Sandra Martineau, de la 25ème Heure du livre aux 24 Heures du Mans…

Lire délivre vous propose de présenter les 24 Heures du Mans par le prisme des livres…

Mais, en se rendant à l’incontournable « parade des pilotes », j’ai fais une rencontre exceptionnelle : Sandra Martineau, auteure mancelle et amie personnelle… se rendait elle aussi à la parade des pilotes !

Voici en substance, notre échange furtif, plutôt sur le ton de la conversation amicale que l’interview…

BG : Je ne m’attendais pas à te voir ici ! Il est vrai qu’on a plus l’habitude de se croiser au Salon du Livre du Mans (la 25ème heure du livre), qu’à la parade des pilotes des 24 Heures du Mans ! Tu y participes souvent ?

Sandra : Pas du tout ! C’est la première fois que je viens !

BG : Mais… depuis combien de temps habites-tu au Mans ?

Sandra : Depuis 20 ans, mais habituellement je laissais mon mari y aller (il tient un garage et est passionné de voitures) et je tenais le garage. Cette année, l’occasion m’a été donnée de participer à la parade.

BG : Tu veux dire que tu seras DANS la parade ?

Sandra : Oui, oui ! Je fais partie d’un petit groupe qui réalise une émission assez connue localement dans le style des « Grosses têtes », et on a été invités à venir…  

BG : Alors ? Quel ressenti ?

Sandra : C’est génial, j’adore ! L’ambiance est complètement dingue !

BG : Mieux que le Salon du livre ?

Sandra : Rien à voir, mais tout aussi enthousiasmant.

BG : A propos de livre. Tu viens de publier un nouveau roman…

Sandra : Oui, c’est mon cinquième roman, ça s’appelle « Même le diable a la peau douce » et ça démarre plutôt bien. Les premiers retours sont très positifs…

BG : Alors bonne chance pour ce livre… et bonne parade !

 

Présentation :

Même le diable a la peau douce – Sandra Martineau (2018)

Stanislas Delcourt n’est pas un homme pour Émélia. Tout le monde s’obstine à le lui dire, ils sont trop différents, pas du même monde ni de la même classe sociale. Cet étrange manipulateur semble souffler le chaud et le froid, passant de l’exaltation la plus torride au mépris le plus brutal. Le cœur d’Émélia n’y survivra pas. Mais pour être aimée comme elle l’a toujours désiré, la jeune femme est prête à tous les sacrifices, peu importe ce qui lui en coûtera. Elle sera à lui et en paiera le prix.