à côté du dernier Disney-Pixar. Un voyage initiatique émouvant au cœur de la traditionnelle fête des Morts et de son sens profond ». Le Point

  • Ferdinand

Ferdinand est un taureau au grand cœur. Victime de son imposante apparence, il se retrouve malencontreusement capturé et arraché à son village d’origine. Bien déterminé à retrouver sa famille et ses racines, il se lance alors dans une incroyable aventure à travers l’Espagne, accompagné de la plus déjantée des équipes !

  • Paddington 2

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Paddington coule des jours heureux chez les Brown, sa famille d’adoption, apprécié de tous. Mais sa vie tranquille bascule quand il est accusé à tort d’avoir volé un livre exceptionnel. Convaincus de son innocence, les Brown se lancent dans une enquête pour retrouver le coupable.

« On retrouve la magie de Frank Capra, Wes Anderson, Jean-Pierre Jeunet ou Charlie Chaplin dans ce film bienveillant qui mise sur sa galerie de personnages irrésistibles, son humour so british, sa poésie diffuse et son émotion qui surgit sans prévenir ». Le Journal du dimanche

  • Santa et cie

Rien ne va plus à l’approche du réveillon : les 92 000 lutins chargés de fabriquer les cadeaux des enfants tombent tous malades en même temps ! C’est un coup dur pour Santa (Claus), plus connu sous le nom de Père Noël… il n’a pas le choix : il doit se rendre d’urgence sur Terre avec ses rennes pour chercher un remède. 

« Drôle, impertinent et tendre, le conte d’Alain Chabat est peut-être son meilleur film. Un tour de force tout en générosité et en élégance ». Ecran Large

Voilà de quoi voir des étoiles dans les yeux des plus petits et entendre des « wouahhh » ou des éclats de rire chez les plus grands.

Retrouvez tous ces films dans les salles près de chez vous, une programmation spéciale vacances de noël est proposée dans de nombreux cinémas avec des goûters et des animations. 

Passez de bonnes fêtes … version grand écran !

 

16 Déc

La vie est belle avec Frank Capra !

Le Cinématographe à Nantes propose du 11 décembre au 8 janvier une rétrospective Frank Capra

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Zoom sur ce grand réalisateur américain avec pas moins de 11 films programmés en version originale sous-titrée et pour la plupart en version restaurée, l’occasion de re(découvrir) « L’enjeu », « Monsieur Smith au sénat » ou encore l’incontournable « La vie est belle ».

Guy Fillion, ancien professeur de cinéma à Nantes, explique « cette rétrospective Capra, pour n’être pas exhaustive n’en est pas moins représentative. D’abord parce qu’elle nous permet de revoir les films des années 30/40, qui ont fait sa réputation de cinéaste humaniste, engagé pour la défense des victimes de la Grande Dépression.

Le réalisateur italo-américain est soucieux de son engagement politique, il explore dans ses films des thèmes qui lui sont chers comme la misère sociale, la corruption politique, ou l’exposition médiatique. Les caractéristiques de ses personnages : un héros naïf et idéaliste qui s’attaque seul au système.

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Dans le monde du cinéma, Frank Capra est considéré comme l’un des inventeurs de la comédie américaine et Guy Fillion rappelle qu’il a fait ses débuts « à l’époque du muet comme auteur de gags puis réalisateur d’excellents films burlesques. Et l’on sait combien cette école est formatrice, tant le genre exige de précision et de sens du rythme, toutes qualités que l’on retrouve dans tous ses films, au delà des comédies, et qui leur confèrent leur dynamisme. »

L’œuvre de Capra reste marquée par son éternel optimisme, son attachement à l’Amérique et son caractère profondément humain, il est l’un des réalisateurs les plus apprécié dans le monde. Fait rare, son nom était connu du public et figurait au-dessus du titre sur les affiches de ses films, avant celui de ses vedettes.

Une rétrospective à ne manquer !

Toute la programmation

14 Déc

Partagez l’affiche avec Eric Cantona

Vous rêvez de faire du cinéma ? Vous êtes fan du footballeur Éric Cantona ? C’est l’occasion de passer ce casting :
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Pour les besoins du long-métrage « Ulysse et Mona » réalisé par Sébastien Betbeder et dont le rôle principal est tenu par Eric Cantona, la production recherche des figurants à Nantes :
  • Un client de bar, entre 25 et 50 ans, minimum 1,75 m, plutôt costaud
  • La mère de Mona, entre 40 et 55 ans, d’origine méditerranéenne, pour jouer la mère de l’actrice franco-libanaise Manal Issa
  • Un jeune médecin entre 25 et 35 ans, avec, sous des airs sérieux, une forme de candeur
  • Une dame de 70 à 85 ans, pétillante et élégante
  • Une infirmière de 70 à 85 ans
  • Un prof de dessin aux Beaux-Arts, entre 60 et 75 ans
  • Un bébé de 3 à 10 mois (qui aura entre 5 et 12 mois au moment du tournage)
Le tournage devrait avoir lieu du 22 janvier au 23 février 2018. Si vous pensez correspondre à l’un des profils, vous pouvez contacter la production par mail : ulysse.et.mona.casting@gmail.com