Archives de l'auteur : Emmanuelle Gayet

Les chutes de neige des dernières heures rendent la circulation délicate sur les routes de montagne. Les routes d’altitude menant à des cols ou des stations restent glissantes. Elles doivent être abordées obligatoirement avec des équipements hivernaux.

Certains axes sont enneigés ou encore partiellement enneigés. Ainsi en Ariège, il est difficile de circuler sur la PR65 de Sauzet à Boussenac vers le col de Port, à partir de Montferrier vers la station des Mont d’Olmes, l’accés à l’Etang de Lers à partir de Cortignou, le plateau de Beille à partir d’Aulos. La D5Avers Comus est totalement inaccessible, ainsi que la montée vers Ascou-Pailhères. Les routes vers la station de Bonascre ou autour de Massat sont également très glissantes.

Les équipements sont toujours obligatoires pour emprunter la RN20 à partir de l’entrée nord du tunnel du Puymorens pour accéder à Andorre ou franchir le col du Porté-Puymorens.

Dans les Hautes-Pyrénées, la situation reste délicate sur les axes routiers vers les cols de Peyressourde, d’Azet, du Soulor, l’accés de Barèges et de la Mongie au Grand Tourmalet, au Pont d’Espagne, à Gèdre, à Hautacam, le Val d’Azun, Luz-Ardiden, la station de Nistos, Peyragudes, Piau Engaly, le Pla d’Adet, et Val Louron.

Les Pyrénées-Atlantiques sont également concernées par les difficultés de circulation.

La situation devrait évoluer favorablement pendant la journée, le déneigement est en cours et le soleil fait son retour pour quelques heures.

 

 

Traquer l’ours pour en capturer quelques images furtives est un véritable travail de patience et de spécialiste. Mathieu Pujol, photographe animalier, est parti pendant plusieurs jours à la recherche de l’ursidé. Il nous montre les temps forts de son périple de 60 jours en immersion dans les Pyrénées avec de superbes images.

Les voici avec la bande annonce de l’exposition « A la recherche de l’ours »

L’exposition « A la recherche de l’Ours » est visible au Muséum de Toulouse du 7 janvier 2014 au 31 Juin 2014.

A l’occasion de l’exposition « OURS, entre Mythes et Réalités », Mathieu Pujol, photographe animalier d’origine ariégeoise, a décidé de revenir dans les montagnes de son enfance pour réaliser un de ses rêves, partir à la recherche de l’Ours. Durant toute l’année 2013, il a parcouru les sentiers pyrénéens pour retrouver le plantigrade emblématique. En partenariat avec l’équipe technique de suivi Ours de l’ONCFS, « A la recherche de l’Ours » vous présente les Ours bruns présents dans les Pyrénées, leurs habitats, leur nourriture et les animaux qu’ils côtoient. Le deuxième volet est consacré au travail de suivi Ours de l’équipe de l’ONCFS.

Mathieu Pujol sur Facebook

 

Le calendrier scolaire des trois années à venir ne satisfait pas les professionnels du ski qui estiment que le problème des vacances de printemps tardives « reste entier », a indiqué Domaines skiables de France (DSF) à l’AFP.

« Le calendrier proposé ne change pas le problème principal des vacances de printemps trop tardives »,

a déclaré Laurent Reynaud, délégué général de DSF, qui fédère 238 opérateurs de remontées mécaniques dans l’Hexagone, soit la quasi totalité.

Des vacances trop tardives

« Avant 2010, les vacances de printemps s’achevaient autour du 2 mai. Depuis lors, elles s’achèvent autour du 10 mai. Et le calendrier proposé ne change en rien le problème », a-t-il détaillé. Les vacances de printemps tombent depuis 2010 en dehors de la saison de ski, à une période où la plupart des stations sont fermées. Les professionnels du ski font état pendant ces vacances d’une baisse de fréquentation de 70% en station durant les trois années écoulées.

Selon M. Reynaud, le calendrier scolaire proposé par le ministère n’a été ajusté qu’à la marge « pour la seule année 2017 où les vacances de printemps devaient se terminer encore plus tard, au-delà du 15 mai ». La communauté éducative, réunie jeudi au Conseil supérieur de l’Éducation (CSE consultatif), a largement rejeté ce calendrier scolaire.

Le vote du CSE n’est que consultatif. Il n’empêchera pas le ministre de l’Education nationale Vincent Peillon d’imposer ce calendrier même si, selon les syndicats, il n’a pas exclu jeudi une nouvelle modification à partir de la rentrée 2015.

 

AFP